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19/08/21
Résumé:  Les folles nuits d’une riche libertine.
Critères:  f grp fplusag jeunes candaul nympho collection fsoumise fdomine hdomine revede exhib ffontaine hmast facial pénétratio double fsodo partouze sm humour
Auteur : calpurnia            Envoi mini-message
Les rois du monde

Avertissement :

Ce texte date de quelques années ; quelques-uns des grands de ce monde ont changé.






Dans le milieu libertin, Catherine se fait appeler Katy Blue, car ses cheveux courts sont teints couleur d’azur. Voire même : Katy la pute bleue, ou la salope bleue, car sous ses dehors de maman rangée qui emmène ses enfants chaque matin à l’école privée catholique, elle revendique son total dévergondage, et son indécence ne connaît aucune limite. Il faut cependant écrire « pute » entre guillemets, car elle n’a pas besoin qu’on lui verse de l’argent en échange de ses charmes : elle est déjà, par héritage, extrêmement riche et vit dans un immense manoir, en pleine campagne, une bâtisse que ses amis appellent le Château de la Marquise Katy Blue, la pute gratuite, la salope assumée.


Katy Blue est une authentique nymphomane. Elle ne travaille pas, et lorsqu’elle ne baise pas, elle passe son temps à se masturber de toutes les manières imaginables, tout en contemplant son corps dans un miroir. Elle a testé la totalité des sex-toys du marché, avec une préférence pour les machines sophistiquées à vérin qui pilonnent dans les orifices naturels pendant des heures et des heures. Elle a eu des aventures avec des femmes aussi, ce qu’elle apprécie à l’occasion. Mais elle préfère les hommes en chair et en bite. Et lorsqu’elle ne se livre pas à la concupiscence effrénée, elle part chevaucher le mustang alezan que son mari lui a offert pour leur anniversaire de mariage, dans le domaine clos de leur propriété, aussi nue que son animal, toujours à cru, sous un soleil brûlant, dans l’orage ou sous la lune ronde. Elle se révèle une cavalière aguerrie comme une amazone. Parfois, des voyeurs s’approchent et se cachent pour l’espionner avec des jumelles, voire la photographier au téléobjectif. Elle trouve plutôt flatteur que l’on s’intéresse à ses courbes de femme de quarante-cinq ans, et ne fait rien pour les repousser, préférant rire de ces intrusions perverses.


Parfois, elle loue les services sexuels de jeunes éphèbes tout juste majeurs, après avoir négocié le tarif avec leur mère à la sortie de la messe dominicale. Pour ces beaux étalons frétillants de vigueur sexuelle, elle n’hésite jamais à mettre le prix, avant de les inviter le dimanche après-midi, à l’heure du goûter, pour prendre le thé. Ils viennent par trois ou quatre, tous puceaux, innocents, ignorants des choses délicieuses du sexe, et à ce stade, elle les veut complètement nus, comme les conscrits d’une visite médicale à l’ancienne. Elle leur ordonne de s’aligner, les jambes légèrement écartées, et commence par examiner avec soin leur virilité commençante. Elle décalotte les verges lorsqu’elles ne sont dressées qu’à moitié, et punit ce manque d’excitation par de sévères petits coups de baguette sur les testicules. Elle fourre son index lubrifié de salive dans le trou du cul afin de palper la prostate, ce qui provoque, pour le plus grand étonnement des intéressés, de magnifiques érections toutes dégoulinantes de rosée du désir. Dociles parce qu’ils ont reçu une éducation catholique sévère qui leur a appris à obéir sans discuter, ils rougissent, tout confus dans leur pudeur bafouée, alors qu’elle est toujours vêtue de son élégant tailleur noir, avec des bas de la même couleur, et de ses talons aiguilles écarlates. À ce stade de l’inspection, les membres sont au garde-à-vous, parés à monter à l’assaut de la belle. Son mari Olivier regarde la scène, assis dans son fauteuil, et à l’occasion il se masturbe en regardant Katy Blue initier tous ces garçons aux variantes du péché de chair, c’est-à-dire à la fellation, à la sodomie et à la double pénétration, mais il n’intervient jamais.


Quelquefois, quand elle se sent d’humeur dominatrice, ou lorsqu’elle estime qu’ils se sont mal comportés, elle les suspend au plafond par les poignets à l’aide de chaînes et d’un palan pour les hisser au-dessus du sol, saisit sa cravache de cavalière et les flagelle avec une tendre sévérité qui laisse des marques rouges sur les petites fesses blanches. Elle aime bien les voir ainsi vulnérables à ses fantasmes féminins. Elle fait d’eux ce que bon lui semble : ils sont ses poupées sexuelles. Elle sait branler ces jouvenceaux encore et encore, avec d’affreuses tortures post-orgasmiques qui leur font supplier en pleurant et appelant maman. Ou bien elle les attache et soumet l’un d’eux, tiré au sort, à l’enculage frénétique d’une machine à baiser, tandis que les autres doivent regarder l’infortune du « malchanceux » qui, à genoux et penché en avant, découvre l’orgasme anal tout en suçant la chatte de Katy Blue.


Lorsqu’ils ressortent du manoir, ils ont des étoiles dans les yeux. Elle les raccompagne jusque chez eux dans son gros véhicule à quatre roues motrices. Le plus chanceux d’entre eux, ou le plus motivé, le plus fou de désir pour la chair qu’il vient de découvrir, a le droit de garder la culotte de dentelles rouges ou noires, qu’elle retire au dernier moment, derrière son volant, stationnée devant la porte de la demeure parentale. Katy Blue recommande à tous, et à lui en particulier, de rester assidus à l’office du dimanche, et aussi de prier le Seigneur chaque soir, à genoux devant la croix ornée du vêtement féminin, de préférence nus, tout en pratiquant l’onanisme avec une ardeur toute chrétienne, afin d’être à coup sûr exaucés de toute demande concernant le beau sexe. Ils promettent, la main sur le cœur. Mais elle ne revoit jamais deux fois le même garçon.


Ce soir, comme chaque mois, se prépare une nuit d’orgie au château de Katy Blue. Le grand salon décoré de peintures libertines a été aménagé dans ce but par Carole et Magalie, les deux soubrettes en tenue noire et blanche. Au centre, la table de luxure, une marqueterie équipée de fers et de lourdes chaînes dorées pour attacher les poignets et les chevilles. Le soleil se couche ; Magalie allume les bougies sur les candélabres fixés aux murs, tandis que Carole finit de passer l’aspirateur. Cédric, le pianiste professionnel, s’installe devant son instrument et dispose ses partitions.


Les premiers invités se présentent. Conformément à la consigne, ils sont tous masqués avec des postiches d’hommes politiques et de grands de ce monde : il y a Donald Trump, Xi Jinping, Vladimir Poutine, Boris Johnson, Emmanuel Macron, Kim Jong-Un… Quelques dames aussi, mais en nette minorité : notamment, Angela Merkel. C’est un peu comme à Davos, et les petits fours sont tout aussi savoureux, mais en nettement plus coquin – quoique, peut-être qu’en secret… ? L’anonymat est de rigueur. Mis à part le personnel de la maison, Katy Blue est la seule à ne pas dissimuler son visage – comme elle est l’hôtesse, ce serait ridicule.


Cédric commence à jouer un nocturne de Chopin. Les notes s’égrènent dans le vaste salon, tandis qu’arrive Jaïr Bolsonaro, aussi sinistre que l’original dans son complet noir, accompagné de Pedro Sanchez. Le piano n’est pas le seul à posséder une queue : rapidement, les braguettes s’abaissent et les chemises tombent, les pantalons et les caleçons sont abandonnés au sol. Seuls les masques ne tombent jamais.


Trump possède entre ses cuisses un très beau porte-avions à la puissance nucléaire, dont il est manifestement fier : tout rouge, luisant, long et tourné vers le haut, avec un gros gland bien fendu au milieu. Au grand dam de Brigitte, Macron s’est mis à jeun de sexe pendant une semaine afin d’être en forme pour la soirée. Madame Merkel a une chatte bien épilée qu’elle se branle au vibro en se fourrant des boules de Geisha dans la fente. Extrêmement excitée, la chancelière conservatrice voudrait bien se faire attacher sur la table pour de jouissives et gothiques tortures sexuelles. Mais Katy Blue a priorité. Carole et Magalie verrouillent les fers autour des poignets et des chevilles de leur maîtresse. Les grands de monde lui arrachent et déchirent ses vêtements, aussi impitoyables que le sont leurs modèles envers les plus faibles de la planète. Katy Blue aime à se faire déshabiller ainsi, ce qui lui permet de changer souvent sa garde-robe. Elle est fière de ses seins ronds et lourds, bien pointus, et de son ventre plat, malgré ses cinquante ans et ses trois maternités : elle s’entretient à grand renfort de natation dans la piscine du sous-sol de son château, où elle conserve l’habitude de nager nue chaque matin.


La table peut tourner autour de son unique pied central. Cela permet à chacun de profiter sans se déplacer du joli corps de Katy Blue, dont la tête se trouve juste à hauteur des sexes bien tendus des messieurs. Elle suce encore et encore, infatigablement, pendant qu’ils sirotent leurs petites bulles de Krug et de Dom Pérignon. Les glands visqueux de rosée et de salive sont accueillis jusque dans les profondeurs de la gorge. Ils ont la verge triomphante, comme au soir d’élections gagnées. D’autres invités arrivent : Sergio Mattarella, le président italien, le japonais Akihito, et Marcelo Rebelo de Sousa, le président portugais. Deux frères arborant les masques de Nicolas Sarkozy et François Hollande les rejoignent.


Jacques Chirac, comme toujours dynamique, arrive avec un grand vibromasseur à boule, crac, afin de satisfaire Katy Blue dont les orgasmes convulsifs, qui arrivent en rafale, sont impressionnants. Elle hurle sous l’effet de la jouissance, tout en aspergeant les invités de grandes giclées de mouille. Heureusement qu’elle est solidement attachée sur la table ; sinon elle pourrait tomber et se faire mal. Sa permanente est massacrée, son maquillage coule. Elle aime à s’avilir ainsi, jusqu’à perdre toute dignité. Il lui arrive même d’uriner involontairement, surtout lorsqu’on chatouille les pieds et les aisselles, ce que messieurs les politiques pratiquent avec sadisme.


Quelques-uns éjaculent dans la bouche de Katy Blue, la verge engagée à fond. Mais comme ils sont trop nombreux à vouloir le faire, car il en arrive encore et encore, les autres déversent leur semence dans un saladier, afin d’en faire boire tout le contenu à Katy Blue, les lèvres écartées de force à l’aide d’un instrument barbare. Elle n’a de toute façon pas l’intention de se dérober à cette boisson parfumée dont elle adore le goût. Les nombreux invités sont en forme ce soir : le récipient est bien rempli de nectar gluant et velouté, sorti tout chaud des couilles excitées. Chacun applaudit lorsque Katy Blue a tout bu, gourmande, jusqu’à la dernière goutte.


Maintenant que chacun s’est vidé, les bites pendent, toutes moites. Pour s’exciter à nouveau, on arrose Katy Blue de la cire brûlante des bougies, et on pare les tétons et les nymphes d’affreuses pinces noires qui serrent très fort. Katy Blue gémit sous le tourment. Les hommes sont cruels, surtout quand ils se font croire qu’ils possèdent du pouvoir, ce qui renforce grandement leur libido et les fait bander de nouveau. Mais ils voient bien qu’elle mouille encore, car elle aime cette douleur. La partie peut donc continuer, en musique, cette fois sur un air de Beethoven.


On lui détache les chevilles afin de se positionner deux par deux sur la table tournante, pour la pénétrer doublement, tandis qu’elle doit sucer les verges qui se présentent devant sa bouche, et aussi le clitoris d’Angela Merkel qui, elle-même se fait sodomiser par surprise, la jupe relevée et la culotte abaissée, par l’infatigable Poutine, un satyre qui ne débande jamais, quasiment, depuis sa naissance. Lorsqu’il se retire après avoir déversé dans l’orifice son foutre cyrillique, elle en a le cul tout dilaté, et s’admire ainsi dans le miroir, toute contente. La chancelière allemande trouve que cette évasure est un spectacle magnifique : pour explorer la cavité brûlante, elle y fourre ses doigts, puis une main entière préalablement lubrifiée, l’autre tenant le vibromasseur plaqué sur le clitoris. Propulsée au septième ciel, secouée par l’orgasme anal, elle voudrait hurler sa joie, en réclamer encore, mais comme sa bouche est occupée par plusieurs membres virils en même temps, de même que les peuples aux droits bafoués sont invités au silence par la combinaison de répressions policières, de loisirs numériques pornographiques et de divertissants jeux de ballon rond, elle ne le peut pas.


Certains soirs, on pratique aussi le gokkun, où il s’agit d’éjaculer non pas sur le visage de la femme, mais dans un saladier dont Kathy Blue se plaira de boire le contenu, jusqu’à lécher les bords pour ne rien perdre de cette boisson salée, chaude et succulente. Un fantasme de la belle serait de plonger et de s’immerger dans sa piscine remplie de sperme. Mais il faudrait des millions d’hommes. Le panthéon politique de ses amants n’est pas suffisamment pourvu, malheureusement. Tout en s’abreuvant de semence à grandes gorgées gourmandes, Kathy Blue se plaît à imaginer que, derrière les masques, se cachent de véritables leaders politiques – peut-être le vrai Emmanuel Macron derrière l’effigie de Vladimir Poutine ? Ou le contraire ? Ou l’un et l’autre, adversaires en géopolitique, mais complices dans le libertinage ?


D’autres invités se joignent à l’orgie. Ils sont en retard, mais jusqu’à l’aube, il est toujours temps de profiter des charmes de Katy Blue. Ils sont des dizaines et des dizaines, chacun masqué à l’effigie de l’un des 197 chefs d’État – ils ont dû se coordonner pour éviter que le même personnage soit représenté plusieurs fois. Cédric interrompt sa sonate de Beethoven et vient joindre sa virilité à celle des autres. Les nouveaux venus abaissent leur braguette et se joignent à la fête, se branlent à pleine main, et déversent leur semence sur le corps de Katy Blue, ou bien ils se jettent sur elle comme des furieux et la pénètrent par tous les orifices en même temps. Couverte de sperme des pieds jusqu’aux cheveux, le ventre ballonné pour en avoir tant bu qu’elle en éprouve la nausée, elle est méconnaissable.


Ainsi va l’humanité soumise à ceux qui la gouvernent.