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20/08/21
Résumé:  Bernard, célibataire, voulait tenter l’expérience du sauna libertin, mais pas seul. Après beaucoup de difficultés, il obtint l’accompagnement d’une collègue inattendue et qui se révéla surprenante…
Critères:  grp collègues grossexe grosseins sauna voir exhib miroir intermast fellation préservati pénétratio double sandwich fsodo partouze gangbang humour -groupes -lieusexe
Auteur : Jacquou      Envoi mini-message
Au sauna libertin avec une collègue

Divorcé depuis deux ans, Bernard en avait un peu assez de visionner du porno pour expulser son trop-plein d’énergie érotique. Il avait de plus en plus envie d’entrer dans un sauna libertin pour baiser « en vrai » et non par procuration. Malgré ses efforts, il n’avait pu trouver une nouvelle compagne. Peut-être était-il trop difficile  ? Certes, il n’avait rien d’un don Juan, mais à quarante-cinq balais, il n’était pas si mal de sa personne et bandait encore. Le sauna donc, mais pas tout seul. Il répugnait à l’idée de se présenter dans cet établissement comme on va aux putes. On a beau être célibataire, on a sa dignité.


Oui, mais avec qui  ? Après mûre réflexion, et non sans audace, il décida de solliciter le plus discrètement possible quelques collègues féminines avec lesquelles il entretenait de bons rapports professionnels. Nombre d’entre elles lui paraissaient suffisamment libres d’esprit pour accepter au moins d’être sollicitées. La plupart l’aimaient bien, car il était serviable et ne rechignait pas à les remplacer lorsqu’elles avaient besoin de prendre une heure ou deux pour elles, voire une journée entière.

Il commença par Marjorie, une brunette délurée de son âge, divorcée comme lui.



Il se lança alors dans une quête de partenaire plutôt ingrate, car il ne fallait pas laisser penser en même temps qu’il voulait « coucher » avec la femme sollicitée, mais l’inciter à une expérience. Il tenta Cathy, la cinquantaine dynamique, frisée et bien bustée : « tu es dingue ou quoi  ? Tu as oublié que j’étais mariée  ? » Eh oui, il avait oublié… Coralie, une trentenaire athlétique et forte en gueule, qu’il savait mariée, mais en délicatesse de couple, le renvoya sur les roses avec un lapidaire : « tous les hommes sont des cochons et toi en particulier ». Il tenta plus jeune avec Mathilde, une brune vraiment bien roulée, qui lui demandait souvent des conseils. Cette fois, ce fut lui qui fut surpris : « je n’ai rien contre le sauna libertin, mais quand j’y vais, c’est avec mon mec ». Bref, il avait fait chou blanc et le résultat était que sa recherche était devenue de notoriété publique dans la boîte. On n’arrêtait plus de le chambrer, en particulier les hommes. Bien la peine de rendre service aux gens. Il se résignait à aller seul à ce fameux sauna, lorsqu’un jour, alors qu’il déjeunait devant son plateau-repas à la cafeteria avec sa collègue Agnès, petite, plantureuse, mais aux formes bien réparties, fausse blonde, mariée et mère de famille, de son âge, qu’il adorait pour sa générosité dans le travail, elle lui glissa :



Elle le regarda avec un doux sourire éclairant son visage lunaire et lui dit :



Quelques jours plus tard – c’était un samedi soir –, Bernard passa prendre Agnès en voiture pour se rendre au fameux sauna libertin. Elle s’était lavé les cheveux, maquillée, pomponnée et avait revêtu par-dessus son jean une tunique très décolletée, mettant en évidence un profond sillon mammaire.



Après avoir cherché longtemps une place de stationnement, le couple improvisé fit son entrée dans le sauna.



Après avoir payé l’entrée pour le couple, Bernard conduisit Agnès vers le bar. Deux autres couples, habillés, y consommaient et saluèrent les nouveaux venus. Une petite conversation de circonstance s’engagea. Le premier couple, que Bernard situa en fin de quarantaine, était composé d’une grande blonde élégante aux cheveux raides tombant sur ses épaules, avec de belles jambes largement découvertes  ; elle était accompagnée d’un chauve complet, athlétique, à la bouille ronde et sympathique. Ils se présentèrent sous les prénoms de Corinne et Christophe. L’autre couple, de dix ans plus âgé, manifestait une décontraction communicative. L’homme, prénommé Michel, plutôt bien conservé, était accompagné d’une plantureuse sexa sexy prénommée Viviane, assez proche par le physique d’Agnès par ses formes abondantes et généreusement étalées. Tous les quatre étaient des habitués et firent en sorte que les « bizuths » se sentent à l’aise.



Puis chacun gagna le vestiaire. Bernard en sortit avec une serviette autour de la taille et Agnès avec une sorte de paréo tenu par son opulente poitrine.



L’endroit était bien entendu brumeux. Deux couples étaient présents, visiblement en plein préliminaires. Agnès détourna les yeux, tout entière concentrée sur la chaleur humide qui envahissait son corps, qu’elle avait délesté du paréo. Bernard, nu lui aussi, jeta un œil sur la plastique de sa collègue :


« Bon Dieu, quels nichons  ! » se dit-il in petto. Il nota aussi l’abondance de son pubis brun, plutôt indiscipliné, le bas de son abdomen légèrement bombé et la densité de ses cuisses. De son côté, Agnès remarqua la longueur du pénis de Bernard et la grosseur presque disproportionnée de son gland, ce qui suscita de sa part cette réflexion : « Il est drôlement bien monté, le collègue, je serais curieuse de voir ce que ça donne quand il bande ».


Puis le couple de circonstances décida de se rendre à la piscine, déjà bien peuplée. Ils reconnurent les deux couples rencontrés à leur entrée, cette fois entièrement nus. Assise sur le bord, Corinne offrait sa vulve à un homme qui n’était pas son mari et qui, debout dans l’eau, la dégustait de la langue avec passion. Elle n’en adressa pas moins un grand sourire aux nouveaux venus qui, eux aussi, firent tomber la serviette. Quand Agnès apparut nue, elle sentit se diriger vers elle plusieurs regards mâles (à l’exception du lécheur) dont elle perçut la concupiscence immédiate. Il est vrai que son buste à la fois lourd et bien suspendu, son pubis foisonnant et son fessier joufflu, à la raie longue et profonde, constituaient en ce lieu un véritable appel au sexe.


Elle se dépêcha d’entrer dans l’onde pour dissiper le trouble qui venait de la gagner. Bernard se joignit à elle, comme pour dissuader toute approche masculine. Adossés au mur de la piscine, ils purent alors observer ce qui s’y passait. Il ne s’y produisait pas d’accouplements à proprement parler, mais des flirts poussés, des caresses, des embrassades, des contacts, tels Michel et Viviane, laquelle était à l’évidence masturbée sous l’eau par son compagnon. Les gémissements de Corinne, sous l’effet de la langue de son lécheur, constituaient le fond sonore. Son mari Christophe se contentait d’observer en s’astiquant. « Il se branle en regardant sa femme se faire faire un cunni par un autre type », pensa Bernard. « Eh bien moi, si j’avais une femme comme elle, je ne la laisserais pas se faire lécher par un autre ».


Agnès s’approcha de lui et lui murmura à l’oreille :



De fait, ledit panneau incitait les usagers de la piscine à des jeux sexuels. Bernard suivit donc Agnès dont il remarqua les joues roses. « Elle a déjà chaud », pensa-t-il pendant qu’elle revêtait son paréo en tissu éponge. Lui-même s’aperçut qu’il connaissait un début d’érection. Les soupirs de plaisir de la belle Corinne ne le laissaient pas insensible…



De fait, le sauna libertin consistait en un véritable labyrinthe avec des passages sous des voûtes de pierre. Ils débouchèrent sur une salle où, surprise, trônait une vieille DS Citroën réaménagée en lupanar. Deux couples y forniquaient allègrement. C’était la première fois depuis leur arrivée qu’ils assistaient à un réel coït. Bernard s’approcha, rejoignant deux autres hommes qui commentaient les ébats en se branlant. Bernard fit de même. Les deux femmes se révélaient de véritables bombes sexuelles et les deux mâles devaient s’employer pour répondre à la demande. Bernard faillit éjaculer et se détourna pour conserver son sperme. Il chercha Agnès des yeux, mais elle s’était éclipsée.


Il poursuivit seul sa déambulation dans le dédale, ouvrit la porte d’un sauna pour voir si elle s’y trouvait et découvrit un couple en pleine masturbation réciproque. Puis au détour d’un couloir, il tomba sur deux types debout face à un trou dans lequel ils avaient glissé leur queue. « Le fameux glory hole », pensa-t-il. Il le contourna pour découvrir les autres protagonistes et, ô surprise, s’aperçut qu’Agnès était l’une d’elles. À genoux sur un coussin, elle pompait le dard inconnu avec ardeur tout en se caressant la chatte. « Bon dieu, elle ne se contente pas de mater », pensa Bernard, estomaqué. L’autre femme à côté d’elle lui proposa de changer de place et elle accepta, engloutissant toujours le gland proposé avec la même conviction. Bernard ressentit à la fois une pointe de jalousie et un sentiment de satisfaction. Au moins, elle ne serait pas venue pour rien, la collègue. Et il n’était peut-être pas au bout de ses surprises. Il décida de se calmer en allant faire un tour au sauna, où un autre couple était présent, qu’il reconnut être Michel et Viviane.



Une petite conversation légère s’engagea pendant qu’ils ruisselaient sous l’effet de la chaleur sèche. Puis Michel lâcha :



Viviane approuva avec un sourire mutin. Bernard avait remarqué qu’elle jetait souvent des regards en direction de sa queue.



Et Viviane quitta son banc pour venir se pencher sur le dard de Bernard, qu’elle engloutit avec habileté. Sa langue était douce et agile, visiblement experte, et Bernard ne tarda pas à grossir malgré ou à cause de l’intensité de la chaleur. Michel observait, amusé et intéressé, une main glissée entre les cuisses de sa compagne. C’est alors que la porte du sauna s’ouvrit, laissant place à l’arrivée du couple Corinne/Christophe suivi d’Agnès, tout sourire.



Christophe s’approcha d’elle et commença à la caresser au niveau de la cuisse, remontant progressivement jusqu’à son entrejambe. Agnès bougea pour lui faciliter la tâche et Christophe se mit à la masturber. De son côté, Corinne s’accroupit à côté de Viviane et vint joindre ses lèvres sur le gland de Bernard, dont la teinte violacée attestait de son excitation. Sa queue avait pris une longueur peu commune.



Bernard se détacha à regret des deux bouches gourmandes et rejoignit Agnès dans l’une des cabines de douche. La proximité de son corps nu, luisant de sueur et d’eau mêlées, contribuait à maintenir sa spectaculaire érection, mais il s’efforça d’éviter tout contact avec sa pulpeuse collègue :



******




Quand Bernard et Agnès firent leur entrée dans la chambrette, au décor vaguement asiatique, entourée de miroirs, avec des matelas à même le sol, les papouilles avaient déjà commencé. Corinne se faisait lécher par Michel et Viviane suçait Christophe.



Celle-ci indiqua qu’elle venait de congédier un candidat à la petite sauterie, en l’occurrence son lécheur de la piscine :



Les nouveaux venus se glissèrent sur les matelas, observant les ébats buccaux. Agnès s’invita avec Viviane auprès de Christophe en lui palpant les couilles. Bernard tendit sa queue à Corinne qui le goba illico et lui fit atteindre une taille phénoménale pendant qu’elle se faisait lécher par Michel. Puis on inversa les rôles et Agnès se retrouva léchée par Christophe tandis que Bernard léchait Corinne, elle-même suçant Michel sous le regard de Viviane. Et ainsi de suite.


Vint le moment où les mâles présents posèrent leur préservatif sur leur membre en érection. Michel fut le premier en action. Il pénétra Corinne et lui asséna aussitôt de virulents coups de bite qui firent se pâmer la fausse blonde. Pendant qu’il besognait, Viviane caressait les couilles de son compagnon, histoire de l’encourager. Au même moment, Agnès chevauchait Christophe face à un miroir, ce qui lui renvoya l’image de ses gros seins en bataille et de son visage extatique.



Spectateur, Bernard regardait fasciné les fesses joufflues de sa collègue s’agiter dans tous les sens, écrasant les couilles du chauve qui tentait de lui renvoyer la balle. Pendant ce temps, Michel éjaculait, surexcité par les mots crus de Corinne ainsi que par la main de Viviane, toujours posée sur ses bourses. Le coït avait été bref, mais intense et l’homme bascula sur le côté, haletant.



Les deux femmes se tournèrent vers Bernard, dont l’érection restait une promesse de plaisir à venir.

Elle le fut. Corinne et Viviane découvrirent alors ce qu’elles n’avaient pas imaginé, à savoir l’extraordinaire baiseur qu’était Bernard. Doté d’une queue hors normes par sa forme et de surcroît inépuisable, il passait de l’une à l’autre sans débander, assénant de véritables rafales de coups de bite dans les positions les plus variées. Viviane se retrouva pliée en deux, les pieds sur la poitrine de son amant, gueulant et couinant, avant que Bernard, inspiré par le cul blanc de Corinne contrastant avec son dos bronzé, ne la prenne en levrette avec une telle vivacité que la fausse blonde faillit en perdre la voix. Alertés par ce vacarme de plaisir, auquel contribuait aussi Agnès, écartelée par Christophe, des clients se bousculaient à l’entrée du coin câlin pour voir qui était le phénomène provoquant de tels éclats. De considérer le succès de ce grand échalas, pas vraiment sexy, laissait pantois les mâles présents :



Les femmes parvenant à regarder la scène ne disaient rien, mais comprenaient bien que ce mec avait entre les jambes une mitraillette que n’avaient pas les autres. Et d’espérer que leur tour viendrait.

Cette situation torride eut le mérite de ranimer la flamme de Michel. De voir sa compagne Viviane en train de chevaucher Bernard avec allégresse, son large fessier tremblotant sous ses virevoltes, lui fournit une inspiration.



Ce n’était pas la première fois que Viviane bénéficiait d’une double pénétration. Aussi prit-elle d’emblée la position adéquate, légèrement penchée en avant, au grand plaisir de Bernard qui lui suça ses larges mamelons. Michel la sodomisa délicatement et le trio trouva sa cadence. Doublement pénétrée, Viviane exprima bruyamment sa jubilation ce qui, combiné avec les cris de Corinne, eut pour effet d’augmenter encore la curiosité des autres clients.


Et Agnès, dans tout ça  ? Nous l’avions laissée en train de chevaucher Christophe face à un miroir. Elle s’était isolée dans son plaisir particulier, celui de baiser un beau mec avec un torse superbe qu’elle matait en cavalant sur lui. Elle s’était mise sur ses pieds et se laissait tomber sèchement sur la bite dont elle savourait la raideur – rien à voir avec la queue un peu molle de son mari – quand le charivari voisin finit par susciter sa curiosité.


L’enthousiasme érotique de Corinne et Viviane pilonnées par Bernard l’incita à interrompre son va-et-vient et à observer à son tour la scène. Ce qui la frappa, lorsque son collègue se retira de Corinne pour pénétrer Viviane, fut l’extraordinaire excroissance qui surgissait de son entrejambe. « Une vraie bite de bande dessinée érotique », pensa-t-elle en considérant l’organe démesuré au gland proéminent que Bernard s’apprêtait à enfoncer dans la vulve de Viviane. Pas étonnant que celle-ci se mît à couiner lorsque son partenaire commença à creuser. Un temps, Agnès se demanda si elle ne souffrait pas de la grosseur de l’engin. Mais la position de ses pieds, rivés sur les reins de son partenaire et aux orteils rétractés, ainsi que ses « oui, oui, encore, encore » renseignèrent Agnès sur la qualité du rapport entre les deux amants. Elle prenait un pied d’enfer.


C’est à ce moment que Christophe, quittant sa position d’observateur, retrouva sa partenaire dont il considérait la chatte offerte sous son généreux postérieur. Il la prit en levrette avec délectation, les mains posées sur ses hanches en amphore, et Agnès, surexcitée par l’ambiance, se mit à bramer à son tour. On ne s’entendait décidément plus… Et c’est à quatre pattes, les seins ballottant entre ses bras, le visage tout contre celui de Viviane, qu’Agnès assista à sa double pénétration en direct live tandis que Corinne se caressait la chatte et que certains mâles spectateurs, dans l’encablure de la porte, se branlaient frénétiquement. Dans les minutes qui suivirent, des giclées de sperme envahirent les capotes dans une odeur musquée de sueur, de foutre et de cyprine. Et les couples se désunirent, repus. Sacrée soirée  !




*******




Après avoir pris le verre de l’amitié érotique au bar, les trois couples se séparèrent en promettant de se retrouver un jour ou l’autre. Bernard reprit le volant pour ramener Agnès chez elle. Une conversation s’engagea :



Et Agnès embrassa Bernard furtivement sur la bouche avant de rentrer chez elle. Le conducteur la regarda s’éloigner, ondoyant de la croupe comme pour lui donner un regret. En rentrant chez lui, il se demanda s’il n’avait pas fait une boulette. Après tout, elle aurait très bien pu ranimer sa flamme. Un coup pareil, ça ne se néglige pas. Et les occasions perdues ne se retrouvent pas toujours…