n° 20440 | Fiche technique | 16371 caractères | 16371 2906 Temps de lecture estimé : 12 mn |
22/08/21 |
Résumé: Après un confinement assez rude, elle se laisse aller sur une application de rencontre. Elle sait ce qu’elle attend d’un homme, et lui se laissera tenter par de nouvelles expériences.
Un mélange de vécu et de rêve. | ||||
Critères: fh inconnu hsoumis fdomine cunnilingu préservati hdanus hgode hsodo attache fouetfesse -dominatio | ||||
Auteur : LiaRue Envoi mini-message |
Ça faisait déjà quelques semaines que nous discutions sur une application de rencontres. Ce qui m’avait interpellé dans son profil, c’était un petit mot, pas si innocent que ça : « sub ». Il avait l’air mignon sur ses photos, mais c’était bien ce terme qui m’avait poussé à liker son profil. Et ça a matché.
J’engage la discussion assez rapidement et le courant passe déjà plutôt bien. Nous parlons brièvement de sexe, sachant tous les deux que nous sommes principalement là pour cette raison, et il me fait savoir qu’il aime bien le martinet. Je ne me considère pas comme une experte, mais je comprends qu’il est plus novice que moi. Et de mon côté, je sais ce que j’aime faire au lit avec un homme. Cependant, je ne lui parle pas de mes préférences, mis à part que je suis plutôt dominatrice. Je veux garder un peu de mystère pour notre rencontre.
Un soir, il m’envoie un message dans lequel il me propose un verre. J’accepte et nous fixons le rendez-vous pour une semaine plus tard, à la fin de mes examens de fin d’année. La semaine passe, nous échangeons quelques messages sans trop en dire, en attendant le jour J.
Nous nous retrouvons dans une rue d’habitude plutôt animée, mais qui cette fois-ci est très calme pour une chaude soirée d’été. Nous nous asseyons à la terrasse d’un bar et commençons à faire connaissance. Nous discutons de tout et de rien, de nos vies, de nos histoires, tout en enchaînant les verres, mais aussi un peu de sexe jusqu’à la fermeture du bar. Je ne le montre pas, mais tout ceci m’excite un peu. Qu’est-ce que pourrait devenir cette soirée avec cet inconnu ? Alors sur le trottoir du bar, je lui propose, légèrement enivrée, de passer boire un dernier verre chez moi. Il accepte tout en souriant et nous marchons jusque chez moi. En arrivant, je l’invite à s’installer sur le canapé et vais chercher une bouteille de vin blanc restée au frais. Nous continuons notre conversation et je profite de l’intimité de mon salon pour l’observer de plus près : il a un beau sourire, un corps qui m’a l’air bien dessiné par le sport, et à ce moment, monte en moi davantage d’excitation pour cet inconnu.
Mon excitation a parlé à ma place, mais ce sont bien les mots qui sont sortis de ma bouche. Ce n’est pas dans mes habitudes d’être aussi crue.
Il me regarde, d’un air étonné, ce qui me fait regretter, le temps d’une seconde. Puis un sourire enjoué se dessine sur son visage.
Il est assis à ma droite. Je capte son regard tandis que ma main droite vient se poser sur son entrejambe. Il est déjà dur, ce que je lui fais remarquer. Il me répond timidement en levant les épaules :
Il me connaît mal. Je me mords la lèvre tout en lui posant mon index gauche sur sa bouche entrouverte. Sa langue vient goûter mon doigt. Ça me surprend qu’il se laisse autant prendre au jeu dès le début. Il suce le bout de mon doigt délicatement, que je fais ensuite descendre lentement le long de son cou jusqu’à l’arrière de sa tête, pour l’embrasser. Mon autre main ressent à ce moment une pression dans son pantalon. Je pense que, jusqu’ici, je m’y prends plutôt bien.
Dans cet élan, je me positionne à califourchon sur lui, et commence à me déhancher sur sa bosse grandissante. Je me frotte sensuellement contre lui. Je tire sur mon décolleté et lui offre un sein qu’il prend volontiers en bouche. Il lèche mon téton, le mordille et le suce avec passion. Je lui chuchote à l’oreille :
Il lève les yeux vers moi, mon téton toujours en bouche et acquiesce.
Je lui demande de se lever et d’enlever ses vêtements. Lorsqu’il enlève son pantalon, son pénis vient se coincer dans l’élastique de son caleçon. Mon regard se dirige donc vers ce nouveau membre qui m’est inconnu. J’observe attentivement chaque partie de son corps qui se dévoile devant mes yeux. Je sens ses yeux rivés sur moi. Il ne doit pas savoir à quoi s’attendre, et moi non plus d’ailleurs. Je ne sais pas où je vais, mais je me laisse aller. Je me surprendrai peut-être.
Il est maintenant nu, au beau milieu du salon. Vulnérable et à ma merci. Je lui dis de ne pas bouger, et pars dans ma chambre chercher ma petite boîte à accessoires, cachée sous mon lit. Je reviens vers lui, sors un bandeau et viens le lui passer sur les yeux. Il se mord la lèvre, j’en déduis que ça doit lui plaire. C’est le cas pour moi.
Toujours habillée, uniquement les seins dénudés, je me colle dans son dos, les lèvres dans son cou et les mains sur sa queue, qui gonfle à nouveau au contact de mes paumes. Je me concentre tout d’abord sur son gland. Il frissonne et sa respiration se coupe quelques secondes. Je prends alors sa verge d’une main avec laquelle je commence de longs va-et-vient, tandis que l’autre prend son cou, que je serre au fur et à mesure que j’accélère le rythme de la masturbation. Sa respiration se fait de plus en plus haletante et saccadée. Je note qu’il prend un peu trop son pied. Par conséquent, je m’arrête d’un coup sec. Je voulais juste le voir bander. Je veux le faire durer. Et le frustrer un peu.
Je me détache de lui, fais le tour de son corps musclé, ce corps offert à moi. Je regarde sa bite, belle et vigoureuse après la courte masturbation que je lui ai accordée. Puisqu’il ne voit rien, il doit se demander ce qu’il se passe, se demander ce qu’il y aura ensuite. J’aimerais lui dire de me baiser, mais ça attendra. J’ai d’autres projets en tête.
Je le prends par la taille et l’installe sur le canapé, sur le dos. Son membre est toujours en érection, plein de désirs. Je rentre davantage dans mon rôle dominant et prends une voix plus ferme :
Il hoche la tête. C’est alors que je lui monte dessus, dos à lui, et viens lui donner ma vulve. Il ouvre la bouche et laisse sortir sa langue. Il apprend vite décidément, et n’a pas l’air d’avoir froid aux yeux.
Il commence à titiller mon clitoris, sucer mes petites lèvres. Je sens qu’il lape mon entrejambe, je dirai même qu’il s’en délecte. Il est rare de tomber sur un homme sachant réaliser un bon cunnilingus sans trop le diriger. Il sait vraiment y faire, est attentif aux signes, et le plaisir me monte tellement que je me penche pour lui accorder une petite fellation. Je dois avouer qu’il le mérite.
Un « Oh… » étonné et satisfait s’échappe de sa bouche. Sa bite se durcit à nouveau dans ma bouche. Je continue à le sucer profondément, quand il me claque les fesses. Première erreur. J’arrête mon œuvre immédiatement et viens plaquer mon entrejambe contre sa bouche. Je reprends un ton plus autoritaire, pour bien me faire comprendre :
Il essaye de se dégager pour répondre, mais je ne lui laisse pas cette chance.
À ces mots, sa queue reprend de sa vigueur. Après tout, c’est peut-être la réaction qu’il attendait. Je me retourne pour le regarder et il a ce petit air à la fois inquiet, avec ses sourcils haussés, mais excité de ce qui peut suivre. Je me lève et lui ordonne de se mettre à quatre pattes. Il s’exécute, avec son petit sourire en coin. J’ai vu juste.
Je remarque qu’en plus d’avoir une belle queue, il a de belles petites fesses bien rondes, qui ne demandent qu’à être malmenées. Je mouille énormément, et son visage maculé de cyprine le confirme. Je me mets derrière lui, et lui rends la fessée qu’il s’était permis de me donner. Il gémit à nouveau de plaisir, tout en se cambrant vers moi. N’est-ce pas un signe qu’il en redemande ?
Ma paume vient à nouveau heurter son cul, de plus en plus fort. Au bout de la sixième ou septième, je ne décolle pas ma main de sa fesse, mais la fais glisser doucement vers sa raie, ce qui lui donne un frisson. Je parcours cette zone érogène jusque ses testicules que je prends en main. Je joue avec eux, les caresse, les serre doucement, remonte sur sa verge toujours aussi dure, et retourne sur ses boules. J’entends sa respiration se faire de plus en plus forte et bruyante, démontrant son plaisir. Puis, lentement, mon index part se promener au niveau de son anus. Il me tend ses fesses, ce qui semble être une approbation pour m’aventurer sur cette zone, mais je préfère l’entendre me le dire :
Je suis derrière ce corps magnifique, avec une vue parfaite sur de jolies fesses que je m’apprête à découvrir, littéralement, en profondeur. Je pose l’index sur son anus en faisant de petits mouvements circulaires. Je sens qu’il se détend déjà. Je prends dans la boîte restée à proximité, un lubrifiant spécial. J’en mets une dose sur son trou tout juste dilaté. J’y glisse prudemment mon index, qui y entre sans problème. Il soupire. Centimètre par centimètre, mon doigt s’enfonce finalement jusqu’au bout. J’y fais quelques mouvements, jusqu’à y glisser un deuxième doigt, toujours sans résistance. Je le soupçonne d’avoir déjà été par là. Je cherche alors sa prostate, que je repère assez rapidement puisqu’il laisse échapper un doux gémissement. Je caresse ce point sensible, tandis que mon autre main touche son pénis. J’écoute sa respiration s’accélérer pendant que ses mains agrippent le canapé. Quand je sens qu’il est proche de la jouissance, je m’arrête. Je sens sa frustration dans son corps qui se crispe, et ça m’excite d’autant plus. Je m’approche pour lui retirer son bandeau, et je découvre un nouveau regard. Il me dévore des yeux, il est plus qu’à bout et je pense qu’il en veut encore.
Il hésite un instant, puis répond :
Je suis très contente de cette proposition puisqu’en effet, je suis équipée pour tout ça. Je lui souris et m’approche pour à nouveau embrasser ses lèvres. Nos langues se rencontrent par la même occasion, pendant quelques secondes. Je me libère en mordant sa lèvre inférieure puis me penche pour récupérer une longue corde noire dans ma boîte. Je décide de ne lui attacher que les mains pour notre première expérience. Je le fais se mettre sur le dos pour pouvoir le regarder en face, croiser son regard et y voir son plaisir. Je me positionne au-dessus de lui, le temps de nouer les liens sur ses poignets au-dessus de sa tête, tout en prenant soin d’apporter mes seins à sa bouche. Il s’en empare une fois de plus, et sa langue me fait à nouveau frissonner. Après avoir réalisé ma tâche, je me lève en observant tout son corps. Il me regarde, allongé, tout excité et brûlant d’excitation. Je constate que son pénis a perdu de sa vigueur suite à l’arrêt des caresses, chose à laquelle je vais remédier rapidement.
Je me mets debout sur le canapé pour enfiler un gode-ceinture fraîchement acheté et encore jamais utilisé, ce que je lui fais savoir.
Je dois dire que cette confession booste mon ego. Cet inconnu d’il y a seulement quelques heures m’offre une partie de son intimité qu’il n’a encore jamais partagée. Eh bien, c’est un honneur pour moi.
Je lui adresse un sourire coquin, tandis que je finis de régler mon attirail, et prends un préservatif que j’installe sur le membre en silicone, ainsi qu’un peu de lubrifiant et je viens me positionner entre ses jambes. Il est détendu, les yeux légèrement entrouverts, mais qui me regardent bel et bien. Sa queue reprend d’ailleurs un peu de sa force à ce moment-là.
Tout en le regardant dans les yeux, j’approche le gode à l’entrée de son anus. Il est toujours sur le dos, les mains liées au-dessus de la tête et reliées à la structure du canapé, les genoux ramenés sur le torse. Je lui adresse un dernier regard interrogateur pour être bien sûre qu’il souhaite continuer, ce à quoi il hoche encore la tête avec un léger sourire. J’ajoute une dose de lubrifiant supplémentaire pour qu’il soit le plus préparé possible. Je commence à pousser sur son anus avec le bout du gode, doucement, centimètre par centimètre. Je fais de petits allers-retours en lui, le temps qu’il s’ouvre entièrement à moi, afin de m’y enfoncer plus profondément. Une fois rentré entièrement, il lâche un long soupir, son regard plongé dans le mien, et je comprends qu’il est dans un état de plaisir intense. J’entreprends des pénétrations un peu plus rapides et profondes, jusqu’à ce que mes cuisses rencontrent ses fesses. C’est une agréable sensation, très excitante, de pouvoir pénétrer un homme de cette façon. Qu’est-ce que c’est beau à voir ! Je suis peut-être un peu perverse, car cette vue me met dans un état presque second. Je prends une de ses cuisses d’une main, et continue de le prendre plus vigoureusement. Mon autre main s’attarde sur son membre délaissé, afin de pouvoir le masturber tout en le pénétrant. Cette action fait son effet, puisqu’il commence presque immédiatement à exprimer de plus en plus fort son émoi.
Je fais comme tant de garçons avaient pu me faire : j’accélère, je m’arrête, je reprends tout doucement pour à nouveau y aller fort, je ressors et m’y aventure à nouveau. Il lâche maintenant de petits cris. J’y vais au gré des émotions qu’il montre et continue mon œuvre. Après quelques minutes, j’arrête de le branler et quitte son corps. Il est essoufflé, et moi aussi. Je l’embrasse à nouveau fougueusement. Puis mes lèvres se dirigent vers son cou tout en poursuivant mes baisers.
Ces paroles et sa demande ont l’effet d’une bombe qui provoque un écoulement assez conséquent entre mes jambes. Jamais je n’aurai pensé que la soirée prendrait cette tournure. Toutefois, j’ai envie de réaliser les désirs de mon invité, que j’invite à se retourner pour qu’il se retrouve à nouveau en levrette. J’enlève le préservatif et lui fais sucer l’engin qui sera à l’origine de son futur orgasme. Il ne rechigne pas, et va même s’appliquer sur sa fellation tout en me fixant, droit dans les yeux, sans aucune retenue.
C’est donc la vue qu’à un homme lorsqu’il se fait sucer ? J’en serai presque jalouse tellement c’est agréable à regarder. Lorsqu’il finit, je prends un nouveau préservatif, le déroule sur mon membre temporaire, puis je m’installe une nouvelle fois derrière lui. Cette fois-ci, la pénétration se fait plus rapidement et je me retrouve très vite au fond de son intimité. S’en suit une longue pénétration, où je prends bien le temps de faire monter et durer son plaisir. J’y vais de plus en plus vite pendant que son souffle devient de plus en plus court.
Il me lâche soudainement un « Ne t’arrête pas ! », très dissuasif pour le coup. Puisque je n’oserai pas le laisser sur sa faim, je continue mes mouvements de bassin encore quelques instants, jusqu’au moment où il pousse un ultime râle de soulagement. Un liquide transparent, qui n’est pas du sperme, coule de sa bite en semi-érection. J’ajoute encore quelques coups par plaisir, puis je le laisse profiter de ce moment, de cette agréable plénitude, tout en restant en lui. Il jouit, de la prostate, pour la première fois avec une femme.
Au moment où je le libère, il s’écroule sur le ventre. Je me lève pour détacher ses liens. Il est totalement dépourvu d’énergie, il ne bouge plus. C’est un orgasme plutôt intense, paraît-il, s’il n’est pas plus fort que celui d’une femme. Au bout d’une petite minute, il se retourne sur le dos. Je me débarrasse de mon gode-ceinture et viens me coller contre lui. Il me regarde, lève les yeux au ciel, et soupire profondément.
Il se retourne à nouveau vers moi, d’un air coquin, et me déclare :