n° 20472 | Fiche technique | 28199 caractères | 28199Temps de lecture estimé : 16 mn | 08/09/21 |
Résumé: Laurent et Aymeric se baignent nus sur une plage déserte. Ils ignorent qu’ils sont observés. | ||||
Critères: hh hépilé vacances plage bain voir exhib caresses fellation init -bisex | ||||
Auteur : Tiberius (Amateur d’histoire et de littérature) |
DEBUT de la série | Série : La voyeuse Chapitre 01 / 02 | Fin provisoire |
Récit d’Aymeric
Une fois l’année universitaire terminée, c’était le deuxième jour que j’étais rentré dans ma province natale. Ce soir-là, je me rendis dans un des cafés de ma petite ville pour y boire quelques bières avec mon ancien pote de lycée, Laurent.
Je m’assis à la terrasse avec Laurent et une jolie blonde aux formes épanouies qu’il me présenta comme sa copine, Émeline. Nous échangeâmes nos impressions sur notre année universitaire, je m’enquis poliment auprès d’Émeline de la façon dont elle et Laurent s’étaient rencontrés. Je songeai avec nostalgie que je n’avais plus eu de petite amie depuis la première. En fait, j’étais encore puceau et je me désespérais de cette situation.
Enfin, nous convînmes d’aller nous baigner le lendemain au bord du lac.
L’endroit que nous avions choisi pour nous baigner était un peu retiré, aussi devions-nous laisser notre voiture au bord de la route et marcher pendant une petite demi-heure.
Nous arrivâmes enfin à une petite crique entourée de rochers. Nous posâmes nos affaires et je commençai à me déshabiller, ceignant mes reins de ma serviette de bain pour enlever mon caleçon et mettre mon maillot.
Et d’un geste, il enleva son caleçon et resta nu devant moi.
Avec hésitation, je retirai ma serviette et me retrouvai donc nu. Laurent avait l’entrejambe épilé, pas moi.
Nous allâmes nous baigner et j’oubliai peu à peu ma nudité. Ou pour être plus précis, je commençai à y prendre plaisir.
Et il me prit la main pour la guider vers son sexe.
Je touchai ses couilles, les soupesai légèrement. En effet, malgré son aspect rugueux, la peau était douce. Je retirai vivement ma main, sentant venir une érection.
Nous sortîmes nous sécher au soleil. Je m’allongeai sur le ventre tandis que Laurent se mettait sur le dos, les jambes bien écartées.
Je ris.
Laurent sortit deux canettes de bière bien fraîches de son sac à dos/glacière et m’en tendit une. Je m’assis sur une pierre, bus une gorgée et allumai une cigarette.
Après quelques baignades, nous repartîmes vers la ville. Lorsque je déposai Laurent chez lui, nous convînmes de nous retrouver le lendemain pour aller nous baigner à nouveau, mais cette fois en prenant un pique-nique pour y rester toute la journée.
*****
Récit de Sophie
Plus d’un an que je n’avais pas revu Aymeric et il fallait que je le croise dans ce bar avec son pote Laurent et une blonde inconnue. Serait-ce sa copine ? Non, elle embrasse Laurent. Ouf ! Il n’avait jamais fait attention à moi, et pourtant… il me plaisait. Beaucoup. Des yeux bleus rêveurs et timides, des cheveux bruns légèrement bouclés. Si je le revois, il faut que je sympathise avec lui. Obligé. Voilà à quoi j’occupais mes pensées ce matin-là alors que j’étais au bord du lac, au sommet du promontoire rocheux où j’aimais venir pour lire en solitaire et contempler l’eau. C’est alors que j’entendis des voix qui semblaient provenir de la crique en contrebas. Je regardai. C’était Aymeric et Laurent. J’y crois pas, le bol ! pensai-je. Je les regardai, rassemblant mon courage pour aller les rejoindre, lorsque Laurent enleva son caleçon et entreprit de convaincre Aymeric de se baigner nu. Merde ! Ils sont tous les deux à poil ! Jamais je n’oserai les rejoindre dans ces conditions.
Du coup, je me mets à plat ventre sur ma serviette et je les observe, cachée. Je suis fascinée par leurs corps graciles d’éphèbes, les couilles épilées de Laurent (Magnifiques !), le gros sexe d’Aymeric (Magnifique aussi !). Ils se baignent, l’eau voile leurs corps à mon regard impudique. Au bout d’un moment, ils se rapprochent de la berge, ils restent à bavarder dans l’eau qui ne leur arrive plus qu’à mi-cuisse. Je rêve ! Aymeric touche les couilles de Laurent, mais sa main se retire précipitamment. Ils sortent de l’eau, se sèchent au soleil. J’entends les bruits de leur conversation mais je ne comprends pas ce qu’ils disent. Ils boivent une bière, se baignent à nouveau, ils repartent. Une fois qu’ils sont éloignés, je descends dans la crique, je pose mon livre et ma serviette sur le sol, je me déshabille complètement. Je me baigne nue, puis je m’allonge au soleil. Je ferme les yeux et j’imagine encore les corps d’Aymeric et de Laurent. Ma main glisse vers mon sexe, je commence à caresser mon clitoris, puis j’introduis un doigt, puis deux. Comme j’aimerais qu’Aymeric me voie, à ce moment-là, qu’il me contemple en train de me masturber, qu’il soit nu lui aussi et qu’il enfonce son sexe dans ma bouche. Que ce serait bon !
*****
Récit d’Aymeric
Avant de rentrer chez moi, je passe faire quelques courses. Un pack de bières, des œufs, de la farine, du jambon, une bouteille de vin, de la mousse à raser. Je me déshabille dans la salle de bains, je mets de la mousse à raser sur mon entrejambe, puis avec prudence, délicatement, je m’épile. Le résultat est somme toute satisfaisant. Qu’en pensera Laurent ?
Je me fais des crêpes. Puis je regarde un film à la con. Ensuite, je vais me coucher. Je m’allonge nu sur mon lit et je commence à me caresser. Je pense à une ancienne copine du lycée. Rien. Je pense à la journée passée au bord du lac, tout nu avec Laurent. Aussitôt, j’obtiens une belle érection. Mais, allez savoir pourquoi, je ne veux pas jouir. Je lis un peu, puis je m’endors.
Le lendemain, j’apporte dans ma glacière de quoi faire un bon pique-nique : bière, vin, pain, mozzarella, tomates, du jambon cru, du beurre, etc. Ma serviette de bain. Mon maillot de bain ? À quoi bon ? Je prends Laurent chez lui à neuf heures et demie. Nous bavardons sur la route qui nous mène au lac.
Nous arrivons à l’entrée du chemin de la crique. Nous marchons jusqu’au lac. Dès que nous arrivons, alors que Laurent allume une cigarette, je me déshabille en vitesse et je me retrouve tout nu.
Laurent tend sa main droite vers mes couilles, puis les caresse du bout des doigts. Il les soupèse, puis les prend délicatement dans la paume de sa main. Il s’attarde un petit peu plus qu’attendu, puis déclare :
Nous allons nous baigner et pendant que nous nageons, nous parlons des nanas. Laurent me confie ses expériences sexuelles avec Émeline et ensuite me pose des questions.
Nous retournons sur la plage. Je m’allonge sur le ventre comme d’habitude et je prends un malin plaisir à savoir que mes fesses sont nues et exposées à la vue. Si seulement Sophie était là.
Je le regarde tandis qu’il va chercher la crème solaire dans son sac à dos qui se trouve à l’ombre sous les arbres. Je regarde surtout son corps nu et ses fesses tandis qu’il se penche pour chercher la crème. Avec un sentiment coupable, j’essaie de voir son anus, mais l’ombre des arbres me le cache.
Lorsque Laurent revient avec le tube de crème solaire, je tends la main pour le prendre mais il me dit :
Je me couche donc sur le ventre, comme précédemment. Je le regarde en prendre une noix dans sa main droite. Il me dit de me relaxer. Je mets mon visage sur mon coude gauche et je me détends. Laurent commence à étaler la crème sur mes épaules et il me masse lentement, descendant tout doucement vers mes reins. Il ajoute de la crème au fur et à mesure, massant bien mes reins en appuyant fort. Puis il reprend son massage au niveau de mes chevilles et remonte lentement vers les cuisses. Imperceptiblement, j’écarte mes jambes, sachant que mes couilles et mon sexe lui sont ainsi exhibés. J’adore cette sensation d’être ainsi exposé. C’est à ce moment de ma réflexion que Laurent commence à me badigeonner les fesses de crème solaire. Il les pétrit avec force et moi, je suis aux anges. Je me détends complètement. Parfois, il écarte mes fesses des deux mains et je sais qu’il regarde mon anus mais je n’ose rien dire. Je sens cependant que cette caresse prolongée lui plaît autant qu’à moi. Enfin, il s’arrête. J’entends sa respiration et je sens encore ses mains qui reposent sur mon cul.
Je me lève et je contemple son sexe en érection. Je ne dis rien. Nous nous asseyons à l’ombre. Son sexe finit enfin par fléchir mais je ne le quitte pas des yeux, fasciné.
Nous buvons tranquillement, dans un silence que je finis par rompre. J’allume une cigarette et il me demande :
Laurent est assis en face de moi, sur une pierre sur laquelle il a posé sa serviette. Moi, je suis assis sur ma serviette par terre. J’ai son sexe et ses couilles en premier plan devant moi, entre ses jambes écartées. J’écrase mon mégot, je pose ma canette par terre. Je regarde son sexe, directement et sans m’en cacher.
*****
Récit de Sophie
Je suis trop contente ! Je suis trop contente ! Hier, en allant vers la crique, j’entends des voix derrière moi sur le chemin. Je me cache dans les fourrés. C’est encore Aymeric et Laurent qui vont se baigner, lourdement chargés d’une grosse glacière qu’ils se passent à tour de rôle. Ils sont matinaux, cette fois. Je vais pouvoir passer des heures à les espionner tandis qu’ils se baignent tout nus, se croyant seuls, sans savoir que je me délecte à la vue de leurs belles anatomies masculines. J’écoute une partie de leur conversation, ils sont en train de parler de filles : « Il n’y en a pas une qui te plaît ? », demande Laurent. Et Aymeric lui répond : « Sophie ! ». Mon cœur bat la chamade. Est-ce de moi dont il parle ? « Celle avec qui j’étais en terminale ». « La brune avec ses gros seins ? ». Aymeric répond que oui. Je peste contre la légèreté masculine mais force m’est de convenir que c’est bien moi dont Aymeric parle !
Je lui plais ! Je lui plais ! Je les laisse s’éloigner puis je me dirige vers mon repaire secret, où je pourrai les observer tranquillement sans me faire remarquer. Prenant des chemins de traverse dans la pinède, j’arrive avant eux. J’attends leur arrivée. Ils arrivent enfin, après quelques minutes, et posent leurs affaires. C’est Aymeric qui se déshabille en premier et prend la pose devant son ami. Je remarque que, contrairement à la veille, il est épilé. Je contemple son pénis qui, de ce fait, paraît plus gros. Laurent se met nu à son tour et ils partent se baigner. Ils chahutent, ils s’arrosent et c’est un enchantement que de voir leurs zizis et leurs couilles ballotter dans tous les sens lorsqu’ils s’agitent ainsi. Ils discutent, j’entends leurs voix au loin, je crois entendre mon prénom mais je n’en suis pas sûre.
Au bout d’une vingtaine de minutes, les deux garçons sortent de l’eau et s’étendent sur leurs serviettes. Pendant une brève seconde de panique, Aymeric tourne son regard vers le rocher où je suis cachée. M’a-t-il vue ? Apparemment non. Ils se couchent donc, discutent quelques instants, et Laurent part chercher quelque chose dans son sac. À distance, je devine que c’est un tube de crème solaire. Il commence à en badigeonner le dos d’Aymeric. Je n’en crois pas mes yeux ! Que ses caresses sont douces et sensuelles ! Je sens sourdre en moi une humidité familière. Le spectacle m’excite terriblement. Laurent s’attarde sur les épaules d’Aymeric, puis descend tout doucement vers ses hanches en longues caresses successives qui sont comme des ondes sur son corps qui vibre de plaisir d’être ainsi choyé, câliné, et pétri.
Puis Laurent recommence à partir des chevilles. Comme il pétrit amoureusement les jambes d’Aymeric tandis que son propre sexe se dresse, fier et altier sous la lumière du soleil ! Il ne se presse pas, il prend tout son temps. Et enfin… Enfin, il saisit entre ses mains une nouvelle dose de crème solaire pour l’étaler sur les fesses de son compagnon totalement passif à ses caresses, comme subjugué par cette délicieuse étreinte des mains amoureuses qui l’ouvrent au consentement d’être touché. Je vois qu’il écarte pour un instant les fesses d’Aymeric et reste en contemplation béate devant sa petite fleur toute froncée, que je devine à peine, aveuglée par la lumière du soleil. Il effleure cette dernière d’un doigt timide, puis se retire. Il reste encore un court instant en contemplation devant le délicieux cul rebondi de son ami, puis se lève.
Ils parlent. Aymeric se lève à son tour. Son érection est magnifique, grandiose. Mon excitation est à son comble. J’ai l’impression que je vais jouir, sans même me toucher, tant la scène est empreinte d’érotisme. Ils se servent une bière et discutent. J’entends le son étouffé de leurs voix. À ma grande déception, Aymeric assis en tailleur sur sa serviette me tourne le dos et l’ombre des arbres sous lesquels les deux jeunes garçons se sont abrités cache à mes yeux le spectacle ravissant de leur anatomie.
Je les laisse un peu vaquer à leurs occupations tandis que je me décide à lire le livre que j’ai apporté avec moi. Je suis incapable de me concentrer tant les images lascives que j’ai eu le plaisir de contempler hantent mon imagination. J’entends des bruits d’eau et je retourne discrètement à mon poste d’observation.
*****
Récit d’Aymeric
Laurent et moi retournons à l’eau. Nous nageons un moment, il sort de l’eau, puis je l’arrose. Il m’arrose en retour, nous rions. Puis il me prend et me plonge sous l’eau. Nous combattons. Je me relève et plonge sa tête à son tour sous l’eau du lac. Notre lutte amicale se convertit en empoignade tandis que le combat de nos corps nus nous fait nous frôler constamment, ce qui me provoque des émois incontrôlables que je tente tant bien que mal de dissimuler. Gênés, nous interrompons nos ébats et cachons nos anatomies émues dans l’eau fraîche du lac. Nous ne souhaitons pas montrer notre désir l’un pour l’autre, ni même à nous-mêmes. Nous nageons placidement, puis nous nous asseyons dans l’eau, à quelques pas du rivage.
Je ne répondis pas. Il se mit debout à côté moi, exhibant son pénis et ses couilles épilées. Je baissai les yeux, honteux.
Je poussai un soupir de soulagement. J’avais tellement honte de mes désirs secrets que je n’osais même pas me les avouer à moi-même. Je regardai avidement son pénis encore au repos mais qui montrait de légers signes d’enthousiasme. Je lui souris.
Je m’approchai de lui et j’embrassai son sexe…
*****
Récit de Sophie
Je n’y crois pas ! Voilà pas qu’Aymeric embrasse le sexe de Laurent ! Puis ils sortent de l’eau, tous deux en érection. Laurent sort son téléphone de son sac à dos, puis fait une photo d’Aymeric.
Mais sont-ils homos ? Pourtant, Laurent sort avec Émeline. Il faut absolument que je me débrouille pour parler avec elle. Voyons voir ce qu’ils vont faire. J’ai beau être déçue, cela m’excite de plus en plus. Je ne peux à la fois me masturber et les espionner. Que c’est frustrant !
*****
Récit d’Aymeric
Nous déjeunons tranquillement en parlant de choses et d’autres. Je suis tellement nerveux que je bégaie. À la fin du repas, le téléphone de Laurent vibre, annonçant l’arrivée d’un message WhatsApp.
Il sourit, moqueur :
Il me tendit son téléphone sur l’écran duquel je vis la photo de moi tout nu, le sexe érigé, sur le compte d’Émeline. En dessous la réponse de cette dernière : « Il est bien monté, ton pote. Je suis sûre que tu te régales, mon loulou », suivie d’un smiley. Je le regardai, abasourdi.
Je ne dis rien. J’avais été interloqué par la réponse d’Émeline. Elle semblait qu’elle était au courant de la bisexualité de son copain.
Il me prit dans ses bras et m’embrassa. Je répondis à son baiser et roulai ma langue contre la sienne. J’étais terriblement excité par son baiser et aussi par le contact de son sexe dur contre ma hanche. D’instinct, je plaçais ma main en coupe en dessous de ses couilles et les massai lentement. Le contact de sa peau épilée contre la paume de ma main était délicieux.
Il prit les miennes dans sa main et les pétris aussi.
*****
Récit de Sophie
Heureusement qu’ils sont restés en plein soleil pour leurs ébats. Je n’en ai pas raté une miette. C’était divin. Après s’être embrassés, Aymeric et Laurent se sont allongés côte à côte sur la serviette de Laurent. Aymeric a couvert les couilles de Laurent de baisers, puis son pénis, dont il a embrassé la pointe. Puis il a léché ses couilles avec de grands coups de langue. Il léchait ensuite son pénis tout en alternant les coups de langue avec des baisers enfiévrés. Il enfourna enfin le sexe de son ami dans sa bouche pour une longue fellation. On voyait qu’Aymeric prenait plaisir à sucer le sexe de son ami. Au bout d’une dizaine de minutes, Laurent se retira précipitamment pour jouir sur la poitrine d’Aymeric, exactement au même moment où mes doigts m’amenaient à l’extase.