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Temps de lecture estimé : 7 mn
09/09/21
Résumé:  Madame passe un bon moment en club, seule d’abord.
Critères:  fhh fplusag boitenuit collection exhib fellation double -lieusexe
Auteur : MauriceBernard  (couple illégitime)      Envoi mini-message
Madame commence seule

Elle marche un peu au hasard des rues du centre de Paris, hésitant d’une vitrine à l’autre, profitant de ces moments de liberté qu’elle affectionne, seule, libre d’aller où elle veut en attendant son rendez-vous libertin avec son ami, dans l’après-midi. En prévision de cette nouvelle rencontre elle a choisi une robe légère que la douceur du printemps permet déjà et, dessous, un mini string et un soutien-gorge de soie douce. Le bruit discret de ses escarpins scande sa promenade et elle profite des mouvements de son corps presque nu sous le tissu. Déjà, l’impatience serre son ventre et des frissons gagnent ses seins car elle imagine les plaisirs qu’elle va pouvoir partager avec son amant, tout à l’heure. Mais d’ici là ? Comment évacuer ces émotions qui l’étreignent et la préparent… à tout, ou presque ?


Après son petit repas de midi, elle se décide à se diriger vers le lieu de son rendez-vous, son club préféré dans un quartier tranquille, où elle a déjà tant vécu d’aventures torrides et où elle compte bien encore partager de nouvelles sensations, au hasard des rencontres. Là-bas, elle aperçoit l’entrée discrète et y pénètre après avoir sonné à la porte. Rien que le son familier qu’elle entend accroît son impatience et c’est avec un sourire sincère qu’elle salue le propriétaire, toujours ravi de la voir revenir chez lui. Deux rapides baisers et ils échangent quelques mots de sympathie pendant qu’elle dépose sa veste et son sac avant de se diriger vers l’ascenseur, vers l’aventure…


Dans la minuscule cabine, elle rectifie son allure, un petit geste élégant dans ses cheveux gris courts, un pli corrigé sur le corsage de la robe ; tout va bien, elle est prête ! Arrivée à l’étage, elle avance tranquillement vers le petit bar dans la douce pénombre accueillante du lieu de ses débauches. Un rapide coup d’œil lui permet de remarquer qu’à cette heure-ci, peu de personnes sont déjà arrivées, un ou deux couples, quelques hommes seuls qui vont et viennent… Patricia s’installe alors confortablement dans un canapé et sirote un cocktail de jus de fruits en attendant l’occasion, une occasion. Elle connaît le pouvoir de séduction de ses fines chevilles et de ses jambes que sa robe a découvertes quand elle s’est assise ; aussi, elle évalue l’effet produit sur les quelques hommes présents, avec son regard coquin et un sourire engageant. Feignant l’indifférence, elle laisse un homme mûr s’approcher d’elle et accepte gentiment qu’il s’assoie à ses côtés et engage la conversation.


Étonné de la voir seule, il lui en demande la raison qu’elle lui expose sans ambages :



Ainsi soulagé et sollicité, l’homme lui effleure le genou doucement en la félicitant pour l’élégance de ses jambes. Patricia joue alors avec lui en soulevant un peu une jambe pour en découvrir toute la ligne, jusqu’à la cuisse dénudée. Les doigts de son voisin passent sous le genou et remontent le long de la courbe douce du muscle, vers l’entrecuisse déjà chaud. Elle soupire longuement pour accompagner la caresse et laisse ses jambes s’écarter pour que passe la main de l’homme. La tête posée en arrière sur le dossier du canapé, elle offre son cou, sa poitrine et une langue agile lui parcourt la peau, depuis son oreille jusqu’à sa bouche qu’elle ouvre résolument. Patricia décide alors de participer au jeu et enroule sa propre langue autour de celle de son futur amant, tout en lui offrant à ses doigts son sexe déjà trempé et brûlant. Les baisers se succèdent, de plus en plus envoûtants, et le ventre de la belle roule et s’agite jusqu’à ce qu’un premier orgasme la libère complètement, mouillant la main de l’homme qu’il lui offre à lécher entre leurs bouches.


Reprenant ses esprits, elle remarque que la scène a retenu l’attention d’un autre homme et d’un couple, eux-mêmes installés dans les autres canapés de la petite salle. Patricia n’aime rien tant que s’exhiber ainsi, discrètement mais pas tellement ! Elle sait combien l’excitation doit avoir gagné les spectateurs et elle décide de leur offrir une suite à hauteur de leurs attentes. Dans le creux de l’oreille de son branleur, elle glisse qu’elle lui propose d’aller au fond de la pièce, dans la petite alcôve ouverte à la vue de tous mais suffisamment étroite pour qu’on ne puisse y pénétrer qu’à deux ou trois en même temps.


Avec élégance et courtoisie, l’homme la prend par la main et la conduit lentement de manière qu’on les voit bien se diriger vers l’endroit. Là, Patricia s’assoit et pose ses mains sur les cuisses de son compagnon du moment, en remontant vers sa ceinture, tout en le fixant de son regard coquin et rieur. Au-delà, dans la pièce qu’ils viennent de quitter, les autres les observent et échangent caresses et baisers.

De ses doigts fins et agiles, elle détache la boucle et ouvre, très lentement, la braguette qui est juste à la hauteur de son visage. D’une main, elle part à la découverte de ce nouveau sexe, dégustant ce moment qu’elle affectionne tant : la nouveauté d’une bite encore inconnue. Et là, elle n’est pas déçue ! Déjà excité, l’homme lui présente en effet un braquemart très satisfaisant, dont le gland bien apparent et luisant attend la caresse… comme elle aime pratiquer. Elle découvre le membre du bout de ses doigts, elle parcourt les couilles dures et gonflées, et elle les glisse jusqu’entre les cuisses. À petits coups de doigts, elle titille le périnée pour faire redresser le sexe devant sa bouche qui s’entrouvre.


Un petit grognement masculin de satisfaction accompagne le mouvement de sa langue le long du méat et sur l’ouverture dont dépasse une goutte de liquide séminal qu’elle déguste. Du coin de l’œil, Patricia mesure l’effet produit sur son public, dans la pièce, et elle embouche franchement la bite raide qui s’offre tout à elle, puis la pompe, alternativement, vite et lentement. Déjà, la sensation de ce sexe que sa langue caresse l’incite à brusquer un peu les choses et, d’une main adroite, elle détache sa robe et s’en débarrasse tout en suçant l’homme.


Tenant le membre humide dans la main, elle lui demande un préservatif qu’elle va poser elle-même. Bien à la vue de tous, l’élégante bourgeoise, nue en escarpins, glisse le capuchon avec sa bouche et reprend sa fellation pour durcir la tige qu’elle est impatiente de prendre en elle. Un des hommes qui les observe, ne résiste plus et se dirige vers elle, la queue déjà raidie, à la main. Bientôt, il est debout à côté de l’amant de Patricia et profite du spectacle quand elle se lève, se retourne et pose ses mains sur le dossier du petit canapé, en tendant ses reins. Le nouveau venu passe alors ses doigts sur le dos, le long des flancs, vers les petits seins dardés, alors que le premier homme étale lentement, du bout de son gland, la mouille de la belle tout au long de la raie, entre les fesses et jusqu’au sexe ouvert.



Et elle tend son adorable petit cul pour que la queue qu’elle a préparée entre au plus profond d’elle. Elle découvre alors la forme de ce nouveau sexe qui se glisse entre ses parois trempées et gluantes ; elle adore cet instant de découverte qu’elle a déjà vécu tant de fois, ici et ailleurs. Qu’elle aime être ainsi pénétrée par un inconnu !


Son bassin accompagne les ondulations du baiseur alors que l’autre lui suce l’oreille doucement en pinçant ses tétons sensibles. Les frissons parcourent tout son corps et elle sent une nouvelle vague de jouissance monter en elle, mais elle souhaite autre chose de plus fort. Aussi, très délicatement, elle écarte lentement l’homme derrière elle et l’invite à s’asseoir à son tour sur le canapé étroit alors qu’elle reste un instant debout, devant lui, et agrippe le second homme par le pantalon, pour le lui défaire et extraire un autre sexe bandé.

Patricia se penche ensuite sur le gland qu’elle vient de découvrir et l’excite comme elle l’a fait pour le premier, avant de lui enfiler un préservatif. Elle s’amuse même à recueillir sa propre mouille pour lubrifier le gland qu’elle vient de coiffer et bien le préparer à la suite qu’elle escompte.


C’est alors qu’elle pose ses genoux de chaque côté des jambes du premier homme et, d’une main décidée, elle s’introduit elle-même la bite dressée dans le vagin, puis se laisse descendre dessus en roulant des hanches et en offrant ses petits seins à la bouche qui lui fait face. Tout en dansant sur la bite qui la pénètre, elle reprend de sa mouille et va l’étaler le long de sa raie, entre ses fesses jusqu’à son anus qu’elle assouplit au passage. Le second homme a compris évidemment le message et il présente sa queue de manière que la coquine s’en saisisse et la pose sur son petit trou, pour montrer sa volonté d’obtenir une double pénétration comme elle a appris à les apprécier. Elle écarte franchement ses douces petites fesses pour faciliter la lente et résolue pénétration alors que le premier baiseur poursuit son pilonnage et, bientôt, tous les trois ondulent en rythme.


Patricia mène la danse et imagine la vue que les autres clients du club doivent avoir depuis leurs sièges, puis elle s’abandonne à la montée du plaisir provoquée par les deux membres qui alternent leur pénétration au fond de son ventre et de son cul. Elle sent bien la raideur des sexes des deux hommes et devine qu’ils vont bientôt céder, alors elle se lève lestement et s’agenouille devant eux, en leur retirant les capotes, désormais inutiles.


À la vue de ses autres admirateurs, elle se saisit des deux membres brûlants et durs et les agite résolument en réclamant, à voix haute, le foutre que les hommes vont lui offrir et qu’ils lâchent simultanément sur ses seins, son visage, ses épaules…

Tandis qu’ils reprennent leur souffle, Patricia étale le sperme épais qu’elle a reçu de ses nouveaux amants et se plaît à regarder luire le liquide sur sa peau. Tout en parcourant la grande pièce du regard, elle se lèche les doigts sensuellement, quand une voix bien connue l’interpelle :



C’est son amant de cœur qui vient de la rejoindre après avoir profité aussi du splendide spectacle.



Et ce n’est que le début de l’après-midi…