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Temps de lecture estimé : 22 mn
10/09/21
Résumé:  Jean a voulu que je donne également ma version de son anniversaire, organisé et mené de main de maîtresse par moi.
Critères:  fh extracon candaul copains anniversai revede voir exhib caresses intermast fellation cunnilingu pénétratio confession -candaul
Auteur : Nanou2      Envoi mini-message

Série : Hélène et moi, notre couple évolue

Chapitre 05
Hélène reprend la plume

Résumé de l’épisode précédent :

Je trompe Jean, avec son consentement bien sûr, il adore, et j'y prends goût de plus en plus…







Jusqu’au jour où…


Ici Hélène, pour la suite de mon récit, toujours à la demande expresse de Jean qui décidément prend goût à la lecture de ma version des faits. Un jour je vais finir par lui raconter une aventure bien torride arrivée avant que je le connaisse, ça va probablement lui faire tout drôle… Ou alors je vais évoquer une de nos séances cross dressing, échange de genre, échange de pratiques… À propos Nanou, as-tu réfléchi à ma dernière proposition ?


Petit résumé rapide : Jean et moi sommes mariés depuis plusieurs années, je suis une jolie femme, sexy, drôle, parée de toutes les qualités imaginables ou presque, et j’ai la chance inouïe d’être littéralement adulée par Jean. Je l’ai trompé il y a quelques mois, ce qui l’a ravi ! Quand je vous dis que j’ai de la chance…


Cet épisode ayant été relaté par Jean, je ne fais que donner ma version, avec quelques précisions, particulièrement un passage en fin de soirée auquel il n’a pas pu assister.


Début juin donc, je vois approcher la date d’anniversaire de mon Nounou à grands pas, c’est le treize juillet. Pendant des années, lorsque je lui demandais ce qui lui ferait plaisir, il me répondait mi-sérieux mi-rieur, plein d’espoir, et en même temps n’y croyant pas une seconde :



On ne l’a bien sûr jamais fait et il a fini par arrêter de me le demander.


Mais cette année tout a changé, je l’ai déjà trompé et je sais qu’il a adoré, et j’ai remarqué un de ses amis… Râblé, des épaules de lutteur, des muscles saillants, mais pas genre culturiste, l’air d’un homme calme, sûr de lui et puissant, s’il est aussi viril qu’il en donne l’impression, hummm… Depuis que je vis avec Jean, j’avoue avoir parfois « flashé » sur un garçon (je ne lui avais jamais avoué auparavant), mais sans avoir jamais l’idée, voire le désir, de tenter quelque chose. Mais là, les circonstances ne sont plus les mêmes… Nanou veut jouer avec le feu, moi aussi j’aime jouer !


Et donc, j’ai proposé à Jean de lui organiser un anniversaire avec ses amis, il a accepté et je crois que pas une seconde il ne se s'est douté de quoi que ce soit.


Tout un travail de préparation, j’ai planifié de A à Z, nourriture, boisson, logement, et tout un scénario pour amener Julio (oui, j’avais oublié de vous donner son prénom) dans mon lit. L’idée du strip-tease m’est venue en regardant un vieux film avec Kim Basinger et je me suis dit que si je pouvais me déshabiller devant toute sa bande de copains, Jean serait fou de joie. Toutefois, il fallait que je puisse garder l’anonymat, je ne veux quand même pas passer pour une nymphomane !

D’où élaboration d’un plan savant, est-ce que c’est faisable ? Comment ? Quels accessoires ? Quel scénario ?


Heureusement que j’ai de bonnes amies qui ne posent pas de question : Carole, la coiffeuse, a accepté de me teindre les cheveux en blond le treize juillet à seize heures précises en utilisant un de ces nouveaux sprays temporaires (je me vois mal aller au boulot lundi matin en blonde platinée…), Nora a accepté de me prêter son appartement pendant qu’elle était en vacances, en principe pour loger des cousins pendant une soirée… et Julie, ma meilleure amie, collaboratrice et experte en informatique, m’a prêté des caméras et m’a indiqué comment installer le logiciel, tout cela dans la plus totale discrétion. Bien sûr aucune d’entre elles ne savait ce qui devait se passer réellement, quoique l’air goguenard de Julie m’en disait long sur ses pensées, elle a dû croire que je voulais faire une sextape avec Jean.


Le grand jour, tout se déroule comme prévu, les hommes sont contents de leur journée, Jean est heureux, serein, Julio est plus attirant que jamais en T-shirt blanc et veste de cuir noir et lorsque je téléphone vers dix heures du soir et annonce le programme de la soirée, ils tombent tous des nues et sont enchantés.


Enchantée je le suis aussi. Comment vous décrire toute cette journée, l’aboutissement de plusieurs semaines de préparation, le but qui se profile enfin à l’horizon ? Je suis tellement excitée depuis ce matin que mes seins me font mal, mes tétons n’ont jamais été aussi érigés, la couture de mon soutien-gorge qui frotte en permanence les irrite et les stimule en permanence et j’ai déjà dû changer ma culotte deux fois… Mais enfin, je sais que je vais rendre deux hommes particulièrement heureux ce soir et je pense que je vais prendre mon pied comme une folle tout à l’heure. Je passe et repasse le déroulement des opérations dans ma tête… Mon Dieu, pourvu que tout se passe comme je l’espère !


J’ai préparé le salon pour accueillir mon show, j’ai laissé un mot à Jean pour lui annoncer ce qui l’attend parce que c’est ça qui est important : qu’il sache que je vais me retrouver nue devant ses amis et que l’un d’entre eux va me sauter… Ça va être une tempête dans sa tête, à peine le temps de réaliser ce qui va se passer et puis de longues minutes à se demander si je vais réellement aller jusqu’au bout. Ce qui m’intéresse dans ses réactions, c’est de savoir qui il choisirait pour fourrer entre mes cuisses : il y a douze hommes de tous âges, certains relativement attirants, d’autres pas du tout, un seul me tente. Je sais que Jean ne veut que des hommes virils et assez beaux pour coucher avec moi, il me l’a dit, pas question que sa princesse descende de son piédestal pour coucher avec un type banal ou pas assez bien monté, mon Nounou est assez élitiste pour ça.


Je suis dans la cuisine et je guette par l’interstice de la porte entrouverte lorsque la bande arrive au salon, Jean trouve le mot et le lit. Il fait relativement sombre, mais je vois l’incrédulité sur son visage. Allez, c’est l’heure, show time !


Musique Maestro ! J’ai trouvé un morceau très long, langoureux et rythmé, chargé de tension sexuelle, c’est fou comme certains morceaux sont évocateurs, celui-ci ne pourrait pas servir à autre chose qu’à une scène érotique à mon avis.


J’entre en scène, mon visage dissimulé par un loup noir, je suis outrageusement maquillée et avec mes cheveux blonds, alors que les gars m’ont vue en début d’après-midi avec ma couleur naturelle, je suis certaine de ne pas être reconnue, d’autant plus que ce sont des hommes, n’est-ce pas ? On leur a dit « strip-teaseuse » donc ce n’est pas mon visage qu’ils matent…


Je me dirige vers Jean, l’entraîne sur scène et lui fais prendre place sur la chaise, il a l’air complètement sonné, le pauvre chéri ! J’espère quand même qu’il va prendre plaisir à la mise en scène.


Et je fais donc mon show complet, je me déshabille progressivement, j’essaie de faire des pas de danse et des gestes le plus gracieux et le plus sexy possible, je me déhanche comme une entraîneuse dans un show à Las Vegas, je marche en bombant la poitrine, mes talons sonnent sur les dalles au rythme de la musique, j’en fais des tonnes, en gros je joue ma Jessica Rabbit ! J’essaie de dédier chacun de mes passages à un gars différent pour ne pas faire de jaloux, mais je garde un œil discrètement sur Julio pour me donner encore plus de motivation quoique cela ne soit guère nécessaire.


Entre chaque pièce de vêtement qui tombe, je vais titiller mon Nanou, je lui parle de la fin de soirée, de mon futur amant, et je peux constater qu’il est vraiment excité. Il doit se poser un tas de questions, mais incontestablement, ça lui plaît ! Ça me plaît aussi, j’ai passé tout l’après-midi à monter gentiment en pression, mais là, je commence à être sérieusement excitée. Après ma masturbation sur scène – pas préméditée, mais je me suis laissé entraîner dans le feu de l’action –, on franchit un cap dans l’excitation générale et il ne faudrait sans doute pas grand-chose pour que je sois la victime, probablement consentante dans l’état où je suis, d’un gang-bang… Heureusement, la musique s’arrête avant que les choses ne dégénèrent, mais tu as eu chaud, Nanou, voilà ce qui risque d’arriver quand on ouvre la boîte de Pandore…


C’est le moment du tirage au sort et tous les gars attendent fébrilement, chacun espérant gagner le gros lot, personne bien sûr ne sachant que j’ai truqué le jeu, car je ne veux que Julio ! Mon Nanou est devant moi et je le vois tout congestionné de désir et d’appréhension mêlés et ce n’est qu’à la dernière seconde qu’il comprend que j’ai trafiqué les tickets et qu’il annonce le nom du vainqueur. Je guettais du coin de l’œil et la réaction de Julio me réjouit, il a l’air content bien sûr, mais il réussit à contenir sa joie. Il me couve du regard, m’évalue, il sait qu’il est terriblement attirant et qu’il va probablement avoir droit à plus qu’une discussion amicale… Je mouille terriblement depuis quelques minutes et entraîne Jean à la cuisine, je le force à me masturber, il n’a droit à rien d’autre, ça fait partie du jeu, j’aurai tout organisé, tout dominé, je tiens tous ces hommes au creux de ma main depuis tout à l’heure et je les manipule à ma guise ! Girl Power ! C’est drôle non ?


Agrippée à Jean, je jouis en quelques secondes, ce qui relâche un peu de tension. Je vais ensuite me rafraîchir à la salle de bain, je suis toute fraîche pour tout à l’heure. J’enfile une petite robe simple et sexy, remets le loup noir, je redescends au salon et vais à la rencontre de Julio pour discuter avec lui de la suite de la soirée. Étonnamment, il n’a pas d’objections… Nous nous pelotonnons l’un contre l’autre dans le canapé le plus au fond, dans la relative pénombre, totalement oublieux des autres, et de petits bisous en petites caresses, nous explorons un peu nos corps et apprenons à mieux nous connaître sans toutefois échanger plus de trois mots… Je sens le regard de Jean posé sur nous, je devine ses interrogations, je me délecte de son indécision, je suis bien en maîtresse du jeu, la soirée est à moi, à nous.


Derrière nous, l’ambiance est retombée, la troupe a rejoint la grange. Je fais signe à Julio qu’il est temps de partir, il approuve immédiatement, mais n’a pas de casque supplémentaire, il veut me prêter le sien, mais je lui dis de rouler calmement et tout ira bien. Pour tout dire, normalement je ne monte pas sur une moto, mais ce soir, rien ne m’arrête. Je monte derrière Julio et me colle contre lui en me tortillant pour qu’il sente bien ma poitrine calée contre lui, je l’enserre fortement, je lui indique l’adresse où nous devons nous rendre et il démarre.


Waouh ! c’est grisant finalement la moto quand on a passé le stade de l’appréhension ! Décidément, la soirée est une totale réussite jusqu’à maintenant, pourvu que ça dure !


Arrivés à l’appartement de Nora, je ferme la porte à clé, je prends Julio par la main et le mène au canapé du salon, il va pour s’asseoir, mais je lui fais signe de rester debout. C’est fou, nous n’avons pas échangé plus de dix phrases depuis tout à l’heure. Je tourne autour de lui, je me régale à contempler son corps puissant, à l’imaginer nu. Pourquoi se contenter de l’imaginer ? Je saisis sa veste et la fais glisser par terre, j’attrape son ceinturon que je déboucle en lui disant :



Posément, en prenant mon temps, je défais un à un les boutons de son jean et le fais tomber à ses pieds. Je me mets à genoux et lui retire ses bottes puis son pantalon. Je n’ai qu’un geste rapide à faire pour lui ôter son slip qui libère une verge de très belle taille, gonflée de désir, épaisse et qui émerge d’un buisson de poils noirs drus. Je lui fais une petite caresse, ce qui déclenche un sursaut brusque. Je me lève, retire son T-shirt et m’éloigne de quelques pas pour le contempler. Franchement, il mérite le détour, il est réellement super bien foutu, musclé, mais comme un lutteur, ça ne fait pas culturiste amoureux de son corps avec des boules de muscles partout, non, là, c’est harmonieux, ça donne une impression de force tranquille. Et ses fesses ! Mon Dieu, ses fesses, charnues, drues, j’ai envie de mordre dedans tellement elles sont sexy, ces larges épaules, ce cou de taureau, bref, je l’avais bien senti, ce type est une bombe !


C’est une bombe qui vient de faire le premier mouvement vers moi, il me prend fermement dans ses bras et m’embrasse, sa langue explore ma bouche pendant que ses lèvres écrasent les miennes. Il va pour enlever mon loup, mais je bloque sa main gentiment et il n’insiste pas, il me fait pivoter. Il se trouve maintenant derrière moi, m’embrasse dans le cou et commence à caresser ma poitrine. Ses mains sont fermes, mais il fait preuve de beaucoup de délicatesse. Il caresse mes seins, les soulève, les pétrit et commence un délicieux massage de mes globes. Je me sens super sensible et réalise que je suis littéralement en train de ronronner pendant qu’il pince entre ses doigts mes tétons durcis sous la dentelle du soutien-gorge… Aucune retenue, je suis vraiment une fille sans vergogne.


Tout en savourant mon plaisir, je saisis mon téléphone, car il est temps de donner des nouvelles à mon cher mari qui doit commencer à se poser des questions sur sa soirée (la mienne il doit se douter…). Je compose son numéro tout en mettant le haut-parleur, et lorsqu’il me répond, ses premières paroles sont pour savoir si je vais bien et pour me reprocher de ne pas avoir mis de casque sur la moto, ce qui m’amuse beaucoup. Julio ne m’a pas lâchée bien sûr, je bascule la tête en arrière pour qu’il puisse m’embrasser dans le cou et accessoirement écouter la conversation.



Julio a marqué un temps d’arrêt en entendant la conversation. Je sens qu’il m’observe et qu’il réalise brusquement que je suis la femme de son ami. Je lui adresse un baiser complice avant de reprendre au téléphone :



Dans mon dos, Julio se fait de plus en plus pressant, une de ses mains est descendue sous ma robe et commence à caresser mes cuisses, s’il avait encore eu un doute sur la suite de la soirée, je viens de le balayer d’un coup, je continue au téléphone :



Malgré la distance, je ressens la frustration de Jean, il fait tout pour mon bonheur et en échange je le laisse tomber.



Je l’entends marcher, ouvrir le bureau, cliquer sur la souris. Je me défais de l’étreinte de Julio, lui fais signe de me suivre et de m’attendre à l’entrée de la chambre dans laquelle je rentre et vais m’asseoir sur le lit face à une des caméras, je vois la LED clignoter, tout fonctionne à la perfection.



Je retire mon loup, raccroche mon téléphone que je pose à terre puis j’explique à Jean la suite :



Je regarde droit dans la caméra, je me sens un peu oppressée par le désir, je frémis à l’avance, je soupire d’aise :



Je fais signe à Julio d’entrer, il se dirige vers le lit, nu comme un ver. Cette fois c’est inéluctable, je vais passer à la casserole. Je suis tellement excitée que j’en ai des frissons dans tout le corps, je n’attends que le contact de ses mains sur ma peau frémissante. Je me redis que je dois rester concentrée sur ma mission ce soir : offrir le plus beau spectacle possible à mon amour. Je vais en profiter un maximum, bien sûr, mais il doit pouvoir y prendre le plus de plaisir possible, lui aussi.


Julio s’assied et immédiatement commence à jouer avec ma poitrine, en quelques instants il fait glisser le haut de ma robe et dégrafe mon soutien-gorge, libérant mes seins que je m’empresse de saisir et d’exposer devant la caméra pour que Jean profite du spectacle pendant que je me caresse tendrement. Sans exagérer, j’ai une poitrine magnifique qui ferait bien des jalouses et encore plus d’envieux, mes seins sont fermes, la peau est d’une incroyable douceur, et lorsque je suis excitée, mes tétons dardent au milieu de larges aréoles légèrement grenues. Mes amants ont tous, sans exception, été fous de ce spectacle, n’est-ce pas mon nounou ?


Julio m’allonge sur le lit pour me déshabiller entièrement et je suis maintenant totalement nue, les bras en croix, jambes tendues, m’offrant en spectacle à deux hommes dont un m’aime d’amour et l’autre va se repaître de mon corps. Ses attouchements d’abord localisés sur ma poitrine se dirigent maintenant vers mon sexe. Je sens sa main en coupe sur mon ventre puis mes cuisses et qui tente de forcer le passage. Pour corser le moment et faire durer le plaisir, je serre un peu les jambes, l’obligeant à insister plus lourdement, jusqu’à ma reddition et je me soumets alors totalement à sa volonté, faible femme, victime pantelante, mais consentante bien sûr. Ses doigts effleurent mon mont de Vénus, s’insinuent le long de ma fente, se glissent progressivement en moi, je suis tellement excitée que j’ai l’impression que mon sexe dégouline. Les doigts parfaitement lubrifiés glissent dans mon vagin avec aisance, sensation de douceur, d’envahissement, mes muqueuses s’écartent et libèrent le passage, je commence à gémir de plaisir sous les caresses. J’étais sûre que Julio serait un bon amant, sûr de lui, dominant et en même temps attentif à mon plaisir.


Il m’embrasse sous les seins, sur le torse, il lèche mes flancs, le creux de mes cuisses, je m’arque pour qu’il ait mieux accès à mon sexe, mais il ignore mon invite, descend encore à ma grande déception et soudain il m’attrape sous les genoux, les remonte en m’écartant les cuisses d’un coup et il commence à me lécher la chatte goulûment. Ce n’est pas un cunnilingus en souplesse, en tendresse comme le pratique généralement Jean, non là c’est presque brutal, sa langue fouaille mes lèvres, les écarte, s’introduit largement dans mon vagin. Je suis en train de me faire dévorer en beauté et je me sens très vite partir. De grandes ondes de plaisir, chacune plus puissante que la précédente, se propagent en moi, électrisent mon corps tout entier, irradient à partir de mon sexe qui est devenu le centre de mes pensées, de mon être. Je fixe la caméra et en pensée j’essaie de transmettre un maximum les sensations que j’éprouve :

« Regarde Nanou, je te trompe avec un mec, je suis sur le dos, les jambes en l’air, les pieds ballants, je me fais lécher la chatte et j’adore ça, regarde mon amour comme mes cuisses sont ouvertes, comme mon sexe est offert, écoute bien, mon chéri, je vais jouir bientôt dans les bras d’un autre, mon Dieu, que c’est bon ! »


Je halète et pousse de petits cris de contentement, je gémis de bonheur et guide la tête de Julio pour qu’il me lèche là où cela fait le plus de bien et le bougre est drôlement efficace. Je jouis brusquement, le corps arqué sous le flux de plaisir, il ne m’a pas lâchée et poursuit inexorablement son œuvre. Mon Dieu, comment une langue peut-elle remuer aussi fort et causer de telles sensations ? Je prends mon pied une deuxième fois, je m’écroule en arrière sur le lit. J’essaie de reprendre mes esprits, mais je me sens hagarde et le misérable se consacre uniquement à mon clitoris maintenant. Ce sont des ondes de feu qui m’inondent, je halète, je geins de bonheur, je m’ouvre le plus largement possible, je n’aspire plus qu’à une chose : sa verge dans mon vagin, maintenant, tout de suite !


Il a compris, me lâche, se positionne au-dessus de moi et se prépare à me pénétrer, mais je réussis à me contenir quelques instants et à le freiner. Je saisis sa verge et m’en caresse doucement, je temporise, je retarde le moment de la pénétration, car je pense à Jean devant son écran qui regarde la scène dont il a toujours rêvé. Alors, il faut que ça dure, il faut que ce soit sexy, il faut qu’il en ait pour son argent… Je fixe la caméra en souriant à mon nounou, je sais qu’il est heureux de me voir prendre mon plaisir, je suis heureuse de me faire sauter, sans remords, sans honte.


J’ai assez fait languir Julio, je le laisse libre de me prendre. Je regarde la caméra pendant que je sens son sexe pousser sur ma fente trempée, mon Dieu qu’il est gros ! Il entre progressivement dans mon intimité, centimètre par centimètre, je me sens progressivement envahie. Il fait durer le plaisir, recule un peu puis recommence sa progression en moi, je contracte mes muscles internes pour ne rien perdre des sensations et pour lui procurer plus de plaisir et enfin, je sens ses poils effleurer ma toison. Son pubis entre en contact avec le mien, il est entièrement en moi et, pendant quelques instants, les seuls mouvements sont les petits soubresauts de sa verge et mes contractions internes.


Je lance un baiser à Jean avant que Julio ne commence à bouger lentement, si lentement, il entre et sort doucement, chaque mouvement semble prendre un temps infini, mais la progression est inexorable. Il sort quasiment entièrement et replonge en moi complètement, le rythme est fixe, précis, chaque aller et retour semblable au précédent, lentement, profondément, encore et encore et encore. Mon corps commence à répondre, j’attends chaque pénétration avec impatience. Je me contracte à chaque retrait, je roule mes hanches pour augmenter le contact, je donne des coups de reins, et il continue sans modifier sa cadence pendant de longues minutes. Peu à peu, chacune de ses plongées, chacune de ses frictions génère une onde de plaisir qui s’ajoute à la précédente. Je commence à gémir, d’abord doucement, puis de plus en plus fort alors que la jouissance monte en moi, chaque coup de verge fait monter le plaisir d’un cran, encore, et je crie maintenant sans retenue.


J’en profite. Les deux hommes de ma soirée n’attendent que ça.


Mes doigts se crispent dans la couette et, dans un dernier sursaut, je me laisse enfin aller à jouir comme une folle, le corps tendu comme un arc pendant quelques instants puis je m’effondre complètement au moment où Julio jouit à son tour et m’écrase de tout son poids. Je l’enserre avec mes jambes et le presse contre moi, en moi alors qu’il éjacule longuement. Il se détend enfin et se laisse complètement aller, je le fais basculer sur le côté et reste couchée sur le dos, les jambes encore écartées, mon sexe exposé, la poitrine haletante, je sens mes cheveux collés sur mon front par la transpiration. Je regarde la caméra et souris de contentement, je pince mes tétons, je masse mes seins, mes cuisses, je passe un doigt sur ma vulve, je suis heureuse.


Pendant quelques minutes, j’ai dû dériver dans une sorte de demi-sommeil, pleine de pensées plus ou moins conscientes, je reprends mes esprits, allongée au côté de Julio.


Que fait mon Nanou en ce moment ? Il faudra que je lui demande de me raconter ce qu’il ressent exactement lorsque je le trompe, parce que, moi aussi parfois, je me surprends à fantasmer en imaginant le voir prendre du plaisir avec quelqu’un d’autre que moi, mais c’est encore plus compliqué que son fantasme à lui parce qu’en plus, je voudrais qu’il fasse l’amour avec… Non, je préfère ne pas y réfléchir pour le moment. Et de toute façon, j’aurais vraiment peur de franchir le pas s’il s’éloignait de moi ?


Je me secoue, repousse mes pensées et me consacre uniquement au moment présent. Assez paressé ! C’est à mon tour de mener ! Je monte à califourchon sur Julio et je me frotte langoureusement sur lui. Les pointes de mes seins effleurent sa poitrine, mes cheveux frôlent son visage, nos sexes se touchent légèrement et je sens sa verge grossir et durcir. Je le fais se déplacer pour être pile dans l’axe de la caméra et lorsqu’il est bien en position, je saisis sa verge, la guide en moi et m’enfonce d’un coup. Je sais que mon vagin est brûlant, que mes muqueuses sont super glissantes. Les sensations sont délicieuses et là, c’est moi qui mène le bal.


J’accélère jusqu’à ce que sa respiration devienne saccadée, je vois ses narines qui se pincent pendant qu’il cherche à se contrôler, alors je cesse mes mouvements, juste un petit va-et-vient infime. Dès qu’il s’est repris, je réaccélère jusqu’à l’amener près de la jouissance, et ce, plusieurs fois de suite, mais je me fais prendre à mon petit jeu. Peu à peu le plaisir monte en moi, m’envahit progressivement et bientôt je ne sens plus que la pression de la verge en moi, le frottement qui enflamme mes parois, mon sexe qui devient le centre de mon corps, mon corps qui n’est plus qu’un sexe en fusion, les ondes de chaleur, de plaisir, cette verge qui entre et sort de moi. Je m’active de plus en plus vite, le plus loin possible, je veux l’absorber totalement, plus loin, plus profond, encore, encore plus fort, encore !


Je pense que nous explosons en même temps, mes cris couvrent ses grognements. Je m’agite frénétiquement tout en hurlant ma jouissance, je donne des coups de reins énormes en prenant les derniers instants de plaisir. Je perds le rythme de ma respiration et m’abats sur Julio, hébétée, pendant qu’il me cramponne et finit de se vider en moi, en poussant de grands soupirs d’assouvissement. Il me faut plusieurs minutes pour récupérer mon souffle, pour que mon cœur reprenne un rythme normal et sous moi je sens que Julio se calme également peu à peu. Waouh, là nous nous sommes vraiment lâchés ! Par contre, côté dialogue, c’est plutôt léger, à part bien sûr les cris et grognements, les halètements… Je me laisse rouler sur le lit.


Quelques minutes encore à récupérer, le nez dans la couette, puis je fais un petit signe vers la caméra :



J’éteins les caméras, me lève et vais à la salle de bain réparer une partie des outrages que j’ai subis ce soir. Oh mon Dieu, la tête ! On dirait que je sors d’un accident d’avion. Mon maquillage est totalement fichu, mon eye-liner est complètement à la dérive, ma coiffure est un pur massacre, je ne parle même pas du rouge à lèvres ! Là, c’est loupé pour faire une séquence vidéo glamour… Je fais ce que je peux avec les moyens du bord pour minimiser les dégâts, puis je reviens dans la chambre où Julio paresse au lit, visiblement satisfait, et il n’a pas l’air défait comme moi, veinard ! Je lui dis :



Nous nous rhabillons, je referme l’appartement, Julio démarre la moto et je monte derrière lui. Accélérations puissantes, nous prenons de plus en plus de vitesse et je me cramponne pour ne pas basculer à chaque coup de gaz. Au bout de quelques centaines de mètres, je commence à avoir vraiment peur et je tape sur l’épaule de Julio pour lui demander de ralentir, ce qu’il fait puis il s’arrête carrément au bord du trottoir dans la rue déserte, coupe le moteur et me fait signe de descendre.


Je descends de la moto, Julio déplie la béquille, et avant que j’aie le temps de comprendre, il me saisit par la taille et me presse contre lui, il m’embrasse et ses mains sont partout sur moi. En quelques instants, il réussit à me remettre en état d’intense excitation, je suis toute pantelante dans ses bras, sans volonté, ce dont il profite pour, d’un seul coup, tirer ma robe par-dessus ma tête puis arracher ma culotte. Je me retrouve nue une fois de plus, mais cette fois, n’importe qui pourrait me voir. Je voudrais protester, mais il vient de faire pénétrer un de ses doigts dans mon sexe tout moite, son autre main se cramponne à mes fesses et m’empêche de résister. D’ailleurs, je n’ai finalement pas vraiment envie de me défendre, je me sens fondre encore une fois, alors que je pensais être rassasiée pour la soirée.


La peur d’être vue nue dans la rue par un passant ou un voisin ajoute une touche de piment supplémentaire. Il me masturbe frénétiquement tout en m’embrassant, mes jambes sont grand ouvertes, mon corps s’arque pour mieux s’offrir à la caresse, je plie les genoux pour assurer mon équilibre. Julio en profite pour me mettre à genoux, il déboucle sa ceinture, baisse son pantalon et son slip, saisit sa verge et la dirige vers ma bouche, je la happe et commence à la sucer avec plaisir. C’est un exercice dont je raffole et je m’applique pour lui procurer un maximum de plaisir. J’avale la hampe le plus loin possible, la relâche lentement, ma langue roule sur le gland, mon seul regret est que Jean ne puisse observer… Ma bouche va et vient et j’espère le faire jouir rapidement, savourer son sperme lorsqu’il éjaculera.


Mais après quelques minutes, il me relève, me retourne brusquement, me penche en avant. Je prends appui des deux mains sur la selle de la moto et je me sens pénétrée d’un seul coup, c’est une étreinte de soudard. Cette fois, il me prend brutalement, sans chercher à me ménager. Sa verge me pilonne sans pitié, s’enfonçant au plus profond de moi, mes seins ballottent follement, je tente de garder les idées claires. Il ne faut pas que je bascule en avant, je me cramponne à la selle. Julio grogne dans mon dos pendant qu’il me défonce, prenant son plaisir une dernière fois avant de me rendre à mon mari. Mes fesses claquent sous les coups de boutoir. Mon Dieu, comme c’est bon de se sentir désirée, de se sentir si femme, de déchaîner une telle passion !


Il me semble que je me fais prendre ainsi pendant un temps infini avant que Julio n’explose une fois encore, cet homme est inépuisable ! Il se répand en moi, m’inondant à nouveau, il cesse son mouvement, je sens sa verge qui palpite en moi pendant qu’il se vide. Calme après la tempête, je suis toujours en appui sur la selle, Julio collé derrière moi. Je tortille les fesses pour me dégager, il se redresse et s’éloigne, se rajuste pendant que je cherche ma robe et me rhabille. Par contre, pas de culotte, j’ai beau chercher, je ne la vois pas. C’est invraisemblable, je vais encore rentrer sans culotte ! Que va penser Jean ? Je pouffe sous le regard de Julio qui se demande pourquoi, je le regarde et lui dit en imitant Michèle Morgan :



Allez, cette fois il faut rentrer, Julio est apaisé et roule doucement, il n’a pas remis son casque et, comme moi, il profite de l’air frais. Le moteur ronronne, j’ai le nez dans le cou de mon motard qui m’a tant donné ce soir.


Nous arrivons devant le domicile conjugal, je descends de la moto, j’enlace Julio une dernière fois, nous nous embrassons et il en profite pour glisser une main sous ma robe et me caresser les fesses. Ses doigts s’approchent dangereusement de zones extrêmement sensibles et je sens que je risque de faire une bêtise. Une bêtise ! Je n’ai fait que ça depuis cet après-midi, mais c’était tellement bon ! Je réussis, par un énorme effort de volonté, à me détacher de lui, je lui jette un dernier regard, je me retourne et me dirige vers la maison. Ma démarche est chaloupée, pas tant par désir de l’allumer une dernière fois, mais parce que je me sens terrassée par la fatigue, les émotions, l’excitation, sans compter que je ne sais plus combien de fois j’ai pu jouir depuis ce matin, je suis totalement vannée.


J’ouvre la porte, j’entre, me dirige vers la chambre. Jean est au lit et m’attend, l’air à la fois excité et anxieux, j’imagine qu’il n’attend qu’une chose, comment refuser ?


Je me déshabille et me jette sur le lit, j’écarte les cuisses pour qu’il puisse admirer à loisir ma petite chatte toute lisse, pour qu’il puisse se repaître de la vision de sa femme infidèle, pour qu’il sache que je reviens à lui parce que je l’aime, parce que j’attends avec impatience qu’il me prenne à son tour. Je suis épuisée, mais je sens que de cette fatigue vont naître de nouvelles sensations, mon corps est tendu comme une corde de violon, d’une extraordinaire sensibilité, j’ai l’impression que chaque centimètre carré de ma peau nue appelle une caresse, un frôlement.



C’est le grand méchant loup qui se coule sur moi et me prend dans ses bras, qui s’introduit en moi tout doucement, tendrement, et qui m’embrasse. Il va me dévorer tout entière et je suis sa victime consentante. Nous allons vivre un acte d’amour, et je suis désolée, mais ça, ça ne se partage pas…