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Temps de lecture estimé : 20 mn
13/09/21
Résumé:  Solanée fait visiter à Coraline et Méline leur nouvelle école, une vénérable institution dévolue à la sorcellerie, et majoritairement féminine.
Critères:  fh jeunes grosseins sorcelleri -fantastiq
Auteur : Patrik  (Carpe diem diemque)            Envoi mini-message

Série : Paul-Henry Peloteur à l'école des 4 petites sorcières

Chapitre 01 / 04
Les melons de Méline


Une petite série composée de quelques épisodes

assez indépendants des autres.

Commençons par Méline qui a un petit complexe.

Bonne lecture :)







Introduction



Amélie, Coraline, Méline et Pauline sont quatre nouvelles petites sorcières qui viennent d’arriver dans la vénérable institution de sorcellerie et qui logent toutes dans la même chambre. Sur place, elles croiseront un jeune sorcier qui possède un talent peu commun…




Chapitre Un – Deux nouvelles



Solanée fait visiter à Coraline et Méline leur nouvelle école, une vénérable institution dévolue à la sorcellerie, et majoritairement féminine. L’architecture est un étrange mélange de style, l’école s’étant construite petit à petit durant des siècles jusqu’à ce tout début de XXe siècle. Les trois filles sont actuellement en train de déambuler dans une vaste cour carrée intérieure, avec une fontaine jaillissante au milieu, dont le rebord du bassin est couvert d’invocations gravées.


Au bout d’un certain temps, l’une des nouvelles venues fait remarquer à son accompagnatrice :



Une splendide jeune fille au visage d’ange déambule gracilement sur des jambes interminables, ses longs cheveux soyeux bouclés flottant au vent, accrochant la lumière à chaque pas. Coraline et Méline en sont bouche bée. C’est Méline qui reprend la première la parole :



La nouvelle venue s’étonne :



Coraline regarde curieusement Solanée :



Se penchant un peu, Coraline plisse les yeux :



Prenant le relais, Méline demande, l’œil luisant :



Solanée sourit, fixant momentanément la poitrine peu développée de son interlocutrice :



L’accompagnatrice change de conversation :



Les trois filles se mettent à rire, puis elles s’éloignent de la fontaine consacrée aux sorts de l’Eau, puis franchissant une double porte, elles s’engouffrent dans un couloir, poursuivant de la sorte la visite de l’école plusieurs fois centenaire.




Chapitre Deux – Petite demande



Le lendemain, accompagnée par Coraline, Méline s’approche de Paul-Henry. Celui-ci est facile à reconnaître dans la masse, car il y a environ un garçon pour vingt filles dans cette école. Des esprits chagrins font remarquer qu’il n’est pas bon que les deux sexes soient mélangés, mais il en a toujours été ainsi depuis la nuit des temps, du moins chez les sorciers. De plus, il n’y a pas énormément de garçons bruns avec une mèche blanche, d’assez grande taille, avec des lunettes protégeant des yeux si verts, sans oublier un sourcil fendu.


Sans complexe, Méline aborde carrément le sujet :



Avec un certain sourire, par-dessus ses lunettes, le jeune homme fixe momentanément Coraline qui ne sait plus où se mettre. Un ange passe, un deuxième, puis un troisième. Désireuse de reprendre la main, Méline fait les présentations :



Il s’attarde beaucoup sur le second prénom, tout en dévisageant Coraline, ce qui fait rougir celle-ci. Puis il s’adresse à l’autre jeune fille en lui demandant flegmatiquement :



Assez surprise par cette réponse, l’intéressée s’agace :



Méline s’adoucit :



Méline rougit :



Ajustant ses lunettes, Paul-Henry sourit :



Le jeune homme acquiesce :



Aussitôt, Méline s’exclame :



Sortant d’une espèce de torpeur, comme si elle regardait un film, Coraline intervient :



Coraline sourit :



C’est Méline qui répond :



Assez surprise par cette réponse, Coraline rougit à nouveau. Sa voisine s’esclaffe :



Il écarte les bras :



Puis le jeune homme s’éloigne calmement. Méline se tourne vers sa voisine :



Méline prend la main de sa copine, puis toutes les deux se dirigent vers la grande bâtisse.




Chapitre Trois – Veillée



Quelques jours plus tard, les deux copines discutent dans leur chambre commune. En cette fin d’après-midi, Pauline et Amélie, les deux autres colocataires, sont actuellement retenues par leurs activités de club. La cohabitation se passe très bien, le contraire aurait été étonnant.


Depuis un bon quart d’heure, la conversation est assez animée. Tandis que Coraline reste très calme, de son côté, Méline fait les cent pas dans la petite pièce :



Assise sur son lit, un livre ouvert sur ses genoux, Coraline demande :



Coraline affiche un petit sourire :



Évitant de croiser des yeux sa copine, le regard perdu vers la fenêtre, Méline tergiverse :



Amusée, Coraline fait remarquer :



Un peu triste, sa compagne de chambrée hoche la tête :



La conversation continue de longues minutes, sans avancée particulière. Se mettant dans son lit, Méline finit par s’endormir, rêvant sans doute d’avoir une somptueuse poitrine à faire tourner la tête de bien des garçons. De ce fait, elle n’entend pas ses colocataires rentrer.




Chapitre Quatre – Modelage



Assez intrigué par la carte postale assez olé olé que Méline lui a donnée comme document de travail, son calepin en main, Paul-Henry regarde le carton attentivement :



Se grattant l’arrière de la tête, Méline demande :



Méline jette un rapide coup d’œil aux alentours. Normalement, personne ne devrait venir dans la pièce dans laquelle ils se sont tous les deux isolés et que le garçon a scellée grâce à un sort. Paul-Henry s’amuse de son regard :



La jeune fille est à moitié rassurée, elle se détend un peu. Oui, elle s’est copieusement renseignée avant d’accepter l’opération, et tout le monde lui a confirmé que le dénommé Panpan était réglo et qu’aucune fille n’a eu de mauvaise surprise. Méline aurait pu se faire accompagner, mais elle ne voulait pas que quelqu’un d’autre (même de confiance) puisse la voir se faire tripoter les seins, et éventuellement plus…



Pour toute réponse, Paul-Henry met son calepin sous le nez de Méline. Puis il en tourne diverses pages. Quelques secondes plus tard, il demande sereinement :



Paul-Henry se met à sourire :



Méline se pince les lèvres, mais elle s’exécute quand même, avec une évidente réticence. Peu après, elle est torse nu, debout au milieu de la pièce, face à Paul-Henry assis devant elle. La carte postale flotte à la hauteur de la tête du garçon. Avec un air très pro, il s’empare des seins face à lui, tout en fermant les yeux. On dirait que ses mains scannent les deux douces petites mandarines. La sensation paraît étrange à la jeune fille.



Paul-Henry fixe la photo qui flotte à côté de lui :



Soudain, Méline se sent comme envahie, quelque chose s’incruste en elle, au niveau de sa poitrine qui gonfle petit à petit, accusant petit à petit un poids qui tend sa peau. Elle se pince à nouveau les lèvres, assez surprise par cette sensation étrange et inconnue. Durant ce temps, Paul-Henry malaxe ses seins, les pétrissant délicatement, mais fermement. Il est évident pour la jeune fille que ses seins enflent, prenant peu à peu une nouvelle forme. Elle respire de plus en plus fort. Étrangement, le tripotage des mains du jeune homme lui fait du bien, comme un massage apaisant, malgré un côté qu’elle estime assez pervers.


Soudain, les mains se retirent :



Clignant des yeux, Méline se regarde dans le grand miroir qui vient d’apparaître magiquement. Elle se contemple, se découvre toute nouvelle au niveau de la poitrine :



Elle frôle ses nouveaux seins, les caresse, les soupèse :



Paul-Henry s’amuse :



Cette réponse fait rire le jeune sorcier, qui demande peu après :



Après s’être copieusement admirée, Méline se penche un peu vers le miroir qui flotte devant elle, elle se contemple longuement, puis elle demande :



Aussitôt, Paul-Henry capture les délicates framboises de Méline entre ses doigts. Elle ressent à nouveau un curieux étirement. Puis les mains se retirent à nouveau :



Méline s’inquiète un peu :



Paul-Henry place ses mains sur le haut des seins, tout en se concentrant. Quelques tiraillements plus tard, Méline contemple sa nouvelle poitrine, elle n’en revient pas, même si pourtant, elle est elle-même une petite sorcière :



Le chirurgien se met à rire :



Le jeune homme affiche un large sourire :



Aïe, ça y est, on y est ! Fataliste, Méline soupire :



Aussitôt, Paul-Henry niche son nez dans les nouveaux lolos de Méline. Ils sont indéniablement doux, très doux, et très moelleux ! Le jeune homme s’y sent très bien, trop bien. Ce n’est pas la première fois qu’il fait ce genre de chose, mais aujourd’hui, c’est le haut du panier ! Tant mieux, pense-t-il, ravi de cette découverte.


Avides, ses doigts rapaces s’emparent voracement, mais sans brutalité, des deux chairs molles et blanches, et commencent à les malaxer avec volupté. Étonnée, Méline ressent comme une sorte de bien-être à se faire peloter de la sorte, un événement qu’elle n’avait pas prévu, pensant subir stoïquement les assauts pervers du jeune homme, attendant que ça se passe.


De son côté, Méline sent une douce chaleur monter en elle, une chaleur qu’elle a parfois rencontrée, mais pas en se faisant simplement malaxer les seins. Normalement, il faut beaucoup de préliminaires pour en arriver au même point, surtout quand une langue agile sait s’égarer au bon endroit ! Ce qui ne l’empêche pas de protester mollement :



En parlant de langue, Paul-Henry est en train de lécher suavement les deux belles masses, puis il s’attaque vicieusement aux tétons, ce qui fait frémir d’aise la jeune sorcière, qui apprécie la joyeuse tournure de la rétribution.


Tandis que Paul-Henry suce allégrement les pointes durcies, Méline se sent envahie par une douce torpeur tiède. Pour un peu, elle se doigterait, mais elle n’ose pas. Pas question de faire voir à ce garçon qu’il lui fait de l’effet, et ceci, bien malgré elle !



Le jeune homme emploie visiblement toute sa science sur Méline. Peut-être a-t-il lancé au préalable un sort qui abaisse les défenses de la jeune sorcière, et qui exacerbe ses sens… Qui sait ! Il existe tellement de variétés de sorts que les plus érudits en perdent parfois leur latin !


Méline ferme les yeux, cette rétribution ne sera pas un mauvais moment à passer, finalement. Ce n’est pas la première fois qu’elle se fait entreprendre par un garçon. Souvent, c’est décevant ; parfois, c’est gratifiant. Il est clair qu’aujourd’hui, il s’agit du deuxième cas.


Elle n’arrive pas à s’empêcher de soupirer faiblement :



Paul-Henry accentue ses attouchements et ses embrassades sur la fine peau délicate de la jeune fille. Ses doigts, ses paumes, ses lèvres enflamment ses sens. Oui, ce petit cochon sait s’y prendre, c’est incontestable. Soudain, il murmure :



Méline respire profondément, puis elle répond :



Comme malgré elle, Méline s’entend répondre :



Paul-Henry murmure une incantation. Quelques secondes plus tard, Méline sent quelque chose d’étrange, de vaporeux, mais néanmoins légèrement consistant, se glisser entre sa culotte et son pubis, tandis que le garçon continue d’honorer ses seins tout nouveaux.



Méline ne peut s’empêcher de pousser un petit cri d’aise quand la chose brumeuse caresse son intimité. Peu après, la jeune fille entre en transe, tant la sensation est forte et puissante, aussi bien entre ses jambes que sur sa poitrine. Elle perd pied, elle monte vers les nuages comme si elle chevauchait un robuste balai.



Elle se laisse aller, peu importe si ce garçon l’entend, c’est trop bon. Soudain, elle entend une voix étouffée lui demander :



L’instant d’après, Méline accueille entre ses deux nouvelles masses blanches une verge d’un assez beau calibre. Impudiquement, avec ses mains, elle presse ses seins autour de la tige de chair qui coulisse lentement dans sa blanche vallée, tandis que plus bas, elle commence à ressentir la venue d’un proche tsunami.


Elle s’active de plus belle autour de la colonne nervurée, le jeune homme émet de longs soupirs d’aise, ce qui la ravit. Jamais je n’aurais cru qu’on aille jusque-là, pense-t-elle.


À peine a-t-elle terminé sa phrase qu’une puissante vague l’assaille, la bouscule, la renverse :



Diluée dans un profond brouillard moelleux, Méline jouit. Quelque chose de chaud et de gluant macule ses monts et aussi son cou. Espèce de gros saligaud, pense-t-elle, mais elle s’en fiche, elle est déjà ailleurs, transportée d’aise et de bien-être, loin du sol, loin d’ici, par-delà les étoiles et toutes les sphères célestes !




Chapitre Cinq – Retour sur terre



Revenue à elle, essuyant le sperme abondant qui macule sa lourde poitrine avec son mouchoir, Méline soupire bruyamment :



Elle rougit un peu :



Paul-Henry sourit béatement :



Le jeune sorcier songe que les beaux gros seins tout doux de Méline sont un argument de poids à retenir pour imaginer sa femme idéale…



Arraché à sa rêverie poitrinaire, Paul-Henry est surpris par cette exclamation. Méline lance une petite invocation qui évapore tous les fluides qui la souillaient. Après une première vérification, la jeune sorcière explique :



Méline continue son nettoyage magique, faisant disparaître chaque trace. Changeant complètement de sujet, Paul-Henry demande :



Les yeux rivés sur les splendides seins oscillants de sa voisine, Paul-Henry secoue la tête :



Ils bavardent encore un peu, comme s’ils se connaissaient depuis un certain temps, puis ils se séparent, comme si rien de spécial ne s’était produit auparavant.




Chapitre Six – Mêlons-nous de melons



Quand Méline revient en catimini dans la chambre, elle est aussitôt accueillie par diverses exclamations :



Prestement, un peu rougissante, Méline referme la porte derrière elle, puis son regard s’abaisse sur ses nouveaux seins :



Méline se gratte l’arrière de la tête :



Faisant celle qui n’a rien entendu, Méline ne répond pas, elle poursuit une autre idée :



Sans complexe, devant la chambrée, elle soupèse ses seins à deux mains :



Coraline s’esclaffe joyeusement :



La réponse fuse aussitôt :



Méline marque une petite pause, puis ajoute avec un petit sourire finaud :



C’est ainsi que la petite vie fort tranquille de Méline prit un nouveau tournant…