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n° 20487Fiche technique18206 caractères18206
Temps de lecture estimé : 10 mn
18/09/21
Résumé:  Une future mariée s’offre une séance photo inhabituelle.
Critères:  ff -lesbos photo
Auteur : Lesbo Lover      Envoi mini-message
La séance photo






Assise en face de Léa à la terrasse de mon café préféré, je la regarde avec une moue dubitative.

Léa, je l’ai rencontrée avec Bastien, son futur mari, lors d’un rendez-vous professionnel destiné à définir les contours de ma prestation pour leur futur mariage.

Photographe amateur, mais passionnée, je commence à me faire un nom avec mon profil Instagram aux publications atypiques qui ont attiré leur attention. Ainsi lorsqu’elle m’a rappelée, j’ai craint un instant une annulation, mais elle m’a vite rassurée, me proposant une rencontre pour me demander « quelque chose ».

Maintenant, j’attends que la jolie brune poursuive, mais elle a du mal, alors je tente de l’aider.



Je vois presque de la panique dans ses yeux et cela me touche. Il faut dire que je suis sous son charme depuis que je l’ai vue en compagnie de son futur mari que j’ai immédiatement détesté, car comme le disait une célèbre chanteuse, la première chose que je regarde chez un homme, c’est sa femme ! Et la jolie brune au carré m’a éblouie au premier regard avec ses yeux bleus qui illumine un visage presque juvénile bien accordé avec sa fine silhouette… mais pour l’instant, elle semble mal à l’aise, cherchant ses mots comme un cancre à un oral d’examen.



Amusée, je regarde différemment cette jeune BCBG qui a une double vie, trompant son prétentieux fiancé. Bien fait pour lui !



Ses yeux brillent à la limite des larmes me donnant aussitôt l’envie de la consoler, mais je reste à ma place, étonnée tout de même de la voir encore tendue malgré mon absence de jugement sur sa situation inhabituelle.



Encore mieux ! Elle fait donc minette avec une copine tandis que son mec est au boulot ou au sport avec ses potes. Elle me plaît de plus en plus cette nana qui pense me choquer alors que j’ai encore dans le nez l’odeur de la toison rousse de Sandra, mon rencard Tinder d’hier !



Elle me sourit tristement puis me raconte…



Elle me fait alors le récit de ses aventures de jeune fiancée modèle qui succombe aux charmes d’une lesbienne experte plus âgée qui va devenir sa maîtresse attitrée avec des moments de passion folle alternant avec des séparations douloureuses.

Elle se confie sans fard comme si on se connaissait depuis des années et je la laisse donc parler sans l’interrompre, consciente que ce moment est important pour elle.



Elle est à croquer avec sa tête de chaton triste me donnant l’envie de me pencher pour déposer un baiser sur ses lèvres teintées de rose pâle.



Elle me regarde légèrement surprise, puis sourit, comprenant avec soulagement que je ne la juge pas.



Le tutoiement paraît désormais, ce qui ne la choque pas.



Consciente du sens ambigu de ma réponse, je guette sa réaction mais je suis vite assurée par son sourire mutin de bon augure.



Je réfléchis un instant avant de proposer un rendez-vous le lendemain que Léa accepte avec un empressement enthousiaste.


Dès son entrée dans mon appartement, je tombe à nouveau sous le charme cette jolie brune que sa robe blanche fait encore plus resplendir. À l’aise, elle regarde autour d’elle, probablement à la recherche d’un studio qui n’existe pas, mon portable dernier cri faisant d’excellentes photos.



Mon ton théâtral la fait sourire, ce qui la rend encore plus craquante si cela est possible !

Un verre d’eau plus tard, nous nous faisons face au salon, devisant comme deux amies alors que le but initial de cette rencontre est tout de même une séance de photo de cul ! Car, appelons un chat un chat : elle ne va pas envoyer une carte postale à sa future ex-maîtresse.



Elle me remercie d’un sourire, m’offrant innocemment (?) la vue du contenu de son décolleté, a priori libre de toute entrave en posant son verre sur la table basse.

Elle croise mon regard, mais ne semble pas s’en offusquer, bien consciente de son charme.



Mon portable à la main, je fais mine de prendre un cliché, attendant son accord pour débuter la séance.



Et le shooting commence. Léa est fraîche, souriante, charmante, voire charmeuse, et si à l’aise devant l’objectif que j’ai du mal à croire en son inexpérience. Les clichés se succèdent immortalisant son sourire, son visage, son cou, et semblent réussis mais manquent indiscutablement du piment inhérent au but avoué de ce rendez-vous.



Ma question semble la surprendre car elle met quelques secondes pour commencer son récit.



Devant l’objectif, elle semble s’ouvrir au fil de ses confidences de plus en plus intimes que j’interromps parfois par une question soudaine.



Son regard bleu azur brille d’un éclat nouveau, comme ravivé par ses souvenirs qu’elle continue à égrener sans pudeur, m’offrant également la vue de ses cuisses bronzées découvertes par sa robe assez courte.

Satisfaite de l’effet produit sur moi, elle ne fait rien pour prendre une pose plus décente, sans doute troublée par ses souvenirs de plus en plus hot.



Je la laisse narrer son aventure piquante qui m’excite autant qu’elle.



Nullement décontenancée par ma demande, elle s’exécute, me permettant de deviner un très probable string quasi transparent masquant à peine une toison brune. Malgré mon expérience des femmes, j’ai d’un coup très chaud, troublée par le spectacle que cette jeune femme m’offre avec une sensualité naturelle que j’essaie de capter au fil des clichés.

J’imagine un bref instant son sexe aussi moite que le mien, me faisant d’un coup perdre pied avec des images torrides en tête, mais je me reprends rapidement, consciente que ce rendez-vous est avant tout professionnel et dont le cachet doit financer en partie mon prochain voyage.



Léa accepte aussitôt, quittant son fauteuil avec une souplesse de danseuse, sa robe reprenant hélas une position plus décente, mais seulement pour un moment…

Debout près de moi, elle semble satisfaite des photos prises depuis le début du shooting, avec une mention spéciale pour la série immortalisant son pubis qui apparaît presque nu à l’écran.



Un instant de magie durant lequel nous admirons toutes deux son sexe à peine masqué par un tissu si fin qu’on devine facilement ses lèvres en dessous.

Je n’avais rien prémédité, mais notre regard échangé après un contact furtif de nos hanches a tout déclenché. L’instant d’après, collée à son corps, je l’embrasse goulûment, les mains impatientes de partir à la découverte de ce corps qui a allumé un incendie dans mon string.

Léa se laisse bloquer sur le plan de travail sur lequel je l’installe, notre différence de gabarits permettant cette acrobatie. Mes mains se glissent aussitôt sous sa robe la relevant pour accéder à ses cuisses fuselées que je caresse presque fébrilement avant de remonter à la découverte de son string aussi chaud que le mien.


Léa sursaute au premier contact, dévorant ma bouche de plus belle tandis que j’essaie de maîtriser ma caresse dans cette position inconfortable mais excitante. La dentelle est douce, chaude, et si fine qu’elle paraît absente, me permettant d’apprivoiser ce sexe inconnu qui me fait déjà mouiller.

Léa se tortille sous la caresse gémissant tout en poursuivant notre baiser presque violent.


Maintenant, mes doigts impatients glissent sous l’élastique, découvrant une toison courte qui masque à peine ses lèvres désormais sans protect. Désormais, ma maîtresse blottit sa tête dans mon cou, m’indiquant clairement qu’elle est à moi, au moins pour ce moment de folie. Son physique presque juvénile est troublant, mais c’est bien un sexe féminin trempé de désir que je câline maintenant, prenant soin de la maintenir en fusion le plus longtemps possible.

Son corps vibre de désir au rythme de mes doigts qui frôlent, pressent ou agacent selon une partition improvisée mais dont le final est immuable : je veux la faire jouir là, à côté du grille-pain qui n’avait jamais eu de voisine aussi sexy.


Elle sursaute lorsqu’un, puis deux doigts pénètrent son sexe trempé tandis que mon pouce frôle son clitoris. Je tente de me maîtriser mais l’excitation est trop forte, et tel un homme accélérant le rythme en sentant l’éjaculation inéluctable, je la doigte bientôt frénétiquement dans un bruit humide caractéristique à peine couvert par ses gémissements.


Je sens son vagin se contracter juste avant qu’elle crie, la bouche collée à mon cou et le bassin agité de spasmes libérateurs. Elle tremble de tout son corps, m’agrippant comme si sa vie en dépendait, puis me remerciant d’un baiser fougueux alors que j’ai encore les doigts dans sa fente poisseuse.

Son maquillage léger a coulé lui donnant l’air d’être d’une gothique débutante, mais elle reste si belle que je l’entraîne vers ma chambre où nous nous jetons sur le lit en string, le court trajet nous permettant de jeter au loin nos habits superflus.


Nous rions comme deux enfants qui chahutent avant que le désir reprenne le dessus nos bouches collées et nos mains exploratrices. Son corps est réellement fin, sans être maigre, avec deux petits seins que ma bouche découvre en primeur leur vue à la dérobée lors du shooting m’ayant déjà largement ouvert l’appétit. Ma langue part à l’assaut de ses pointes dressées si sensibles que Léa gémit aussitôt se contentant pour le moment de caresser mon dos de manière désordonnée, atteignant parfois mon string devenu gênant à force de me frotter au sien. Il me tarde d’ailleurs de goûter enfin ce sexe dont la mouille poisse mes doigts depuis son premier orgasme et dont l’odeur m’enivre déjà.


Léa se laisse lécher les aréoles avec une passivité excitante, me donnant envie de profiter d’elle à fond. Après tout, c’est peut-être la seule fois où je ferais l’amour avec elle !


Soudain, je saisis ses poignets pour lui maintenir les bras tendus au-dessus de sa tête profitant de sa cambrure pour lui aspirer les pointes entre mes lèvres pincées. Elle gémit sous le double effet de la caresse et de sa position presque soumise à mon désir que j’ai du mal à canaliser. Ma bouche devient fébrile, presque brusque, mordillant vivement ses pointes pour le plus grand bonheur de ma maîtresse.



Sa voix presque enfantine contraste avec les réactions de son corps sensuel offert à tous mes désirs désormais. Je m’attarde encore un peu sur son petit tour de poitrine puis ma bouche glisse lentement le long de son corps en sueur vers son string diaphane qui masque à peine sa toison brune. Lasse des vulves lisses, je redécouvre avec plaisir depuis quelques mois les pilosités pubiennes, qu’elles soient rousse comme Sandra hier soir, ou brune comme Léa.

Elle se cambre davantage lorsque je lèche la dentelle moite puis se tortille franchement au contact de ma langue avec ses lèvres sensibles tentant en vain de libérer ses poignets de l’étau de ma main ferme.



Excitée par cette nouvelle saveur, je la dévore plus que je ne la déguste, atteignant rapidement un niveau d’excitation tel qu’un hommage mutuel s’impose.

Libérant ses mains je grimpe sur elle, m’installant tête-bêche pour lui offrir mon sexe blond qui ne demande qu’à être câliné sans attendre, et mon vœu est exaucé. Léa écarte mon string pour lécher presque timidement mes lèvres trop grosses à mon goût me faisant aussitôt gémir si fort que j’en abandonne un instant son sexe délicieux, mais rapidement nous trouvons notre rythme, adaptant nos caresses aux réactions de l’autre tout en étant conscientes que cette harmonie sera brisée dès que le premier orgasme surgira. Et c’est moi qui craque la première libérant d’un coup toute la tension sexuelle accumulée depuis son arrivée dans mon appartement.


Je jouis, la bouche collée à sa cuisse, laissant probablement une trace qu’elle devra sans doute expliquer à son mec, mais je m’en fiche. Le bassin maintenu sur sa bouche par ses mains finalement pas si fragiles, je suis agitée de spasmes successifs accentués par sa langue pointue.


Plus tard, je reprends pied, l’attention attirée par un mouvement près de mon visage. Léa se caresse doucement probablement frustrée par mes caresses avortées, et loin de me fâcher, ce spectacle me ravit.

Elle me sourit, belle comme un cœur, une main dans son string et l’autre sur un sein, les yeux rivés aux miens comme dans l’attente d’un mot de ma part.



Ces paroles la rassurent, lui donnant le feu vert à cette masturbation inattendue, mais bientôt si intense qu’elle ferme les yeux, respirant au rythme de ses mains.

Profitant de son abandon, je quitte discrètement la chambre, revenant avec mon portable destiné à lui voler des clichés supplémentaires. Toute à son affaire, elle ne remarque rien, poursuivant sa quête du plaisir avec une vigueur et une détermination telle que j’ai juste le temps de prendre quelques photos qu’elle jouit, une main bien ancrée dans son string et l’autre crispée sur le drap.


C’est beau une femme qui se masturbe !


Émue, comme toujours devant ce spectacle, je l’admire en silence, me contentant de répondre à son sourire lorsqu’elle reprend pied peu à peu.


Plus tard, allongées nues sur le lit à peine refait, on se câline tendrement, conscientes d’une pause nécessaire et propice aux confidences.

Sûre de mon effet je me propose de lui montrer les dernières prises de vue, jouant la carte de l’humour.



Le cliché en question immortalise sa main dans son string sans aucune ambiguïté sur son intention.

Se reposant sur son coude le regard brillant de malice Léa me regarde étonnée.



Son air de petite fille désolée et cette confession inattendue transforment mon agacement naissant en une vive curiosité.



Amusée d’avoir été démasquée, je commence à comprendre son scénario, mais je la laisse poursuivre.



Consciente de m’avoir tout de même manipulée, elle se blottit contre moi, murmurant d’une voix enfantine.



Mais ma bouche, s’emparant de la sienne, me contredit aussitôt pour un baiser langoureux, prélude d’une nouvelle étreinte qui nous amènera si tard qu’elle restera dormir, précipitant ainsi l’annulation d’un mariage bien mal embarqué.