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Les retrouvailles avec mon homme

Nous sommes un samedi de décembre, nous ne nous sommes pas vus depuis très longtemps. Je suis excité, frémissant à l’idée de te revoir.

En bas de chez toi, dans l’entrée, je me mets entièrement nu, comme d’habitude. Je veux me présenter à toi totalement offert. Je monte les escaliers. Tu es debout dans ton salon, torse nu. Je suis très heureux de te voir, je viens jusqu’à toi en marchant doucement à genoux et en te regardant dans les yeux.

• — Tu m’as tellement manqué, mon homme, j’ai envie de toi.

Je m’approche jusqu’à tes pieds. Je caresse tes jambes, tes cuisses. Je commence déjà à gémir doucement de plaisir. J’enlace tes cuisses et les embrasse. Ma bouche monte vite jusqu’à ton entrejambe. J’embrasse ton sexe à travers ton pantalon, je le lèche. Mmmh, ce si bon sexe !

Je caresse tes fesses et continue à embrasser ton entrejambe, je me caresse le visage dessus, je te regarde, je me cambre. Tu le sais déjà mais je veux te montrer à quel point j’aime ton corps, à quel point je veux t’offrir le mien.

Je me relève doucement. J’embrasse ton ventre, ton torse, tes épaules. Je caresse ton dos. J’embrasse ton cou. Je caresse délicatement mes joues sur les tiennes, tu m’enlaces et nos lèvres se rapprochent. Nous nous embrassons tendrement, nos langues s’enroulent. Je me colle à toi, tu me prends les fesses à pleines mains. C’est bon. Je suis surexcité.

Je me place debout contre la table de ton salon.

• — Viens contre moi, mon chéri.

Je veux te sentir contre moi, sentir ton membre gonflé contre mes fesses. Mmmmh, tu me plaques contre la table et te frottes à moi. C’est déjà tellement intense. Tu tires doucement ma tête en arrière pour m’embrasser, ta langue force et fouille ma bouche. Mmmh, oh oui ! Montre-moi ton envie, domine-moi mon chéri.

Je me cambre et fais des mouvements de bassins, comme pour te branler avec mes fesses à travers ton pantalon. Comme je me sens bien ainsi, nu dans ton salon, contre ta table, tu te frottes contre mon cul. Je suis tout mouillé de plaisir, c’est ton cas aussi.

• — Enlève ton pantalon, j’ai trop envie de la sentir.

Tu t’exécutes. Je me penche contre la table, tends mes fesses en l’air, tu en fais ce que tu veux. Enfin, je sens ton sexe nu contre mes fesses. Mmmh. Tu frottes ton gland partout, tu te rapproches doucement de ma raie.

Je pose ma tête contre la table et je prends mes fesses à deux mains pour les écarter. Je veux que tu sois au plus proche de mon intimité, je t’offre ma rondelle surexcitée, elle est à toi. Tu ne tardes pas à passer ton gland dessus… Quelle belle caresse, mon chéri !

• — Mmmh, vas-y, branle-toi entre mes fesses.

Au bout d’un moment, tu t’accroupis derrière moi. Je sens des baisers sur mes fesses, puis une langue sur mon trou. Mmmmh, quelle bonne sensation ! Cela me procure beaucoup de plaisir. J’ai envie de te rendre ce plaisir au centuple. Ma rondelle frémit, mes fesses s’agitent, c’est bon. Je gémis. Ce faisant, ma bouche s’ouvre instinctivement, je passe ma langue sur mes lèvres, j’ai trop envie de te sucer. Tu me titilles à fond la rondelle… Oh, comme ça m’excite !

Je me relève doucement, me retourne. Nous nous embrassons encore. Je plie doucement les jambes, j’embrasse à nouveau ton torse puis ton ventre. Je suis tout contre toi et sens ton sexe contre mon corps. Mon visage est maintenant juste au niveau de ton membre. Mmmm, enfin !

Tu es tout mouillé d’excitation. J’essuie cette mouille contre mes joues en te regardant. Quelle belle caresse que de sentir ton beau sexe viril sur mon visage ! Je n’en peux plus. Mes lèvres embrassent ton gland puis l’enfournent doucement. J’ouvre grand la mâchoire mais serre les lèvres pour te procurer le maximum de sensation. Que c’est bon de t’avoir en bouche ! Je fais de nombreux aller-retour, ma bouche s’agite autour de ton membre, sans les mains qui, elles, caressent tes fesses. Quel plaisir ! Je te suce, encore et encore, comme si c’était la première fois, jusqu’à en perdre le souffle. Je dois m’arrêter pour respirer, mais en profite pour te lécher doucement les couilles en te regardant dans les yeux. Puis je reprends de plus belle ton sexe en bouche, tu t’enfonces entièrement en moi, jusqu’à la gorge. Mon visage plaqué contre ton ventre, ton sexe en moi, ma langue s’agite pour caresser ta hampe. J’essaye de tenir de longs instants ainsi… le plus longtemps possible tellement c’est bon. Je fais de tout petits va-et-vient pour que ton gland frotte contre ma gorge. Quelle sensation unique de plaisir intense partagé ! J’ai la bouche prise comme jamais !

J’ai maintenant envie de te rendre la pareille de ce dont tu m’as gratifié tout à l’heure. Avec mes mains, je te fais doucement tourner pour me présenter tes fesses. J’ai envie de les lécher. Je m’y applique, à la fois tendrement et fougueusement. Bien vite, mon visage se retrouve juste entre tes deux fesses, dans ta raie. Je sors la langue pour trouver ton petit trou. Je le lèche, je l’embrasse, je veux te procurer beaucoup de plaisir. Tu aimes ça, je le sens bien. Ma langue rentre doucement dans ton trou, au plus profond de ton intimité. C’est bon et intense de lécher ton cul !

Après quelques minutes ainsi, je reviens à ton sexe… Quel bonheur de te faire des fellations ! Tu me fais bien saliver. Je suis tout humide également. C’est le moment.

Toujours avec ton sexe contre mon visage, je te regarde.

• — J’ai envie de toi, je veux te sentir en moi, prends-moi mon chéri, au naturel, sans capote, je veux que tu jouisses en moi.

Tu me prends par la main pour me relever, m’indiques ta chambre. Je passe devant toi, tu me regardes. Je me tâte les fesses, je m’exhibe en marchant.

• — Comment veux-tu me prendre ?
• — Pas tout de suite, allonge-toi.

Je m’exécute et m’allonge sur ton lit, sur le dos.

Tu me rejoins, tu t’allonges sur moi. J’écarte les cuisses pour que tu te places entre elles. Mmmmh, c’est bon de sentir ton poids sur mon corps ! On s’embrasse encore, on se caresse, nos bassins s’agitent. C’est comme si nous faisions l’amour en missionnaire. C’est intensément sensuel. J’écarte les jambes et serre mes cuisses autour de ta taille. C’est une super position, je veux être pris comme ça.

• — Donne-moi ton sexe, je veux le lubrifier.

Tu te relèves, tu te mets à califourchon sur moi, tu enfonces ton sexe dans ma bouche que tu prends sans ménagement. C’est très intense pour moi j’adore, tu es sur moi, je ne peux pas bouger et tu pilonnes ma bouche telle une chatte, j’adore. Je salive beaucoup.

• — Je vais te prendre maintenant, je vais enfin t’inséminer de ma bonne crème.
• — Oh oui, tout de suite s’il te plaît, prends-moi !

J’écarte les jambes et relève mon bassin pour te présenter mon trou. Je suis tout humide.

• — Vas-y, prends-moi fort, entre en force, fais-moi mal, tu es mon homme, fais-toi du bien dans mon cul !

Tu ne te fais pas prier. Je sens immédiatement ton gland sur ma rondelle, tu avances fermement le bassin pour rentrer. Mmmmh, han, quelle sensation incroyable ! Ça fait mal mais ça fait du bien en même temps. Tu me déchires l’anus, c’est trop bon. J’écarte au maximum les cuisses et place mon bassin dans l’alignement de ton sexe. Han, je te sens prendre possession de moi. Mmmmh, quelle bonne bite bien raide tu as ! Mon cul est comblé.

Tu as maintenant rentré chaque centimètre de ton sexe en moi, tu te penches vers moi pour m’embrasser et aussitôt tu commences à me bourriner. Mmmmmh, je gémis très fort. Ta langue est dans ma bouche, mmmmmh ! Han ! Oh putain, je n’ai jamais connu de sensation aussi forte. Nous sommes en totale complicité. Je m’abandonne totalement, je suis pris et défoncé par mon homme, c’est magnifique !

• — C’est trop bon mon chéri ! Encule-moi, fais-moi l’amour.

Tu me prends tellement bien, je te sens si fort en moins, si au fond, mon cul est complètement distendu par les va-et-vient incessants de ta bite à l’intérieur.

• — Han ! Je vais jouir.
• — Oui, vas-y, jouis au fond de moi !

Tes coups de boutoir redoublent, ta bite s’enfonce loin et fort.

• — Rhhaaa, han, c’est trop bon, je jouis.

Je me branle pour jouir en même temps que toi. Mmmmmh, j’imagine tes jets de sperme abondant qui déferlent en moi, je jouis fort également sur mon torse. Vas-y mon homme, jouis bien, j’aime ça.

Nous sommes tous les deux haletants. Tu sors de moi et tu t’allonges à mes côtés. On s’embrasse tendrement. Je prends en main ton beau sexe qui m’a procuré tant de sensations. Je le branle doucement, il est tout humide. Nous prenons quelques minutes ainsi pour reprendre des forces.

J’ai maintenant envie de te sucer encore un peu, de laver ton sexe avec ma bouche. Je m’installe confortablement pour te prendre dans ma bouche, très délicatement. Tu continues de te reposer. Ta bite est belle, elle a bon goût, un goût de sexe intense, d’effluves mêlés. Oh, quelle jouissance ! Quelle bonne baise !

Après quelques minutes à sucer et lécher ton sexe, tes couilles et ton cul, il est temps pour moi de partir.

• — Je dois y aller maintenant, merci, mon chéri.

Nos langues s’enlacent une dernière fois puis je quitte la chambre, je descends me rhabiller.

J’enfile mon pantalon sans remettre mon boxer. J’ai ton sperme en moi, il va finir par sortir hors de mes fesses. Je veux le sentir couler le long de mes cuisses pendant que je suis dans la rue, dans ma voiture. Mmmmh, je veux sentir que ce jour j’ai été bien pris par mon homme, qu’il en a bien profité, et qu’il en profitera encore de nombreuses fois.