n° 20554 | Fiche technique | 14554 caractères | 14554Temps de lecture estimé : 9 mn | 28/10/21 |
Résumé: Incitée par son mari à pratiquer le triolisme, elle y trouve largement son compte. | ||||
Critères: fhh asie candaul -candaul | ||||
Auteur : Alceste21 |
Kim ne payait pas de mine. À la voir, toute menue dans son corps estampillé « Made in Asia », les hommes, par facilité ou par manque de perspicacité, la prenaient souvent (trop souvent…) pour une petite poupée thaïlandaise, sans plus de caractère ni de force qu’une « petite Tonkinoise », voire qu’une « mousmée » sans cervelle. Mais les drames de sa vie avaient fait de Kim une femme tenace, dure au mal, mais dévouée à ses intérêts et, plus concrètement et plus crûment, aux intérêts de son cul. Son mètre soixante, sa taille mince, ses petites fesses et ses petits seins indemnes de toute gravité aimantaient, depuis toujours, les hommes, leur bouche, leurs mains et leur sexe.
Soucieuse de jouir de la vie, malgré le temps qui passe (malheureusement trop vite…), elle s’était assurée d’une position stable : après l’avoir laissé baver quelques semaines, elle avait « consenti » à épouser Simon. À la tête d’une florissante petite entreprise, il survenait largement à ses besoins matériels, mais peinait à satisfaire ses besoins physiques. Elle s’était donc octroyé le droit d’accueillir dans ses mains, sa bouche, ou son bas-ventre (sans trop se soucier du choix de la porte d’entrée…), tout homme qui lui plaisait, au gré de son appétit, de sa fantaisie ou de son humeur.
Un beau soir (une nuit…), son mari, au retour d’un repas d’affaires manifestement bien arrosé, se montra très câlin et, contrairement à ses maladroites habitudes en matière de sexe, et bien qu’excité comme un pou, il se montra moins expéditif que d’habitude (l’alcool ???) et, cette fois-là, elle n’eut nul besoin de feindre le plaisir.
Le lendemain matin, en sortant de son sommeil, il la réveilla en laissant traîner ses mains sur les appas de la belle, puis il glissa à nouveau son sexe en elle et, entre deux mouvements de son bassin, encore excité par ce qu’un fournisseur lui avait raconté la veille, il lui demanda :
Surprise par la soudaine audace de son mari, Kim ne répondit rien, permettant ainsi à Simon de poursuivre en croyant avoir éveillé l’intérêt de son épouse et, accentuant l’ampleur des mouvements de son sexe en elle, il poursuivit ce qu’il croyait être son avantage :
« Quel con ! » pensa Kim… Sans qu’il ne s’en doute, elle baisait avec presque tous ceux qui bandaient pour elle et, non seulement, il ne se rendait compte de rien, mais, en plus, il lui demandait, très gentiment, de faire ce qu’elle faisait déjà… Ce matin même, elle s’était jetée sur un jeune livreur, qu’elle avait entraîné dans une remise. Très excité, il l’avait écrasée contre le mur, en la clouant littéralement de son vit aussi jeune que vigoureux, tout en lui dévorant les seins, au risque de les marquer au fer rouge de ses dents avides… Il avait très vite joui en elle, la laissant insatisfaite. Elle avait dû prendre ses responsabilités et, sous l’effet des lèvres de Kim, la verge du jeune livreur avait très vite (Ah… l’enthousiasme de la jeunesse…) repris forme guerrière pour, cette fois-ci rendre un plus long hommage à la chatte de sa maîtresse, qui dut se mordre très fort les lèvres pour ne pas alarmer de ses gémissements, puis de ses cris, l’ensemble du personnel laborieux occupé dans l’entrepôt de son mari…
Mais craignant de fragiliser sa position conjugale, elle préféra ne rien répondre, laissant Simon dans les affres de l’incertitude, balançant entre les frissons que la tentation candauliste avait réveillés en lui et la crainte de choquer celle qu’il croyait vertueuse…
Il se le tint pour dit pendant quelques (trop) longues semaines, mais ne put s’empêcher de réitérer sa demande. Cette fois-ci, Kim sembla l’écouter, d’abord distraitement, puis fit mine de réfléchir, lui fit répéter sa proposition, et son intérêt pour « la chose ». Après qu’il l’eut assurée de son amour et rassurée sur la solidité de son statut d’épouse unique, elle lui sourit timidement et, feignant céder aux désirs de son maître, « pour lui faire plaisir, parce que, elle… », elle accepta de tenter une expérience triangulaire.
Trois jours plus tard, Simon entreprit de recruter un homme, via internet. Dans sa hâte, il ne perdit pas de temps sur le profil du futur amant de sa femme et convint avec Dimitri (qui venait d’être libéré, tout récemment d’un hébergement forcé dans un établissement national) d’un rendez-vous, le samedi suivant, dans un hôtel discret des environs.
Le samedi soir, Simon et Kim se rendirent donc à l’hôtel, montèrent dans la chambre que Simon avait réservée, se dévêtirent, revêtirent un peignoir, et attendirent… Simon, fébrile, arpentait la pièce, mais Kim, réfugiée dans son rôle de femme vertueuse mais soumise à son époux, restait sagement assise sur le fauteuil en face du lit (c’est là que, bientôt… Et j’espère que mon pauvre cocu aura bien choisi le mâle qui…).
La réception annonça une visite, et un court instant plus tard, Dimitri frappa à la porte et entra.
Pour avoir été privé, pendant longtemps, de tout corps de femme, Dimitri était disposé à honorer quelque femme que ce fût, mais là, en face de Kim, pudiquement vêtue, il se prit à l’imaginer nue, tiède sous son peignoir, et, surpris par sa tenue légère, la salua d’un maladroit « Bonjour madame ». Il retrouva promptement ses esprits et admira complaisamment cette beauté un peu froide en apparence, mais aux mignons petits seins qui brûlaient d’échapper au peignoir, aux hanches étroites, mettant Kim mal à l’aise devant ce si indiscret examen de sa personne. « Je ne suis pas ici pour jouer au scrabble, mais je le supposais plus distingué… »
Il referma la porte. Avec quelques réticences, Kim, gênée d’être nue dans son peignoir en face de cet homme vêtu, à l’air de « bad boy », lui répondit timidement. Elle lui tendit une main, mais fut toute surprise quand, sans plus de formalités, il l’attira vers lui et l’embrassa. La regardant droit dans les yeux et la couvant d’un regard lourd, il passa son bras autour de sa taille mince pour la presser contre son ventre durci par les abdos. Il ouvrit de sa langue la bouche de Kim, et sa langue y pénétra lentement.
Kim, surprise par cette invasion, plus habituée à provoquer le désir des hommes qu’à lui céder, se laissa faire, parce que, pour la première fois, elle avait l’impression d’être la femelle d’un mâle qui la dominait ! Ses yeux rencontrèrent ceux de Dimitri, y lurent son désir, et son ventre sentit le rut du mâle qui se pressait contre lui… Il l’embrassa brutalement. La langue qui s’enfonçait dans sa bouche l’empêchait de parler (mais qu’aurait-elle pu dire ?). Le baiser dura et elle fut surprise d’accepter si facilement la langue de cet homme dans sa bouche, et d’y prendre goût, intensément… Et Kim, bouleversée par ce baiser, passa ses bras autour du cou du soudard, pressa son ventre contre le sien pour en savourer la dureté, et pressa sa langue contre de celle de Dimitri.
Alors, les mains de Dimitri se firent plus audacieuses, écartèrent le peignoir et s’y glissèrent pour caresser les fesses de la femme, en apprécier la fermeté crispée, puis remonter le long de son dos, jusqu’à sa nuque, qu’elles effleurèrent légèrement. Ensuite, elles se glissèrent dans l’échancrure du peignoir, dépoitrailla Kim et donnèrent l’assaut à ses petits nichons pour les effleurer lentement, délicatement mais fermement, les empaumer, en en savourant la moelleuse fermeté, puis elles se mirent à jouer délicatement avec ses tétons, les titillèrent sans vergogne et, baissant la tête, Dimitri les suça, les téta, les mangea avec gourmandise.
Kim s’abandonnait doucement, langoureusement à la sauvage virilité de Dimitri, dont les mains poursuivirent leur avantage, se détachèrent des seins et descendirent jusqu’au ventre pour se poser sur le pubis, faisant profondément soupirer la femme conquise. Toujours maître de ses lèvres, il la poussa contre le mur et ses doigts trouvèrent le clitoris qu’ils caressèrent jusqu’à provoquer un premier orgasme, signifié par un petit cri, avant de pousser plus loin et s’aventurer dans la grotte qui commençait à s’humidifier. Conquérant, il enfonça gaillardement son majeur dans la fente, arrachant un nouveau cri. Puis son doigt explora consciencieusement la chatte de la femme qui ne se retenait plus et qui, collée contre lui, la tête sur son épaule, haletait, gémissait, criait dans l’oreille de l’homme…
Kim lui ouvrit la braguette et sa main prit possession de la queue, maintenant à l’équerre…
Sans attendre de réponse, Dimitri la pénétra brutalement, debout, et Kim, flattée par la vigueur du membre du soudard, salua son entrée en elle par un « Oh… », puis remercia la pénétration par des râles remontés du fond d’elle.
Simon se sentait exclu et voulut intervenir en écartant Dimitri du corps de Kim, pour, au moins, avoir accès à ses seins. Mais elle le repoussa et, entre deux gémissements, elle reprit son regard arrogant et lui dit :
Debout, Dimitri la ramona quelques minutes, puis il l’entraîna, jusqu’à la chambre conjugale pendant que la main de Kim ne lâchait pas la queue de ce diable d’homme.
Kim, dans son délire érotique, ne résista pas au plaisir de se venger de tant d’années de soumission et se décida à profaner la chambre conjugale, parce que sa chatte brûlait de recevoir à nouveau ce robuste mandrin qu’elle serrait dans sa main. Elle jeta un regard de défi à Simon et guida Dimitri vers le lit, s’y allongea sur le dos, leva les jambes pour inviter son amant à s’allonger sur elle et mettre à nouveau son sexe dans son vagin maintenant bien lubrifié, sans cesser de gémir.
Emportée par un délire sexuel, Kim ahanait au rythme des coups de boutoir de Dimitri. Soudain, elle fut envahie par une sensation inconnue, un éclair, une vague, bien plus forte que ce qu’elle n’avait jamais connu avec Simon ou quelques autres amants, qui l’envahit, remontant du fond de son ventre jusqu’à sa poitrine, sa tête, qu’elle exprima par un cri rauque, sauvage… Elle jouissait, comme une folle, et son cri surprit Dimitri qui ne se retint plus et expédia son plaisir dans le ventre accueillant qu’il avait si gaillardement besogné.
Kim avait complètement oublié Simon.
Justement… Choqué par le manque de respect du sanctuaire conjugal, il avait renoncé à les suivre, mais quand il entendit un long cri, rauque, émis par Kim, il se rua dans la chambre et la vit nue, allongée sur le dos, et Dimitri, immobile, allongé à ses côtés, qui lui caressait les seins comme pour la consoler d’avoir éjaculé. Deux corps nus enlacés sur le lit… Ses beaux petits seins caressés par les mains d’un homme, des doigts qui jouaient avec ses tétons, ses jambes écartées, qui laissaient couler le plaisir de l’homme… Il avait désiré voir sa femme se faire baiser par un autre, et il n’avait pas eu la force de les regarder…
Kim, les yeux fermés, digérait, savourait avec gourmandise l’un des plus violents orgasmes de sa vie, et ne se sentait nullement honteuse d’être sur ce lit, allongée, nue, contre un homme dont le sexe avait si bien satisfait son vagin et qui l’avait fait jouir si fort. « C’est Simon qui l’a voulu », se dit-elle…
Simon ne voyait que ça : un homme nu, couché à côté de son amour, son vit dégorgé, encore luisant du plaisir de sa femme. Rouvrant les yeux, Kim découvrit son mari qui les regardait, l’air totalement perdu. Dimitri lâcha les nichons de Kim et s’adressa à Simon :
Simon sortit se servir un verre d’alcool et revint, terriblement excité par la scène… Il bandait à en avoir mal.
Dimitri savourait et se remit à caresser les seins de Kim, tout en lui demandant :
Excité par la situation, il sentait à nouveau son sexe se gorger de sang, et saisit la main de Kim pour le caresser. Kim sentait dans son ventre renaître le désir et, se faisant chatte, elle l’encouragea à revenir en elle, lui tendit ses lèvres et lui dit :
Simon s’approcha d’eux, tenta d’embrasser sa femme, de la caresser. Kim, dont le sexe recommençait à être envahi par la queue de Dimitri, regarda son mari d’un œil froid, souligné par un sourire ironique, et elle lui dit :
Encouragé par les mots et la chaleur de la chatte de sa maîtresse, Dimitri reprit sa course effrénée dans son ventre, sous le regard abruti de Simon, jusqu’à l’explosion commune des deux amants, célébrée à grands cris.