n° 20564 | Fiche technique | 34173 caractères | 34173Temps de lecture estimé : 19 mn | 02/11/21 |
Résumé: Dans le village où a grandi Louisette, ma jeune compagne, sévit un vieux cordonnier moustachu dont tout le monde s’accorde à dire qu’il est libidineux. | ||||
Critères: fh hplusag cadeau fsoumise fellation pénétratio -dominatio | ||||
Auteur : Patrik (Carpe diem diemque) Envoi mini-message |
Une petite histoire lointainement inspirée d’une anecdote lue sur le web.
Bonne lecture : )
Dans le village où a grandi Louisette, ma jeune compagne, sévit un vieux cordonnier moustachu que tout le monde s’accorde à dire qu’il est libidineux. Ayant moi-même rencontré par deux fois cet artisan, je dirais qu’il est plutôt libertin et qu’il ne s’en cache pas, mélange joyeux d’anarchiste, de joyeux drille et libre esprit. Mais dans les petits villages, sortir de la norme n’est pas bien vu, ce qui explique les réputations parfois largement surfaites. Ne dit-on pas que l’accorte boulangère couche avec tout ce qui bouge ? En réalité, elle a juste eu deux amants dans sa vie, en plus de son mari légitime. J’en sais quelque chose puisque j’ai été l’un des deux. Mais ça commence à dater.
Revenons à nos moutons, ou plutôt à nos chaussures.
Comme ce cordonnier est célibataire et sans complexe, il aime draguer à tout va, peu importe l’âge, et pas forcément avec subtilité. D’après des « on-dit » rapportés par ma compagne, je pense que le bonhomme ne doit pas détester choquer son monde et que ça l’amuse d’en rajouter une couche, en vieil ours mal léché.
Notre cordonnier a peut-être mauvaise réputation concernant ses mœurs, mais il travaille bien, très bien même. Pour preuve les diverses bottes et bottines de Louisette et quelques chaussures pour moi. Vu son âge, cet artisan pourrait prendre sa retraite, mais il continue malgré tout. Sans doute une façon pour lui de voir du monde et de pouvoir discuter avec quelqu’un.
Un beau jour, alors que je suis en compagnie de Louisette, je lâche par amusement :
J’aime les défis, et si on m’en propose un qui me semble amusant, hors norme ou étrange, je saute dessus. Et puis ne dit-on pas que les anciens chaudrons font les meilleurs brouets ? Il ne m’a pas fallu longtemps pour repérer mon cordonnier sur certains sites. Ce fut plutôt facile, il ne se cache pas.
Avant de poursuivre mon récit, je précise divers points de détail : du haut de ses vingt-cinq ans, Louisette pourrait être ma fille. Il est clair et net que je l’entretiens, puisqu’elle n’a pas vraiment de métier, n’ayant jamais eu d’appétence pour les études ni pour le travail manuel pénible. Ma compagne est parfois vendeuse dans des magasins de vêtements ou de parfums, elle fait ci et là des remplacements, mais c’est une façade.
Au début, être une femme entretenue la faisait tiquer un peu, mais quand elle a constaté qu’elle n’aboutirait pas convenablement dans ses études auxquelles elle ne comprenait rien de rien, et que tous les emplois bien payés sans avoir de qualification étaient déjà pris, elle a accepté le deal d’être mon objet de luxe, en quelque sorte.
Alors que j’allais lui répondre, elle poursuit avec un certain sourire :
Ajoutons aussi que nos relations ont une face cachée : elle est parfois ma soumise, et je fais lentement mais sûrement son éducation. Mise en confiance, elle est très docile avec moi, car elle sait que je veille efficacement sur elle, et que je peux lui procurer des sensations inédites et des expériences peu communes.
Louisette est un beau brin de fille, comme on dit. Elle a un côté petite poupée fort agréable, et c’est encore plus saisissant quand elle devient ma soumise : le contraste est prodigieux. À côté d’elle, je sais que je fais un peu déplacé (un euphémisme), même si mes tempes qui blanchissent me donnent un certain cachet. Je sais aussi que notre couple ressemble plutôt celui d’un père et sa fille, voire parfois (quand la lumière m’est défavorable) à celui d’un grand-père et sa petite-fille. Mais avec Louisette, je me sens rajeunir, c’est indéniable.
Il ne m’a pas fallu très longtemps pour nouer contact avec Jacques, le cordonnier. Nous avons quelques points communs, lui et moi, même si l’écart entre lui et moi est sensiblement le même que celui entre Louisette et moi.
Sur le web, le cordonnier m’a raconté ses quelques aventures un peu spéciales qu’il a pu avoir dans la vie, avouant au passage que ça commence un peu à dater. Parfois, il a la joie de lutiner avec des femmes délaissées et pas très jeunettes. Quand vient l’été, il part souvent en goguette sur les plages avec sa paire de jumelles, afin de contenter ses yeux en chair fraîche dévoilée.
Pour ma part, je lui ai confié que j’avais une soumise. Il s’est montré très intéressé, le contraire aurait été étonnant ! Pour prouver mes dires, je lui ai envoyé quelques photos, en censurant le visage de ma compagne. Il a pu constater que l’homme sur les photos était bien celui qu’il voyait sur mon profil. Nous avons même fait par deux fois une petite cam.
Quand on a le poisson au bout de la ligne, on ne se hâte pas précipitamment.
Je marque un petit silence, puis j’ajoute :
Ce que je fais durant un bon quart d’heure. Moyennant quelques consignes bien précises, il aura droit à une soumise dont il pourra abuser chez lui, mais je devrai être présent. Celle-ci aura les yeux bandés, pour des raisons qui me sont propres.
Assez perplexe, Jacques a accepté mon deal, n’y croyant pas trop…
Ce n’est pas la première fois que je livre ma soumise à la convoitise d’autres hommes. Dans le domaine de la domination-soumission, c’est même un grand classique. L’avant-dernière fois, quatre robustes routiers se sont occupés d’elle sur une aire d’autoroute dans la cabine d’un poids lourd et aussi dans l’herbe. Ce fut épique ! Une fois la séance finie, ils étaient déjà en train de faire des plans sur la comète, voulant par la suite livrer ma soumise à d’autres collègues, moyennant finances.
Non, ce n’est pas le but du jeu, un dérapage que je n’avais pas vu venir. Pourtant je fais attention et je sélectionne soigneusement. Louisette m’avait ensuite avoué que ça l’avait amusée puis inquiétée, je la comprends parfaitement. Exit les routiers trop mercantiles !
Revenons à nos chaussures…
Le soir venu, je bande les yeux de ma soumise, et c’est parti pour une séance vers le village de son enfance qui est situé assez près de chez nous. Bien sûr, elle ne sait pas chez qui nous allons.
Louisette a souvent des solutions à tout :
Je me souviens très bien : ce fut une belle séance durant laquelle Louisette a eu droit à quatre hommes pour elle, cinq si on m’inclut. Ils étaient ravis de l’aubaine, et ils se sont déchaînés. Ma soumise a été aussi enchantée de cette passion envers elle.
Le cordonnier habite dans son échoppe, ce qui est pratique. Il est aussi possible de rentrer chez lui par une autre porte située dans une rue perpendiculaire beaucoup plus calme, sa maison formant globalement un L. C’est là que je me gare, à l’abri des regards indiscrets.
Avant de descendre, je lui demande :
Quelque temps après, nous sommes dans son salon. Jacques est assez impressionné, il m’avoue en catimini qu’il n’y croyait pas trop. Il y croit encore plus quand je débarrasse Louisette de son manteau, révélant sa tenue, tout en annonçant :
Collier au cou avec une laisse, ma soumise est vêtue d’une minirobe fourreau noire fort simple, sans bretelles, assez moulante et transparente qui dévoile bien les rondeurs de sa poitrine juvénile. Ce morceau de tissu en forme de cylindre descend au ras de la moule, comme on dit vulgairement. Plus bas, des bas aussi noirs maintenus par un porte-jarretelles assorti et des chaussures de même couleur à talons aiguilles complètent son habillement.
Mon cordonnier en a le souffle coupé, mais pas le sexe qui pointe fortement sous son pantalon. Assez déboussolé, il ne sait pas par quoi commencer. Je vais donc l’aider un peu pour se mettre dans le bain. Plus bas, je relève le tissu noir pour révéler, encadré par le porte-jarretelles, un sexe parfaitement glabre comme se doit d’avoir toute soumise digne de ce nom, un signe d’infantilisation, je n’invente rien.
Le cordonnier s’exclame :
J’arrache à notre hôte un autre compliment :
J’obtiens le deuxième compliment quand je tire le tissu du haut vers le bas, dévoilant deux mignons seins blancs, dont les tétons sont ornés d’anneaux.
Obéissante, Louisette se retourne, faisant voir ses fesses, blanches elles aussi. Tandis que le cordonnier admire le spectacle, je m’approche de lui et je glisse à son oreille :
Il déplace un fauteuil, et il s’assied dedans, bien dans l’axe, continuant d’admirer le popotin qu’il a sous les yeux, puis il se décide, lançant d’une voix ferme :
Obéissante, ma soumise s’exécute sans complexe, s’appuyant sur une chaise que je viens de lui placer sous les mains, révélant mieux ses fesses dodues et aussi sa belle fente glabre. Le senior s’enthousiasme :
Passionné, Jacques se met à toucher les douces fesses de Louisette. Il semble beaucoup apprécier ce contact de cette chair fraîche et soyeuse. Moi, je ne m’en lasse pas depuis trois ans, dont presque deux de vie commune.
Tout en continuant de caresser les courbes de sa soumise d’un soir, le cordonnier s’extasie :
Commence alors un festival de caresses, de petites fessées, de cajoleries sur les fesses offertes de Louisette qui se laisse faire sans aucun souci. N’est-elle pas une soumise ? Elle adore se prêter à ce genre de jeu, et moi, j’adore la prêter pour qu’elle joue. Nous sommes bien trouvés, sans parler du reste que je n’ai pas encore avoué…
Puis, fasciné, il commence à jouer avec les anneaux rivés dans les tétons de ma soumise. En général, la plupart des hommes adorent ce genre de jeu. Ne me demandez pas pourquoi. Je prête parfois Louisette à des hommes, trois précisément mais pas en même temps, dont la seule réelle motivation est de jouer avec ses piercings, sans plus !
On a les plaisirs qu’on peut…
Mon cordonnier s’échauffe de plus en plus. Son pantalon étant devenu trop serré, il a maintenant le sexe à l’air. Je suis assez étonné de sa vigueur. Je pensais avoir affaire à un engin moins au top, vu l’âge de son propriétaire. Un préjugé, je suppose. En parlant de ça, je me souviens d’un certain jeune homme, pourtant fort bien bâti, qui possédait carrément un mini sexe d’enfant. Le contraste était fort entre ce quasi-culturiste et ce qu’il avait entre les cuisses.
Jacques commence sérieusement à s’exciter. Il est à la limite de baver. Par signe, montrant son sexe puis les fesses offertes, je lui explique que Louisette est vraiment à sa disposition. Il marque un léger temps d’arrêt avant de passer à l’étape suivante.
D’une voix impérative, il ordonne sans détour :
Visiblement, l’heure est venue pour ma jeune soumise de vider les couilles bien pleines du cordonnier. D’ailleurs, c’est son rôle. Après avoir été guidée sur un tapi épais, une simili-peau de mouton, elle se met en position. Prestement, l’homme se positionne derrière elle, et sans préambule, il enfonce sa verge bien raide dans une chatte déjà baveuse. Quand l’engin entre en elle, Louisette crie un peu, surprise de cette rapide entrée en matière.
Avec une célérité assez surprenante pour son âge (du moins, je le pense), solidement arrimé à ses hanches, Jacques pistonne férocement ma soumise, entrant et sortant dans une cadence infernale. Le corps de Louisette est secoué comme un prunier. Étonnante vigueur que j’aimerais encore avoir au même âge !
Le mouvement ralentit, mais devient plus ample, plus puissant. Le cordonnier fait claquer bestialement son bas-ventre contre les fesses de sa partenaire. J’ai l’impression qu’il cherche à la pénétrer encore plus profondément, au plus loin.
C’est la première fois que j’entends ce râle de plaisir proche du cri du loup en rut. Fermement accroché à ses hanches, Jacques jouit à fond, propulsant sa semence au plus profond du vagin de ma jeune soumise. Il reste quelques secondes bien au chaud, pour mieux profiter de l’instant présent, puis il décide de se retirer. Son sperme plutôt liquide s’évacue déjà de la fente.
Louisette s’exécute, ses cuisses souillées de fines rigoles de sperme, enfournant la bite avachie entre ses lèvres et commence une sucette dont elle a le secret. Aux anges, Jacques caresse les cheveux de sa suceuse :
Amusé par cette exclamation, j’interviens :
Il se laisse sucer, les yeux fermés, savourant cette douce caresse buccale.
J’adore le double sens de sa réplique, et ce qui m’amuse, c’est que Louisette ignore justement ce double sens. Elle est occupée à choyer comme il se doit la verge qu’elle a en bouche, et elle est experte dans ce domaine, comme un grand nombre de soumises, d’ailleurs. Car l’expérience s’accumule au fur et à mesure des mandrins et des sucettes.
Très vite, l’engin poisseux est nettoyé, ma soumise a toujours été très forte dans ce genre de ménage, mais nettement moins avec un balai ou une serpillière. Dans la vie, il faut choisir. Bah, j’ai suffisamment les moyens d’employer une vraie femme de ménage, me réservant la fausse soubrette que sait si bien être ma compagne pour des exercices en chambre.
Cette fois-ci, le cordonnier entreprend joyeusement Louisette dans un classique missionnaire, tout ce petit monde allongé sur le tapi moelleux. Une fois de plus, il vidange ses réserves dans un étrange cri proche du loup :
On ne change pas quelque chose qui fait son effet : Louisette nettoie à nouveau l’outil personnel du cordonnier avec application. La connaissant, je constate que ça l’amuse, même si elle n’a pas joui. Mais une soumise n’a pas à jouir, elle doit faire jouir, nuance ! Enfin, ça, c’est la théorie, car ma compagne a déjà décollé au septième ciel lors de séances plus ou moins identiques.
Je me contente de sourire. L’enthousiasme de ce senior fait plaisir à voir. J’aurai au moins réussi à égayer ses vieux jours.
Je me contente de rire, et je vois bien que Louisette essaye de ne pas pouffer. Ah ma Louisette, cette parfaite petite compagne ! Je ne crois pas que ce sera avec cet homme que tu jouiras, mais tu sais que c’est partie remise. À chaque fois, après nos séances en commun, il s’est toujours passé autre chose pour compenser en cas de manque…
À bien y réfléchir, Louisette s’est envoyée en l’air quasiment à chaque fois qu’il y a eu pluralité. Le fait d’être désirée, d’être entreprise par plusieurs hommes doit être le moteur de sa libido. Oui, d’ailleurs lors des quatuors, avec un homme bien rivé dans chacun de ses trous, elle jouit comme une petite folle. Quoique, en trio, ça fonctionne aussi très bien pour elle, mais c’est un poil moins flagrant.
Réunissant ses dernières forces, Jacques entreprend à nouveau Louisette à quatre pattes, visiblement sa position favorite, mais je vois bien qu’il y jette son chant du cygne. D’ailleurs, à peine est-il entré qu’il éjacule en un seul jet dans un dernier cri guttural.
Allongé sur le canapé, vidé, asséché, le cordonnier est à présent hors service, tandis que sa soumise d’un soir lape les dernières gouttes de sperme sur ta tige avachie et mollassonne.
Louisette a fait une fois de plus du bon travail.
Affalé sur le canapé, en train de récupérer, il propose que Louisette aille se rafraîchir dans la salle de bain, nous expliquant où elle se situe. Comme ma soumise a toujours les yeux bandés, je la guide. Arrivés sur place, je lui ôte son bandeau.
Soupirant un bon coup, elle cligne des yeux :
Elle sourit, fière d’elle, puis elle se penche sur moi :
Elle se débarbouille un peu, je la regarde faire. J’aime contempler son mignon corps juvénile, ses gestes souples. Tandis que je sors de la salle de bain, elle me demande :
C’est maintenant qu’arrive le moment le plus amusant de la soirée.
Louisette et Jacques se retrouvent nez à nez. Figée sur place, ma compagne écarquille grands les yeux, tandis que le cordonnier s’exclame aussitôt :
Ma soumise devient cramoisie, elle est statufiée. Dommage que je n’aie pas pris de photo de cet instant précis. Je m’approche d’elle sur le côté, lui capturant la taille :
Puis je me tourne vers ma compagne pour lui souffler à l’oreille :
Sur le même ton, elle articule faiblement :
Le cordonnier est à la fois ravi et étonné :
Rouge pivoine, elle proteste :
Nous échangeons rapidement encore quelques mots avant de nous quitter. Louisette reprend petit à petit des couleurs, mais il est flagrant qu’elle n’en revient toujours pas d’avoir baisé avec ce vieux cordonnier. La vie d’une soumise digne de ce nom comporte souvent bien des surprises…
Sur le chemin du retour, tandis que nous venons juste de sortir du village, assise à côté de moi, Louisette me lance d’un air sec :
Impassible, les deux mains sur le volant, je me mets à sourire :
Elle semble bouder. Je relance le sujet :
Elle ne répond rien, mais je crois surprendre un petit sourire fugace en coin sur son visage que je vois de profil. Je connais plutôt ce genre d’expression sur le visage de ma compagne. Nous arrivons à un carrefour, je ralentis et j’en profite pour lui dire :
Je tourne légèrement ma tête vers ma passagère :
Bien calée dans son siège, Louisette se met à sourire joyeusement :
Elle se met à rire :
Louisette marque une petite pause, j’attends la suite, elle arrive très vite :
Je me mets à rire :
Facile à dire, mais difficile à faire dans la pratique. Je réponds :
Elle se met à rire :
Puis ma passagère écarte ostensiblement ses mignonnes jambes, et sans complexe, elle remonte sa petite robe pour bien dévoiler un fruit juteux et fendu que je connais bien. L’instant d’après, elle se doigte sans vergogne !
Nous nous taisons quelques instants, tandis qu’elle continue à se procurer un peu de plaisir, ses doigts agiles s’humectant de plus en plus. Puis après un carrefour puis deux, intriguée, ma compagne se tourne vers moi :
C’est avec naturel que je réponds :
À ces mots, un sourire vicieux s’affiche sur les lèvres rosées de Louisette, qui n’arrête pas pour autant sa masturbation :
Un très bon programme que nous allons nous faire un plaisir d’appliquer tout de suite !