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n° 20571Fiche technique23205 caractères23205
Temps de lecture estimé : 14 mn
09/11/21
Résumé:  Une jeune femme, en quête d’expérience, découvre les amours tarifés, subjuguée par un homme doté d’un sexe hors du commun.
Critères:  fh fhh prost grossexe hotel pénétratio sandwich fsodo
Auteur : ChrisM      Envoi mini-message
Le cobra et la mangouste






Qui, du cobra, dressant sa colonne de chair, ou de la mangouste, vive et rusée, l’emportera ?





Une nouvelle (très librement) inspirée du Livre de la Jungle de Rudyard Kipling.





Depuis hier, je me suis embringuée dans une drôle d’histoire.


J’avais passé l’après-midi en réunion, dans un grand hôtel du quartier Montparnasse, à négocier les détails juridiques et financiers d’un rachat d’entreprise. J’ai l’habitude de telles discussions, étant associée dans un cabinet d’avocats d’affaires. La pression est importante, on ne compte pas ses heures, mais le salaire est à la hauteur des exigences.


La réunion avait été tendue et j’ai eu besoin de décompresser. Je suis descendue au bar de l’hôtel boire un verre. En fin d’après-midi, j’aime le champagne, c’est un vin qui me détend, me libère. J’étais bien, perdue dans mes pensées, sans un regard vers les autres clients du bar.


Avant de remonter en réunion, je passai aux toilettes me rafraîchir. Arriva derrière moi un homme, une cinquantaine d’années, bien habillé. Il sortit un billet de sa poche, me le mit dans la main, m’entraîna dans les toilettes.



Je compris qu’il m’avait prise pour une prostituée attendant le client, alors que j’étais tranquillement assise seule au bar. Encore aujourd’hui, je ne sais pas ce qui m’a pris, je ne suis pourtant pas faible de caractère mais je n’ai pas bronché. Je lui ai ouvert le pantalon, attrapé la queue et commencé la fellation.


J’y ai mis tout mon savoir-faire. Quelques minutes plus tard, il éjaculait et j’ai continué jusqu’à ses derniers soubresauts.



Il se rhabilla et me laissa. Je me regardai dans le miroir avant de remonter. À 37 ans, je ne suis plus une jeunette mais je m’entretiens bien. Quand je suis en déplacement, je m’arrange toujours pour passer du temps dans la piscine ou la salle de sport de l’hôtel. Mon compagnon étant également souvent en déplacement, on ne se voit pas tous les jours, mais on s’entend bien, y compris au lit. Ce qui ne nous empêche pas d’avoir, chacun de notre côté, quelques aventures.


D’avoir été prise pour une pute me perturbait quand même. Pour moi, la prostitution est synonyme de vulgarité, de déchéance, de bestialité, d’objet sexuel. Mais faire une pipe à cet inconnu m’avait donné une bouffée d’excitation que je n’avais pas ressentie depuis longtemps. Je regardai le billet, 50 €. Avec le salaire et les bonus que j’ai, cela ne représente pas grand-chose, mais j’étais satisfaite de moi.



*********



En compagnie de mon patron, je suis de retour aujourd’hui à l’hôtel afin de boucler la négociation. Pour fêter cela, avant de rentrer au bureau, il me propose un verre. Quand nous entrons dans le bar, j’ai un petit frisson. À peine les coupes commandées, mon patron est appelé au téléphone et doit partir précipitamment. Je me retrouve, comme la veille, seule devant mon verre. Je sais que je tente le diable mais je décide de rester.

Peu après, un homme s’approche de moi.



Manifestement, j’ai le physique de l’emploi. Une blonde seule au bar, ce n’est pas une cliente normale. Je le regarde dans les yeux, j’y vois une telle envie, un tel désir que je me décide. Je hoche la tête et le suis dans sa chambre. Il me donne les billets.



Je me mets nue. Il est assis sur le lit, le pantalon et le slip sur les chaussures, pas très sexy. Son sexe est mou, noyé dans ses poils pubiens. Je mets un peu de temps à le faire bander.



Je cherche dans mon sac, par chance, j’en ai une, datant de je ne sais quand. J’ai un peu de mal à lui mettre, j’ai perdu l’habitude.


Il me fait allonger, me triture les seins puis, d’un coup, me pénètre. Je ne peux réprimer un hoquet de surprise, j’espérais un peu naïvement qu’il me préparerait. Puis il me pilonne sans se soucier de moi, tout en marmonnant. Cela dure un moment, je ne sais pas si je dois intervenir ou rester passive.


Puis je sens l’envie monter en moi. Je commence à m’agiter, mon bassin venant à la rencontre du sien, je finis par enclencher une cavalcade telle qu’il a du mal à rester en place. Je l’encourage avec des mots crus, il me répond de même. C’est moi maintenant qui ne me soucie pas de lui. Mon orgasme est violent, un grand flot de mouille envahit ma chatte. Chaque pénétration donnant un bruit de liquides brassés, il ne peut ignorer que j’ai joui. Il éjacule tout de suite après.



Je redescends au vestiaire de l’hôtel récupérer mon manteau et mon ordinateur. Comme je passe devant le bar, le barman me repère et vient vers moi.



Que me veut-il ? Il a remarqué quelque chose ? Une demi-heure plus tard, il me fit signe et nous nous retrouvons à la sortie de l’hôtel.



Je lui emboîte le pas, dès que l’hôtel n’est plus en vue, il s’arrête :



Son studio est à quelques minutes à pied. Une fois arrivés,



J’avais donc été repérée et j’hésite sur la réponse à lui faire. Pendant ce temps, il se désape. Je le regarde, un peu surprise quand il me lance :



Il est maintenant à poil. C’est alors que je vois sa queue : une bite de compétition ! Elle est encore molle, pend le long de la cuisse mais, même au repos, ses dimensions sont déjà intimidantes. Cela me rappelle l’époque où je faisais de l’équitation, quand on allait voir les étalons avec les copines. On dit bien que la taille de la queue ne présage en rien, mais j’ai une furieuse envie de la voir en pleine érection. Le sexe est entièrement rasé, ce qui accentue l’impression de taille, les testicules sont massifs, proportionnés à la queue.



Je vire mes affaires et commence à caresser sa queue. Ma main ne peut pas en faire le tour sans la comprimer.



Sa queue frémit, se relève, son volume augmente. Je suis subjuguée.



Je me baisse et donne quelques coups de langue sur le gland.



La queue grossit encore, il m’est impossible de la prendre en bouche. J’ai la mâchoire grande ouverte et le gland ne peut rentrer. Je me contente de le lécher, de descendre le long de la hampe jusqu’aux couilles. Si le volume de sperme est en rapport avec leur taille, cela promet une inondation, ce qui me fait sourire.



J’arrive tant bien que mal à lui enfiler le préservatif. En voyant ce monstrueux sexe, je me demande s’il ne va pas me détruire l’utérus. Il doit avoir l’habitude de telles interrogations,




Il s’allonge sur le lit, je l’enjambe. Il m’introduit un doigt, puis deux dans le vagin. Je suis trempée.



Il me prend par les hanches, me fait descendre jusqu’à ce que je sente le gland à l’entrée de ma chatte. Je suis tendue, bloquée, dans l’attente de l’intromission. Il me claque violemment la fesse. Surprise, je me relâche et il en profite pour s’introduire dans mon sexe. En appuyant fermement, sur mes hanches, il me fait descendre progressivement. Je sens mon vagin se dilater, comme si on avait gonflé un ballon à l’intérieur, la douleur est sourde. Sa queue n’est qu’à demi rentrée quand il arrive en butée de l’utérus, je sens la chaleur monter de son ventre.



Je reste un moment sans bouger, puis commence à remonter doucement. La chaleur diminue, mais une sensation de manque la remplace. Pendant ce temps, il me palpe, comme un animal de foire.



Je continue de monter et descendre sur sa queue. Chose étrange, je la sens grossir et elle me fait de moins en moins mal. J’accélère progressivement, puis me lâche. Quelques minutes plus tard, je brame comme un animal en rut, il s’agite :



Quand mon orgasme arrive, c’est une tornade qui me ravage, je retombe sur lui.



Je me redresse, toujours emmanchée sur son énorme mandrin. Mon vagin étant très sensible, chaque mouvement me fait tressaillir et je n’arrive plus à me bouger sur sa queue.



Il enlève la capote, place sa queue devant mon visage et se branle à grands coups. Je comprends qu’il va jouir quand il appuie sa queue sur ma bouche. Le gland me faisant un bâillon, je respire avec difficulté par le nez. Quand les premières giclées arrivent, il me bloque la tête. Son foutre envahissant ma bouche, je ne peux pas avaler, je suis en apnée complète, à demi étouffée. Quand il se retire enfin, je peux reprendre ma respiration.



Je frémis à l’idée de me faire sodomiser par un tel outil. Il reprend :



J’acquiesce de la tête.



Ça va vraiment trop loin, je lui donne un prénom bidon, Anna, et un téléphone imaginaire.


Quand je pars, je peux à peine marcher, je ressens chaque pas dans mon vagin. Son sexe me l’avait complètement distendu et je vais avoir besoin de quelques jours pour qu’il revienne au repos. Mais j’ai eu un orgasme du feu de dieu, celui-là sera difficile à oublier.



**********



Deux semaines plus tard, au cabinet, la secrétaire me passe un appel,



Quand l’appel est transféré, j’entends :



J’ai un blanc, j’avais commencé à oublier cette aventure. C’était un très bon coup, mais je ne veux plus le voir, je n’ai aucune envie de faire la pute. Comment m’a-t-il retrouvée ?



Et il raccroche.


Une heure plus tard, je sonne à sa porte. Il m’ouvre, il est complètement nu. Il me tire par la main, me fait rentrer dans son studio. J’essaye de parler :



Tout en me tenant, il commence à se branler.



Je reste figée, hypnotisée par sa queue, elle me paraît encore plus grosse que dans mon souvenir.



Déstabilisée, je me résous à lui céder. Je me déshabille donc. Il s’assoit sur le bord du lit et me bascule sur ses genoux.



Et de m’administrer une monumentale fessée. Il frappe avec force du plat de la main, mes fesses deviennent rapidement rouges, la douleur est cuisante. De me fesser le fait bander, je sens contre mon ventre son sexe durcir et se dresser. Quand il me relâche, je suis sonnée. Il me jette sur le lit, remonte mes jambes sur ses épaules et s’introduit dans mon vagin. Je retrouve la distension de l’autre jour, mais son sexe rentre plus facilement. Il commence à me ramoner, d’abord doucement puis en accélérant. Mon excitation monte, j’aimerais retrouver la jouissance de la première fois. Comme il va de plus en plus rapidement, je lui demande de m’attendre avant de jouir. Mais il se retire, pose sa queue sur ma rosette. J’ai un hoquet, je cherche à remettre sa queue dans le vagin.



Je serre les dents et attends. Il pousse fort et le gland entre. J’ai déjà vu des gravures montrant le supplice du pal, j’ai l’impression d’en être une victime. Il arrive à l’œillet, s’il le passe, il va m’éventrer. Sans se retirer, il fouille dans la table de nuit, en sort un vibromasseur.



Il reprend sa poussée, gagnant un peu à chaque fois, il se retire parfois pour mettre du gel lubrifiant sur sa queue.



Quand il passe l’œillet, la sensation est trop forte, je crois exploser.



Et il s’enfonce droit en moi. Je suis dans un semi-coma, me passant le vibro machinalement. Il entreprend ses va-et-vient, m’enfilant une bonne partie de sa queue. J’ai une fournaise dans le ventre, plus rien d’autre n’arrive à mon cerveau. Quand mon orgasme arrive, il vient de nulle part, je ne l’ai pas senti arriver, je hurle. Peu de temps après, il se retire, vire la capote et m’arrose de longues giclées de foutre.



Une fois que j’ai terminé, il reprend :



Je lui donne mon numéro personnel, il l’enregistre, fait sonner mon téléphone.



Je suis piégée.



********



Dès le lendemain, il m‘appelle pour un premier rendez-vous et je dois me débrouiller pour annuler mes engagements professionnels. Je me rends à l’hôtel, file discrètement dans la chambre indiquée, retrouve le client. Je retrouverai le même scénario deux autres fois : l’homme me demande de le branler, de le sucer, je mets la capote, il me pénètre, s’agite un moment puis éjacule. Je n’en tire aucun plaisir, malgré la bonne volonté que je mets.


Le dernier rendez-vous est spécial :



Quand j’arrive dans la chambre, les deux hommes m’attendent en buvant du champagne. Il n’y a pas de verre pour moi, je ne suis là que pour le cul.


Je commence par les sucer en alternance, puis ils me pénètrent chacun leur tour. C’est quand ils me prennent en sandwich que je commence enfin à prendre mon pied. À partir de là, c’est moi qui provoque les nouvelles combinaisons. Je les ai fait jouir deux ou trois fois chacun, moi je n’ai pas compté mes orgasmes. Au moment de partir, je suis contente d’entendre un gars dire à l’autre :




**********



Le lundi suivant, je retrouve Tony chez lui. De nouveau, quand il ouvre, il est à poil. S’il n’y avait pas sa queue, il ne serait pas très attirant : un peu râblé, ventre bedonnant, jambes fines. Je reste les yeux fixés sur sa bite, dans quelques minutes, il va me la mettre.



Je lui tends l’enveloppe, il vérifie le total et déclare d’un air satisfait :



Ce soir-là, nous faisons la totale. Mon mec étant en déplacement professionnel aux USA pour dix jours, je pourrai me mettre au repos.


Quand nous avons terminé, il me lance :



J’avais repris la main.



**********



La semaine suivante, je le retrouve chez lui. Il est habillé, nettement moins fringant que les fois précédentes.



Il me regarde, l’air un peu ahuri. Et j’ajoute :