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Temps de lecture estimé : 19 mn
11/11/21
Résumé:  Après une nuit intense dans tous les coins de la maison, Ma femme et moi commençons la première journée de notre avenir.
Critères:  grp extraoffre cocus plage caférestau douche amour cérébral trans fist fsodo -transsex
Auteur : Ericcontact            Envoi mini-message

Série : Ma femme Sophie

Chapitre 08 / 08
Ça a l'air bien parti pour

NDLA : J’avais adoré il y a quelques années cette série écrite par SELEUCOS et dont les trois premiers épisodes étaient restés inachevés. N’ayant pas réussi à le contacter pour lui demander son autorisation d’en écrire la suite, j’ai pris le risque et la liberté de le faire.




Résumé des épisodes précédents :

J’avais découvert les infidélités de ma femme Sophie. Après une période candauliste, notre couple était en danger. Un week-end de tous les espoirs et une rencontre extraordinaire changèrent notre avenir. Six mois plus tard, une nouvelle vie dessine un avenir prometteur.








Sophie me regarde par-dessus sa tasse de café. Je repose la mienne, plongé moi aussi dans ses grands yeux. La nuit intense se lit sur nos deux visages.



Je ris doucement. Elle aussi.

Jacques arrive dans la cuisine peu après, et dépose tour à tour un baiser sur le front de Sophie et sur le mien.



Quelques minutes plus tard, c’est Sacha et Miranda qui nous rejoignent. Miranda glisse un baiser à son mari puis à Sophie. Sacha la câline en l’entourant de ses bras et ensuite m’embrasse langoureusement.



Celle-ci rougit. Miranda rit et confirme :



Tout le monde rigole, ma gêne laisse le pas à ma fierté. Sacha change de sujet :



Le regard de Sophie et le mien se croisent, communication non verbale. Je réponds pour nous deux :



Sacha sourit et continue :



Les plans « découvertes » de Sacha étaient toujours plein de surprises. Je prends le bout de papier qu’elle me tend. L’adresse est en bord de mer. C’est prometteur. Le petit déjeuner se termine au son des discussions sur la plus belle calanque et le meilleur sentier. Miranda, Jacques et Sacha s’en vont et Sophie et moi finissons de ranger. Je vais à la douche et me délasse un moment les muscles que les deux furies ont fortement sollicités.

La porte de la salle de bain s’entrouvre et Sophie, nue, me rejoint dans la grande cabine de verre. Sans un mot elle se place contre mon torse, sa tête posée dans mon cou, lovée sous l’eau chaude dans mes bras.

Nous nous laissons enrouler par la chaleur un moment, je savoure le contact de sa peau douce sur moi, de ses seins appuyés sur mon ventre, de sa jambe légèrement fléchie entre les miennes. Elle passe derrière moi, et commence à me laver. Ses mains glissent sur moi, autour de mes épaules, de mon ventre, et je sens mon sexe se tendre. Ses mains se posent dessus.



Une de ses mains continue le lavage de mon corps, l’autre reste sur mon membre désormais bien tendu et le caresse lentement.



Sophie me branle maintenant fermement, et de ses deux mains elle s’active à vouloir me faire jouir sous cette douche sensuelle. C’est moi qui reprends le dialogue :



Je prends ses poignets doucement et me tourne vers elle. Elle me regarde intensément, et à mon tour je passe dans son dos.



À mon tour, je me mets à la laver, mes mains suivent le même parcours que les siennes sur moi : épaules, côtes, ventre, seins. Je m’y attarde plus que les siennes sur mon torse peut-être… Je reprends en même temps mon tour de questions :



Son gémissement est sorti de sa bouche au moment où ma main atteignait son intimité. Je la caresse doucement… elle s’ouvre un peu plus en appuyant son dos contre mon ventre.



Mes doigts glissent entre ses lèvres intimes, les écartant doucement pour libérer son clitoris qui tombe pile sous mon majeur. Je reprends :



Mes caresses deviennent plus appuyées, Sophie se penche un peu et pose ses mains sur la paroi de verre. Elle continue sa presque confession :



Mes doigts la branlent toujours devant, je glisse de mon autre main un doigt entre ses fesses. Une pince géante la tient et elle se cambre encore plus pour m’en faciliter l’accès.



Elle ondule sous mes mains, haletante, et je l’incite à poursuivre :



J’enfonce mes doigts en elle doucement, d’un côté et de l’autre en même temps.

Deux et un, puis deux et deux…



Trois, et trois…



Mes doigts vont et viennent en elles, elle dégouline, d’eau, de tout. Je continue :



Je plante un quatrième doigt dans son anus, elle m’accueille dans un gémissement de plaisir intense… Mon pouce sur son clito et ses lèvres, je m’agenouille et ma main s’enfonce encore, les quatre doigts allants et venants de plus en plus loin.



Je prends un peu de gel douche et m’en applique sur la main qui la fouille de plus en plus.



Mon pouce rejoint les quatre autres, alterne dans son fondement une recherche perverse, fouillent et rentrent peu à peu. Ses gémissements deviennent cris, ma main devient à chaque tentative encore plus lubrique et, quand elle passe l’anneau qui m’aspire entièrement, Sophie hurle de plaisir.



Ma main gauche étrille lèvres et clitoris dans un rythme infernal, ma droite s’enfonce et ressort, doigts, pouce, paume, tour à tour et en même temps. Sophie tend son cul, bras tendus appuyés sur la paroi de verre qui tremble dangereusement.

Je perfore, elle geint, encore et encore… jusqu’à un jaillissement sur mon visage et un long cri, inconnu jusqu’alors.


On reste comme ça, serviteur pervers et statue figée dans son plaisir.



**********



Sophie dort sur le lit depuis une heure, au milieu de son peignoir de bain, les cheveux encore mouillés. Je la regarde, l’air un peu couillon et amoureux.

Quand elle se lève, je suis à la cuisine, et son café coule depuis que je l’ai entendue se réveiller. Elle m’embrasse si tendrement que j’ai l’impression d’être le roi du monde.



Je prépare nos maillots, de la crème et de l’eau dans un sac. On se met en route 15 min plus tard.


Au bout d’un chemin de terre et après 1 h de route, nous arrivons à ce qui semble être une grande maison entourée de hauts murs de pierre. Pas de panneau, pas d’étiquette sur la sonnette. Un grand gaillard d’environ 25 ans vient nous ouvrir le portail et on pénètre sur un grand parking. La maison est accrochée au rocher et descend sur plusieurs niveaux jusqu’à la mer, sans pouvoir apercevoir de plage derrière le jardin très dense. Nous suivons notre hôte qui nous fait rentrer dans la maison, puis dans un vestiaire faisant plus ressembler à un intérieur de particulier qu’à celui d’un restaurant ou des clubs habituels.



Sophie et moi nous changeons et je ressors juste avant elle. Une jeune femme d’une vingtaine d’années attend. On lui donne nos affaires et elle nous invite à la suivre.



Nous descendons plusieurs niveaux par de larges escaliers, eux aussi en pierre. La maison est immense, décorée à la provençale mais sans trop de chichis. On finit par sortir sur un autre jardin, et plus loin, là où la plage commence, nous voyons une trentaine de personnes installées sur de grands transats, ou accoudées à une belle paillote. D’un côté de la plage privée, le rocher descend en falaise jusqu’à la mer. De l’autre, un autre haut mur rentre dans l’eau assez loin jusqu’à un ponton où est amarré un grand voilier. C’est magnifique, intimiste et très raffiné.



La voix de Sacha nous parvient et je me retourne alors que Sophie lui tend les bras.



On rit et j’entends Jacques et Miranda rirent derrière elle.



Sacha appelle la jeune fille qui nous a guidés et commande pour tout le monde. On s’installe à notre tour sur deux transats, l’endroit est vaste et autour d’une table basse en bois, sont amenés Champagne et des plateaux de fruits de mer.

Sacha porte son sublime micro-bikini et, comme si elles s’étaient entendues, Sophie a mis le sien aussi. La vue est magnifique de toutes parts. On déguste, on boit, on parle de leur petite randonnée.



Je regarde à mon tour le décor et c’est vrai que c’est enchanteur. On déjeune tous les cinq et Sacha continue de nous faire sa visite virtuelle du lieu.



Elle nous raconte comment elle a connu l’endroit et on finit de manger avec gourmandise tout en discutant. Le champagne coule vers sa troisième bouteille quand Sacha nous lance :



Et prenant Sophie par la main, elles courent se jeter dans les vagues. Je les regarde un moment batifoler comme deux gamines, d’arroser et se pousser dans l’eau. Leurs tout petits bikinis sont devenus quasi transparents au milieu des vagues, et quand leurs jeux se calment et qu’elles se mettent à discuter assises dans l’eau, le spectacle continue d’être émoustillant. Autour de moi, la plupart des clients rentrent à l’intérieur de la maison peu à peu, par trois ou par quatre, parfois plus. Jacques et Miranda eux aussi se lèvent.



Je profite du calme qui règne maintenant sur la plage. Deux couples sont entrés dans l’eau et discutent maintenant avec mes deux jolies naïades. J’en profite pour les rejoindre dans les vagues légères. On fait connaissance, des regards passent de l’un à l’une, de l’autre à l’autre… Chacun s’épie sans lourdeur, devinant une courbe au-delà d’un maillot, louchant sur une bosse sur un short. Les deux couples se connaissent depuis longtemps, et aiment venir ici de temps à autre. Les deux femmes vantent à Sophie la piscine intérieure et les bancs de massage, si bien que nous décidons tous de rentrer découvrir les lieux.


On entre dans la maison et après un large couloir on arrive dans une belle salle où trône une piscine chauffée. Tout autour sur le dallage sont installées des tables en pierre elles aussi, et la vapeur légère englobe toute l’atmosphère d’une douce chaleur.



Elle monte alors sur une des tables et s’y allonge sur le dos. L’invitation est tentante mais je suis pris de vitesse par Vanessa, une jolie quadra, brune, aux formes voluptueuses.



Tout le monde rit et je suis Sacha, accompagné de Vanessa et Claire. Cette dernière est du même âge que son amie mais physiquement son opposé : menue, blonde et toute petite. Faisant le tour de la piscine, je regarde leurs deux maris commencer à appliquer une huile parfumée sur le ventre et les jambes de Sophie. Les deux épouses nous font monter sur un gros bloc très large Sacha et moi, et nous allonger sur le dos. En penchant ma tête sur le côté, je vois par-dessus la piscine les quatre mains qui parcourent le corps de ma femme.


Claire et Vanessa à leur tour prennent cette huile parfumée dans une jarre, et s’en enduisent chacune le corps. Elles font ça lentement, lascivement et Sacha et moi sommes captivés. Elles font le tour de la table massive et chacune de leur côté monte à leur tour sur nous deux, et entame un massage sensuel en utilisant tout leur corps. Claire est à califourchon sur mes genoux, face à moi. Vanessa elle a grimpé sur Sacha dans la même position, et assise sur ses cuisses, elle entame de glisser lentement le long de ses jambes.


Claire, elle, est penchée sur moi maintenant, et elle remonte tout son corps sur le mien, l’huile aidant, glissant elle aussi sur mes jambes, de mon bassin jusqu’à mon torse. La vue de son petit maillot de bain et de ses cuisses de part et d’autre, de son ventre rebondi et brillant, et de ses seins énormes au-dessus de mon visage me déclenche une érection sévère.


Ma tête tourne de chaque côté, de Sacha et son bikini qui ne cache rien de son excitation elle aussi, jusqu’à Sophie plus loin qui, soumise au traitement manuel intense des deux hommes, s’est maintenant ouverte entièrement à eux, ses seins sortant allègrement du maillot que le premier pétrit avec vigueur, et ses jambes largement écartées laissant le champ libre au deuxième qui sans aucune pudeur la branle activement de ses deux mains.


Sacha soupire fortement et, me retournant vers elle encore, je constate que Vanessa frotte maintenant sa jolie toison blonde sur la grosse tige tendue, écartant de sa main son maillot. Claire suit le même mouvement peu après et libérant une poitrine majestueuse, elle se met à onduler sur mon sexe. Tissu contre peau, et ensuite, les balancements aidant, peau contre peau.


Je sens et vois ses lèvres intimes entourer mon sexe, elle glisse, me masturbant lentement de ses hanches. Vanessa, elle, s’active de plus en plus, se mordant les lèvres, ses seins malaxés par les mains de Sacha. Tout autour de moi les corps se frottent, caressent, palpent. J’entends les gémissements de Sophie là-bas où les deux hommes lui infligent un infernal ballet de volupté. Elle ondule elle aussi sous leurs mains et maintenant leurs bouches.


Les deux amies accélèrent leurs caresses sur nos sexes et, quelques minutes plus tard, Vanessa et Claire jouissent presque en même temps, figées en l’air au-dessus de Sacha et moi. Claire retombe sur ma poitrine, reposant son corps après un orgasme intense. Je ne bouge pas, la laissant savourer un moment.

C’est en tournant la tête que je vois Sophie descendre de son piédestal, soutenue par les mains de ses masseurs. Me regardant de cet air que je connais bien, mordillant sa lèvre inférieure, elle me fait un clin d’œil et suis les deux hommes vers un couloir hors de ma vue. Claire se redresse vers mon visage :



Et tous les quatre, nous descendons à notre tour de la table, partant à la suite du trio qui a déjà disparu.


C’est un véritable labyrinthe que nous parcourons. Des couloirs étroits, des portes entrouvertes ou fermées. Çà et là des lucarnes indiscrètes et des trous voyeurs donnent sur des chambres. Quelques scènes apparaissent furtivement dans une légère pénombre.


Ici, deux femmes sont assises sur un grand et gros monsieur allongé, l’une sur sa bouche et l’autre sur son sexe. Elles s’embrassent en se caressant mutuellement.


Là, deux hommes prennent une femme à quatre pattes, l’un pilonnant ses fesses tandis que l’autre baise littéralement sa bouche.


Plus loin, deux couples sont si enlacés qu’il est impossible de savoir qui suce qui désormais.


Claire est à mon bras, Sacha tient la main de Vanessa devant nous. On arrive à une petite salle, dont un des murs est entièrement parsemé de trous de 20 à 80 cm de diamètre. Sur des coussins posés au sol, deux femmes et un homme sont agenouillés et sucent chacun les sexes qui semblent sortir du mur.

L’une des deux femmes est Sophie et, accaparée par sa fellation sur un beau sexe noir, elle branle en même temps deux autres bites pendant qu’un bras semblant appartenir au mur caresse ses seins.


D’autres sexes sont aussi tendus, attendant leur tour. Claire va rejoindre elle aussi ces coussins et engloutit un sexe anonyme.

Vanessa délaisse à son tour le bras de Sacha et nous indique une porte entrouverte. Je décide de rester de ce côté et elle emmène Sacha de l’autre côté par la main.


Sophie suce consciencieusement le beau membre d’ébène, et passe ensuite à un autre plus clair, jonglant de ses mains sur les sexes autour d’elle. Je m’assois sur le côté sur un coussin, et sortant à mon tour le mien je profite du spectacle qu’elle m’offre. Peu de temps après, une des tiges libère sa semence sur ses seins sans qu’elle n’interrompe ses fellations. Elle branle, suce, transpirante et magnifique. Je m’approche d’elle alors, et m’agenouille juste dans son dos. Je caresse à mon tour ces gros seins au milieu d’autres mains inconnues.

Elle suspend un court instant son ouvrage :



Je lui montre sur le côté une ouverture plus grande. Dans l’épaisseur du mur, un petit banc capitonné est installé au bas de l’ouverture. Le trou est assez grand pour y passer.



Elle sourit, à la fois joueuse et enjouée, se relève et glisse ses jambes puis son bassin jusqu’à la taille dans l’ouverture. Allongée sur le dos, le demi-corps de Sophie a disparu dans le mur, et tendant les bras au-dessus de sa tête, elle m’invite vers elle. Je me mets debout, mon bassin près de sa tête, ses mains posées sur mes fesses. Elle ferme les yeux. Quelques instants après, un frisson de surprise la fait tressaillir.



Elle se tend, se mord la lèvre.



Elle savoure ce plaisir invisible.



Deux mains différentes sortent du mur, prennent chacune un sein et les serrent doucement, puis plus fort. Des doigts pincent un de ses larges mamelons.



Sophie tire doucement sur mon short et prend mon sexe dans sa main. Arrondissant ses doigts autour, elle va et vient doucement mais fermement.



Elle me regarde, ouvrant ses yeux et ensuite sa bouche :



Son corps s’est soudainement avancé vers moi et lentement il commence un va-et-vient saccadé.



Elle ferme les yeux, tenant mon sexe encore plus fermement, au rythme des à-coups qui s’accélèrent. Elle halète, ses lèvres entrouvertes. Les soubresauts deviennent des secousses et ses va-et-vient vers moi de plus en plus amples.



Elle se caresse le visage sur mon sexe si tendu que je suis ballotté, frappé de sa joue rougie. Ses gémissements augmentent au fur et à mesure que l’invisible amant la pilonne de plus en plus fort. Elle est secouée, ses gros seins balançant d’avant en arrière sous mes yeux, et dans un martèlement devenant frénétique elle jouit violemment, au son d’un cri rauque et profond.

Le marteleur invisible s’arrête, comme s’il ne cherchait rien pour lui. Sophie est encore dans sa bulle de plaisir quand elle se tend à nouveau.



Son corps à peine remis se met alors à aller et venir de nouveau.



Je me penche et l’embrasse tandis qu’encore une fois son corps se met à aller et venir dans l’ouverture.



Le rythme est plus saccadé cette fois, et Sophie lâche à chaque coup des « han » intenses. Elle halète de plus en plus jusqu’à ce qu’une fois encore un orgasme violent ne la terrasse.

Ses mains accrochées à ma taille, elle n’a même pas le temps de reprendre son souffle que les va-et-vient reprennent, un autre profitant de son intimité offerte là, de l’autre côté du mur.


J’ai arrêté de compter au quatrième changement, soutenant Sophie qui semblait jouir non-stop, encore et encore.

Le temps est suspendu autour de nous, seuls désormais dans cette pièce. Après un dernier et profond orgasme, son corps s’est arrêté de bouger. Sophie me regarde d’un air épuisé et en même temps souriant :



On rit en s’embrassant et je l’aide à sortir de son carcan mural. On redescend vers la plage et, seuls à la paillote, on reprend des forces avec un grand verre de jus de fruits. Le soleil commence à descendre.



Sophie rit aussi et on s’installe sur deux transats.



Ses grands yeux plongent dans les miens. Oui, ça a l’air bien parti en effet.




– FIN –



[NDLA : si l’histoire doit s’arrêter là ou continuer, est à votre choix. Écrivez-moi vos suggestions…]