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Temps de lecture estimé : 13 mn
18/11/21
Résumé:  La découverte de l’onanisme en groupe… de l’exhib au voyeurisme.
Critères:  fh grp extraoffre inconnu hépilé vacances plage voir exhib noculotte fmast hmast caresses intermast -mast
Auteur : CarpediemAdlib  (La quarantaine atteinte, le plaisir se cache partout)            Envoi mini-message
Les dunes




Dimanche 9 juillet, je pose mon van aménagé sur un emplacement du camping de l’Espiguette au Grau du Roi. Ah, deux semaines de vacances itinérantes qui commencent ! Du sport, du repos, la découverte des plages et des baignades en Méditerranée.


Je m’installe tranquillement : un store intégré au van pour le soleil, un paravent pour me couper de l’allée du camping, une table, une chaise et mon hamac. Ainsi je ne suis visible que de mes voisins d’en face. À cet instant, aucun signe de vie. Seul du linge mis à sécher me révèle la présence probable d’un homme et d’une femme. Nous sommes à l’extrémité de cet immense camping dont les emplacements sont tous pris d’assaut.


Après quelques aller-retour, je me familiarise avec les espaces communs – douches et lavabos – et je me pose enfin. En fin de journée, je fais connaissance avec mes voisins : il s’agit bien d’un couple, mi-cinquantaine, qui revient de la plage. Ils ont l’air plutôt agréables et sympathiques. Alain se promène en simple bermuda, torse nu. Son corps est svelte et bronzé et la pratique d’un sport doit en être à l’origine. Catherine, quant à elle, évolue dans une ample robe légère et courte.

Nos premiers échanges me permettent d’apprécier leur plastique et plus particulièrement l’absence de haut de maillot de bain pour Catherine dont les mouvements font vivre avec sensualité sa généreuse poitrine.




***




Une première nuit très paisible et me voilà debout à l’aube pour aller courir. Nu, j’enfile un short léger, un tee-shirt et ma paire de baskets. À quarante ans, je n’espère plus grandir et je compense ma petite taille par un physique sec et musculeux de par la pratique de sports d’endurance.


9 h, la vie reprend au camping à l’heure où je rentre, transpirant et affamé. Je me déshabille à l’entrée du van et cherche une serviette à passer autour de ma taille pour aller jusqu’aux douches lorsque j’entends un :



Je suis surpris, car je me croyais seul. Je me retourne en cachant mon sexe avec mon short à la main. Je vois Catherine au pied de sa caravane en train d’étendre du linge fraîchement lavé, elle n’est ainsi pas visible de l’allée.

Un peu gêné je lui adresse un :



J’apprécie au passage sa tenue très naturelle ainsi vêtue d’une nuisette très sage qui arrive au genou, mais en revanche excessivement transparente en cette lumière matinale. Je me demande si elle est allée laver son linge dans cette tenue… ? Cela ne me laisse pas complètement indifférent et je me rends compte à son petit sourire que mon regard appuyé ne l’a pas dérangé plus que cela.


Je file aux douches et Catherine me dit de privilégier les douches aux portes bleues dans le vieux bâtiment, l’eau y serait plus chaude. Dans l’émotion, j’en oublie ma tenue de plage. Tant pis, je reviendrai avec la serviette autour de la taille.

À mon retour, ma voisine est toujours en nuisette et prépare un sac de plage pour la journée. Elle semble décidément très à l’aise dans cette tenue dont elle ne peut ignorer la transparence. Elle se tourne vers moi et me lance :



Je reste à nouveau captivé par son corps si gracieux et généreux.



Son regard descend vers mon entrejambe d’où une légère bosse déforme ma fine serviette Décathlon. Pas un mot de sa part, un simple regard et un petit sourire.


Je rentre au van, reste dans l’encadrement de la porte ouverte et laisse tomber délibérément ma serviette au sol. Je saisis mon bermuda, me retourne, et l’enfile là. Catherine ne feint pas de regarder ailleurs, elle s’est arrêtée dans sa tâche pour profiter de la vue. Je me dis : un partout, question provocation.




***




Vers 11 h, Alain est revenu. Catherine a enfilé une petite robe d’été et ils quittent ensemble le camping pour profiter de la plage. Je déjeune et me prépare également. À 13 h, je marche sur le sable lorsque je me retrouve en partie naturiste. J’apprécie à l’occasion et décide de poursuivre vers les dunes pour être tranquille.


Au détour d’une dune, je me retrouve dans un petit espace dégagé où sont installés… mes voisins de camping. Ils sont en plein déjeuner, à l’ombre de leur grand parasol. Ils me saluent et me proposent de me joindre à eux pour l’après-midi. Je leur fais remarquer que l’espace est assez réduit. Ils me montrent l’espace libre au pied de leurs serviettes et m’expliquent que si je me mets perpendiculairement à eux, tout le monde loge, y compris mon parasol.

Je finis par accepter, curieux de découvrir un peu plus ce couple. Je me dénude à mon tour et installe mes affaires. Mon sac – qui me sert de cale-dos – est au pied de Catherine et mes pieds au niveau de ceux d’Alain. Je me badigeonne de crème solaire, car le soleil est rude dans le sud. Nous faisons connaissance en poursuivant nos activités respectives.


Le corps d’Alain est très bronzé, agréable à regarder. Seul son sexe reste dissimulé par la petite assiette qu’il a posée sur ses cuisses. Il est totalement glabre ou épilé ? je ne saurais dire. Catherine me dévoile sa plantureuse poitrine, dont le blanc tranche avec le reste de son corps halé… Les vacances commencent pour tout le monde. Ses formes rondes sont généreuses et fermes. Elle doit aussi être sportive. Son sexe est également dissimulé.


Debout à côté d’eux qui sont assis, je les surplombe de ma petite taille. Ma séance de crémage se termine presque, j’en arrive à mes fesses sur lesquelles j’insiste pour éviter tout coup de soleil. Puis vient le tour de mon sexe et de mes testicules… j’essaie de rester le plus naturel possible en effectuant un quart de tour pour me dissimuler un peu. Ce mouvement sur mes bourses fraîchement rasées, la caresse du soleil et surtout le regard de mes voisins réveillent mon sexe à leur libre vue. Je ne tarde pas à m’asseoir, un genou légèrement relevé pour dissimuler mon état.


Catherine pose son assiette et se lève en me demandant le tube de crème pour m’en étaler dans le dos. Je m’aperçois que contrairement à son mari elle ne pratique pas le rasage intégral, mais préfère conserver un joli buisson taillé sur le pubis uniquement.

Je me laisse masser… heu, crémer. Je profite de l’instant. Cette fois, c’est bien un début d’érection qui se dessine. Catherine ne peut s’en rendre compte, mais Alain quant à lui ne peut la rater. Cela semble l’amuser, car il me fait un clin d’œil. Il se lève à son tour pour ranger leur déjeuner et je découvre son intégrale absence de pilosité, mais surtout, il semble doté d’un sexe aux dimensions bien plus généreuses que le mien, mais tout autant réveillé.


La situation est nouvelle pour moi. Eux semblent très à l’aise. Je joue l’indifférence et remercie Catherine. Je me pose à plat ventre, me saisit de mon livre et commence ma lecture.




***




Face à moi : vue sur les dunes. Je regarde à droite : vue sur les dunes. Je regarde à gauche : vue sur… l’entrejambe de Catherine !

Tous les deux adossés à leur cale-dos, ils sont aussi en pleine lecture. Alain s’est apaisé, mais je reste scotché sur la grosseur de sa verge lisse qui repose sur ses testicules. Catherine a les jambes légèrement écartées. Un faible mouvement fait glisser sa main gauche de son ventre à ses seins dans de longs allers puis retours. Très discret. Si lent. Hautement sensuel. Mon regard s’accroche dans son entrejambe. Je peux voir ses grandes lèvres bien refermées sur un trésor que je m’imagine. Cette fois, mon érection est incontestable, mais heureusement dissimulée sous moi.


D’un vif mouvement, le livre de Catherine s’abaisse. Son regard capte le mien, descend et s’attarde sur mes fesses, puis se tourne vers le sexe de son mari. Elle fait une moue et reprend sa lecture. Ce petit manège se reproduit une nouvelle fois cinq minutes plus tard et se conclut de la même manière. Je devrais peut-être faire preuve de plus de discrétion.

Cinq minutes passent et je perçois un léger mouvement. Je regarde à gauche et constate que les jambes de ma voisine sont bien plus ouvertes et exposées à ma vue. Après quelques secondes, sa main libre descend sur son pubis puis sur ses grandes lèvres pour enlever quelques grains de sable imaginaires, elle les entrouvre légèrement et négligemment pour mon plus grand plaisir.

Sa main remonte et vient se poser sur la cuisse de son homme. Elle entame une caresse tendre aux mouvements aléatoires qui cessent parfois pour venir gratter délicatement du bout des ongles les bourses et la verge d’Alain. Cette dernière ne tarde pas à se réveiller et je constate à nouveau la grosseur de celle-ci.


Je poursuis ma lecture tant bien que mal. Puis je décide de changer de positon et me couche sur le flanc droit, le coude planté sur ma serviette. Cette fois, je ne dissimule plus rien. Alain a repéré ma manœuvre et semble apprécier, je vois son sexe se redresser. Catherine se retourne pour poser son livre et attrape sa crème solaire. Elle se rassied, constate ma nouvelle posture et ce que je lui offre à regarder. Un large sourire s’inscrit sur son visage.


Elle commence à s’enduire de lotion en prenant son temps. Elle sait que son mari et moi profitons du spectacle. D’abord ses bras, ses épaules, puis son ventre, délicatement, et enfin ses flancs et ses hanches. Elle remplit à nouveau généreusement ses mains de crème et entame de larges cercles autour puis sur ses seins. Très lents. Très amples. Elle s’attarde et jette des coups d’œil furtifs à nos érections respectives.


Mon sexe est tendu, mon gland gonfle devant cette scène. Alain n’est pas en reste, mais pas encore au même point que moi. Elle continue et s’attarde sur ses tétons, les faisant rouler entre chacun de ses doigts, un long et doux supplice s’impose à moi.

Elle s’agenouille, me cachant son sexe, puis se tourne vers Alain :



Elle prend à nouveau de sa lotion et saisit à pleine main le sexe d’Alain. Elle entame une masturbation d’une extrême langueur pour appliquer la crème uniformément. De son autre main, elle étale avec autant de lenteur la lotion sur ses testicules. Je suis subjugué par la décontraction de ce couple face à moi. De mon côté, un liquide transparent perle de mon méat et vient couler sur mon gland, traduisant l’état d’excitation dans lequel je me trouve. Je ne bouge pas pour autant de peur de briser ce moment.


Cette fois, c’est un membre fièrement dressé qu’expose Alain. Plein. Dur. Gros. Provocateur. Catherine libère son étreinte, fière du résultat obtenu. Elle se lève, me tournant le dos. Ses pieds sont campés à 30 cm de mon visage. Ainsi positionnée, elle me surplombe et je peux admirer ses fesses fermes, charnues et blanches.


Elle reprend son crémage par ses cuisses, là où elle s’était arrêtée, puis remonte vers ses fesses qu’elle s’applique à protéger. Ses mains traînent et s’attardent, écartent maladroitement les deux globes pour me révéler son petit orifice totalement lisse. Elle y consacre plus de temps que nécessaire et ne quitte pas des yeux son mari. Elle stoppe, descend sur ses mollets, ses tibias. Elle reste les jambes tendues qu’elle a légèrement écartées. Elle me jette des regards, penchée entre ses jambes, alors que mes yeux sont accrochés sur sa vulve.


Soudain un bruit proche l’interrompt. Une discussion. Un couple qui cherche une place dans les dunes surgit et surprend la situation. Il est trop tard pour changer quoi que ce soit. Le jeu est clair, évident.

Eux sont déjà nus, leurs sacs en bandoulière. Alain et moi restons tels que nous sommes. Seuls quelques soubresauts animent nos verges raidies. Catherine, fidèle à elle-même, dénoue la tension d’un simple « bonjour » amical et reprend de la crème solaire.


Le couple avance pas à pas entre ma serviette et celles de mes voisins pour poursuivre son chemin. La femme lâche la main de son mari et s’empare de son sexe en lieu et place. L’homme regarde Catherine avec attention, car elle s’est retournée pour nous faire face et achève son opération par son pubis et ses grandes lèvres. Coincées entre son majeur et son index, ses lèvres glissent entre ses doigts tendus. Alain sort de son immobilisme et saisit sa queue à pleine main en regardant le couple désormais quasiment à l’arrêt. D’un geste vif il entame un régulier et rapide va-et-vient avant de stopper net. Puis il recommence. Stop. Il recommence… stop.


La situation m’échappe totalement. Au-delà du fantasme. Tellement irréelle et excitante. Catherine est de nouveau assise, les jambes cette fois largement ouvertes. Ces grandes lèvres ont révélé leur trésor de petites lèvres humides, appel à la caresse. Tout lui semble encore si naturel qu’elle entame une conversation avec l’autre femme désormais arrêtée à mes pieds :



L’inconnue :



Son regard papillonne de mon sexe à cette autre queue aux dimensions moins habituelles. Alain se caresse désormais les bourses, sa main gauche posée sur le sein droit de Catherine.

Je suis désormais sur le dos, la tête appuyée sur mon sac. Coup d’œil à droite vers le corps de Catherine, son sexe m’attire et s’offre pleinement à ma vue. Coup d’œil face à moi, l’inconnue masturbe son mari tout en discutant. Il en est au moins autant excité que nous… Son érection est semblable à la mienne. Catherine les invite à s’asseoir là où ils se trouvent pour éviter d’attirer l’attention. Ils sortent leurs serviettes et s’installent précairement. Le jeu se poursuit à cinq, car il s’agit bien d’un jeu auquel j’assiste et participe.


Magali et Cyril semblent eux aussi habitués et leurs gestes ne trahissent aucune hésitation. Ils ont une petite trentaine, leurs corps sont beaux. Cyril est très grand et peu musclé, mais d’une belle corpulence. Magali est très fine et petite, deux petits seins très fermes pointent vers le soleil.


Alain reprend sa masturbation pour le plus grand plaisir de Magali. Son sexe fièrement dressé continue de grossir. Sa main gauche lâche le sein qu’il tenait pour se diriger vers la bouche de Catherine qui se met à lui sucer le majeur, puis il la redescend pour couvrir entièrement la vulve de Catherine. Son doigt pénètre facilement ce sexe humide et il calque les va-et-vient à ceux imprimés sur sa propre colonne de chair.


Magali est excitée par cette vision et accélère ses mouvements, enserre plus fortement le sexe de Cyril, jusqu’à faire doubler de volume son gland turgescent. Elle se penche, détend sa prise et laisse couler de sa salive dessus avant de l’étreindre à nouveau fortement. De sa main libre, elle doit se caresser, car je perçois un mouvement et le regard d’Alain est orienté sur ce sexe inconnu.


Je me prends au jeu et commence à me masturber à mon tour. Je me branle devant des inconnus… C’est fou, c’est puissant. Mon ventre vibre. Mes mouvements sont lents, précis. Je ne veux pas jouir trop vite. Tout m’excite : le doux bruit du doigt d’Alain qui rentre et sort de cette fente détrempée ; les mains de Catherine pleines de vie sur ses seins gonflés de désir ; la queue d’Alain dont le gland ne cesse de jouer à cache-cache par les mouvements désordonnés qu’il lui impose ; les bruits de salive de Magali, sa masturbation si intense sur Cyril, ses petits seins qui tressautent sous ses coups de poignets. Je me redresse pour mieux voir ces deux sexes ouverts. Ma langue darde, désireuse de les fouiller, de les sucer, de les lécher, de les embrasser et de les aspirer. Mes doigts s’impatientent de jouer et de se tremper.


Alain demande à Magali de lui presser les bourses. Elle se rapproche et referme sa main dessus. Elle suit le mouvement d’Alain et accentue son excitation, ses yeux plantés dans les siens. Alain délaisse aussitôt sa femme pour attraper chacun des seins de Magali avec une certaine bestialité contenue. L’effet est immédiat. Magali accentue sa pression sur les bourses d’Alain dont le plaisir semble proche. Il accélère d’un coup en amplifiant ses mouvements, sa queue n’en paraît que plus grosse et Magali ne la quitte plus des yeux en se léchant les lèvres de sa langue sensuelle. Dans un râle étouffé, il se met à éjaculer… il se répand abondamment sur l’avant-bras de Magali. Son sperme coule et il continue de se caresser pour en extraire la moindre goutte. Enfin, il pose sa verge sur cet avant-bras couvert d’un sperme chaud et sourit.


Catherine m’invite à m’occuper d’elle et attire ma main vers son clitoris. Elle s’en saisit et l’utilise comme un instrument de plaisir. Elle frotte ma paume sur son pubis, elle la roule sur son clitoris, fait glisser mes doigts le long de sa fente, les reprend et les suce un par un, elle se saisit de mon index et commence une rotation sur ce clitoris échappé de son capuchon. Le plaisir de lit sur son visage, je sens son corps se raidir par à-coup, elle accélère, ralentit, puis accélère de nouveau. Mon pouce s’est glissé naturellement dans ce sexe mouillé et accompagné le mouvement. J’ai délaissé mon sexe au profit du sien, car je sens la délivrance proche.

Magali suit notre cadence et Cyril est au bord du gouffre. Les yeux rivés sur la vulve de Catherine, elle tient à deux mains le membre de son homme qu’elle astique vigoureusement.

Catherine se rend, s’abandonne en silence, le corps secoué de vibrations… ma main fortement coincée entre ses cuisses serrées. Une main sur chacun ses seins, elle presse sans retenue ses mamelons pour accentuer sa jouissance. Rapidement, son corps se détend, libéré et apaisé.


Excité par ce spectacle, Cyril lâche un premier jet puissant qui atterrit sur ma cuisse, puis il se répand sur mon tibia. Je sens son sperme chaud, étrange sensation. Magali voit ma surprise et, d’une main experte, récupère le liquide encore chaud pour le lécher avec délectation.

Elle se lève et prend la place de son mari, tournée vers moi, ses fesses posées sur ma serviette et bien calées entre mes jambes. Nous sommes ainsi face à face jambes écartées. Je comprends qu’elle veut aussi recevoir du plaisir et ne pas me laisser en reste. L’expérience du sperme de Cyril a un peu calmé mon ardeur. Je tente d’attraper mon sexe, mais elle intercepte mes deux mains pour les poser sur ses seins. C’est elle qui prend la suite à son compte et je me laisse guider.


Les trois autres nous observent, repus, mais avides de voir notre conclusion. Magali se rapproche encore de moi. Nos sexes sont proches à se toucher. Elle se saisit de mon membre, le caresse puis me branle. Je retrouve vite une érection dont elle souhaite profiter. Elle appuie alors sur ma queue et mon gland se retrouve ainsi en contact avec son clitoris. Ce simple contact me fait encore grossir et rend à la fois douloureuse et terriblement excitante cette position peu habituelle pour moi.

Elle commence alors différentes pressions, rotations, secousses pour faire monter son propre plaisir. Mon gland et son clitoris roulent l’un sur l’autre. Mes mains se crispent sur ses seins, je sens la sève monter.


D’un coup, elle remplace mon gland par son doigt et se met à frotter celui-ci à l’entrée de sa fente. Mon gland seul la pénètre puis ressort et glisse sur son clitoris. Je n’en peux plus. Elle répète ce mouvement inlassablement. Je ne tiens plus. Son regard dans le mien, elle jouit. J’explose à mon tour. Elle maintient la pression sur ma verge et chacune de mes saccades appuie sur son clitoris. Notre jouissance est pleine, entière et nouvelle pour moi.

Son pubis vierge de tout poil est désormais couvert de mon sperme. Comme elle l’a déjà fait, elle récolte à l’aide de ses doigts cette substance chaude et visqueuse et l’avale, un sourire mutin au coin des lèvres. Elle renouvelle son geste pour ne pas laisser de trace.


Je retombe sur le dos, vidé tant physiquement qu’émotionnellement. Cyril se relève et prend la main de Magali. Ils nous remercient pour cette pause exceptionnelle et disparaissent rapidement dans les dunes, me laissant seul avec Alain et Catherine.

Mes vacances ne font que commencer, mais elles sont déjà pleines de promesses.



Merci Magali et Catherine…