n° 20585 | Fiche technique | 27756 caractères | 27756Temps de lecture estimé : 17 mn | 20/11/21 |
Résumé: Quand deux étudiants décident de faire des essayages au magasin… seront-ils les seuls ? | ||||
Critères: fh 2couples inconnu magasin essayage voir exhib fmast hmast caresses pénétratio -voyeur -exhib | ||||
Auteur : CarpediemAdlib Envoi mini-message |
Lundi, 15 h. Les partiels sont terminés. L’après-midi est ensoleillé, même s’il fait encore un peu frais.
Pour faire vite et simple, je décide de changer de tenue pour me faciliter les essayages. Un petit ensemble Dim en coton fera l’affaire… et puis le noir, ça passe partout ! J’attrape un ample crop top aux manches 3/4, noir également, et file chercher mon short en jean préféré.
Johan est déjà prêt. Boxer blanc avec bermuda rouge et tee-shirt blanc.
Go !
***
Nous arrivons à Décathlon. Le magasin n’est pas trop fréquenté à cette heure-là, chouette ! Nous serons plus tranquilles pour faire les essayages.
Chacun de notre côté, nous arpentons les rayons, notre panier à roulettes nous suit. Nous nous retrouvons quelque temps plus tard aux cabines d’essayage. Tiens ! Ils ont encore changé la disposition du magasin. Cette fois, les cabines se trouvent au milieu du rayon maillots de bain. Un alignement de quatre cabines qui se font face, fermées par de simples rideaux.
Notre envie de vacances se retrouve dans nos paniers : les essayages vont prendre du temps. Johan et moi prenons chacun une cabine pour gagner du temps, l’une face à l’autre. Je retire mon short en jean et mon crop top : c’est parti ! J’enfile un tee-shirt et un short de running très basiques. Je me regarde. Bof, pas sexy ni très original. J’ouvre le rideau pour montrer à Johan. Il ouvre le sien également, torse nu et en short de bain. Pas mal… il est vraiment beau mon homme. Un sportif depuis toujours. À 22 ans, athlétique comme il l’est, je dois faire attention à ne pas me le faire piquer. En plus, il a une arme secrète bien dissimulée dont beaucoup d’hommes lui envieraient la taille.
Nous sommes d’accord. Même si cette année sans sport a plutôt arrondi mes formes, je les assume. Après tout, ma grande taille – 1,73 m – est un atout et mes rondeurs ne sont pas toutes mal placées.
Nous refermons les rideaux. J’essaie ma deuxième tenue de running : même résultat. Il faut que j’opte pour un style différent. Je sors de la cabine pour aller récupérer d’autres tenues.
Johan ouvre son rideau : il porte un nouveau short de bain, plus court et très tendance. Sauf que la cabine en face est vide. Une femme asiatique arrive et rentre dans la cabine à droite de celle de Capucine. En refermant, elle adresse à Johan un pouce levé comme pour valider ce short de bain. Johan est surpris mais ravi. Qui plus est, la femme est belle. Elle doit approcher la quarantaine, mais il a du mal à l’affirmer de par son type asiatique.
Je reviens, les bras chargés de tenues différentes. J’essaie cette fois un cuissard de running avec une brassière. Wouah, c’est bien mieux, mais les marques de mon Dim se voient et mon soutien-gorge dépasse… ça compte quand on est une fille. Je décide de tout retirer. Ah, cette fois c’est très joli et beaucoup plus agréable à porter. Mes fesses ressortent car c’est très moulant, mais j’aime bien. Le top est lui excessivement moulant, mais c’est le prix à payer pour maintenir ma poitrine. Nouvelle ouverture de rideau : « ta dam ! »
Je reste dans ma position, surprise par la présence d’un homme qui se trouve entre ma cabine et celle d’à côté. Il ne s’attendait pas à mon geste théâtral mais en profite pour me regarder de la tête aux pieds. Il me glisse un très discret « vous êtes splendide ». Je rougis certainement car nous sommes à quelques centimètres l’un de l’autre… une femme asiatique sort de la cabine d’à côté et détourne l’attention de mon spectateur, ouf… sa tenue similaire à la mienne révèle un petit corps excessivement sculpté et musclé. Je suis admirative, car elle doit y passer des heures pour être comme cela. En revanche, son top semble peu rempli… au moins un point pour moi.
Johan sort à son tour, il porte un cuissard de running et… toujours torse nu. En voilà un qui assume pleinement son corps de sportif et qui aime se montrer. Mon regard est immédiatement attiré par son entrejambe, une grosse bosse vient déformer le cuissard en lycra. Heureusement, il est au repos. Je le complimente en appuyant mon regard sur son cuissard. Le voilà en train de tourner sur lui-même, il fait son intéressant et ça me fait rire.
Il me complimente à son tour :
Je vois que le couple à côté ne perd pas une miette de notre conversation et nous regarde avec attention. La femme me dit alors :
Et nous voilà en train de courir doucement entre deux allées. Ma poitrine n’est assurément pas assez maintenue et ballotte fortement. À mon retour, j’annonce à Johan :
La femme se tourne vers son mari :
Puis elle m’adresse un clin d’œil. Je la remercie, ça m’évite d’y retourner. Mais maintenant que j’y pense, il ne m’a pas demandé quelle taille prendre… oh et puis zut, il doit bien en avoir une idée. Je rentre dans la cabine pour retirer ces vêtements que je ne prendrai pas, Johan en fait de même.
Caroline – la femme asiatique – profite du rayon sport d’eau dans lequel nous sommes pour aller décrocher un slip de bain en taille M, puis elle se dirige vers la cabine de Johan et le lui tend, rideau tiré. Johan l’attrape et dit simplement « merci », pensant parler à Capucine.
Antoine est de retour, le rideau de Caroline s’ouvre et je l’entends faire l’échange des tenues. Immédiatement, une main se faufile par le rideau pour me donner ma nouvelle tenue. N’ayant pas entendu le rideau se refermer à côté, je me fais surprendre :
Je l’attrape maladroitement et fais tomber le tout par terre. Dans le mouvement, mon rideau s’est écarté d’un petit centimètre sans que je m’en aperçoive…
Chacun est occupé à enfiler sa tenue. Antoine est resté positionné entre les deux cabines des filles. Il peut ainsi admirer le corps de sa femme qui se change, rideau entrouvert, mais aussi celui de Capucine qu’il voit de dos. Ses fesses sont une invitation, bien plus rondes que celles de Caroline, mais tellement appétissantes.
Johan ouvre son rideau le premier, un grand sourire aux lèvres. Le maillot est trop petit. Son sexe rentre à peine dans le slip de bain. Caroline, d’un mouvement voulu plus lent que d’ordinaire, finit de remonter son cuissard de running. Elle est certaine que le jeune homme aura eu le temps de tout voir – ou plutôt rien, car il y a longtemps que toute pilosité a été éliminée.
De son côté, Caroline semble ravie de sa petite blague. Le membre de Johan paraît vraiment très gros, ainsi moulé. Elle s’approche et le lui indique en murmurant à peine :
Je sors à mon tour et Caroline fait volte-face pour regarder le résultat. Cette fois, la brassière/top écrase mes seins pour mieux les maintenir. Le cuissard également est compressif. Beaucoup. Tellement que le dessin de ma fente est clairement visible.
Caroline me demande :
Et nous voilà reparties dans les allées. Mes seins ne bougent plus mais cela n’empêche pas un homme de se retourner à notre passage. Au retour, le cuissard s’est définitivement frayé un chemin entre mes lèvres. Je fais semblant de l’ignorer même si je vois bien que Johan et Antoine, eux, ne se cachent pas pour me mater. D’ailleurs, le résultat est identique pour Caroline et je me rends compte finalement que ce n’est pas moi que mon homme regarde et cela se voit dans son maillot qui devient inadapté.
Je referme mon rideau « correctement » puis prépare le premier maillot : un modèle une pièce plutôt typé natation.
Peu de temps après, j’entends Johan qui sort dans l’allée. Antoine n’a pas fini sa sélection et Caroline attend sagement au fond de la cabine, le rideau ouvert d’une vingtaine de centimètres. Johan ralentit au passage car Caroline est prête pour l’essayage : totalement nue, les bras croisés, elle regarde Johan passer. Petite, son corps est fin, très musclé, si différent du mien. Son ventre plat invite à glisser jusqu’à sa fente… Elle ne fait aucun mouvement pour se dissimuler, Johan en profite allègrement.
Antoine revient avec plusieurs maillots de bain pour sa femme. Il les lui tend et j’entends Caroline lui dire :
Puis, sans m’y attendre, je vois la main d’Antoine apparaître derrière le rideau dans un geste large avec un maillot à mon attention. À nouveau surprise, je fais encore tomber les vêtements au sol. Je me penche pour les ramasser et cette fois je m’aperçois que le rideau n’est plus totalement clos. Je lance malgré tout un :
Je reste volontairement de profil car je sais qu’Antoine doit en profiter. Je me déshabille entièrement, puis fais mine d’avoir du mal à démêler les différents maillots. Je secoue le tout vigoureusement, faisant bouger mes seins fermes, mes grosses poires comme les appelle Johan. Je me penche pour reposer le paquet et n’en garder qu’un seul. Puisque cet homme veut jouer les curieux, je vais m’amuser à mon tour et je sais que la vue ainsi penchée est imprenable.
J’essaie finalement le maillot choisi par Antoine. Motif uni, kaki. Le bas est parfait, assez joli. Le haut n’est pas à la bonne taille, mais alors pas du tout ! Je l’enfile quand même. Mes seins débordent au-dessus comme en dessous. J’ai beau y faire, tout ne rentrera pas. Je respire un grand coup, me retourne et ouvre le rideau. Johan n’est pas encore revenu. Antoine est concentré sur Caroline qui est restée dans sa cabine. Il tourne la tête et me regarde. Il apprécie. Je vois à la bosse dans son bermuda que tout cela lui plaît de plus en plus, il me demande :
L’allée est vide. J’ose et sors pour me tenir devant la cabine de Caroline. Elle est seins nus, comme je m’en doutais. Ils sont tout petits. Sa peau est cuivrée. Ses mamelons sont larges et surdimensionnés par rapport au volume de ses seins. Elle aussi regarde ma poitrine. Ça déborde. Je rigole. Elle aussi. Antoine feint l’incompréhension. Je fais mine de vouloir tout faire rentrer dans le haut du maillot… sans succès ; je le tire un peu vers le bas pour épouser l’arrondi de mes seins mais je fais sortir un téton. Je le remonte alors mais l’autre sein s’échappe par en dessous. J’abandonne.
Toujours pas de bruit de rideau de son côté, décidément… pour ma part, je m’applique à ne pas le fermer totalement.
J’entends Johan qui revient. Antoine l’informe de notre essayage un peu trop petit… Je le vois par l’espace ouvert de mon rideau. Son regard passe derrière Antoine, il est en train de mater Caroline, j’en suis certaine. Il fait durer la conversation dont il n’écoute pas un traître mot, absorbé comme il l’est par la cabine d’à côté.
Cette fois, le maillot est à ma taille. Caroline et Antoine discutent à voix basse. J’ouvre. Je vois tout de suite que Johan a adopté la même stratégie que moi en ne fermant pas totalement son rideau. Il sort rapidement avec son beau cuissard Van Rysel très moulant comme souhaité.
Il approche et s’arrête aux côtés d’Antoine. Je l’admire. Il est vraiment beau, mon homme. Et puis cette séance m’émoustille sérieusement. Mais… mais… il bande ! Et compte tenu de sa physionomie, personne ne peut rater le volume de sa queue ainsi serrée dans le cuissard. Mon cochon, on ne peut pas dire que ce soit une demi-molle. Il est tellement à l’étroit que je vois le relief de son gland à travers le tissu. Je ne peux pas voir la tête de Caroline car nous sommes chacune dans notre cabine. Je sens mes tétons durcir. Je suis gênée. Antoine dénoue la tension :
Johan est un peu mal à l’aise cette fois :
Un peu espiègle, je me tourne vers Antoine :
Antoine, surpris mais ravi :
Caroline s’empresse de rebondir :
Je sens que l’étape suivante va sévèrement nous chauffer. Après tout, allons jusqu’au bout de ce jeu, il y a longtemps que j’ai été excitée de la sorte.
Je tire, mais pas en entier, mon rideau. Johan fait de même face à moi. Nous nous regardons. Moins de trois mètres nous séparent, c’est peu. Il retire son cuissard et je vois surgir son énorme sexe. Son gland vient claquer sur son ventre, son érection est énorme. Je peux même distinguer sa grosse veine qui coure sur toute la longueur de son membre. C’est terrible… j’ai envie de lui, mais nous sommes dans un magasin. Je retire mon maillot et attends, nue face au rideau. Johan me regarde. Son pieu dressé ne bouge pas lui non plus.
Je vois Caroline arriver vers la cabine de Johan avec un maillot, elle me jette un coup d’œil et s’arrête. Elle me voit nue. Nos corps sont si différents. Elle me sourit et je lui souris en retour pour lui indiquer que nous sommes tous rentrés dans le jeu.
Ses yeux rivés sur mes poires, elle tend le bras dans la cabine de Johan sans regarder. Sa main vient heurter son sexe, elle ne dévie pas son geste pour autant. Je sens mes lèvres s’ouvrir, mon sexe est humide.
Il attrape le slip de bain bleu ciel tendu vers lui, le regarde attentivement et explose de rire.
Caroline retourne dans sa cabine en prenant le temps de bien me contempler. Arrivée devant le rideau, elle stoppe et me fixe. Sa main droite se lève et se pose sur mon genou, elle la fait doucement remonter jusqu’à mon aine et l’arrête. Je sens la pression de ses doigts. Je suis tétanisée. Le sexe en feu. La bouche entrouverte, aucun son ne sort. Johan ne voit pas ce qui se passe, Caroline masque mon corps mais il voit mon visage. Il sait que je perds pied.
Antoine revient auprès de nous, Caroline retire sa main et se glisse dans sa cabine. Antoine dit à Caroline :
Puis il se tourne vers moi et reste figé. Je suis liquéfiée, les seins gonflés de désir. Ma respiration est forte et mes seins suivent son mouvement. Il me dépose le bas de maillot dans la main et, d’un geste précis, remonte un doigt le long de mes petites lèvres. Il recule afin de nous observer en portant son doigt à sa bouche. Son bermuda ne cache plus rien de son état. Son autre main coincée dans sa poche n’est pas totalement inactive. Je la vois bouger sur la bosse formée par son sexe durci.
Johan s’avance vers nous après avoir vérifié que personne n’arrivait. Il se tient à côté d’Antoine, mais a choisi l’autre cabine. Le maillot bleu justement choisi par Caroline n’est autre qu’une taille S… Le maillot est plein. Rempli. Une partie de sa queue dépasse et son gland est carrément sorti. Je vois couler du liquide transparent, il n’en peut plus. La scène est improbable. Il tourne la tête et me voit dans le maillot choisi par Antoine. Le haut n’est toujours pas à la bonne taille mais j’ai choisi cette fois de laisser mes tétons déborder. Un appel à les saisir ou les lécher. Le bas est maintenant trop petit lui aussi. Mes fesses s’échappant de chaque côté, j’ai préféré rentrer le tissu façon string. Devant, ma petite touffe blonde n’échappe pas aux regards. Johan hallucine totalement. Son dard se redresse et s’éjecte du maillot. Je ne l’ai jamais vu aussi gros, le gland gonflé, dur et violacé.
Antoine passe la main dans ma cabine et me saisit un sein. Il le caresse, joue avec mon téton, le tire, le roule entre ses doigts, le caresse tel un trésor. J’ai fermé les yeux. Je soupire… j’inonde le maillot de ma sève. Johan ne dit rien. Ne bouge pas. Captivé par mon audace.
La main d’Antoine descend jusqu’à ma touffe, puis… je sens un doigt me pénétrer. Délicatement. Profondément. Son pouce prend possession de mon clitoris. Je vibre. J’attrape mon crop top et me le colle sur la bouche… j’ai envie de hurler ! Un deuxième doigt me pénètre… toujours délicatement, profondément. Les deux restent immobiles. Seul son pouce s’active autour de mon petit bouton. Tel un gamer sur un joystick, il se joue de lui. Tantôt vif, tantôt lent, dessous puis tout autour… C’est au moment où je sens un troisième doigt entrer en moi qu’il accélère son mouvement. Cette fois, il ne ralentit plus. Il m’emporte ! Je hurle silencieusement dans mon top : « Oh mon Dieu ! C’est trop bon ! ».
Mes jambes tremblent, il me retient par ses doigts enfouis au plus profond de moi. Il rentre dans la cabine et referme entièrement le rideau. Je ne suis plus totalement là. Je me laisse faire. Il sort mes seins du maillot et pose son visage dessus. Il savoure ce que sa femme ne peut lui offrir. Sa main sortie de mon antre, il se lèche un à un les doigts trempés de ma jouissance, puis il empoigne mes fesses.
Encore perdue par la force du plaisir, j’ouvre son bermuda et sors son sexe. Je m’accroupis. Je retire le haut de maillot et enserre sa queue entre mes seins. Elle glisse toute seule. Son gland expulse avec force le lubrifiant nécessaire. Je le vois surgir à chaque va-et-vient. Je le regarde dans les yeux et le branle énergiquement. Je veux le voir jouir à son tour. Je lape son gland avant qu’il ne disparaisse entre mes gros seins. Les deux mains calées vers l’extérieur de mes poires, j’accentue la pression sur son membre, amplifie mes mouvements et le gobe littéralement à chaque apparition de son bout.
Mon dernier coup de langue lui est fatal, il explose. Je prends le premier jet sur le visage puis il se vide sur mes seins jusqu’à la dernière goutte. Je le masturbe encore, ma façon de le remercier. Je me redresse et m’essuie avec la tenue de running puisque celle-là je l’achète – merci les caisses autonomes – et m’habille rapidement, mes sous-vêtements dans ma poche. Mes seins libres sous mon crop top sont encore gonflés et provocants. Nous sortons de la cabine, personne. La cabine d’à côté est vide. Celle d’en face est fermée.
Nous quittons le rayon pour déambuler dans les allées, hagards, sans but. Antoine continue de profiter de moi. Sous prétexte d’attraper un article, il caresse mes globes du dos de la main – mammaires comme fessiers –, je me laisse faire. Au rayon randonnée, un homme fait semblant de regarder les mêmes articles que nous, les yeux rivés sur mes seins libres de tout soutien-gorge. Je me prête au jeu. J’hésite entre les articles tout en haut et me hisse sur la pointe des pieds, les bras levés, mon top est tendu et écrasé par mes appas. Mes seins sont visibles par en dessous. Je prends mon temps. Interroge Antoine sur l’article à saisir. Il m’indique celui tout en haut, évidemment. Dans un ultime effort, j’ai attrapé l’article. Ma culotte glissée dans ma poche arrière dépasse maintenant. Les articles tout en bas… ? Je me penche complètement pour les prendre, les jambes bien tendues, mais j’hésite entre deux… le temps nécessaire pour que ce voyeur en prenne plein les yeux. Nous poursuivons.
Deux rayons plus loin, nous retrouvons notre voyeur, il choisit un nouveau club de golf. Antoine d’un clin d’œil m’invite à le suivre. Il se positionne à ses côtés, mimant l’indécis. Puis, naturellement, il me demande de lui attraper un putter. Ceux-ci se trouvent au-dessus de notre « ami ». Je m’approche dans son dos, me colle à lui en m’excusant, et les bras levés je tente d’attraper le club souhaité. Mes mamelons sont à nouveau durs. Je m’excite toute seule, bravo. Je me recule, laissant notre inconnu à ce souvenir inattendu.
Bon, il doit être tant de retourner aux cabines…
***
Quelques minutes plus tôt
Alors que Capucine s’abandonne à Antoine, Caroline prend ses affaires et entraîne Johan dans sa cabine. Rideau fermé.
Elle a pour seul vêtement un tee-shirt pour homme qui lui arrive à mi-cuisse. La bouche entrouverte, elle s’impatiente de cette jeune queue. Elle lui retire le maillot trop étroit et libère son bâton. Elle le veut depuis qu’elle s’est rendu compte de sa taille démesurée. Sans autre formalité qu’un bref mouvement de masturbation, elle se tourne et appuie ses mains sur le fonds de la cabine, l’invitant à la prendre. Johan présente son gland sur son abricot. Il fait coulisser son énorme gland le long de cette vulve offerte. Son gland est vite recouvert de ce liquide précieux, il la pénètre doucement, jusqu’au bout.
Caroline se sent transpercée, totalement remplie. Cette queue vibre au fond de sa grotte. Il s’agrippe à son si joli cul musclé et se met en action. Chaque coup claque et propulse Caroline sur la paroi. Elle n’a jamais connu ça. Ses gestes sont un mélange de tendresse et de maladresse mais son dard, lui, la pistonne si durement. Son rythme est soutenu, il ahane dans son cou. Elle retire son unique vêtement. Elle veut qu’il lui prenne les seins.
Oh ! Que c’est bon… elle se livre entièrement. Chaque coup de boutoir lui arrache des gémissements. Ses seins sont prisonniers de ses mains. Ses fesses claquent sous ses assauts. Il est si dur… Elle se fait bousculer par le rythme toujours soutenu lorsque lui monte un orgasme venu du plus profond de son ventre. Il lui colle sa main sur la bouche et accompagne son plaisir en poursuivant sa pénétration, jusqu’à ce que ses jambes se raidissent puis l’abandonnent. Elle tombe à quatre pattes.
Johan s’est retiré et, d’un mouvement de poignet tant de fois pratiqué, il éjecte sa liqueur de façon spectaculaire. Du sperme retombe sur le dos de Caroline, sur ses fesses. Il continue de se branler. Il veut que Caroline le voie faire. Elle se retourne et le regarde vider les dernières gouttes accrochées au bout de son méat. Il continue de se caresser bien que tout son sperme soit sur elle. Elle se relève et remplace sa main. C’est elle qui accompagne ce sexe à décroître. Il est pourtant toujours gros. Elle peut désormais recouvrir son gland à chaque mouvement, très lentement. Elle lui masse les testicules de l’autre main, il aime.
Il saisit la tenue de running qu’elle souhaite acheter et lui essuie le dos. Ils s’habillent. Caroline n’a aucun sous-vêtement sous sa jupe stricte et son chemisier.
Ils sortent de la cabine, celle d’en face est vide. Ils partent à la recherche de leurs conjoints respectifs. Après cinq minutes, ils les surprennent au rayon randonnée, visiblement ils continuent de s’amuser…
Ils restent en retrait et observent la scène de loin. Johan a sorti son smartphone, il immortalise ce moment unique…
Merci Capucine et Johan !