n° 20588 | Fiche technique | 58062 caractères | 58062Temps de lecture estimé : 34 mn | 21/11/21 |
Résumé: « Mer, Deuche et Meufs », dirait Patrik… Il est vrai que la mer, le soleil, les vacances inspirent parfois des aventures inespérées avec les mamans en vacances. | ||||
Critères: fh extracon vacances plage fellation cunnilingu pénétratio fsodo -diffage -lieuloisi | ||||
Auteur : Roy Suffer (Vieil épicurien) Envoi mini-message |
Ah oui, les mamans ! Les vacances, c’est bien connu, sont un moment de l’année privilégié pour les ébats amoureux. Le soleil, l’oisiveté, la nudité partielle (ou totale), l’envie, le besoin de s’éclater un peu, de se vider la tête (et les glandes), tout concourt à stimuler la libido, à se lâcher un peu de ce côté-là aussi. De plus, une faune particulière hante les stations balnéaires : ce sont les mamans en vacances seules avec les enfants pendant que le mari bosse et… saute sa secrétaire ! Ces mamans-là sont en général des bourgeoises ne manquant de rien sur le plan matériel, inutile de les « appâter » avec une voiture de sport, un dîner dans un palace ou de coûteux colifichets : elles ont déjà, c’est leur quotidien. Non, la seule chose qui leur manque, c’est un peu de piment dans leurs vies trop lisses. La première qu’il m’ait été donné de séduire demeure dans ma mémoire comme un souvenir impérissable.
J’ai tout juste vingt et un ans, l’âge alors d’être majeur. Sous le coup de cette soudaine émancipation, j’ai décidé de ne plus suivre la famille en vacances, mais de les passer seul, en homme accompli, avec ma petite deudeuche et ma petite tente canadienne, mes deux seules copines du moment. Comme je ne savais pas trop où aller et qu’il n’était pas encore question pour moi de courir le monde, un peu effrayant je l’avoue, je transporte mes hormones en effervescence jusqu’à la côte atlantique, un endroit où j’étais allé en colo et dont je gardais un bon souvenir, Saint Palais. Nozan, la Grande Côte, le Pont du Diable, autant de lieux que j’avais fréquentés enfant et qui me sont restés familiers. Mais bon, seul dans ma canadienne devant une boîte de cassoulet ou une tomate et deux œufs durs, ce n’est pas la grande joie que j’avais espérée. Rien ne vaut que partager son temps avec des êtres chers ou agréables, c’est ma première leçon de jeune homme émancipé.
Bourré de complexes, me trouvant trop maigre, en tout autre lieu je ne serais même pas allé à la plage. Mais là, ce n’est pas pareil : j’y avais traîné en tous sens mes abattis de gamin maigrichon, alors je suis un peu comme chez moi. Et j’ose. J’ose aller à la plage et poser ma serviette sur le sable, certes un peu à l’écart près des pins, et y lézarder sous le soleil ardent. Mais seul, il n’est pas facile de se passer de la crème solaire dans le dos ! Et puis pour aller se baigner, où planquer sa richesse, les clés de la deuche et les 500 francs pour me permettre de vivre pendant tout le séjour ? Alors je reste là à bouquiner ou à perdre mon regard dans le lointain, vers le phare de Cordouan ou quelques bateaux de passages sur la Gironde. C’est comme ça qu’elle arrive avec ses deux mômes, ses tapis de plage en paille tressée, son couffin débordant de jouets, de paquets de gâteaux et de revues. Elle se pose près de moi en annonçant :
Les enfants, deux fillettes d’environ sept et dix ans, ressemblent à leur mère : déjà très jolies, d’une tenue parfaite, obéissant sans jamais protester ni discuter. Elles s’assoient sur leurs tapis, quittent posément leurs légères robes à fleurs identiques, puis s’enduisent l’une l’autre de crème protectrice. Elles parlent à voix basse, sans hurler comme la plupart, et évoquent parfois leur géniteur en disant « Père ». Pas de doute, la vraie classe ! Quant à leur mère, elle aussi transpire la classe par tous les pores. D’abord, la prestance. Grande, environ un mètre soixante-quinze, bâtie comme une athlète avec toutes les formes souhaitables, et même plus. Un corps de rêve, même si la trentaine est peut-être dépassée. Tout me semble parfait chez elle : traits réguliers, cheveux noirs tirés en une queue tressée formant chignon, oreilles délicates bien collées portant de petites boucles d’or rondes, nez petit et légèrement retroussé, chaînes discrètes au cou, au poignet et à la cheville, yeux gris-vert, maquillage savant et discret. Et pour couronner tout cela, un port altier, très droit, voire hautain, mettant en valeur une redoutable paire de seins, jaillissant d’un buste puissant porté par une taille assez fine, sur des hanches à la rotondité parfaite comme le musculeux fessier. Bras et jambes sont longs et fuselés, les attaches fines malgré une musculature bien dessinée. Madame doit faire pas mal de sport et, pour être déjà bronzée aussi régulièrement, doit passer pas mal de temps au soleil ou dans des cabines UV.
Les petites partent gentiment en direction de la mer. Alors elle se penche élégamment pour plonger les bras sous la jupe de sa robe et… en retire une petite culotte triangulaire de dentelle blanche. Ça y est, l’érection me gagne. Puis elle enfile le bas d’un maillot deux pièces assez minimaliste, même si à l’époque on ne parle pas encore de string mais de « itsi bitsi petit bikini ». Alors, très naturellement, elle déboutonne sa robe, découvrant le reste de son corps et un soutien-gorge de dentelle assorti à la culotte. Chez ce genre de femme, la pudeur est superflue : elle se sait belle, elle assume sa nudité avec arrogance. En quelques gestes élégants et précis, elle quitte le soutien-gorge et met celui du maillot, triangles fuchsia qui cachent à peine un tiers des somptueuses mamelles. Cette fois, je creuse le sable car la seule position tenable est à plat ventre, pour moi qui n’ai pas de crème dans le dos c’est le coup de soleil assuré. Un parfum musqué vient titiller mes narines, la belle s’enduit d’un liquide improbable, couleur de miel, qui lui donne des reflets de statue. Mon trouble augmente encore.
Je regarde derrière moi, personne. C’est bien à moi qu’elle s’adresse, mais son regard est dissimulé par de somptueuses lunettes de soleil, coques miroirs marron et branches dorées, qui m’ont fait douter. Et puis je n’ai pas l’habitude qu’on m’appelle « Monsieur ».
La voilà qui détache le haut de son maillot et se couche sur son altière poitrine pour bien dégager sa face pile. Mon maillot de bain ne va pas être assez grand, tripoter une beauté pareille… Mais bon, c’est si aimablement demandé. J’ai cru percevoir un léger accent que je n’avais pas remarqué jusque-là. Je m’exécute, délicatement des épaules à la taille. Quelle peau ! D’une douceur inouïe.
… (le rouge me monte jusqu’aux oreilles, et ce n’est pas à cause du soleil).
Pour mener cette discussion, elle s’était redressée sur les coudes, et mon regard ne sait plus où se poser : sur cette fabuleuse poitrine déployée ou sur ces fesses toujours dénudées que je venais de peloter.
Elle s’esclaffe à nouveau, me prend le flacon des mains et se met immédiatement à m’oindre les omoplates sans complexe, poitrine nue et fesses à peine cachées.
La villa est impressionnante, construction des années 30 en pierres taillées et opus, nombreuses boiseries apparentes, autant que le cabriolet Chevrolet Malibu V8 qui trône dans le parc. Ma deux-chevaux paraît soudain bien minable. Kimberley, c’est son prénom, m’attribue ma chambre au premier étage avec salle de bain. Les propriétaires se sont réservé le second étage, d’où la vue sur la mer est meilleure. La bonne, une petite dame du cru tout en rondeurs, rentre chez elle chaque soir après le dîner. Toute l’année, elle et son mari entretiennent la villa et le parc, la contrainte imposée par la présence des patrons quelques semaines par an n’étant pas excessive. Je serai donc seul dans cette maison, la nuit, avec Kimberley et ses filles, perspective qui ouvre plein de possibilités mais… Je passe également du statut de relation de plage à celui d’employé de maison, de petit personnel en somme. Et ça, ça n’est pas forcément à mon avantage.
Dorade au four avec émincé de poireaux, fromages, tarte aux pommes, un dîner exquis nous est servi sur la terrasse par Irma, la bonne.
Les petites ont le droit de quitter la table et d’aller jouer dans le parc, leurs rires nous parviennent de temps en temps, tandis que le soleil se couche sur la mer. Douceur idyllique, présence idyllique. Nous sirotons un délicieux café « de chaussette », puis Irma appelle les filles pour la douche et se retire chez elle. Kimberley va dire bonne nuit à ses enfants puis vient me rejoindre, pieds nus, simplement vêtue d’une sorte de paréo chamarré noué au-dessus des seins. À chaque pas, l’étoffe légère s’entrouvre et laisse passer ses cuisses superbes. Je lui demande l’autorisation de fumer, elle acquiesce et me demande aussi une cigarette. Elle rapproche deux transats autour d’un cendrier sur pied et nous nous intoxiquons côte à côte, nous laissant envelopper doucement par la nuit. Je ferme les paupières, non par sommeil mais par bien-être, pour mieux goûter l’instant, le semblant de fraîcheur qui monte de la mer et le son lointain et régulier du ressac. Tendant l’oreille pour mieux le capter, je perçois un clapotis léger beaucoup plus proche et moins régulier. Ouvrant les yeux bien habitués à la faible clarté venant des réverbères, je devine plus que ne vois ma voisine de transat, genoux levés et pieds posés sur le cadre en bois du siège, paréo détaché, une main glissée entre ses cuisses et l’autre pelotant affectueusement un sein. Comme si elle avait senti mon regard, elle déclare :
Je referme prestement les paupières sans répondre, cramoisi dans le noir, époustouflé par l’audace de cette femme superbe et congestionné d’excitation. Je suis l’accélération de son souffle, ses quelques gémissements étouffés, puis enfin les craquements du siège indiquant les soubresauts de son plaisir.
Elle se lève et enjambe mon transat, dégrafe mon jeans, je n’ai qu’à soulever les fesses pour l’aider un peu. Elle s’assoit alors sur mes jambes et empoigne mon sexe, dilaté par le spectacle sonore qu’elle vient de me donner. Des deux mains et de sa bouche chaude et gourmande, elle m’offre la plus fantastique fellation de ma courte vie sexuelle. Ah ! La technique de ces bourgeoises à leur apogée ! Fouettements incessants de la langue, pression des mains sur la hampe et sur les testicules, sans oublier le scrotum, griffures délicates des longs ongles manucurés, aspirations et engloutissements profonds, rien ne m’est épargné. C’est à ses reflets blafards dans le blanc de ses yeux levés vers moi que je sais que la lune est levée. Avec un tel traitement et les mois de disette qui ont précédé, je ne suis pas très long à rendre grâce. Le sang bat dans mes tempes et dans mon bas-ventre.
Il lui suffit alors de me ré-emboucher pour que j’explose à longs jets, elle absorbe tout sans sourciller. Pfiou ! Fabuleux ! Elle se redresse dans le plus simple appareil et meut son corps de grand félin vers la table, où Irma a laissé un grand pichet de citronnade dans lequel fondent les derniers glaçons. Elle en boit un grand verre, s’en ressert un autre et m’en apporte un.
Je saisis la main tendue et me laisse entraîner par cette déesse nue, admirant sa beauté, sa grâce, la souplesse de sa démarche, la rotondité charnue de son fessier qui oscille doucement à chaque pas. Arrivés dans ma chambre, je quitte le dernier vêtement qui me couvre, mon T-shirt, pour satisfaire l’obsédante envie de la serrer contre moi. Enlacement, longs baisers citronnés, puis elle se laisse tomber sur le lit et écarte les cuisses en lançant :
Je n’étais pas un spécialiste du cunnilingus, tout au plus avais-je léchouillé quelques copines, surtout pour être certain que la pénétration se déroulerait sans histoire. Mais là, je découvre un monde de plis, d’aspérités, de chairs tendres et de sensibilité. Je découvre encore qu’un clitoris se décapuchonne, un peu comme un gland, et que derrière l’entrée du vagin, une petite pastille striée est très sensible également, sûrement le fameux point G dont parlent quelques revues. Bref, je sors de cet entrecuisse avec ravissement, le menton dégoulinant de cyprine et la dame en est à 2-1, mais prête pour le quatrième set. Tout cela m’ayant redonné vigueur, elle me propulse sur le lit et m’enfourche, s’empalant sans coup férir sur mon dard régénéré. Suit la charge de la brigade légère, tantôt allongée sur moi, ses seins écrasés sur ma poitrine, tantôt tressautant accroupie, tantôt oscillant du bassin pour mieux frotter son clito sur mon pubis. Puis viennent les grands rebonds de la literie, devenue véritable trampoline, durant lesquels je me retrouve projeté en cadence au fond de cette femme qui m’inonde pubis, testicules et haut des cuisses d’une abondante liqueur. Et boum, 3-1 pour la dame qui repart au pays du plaisir. Je ne dis pas cela pour me vanter, je n’y suis pas pour grand-chose, car c’est bien elle qui fait l’essentiel et dirige les opérations. Je n’ai pour mérite que mon jeune âge et la belle rigidité de la verge qui va avec.
Une fois désarçonnée et pour un temps repue, mon égérie se dirige vers la fenêtre où elle s’accoude, m’invitant à venir contempler le coucher de lune sur la mer. Bien que fatigué et en sueur, je la rejoins, portant encore un mât triomphant en attente de satisfaction. Vrai que le spectacle est magnifique, mais où se trouve-t-il ? Dans cette lune frisant l’eau tranquille et trouant les pins d’un sillon lumineux, ou dans le sillon sombre qui fend l’orbe opulent du fessier de ma compagne ? Les deux mon capitaine. Je laisse ma main s’égarer dans celui qui est à ma portée en contemplant l’autre, goûtant la chance inouïe qui m’est donnée de le faire en telle compagnie.
Elle sort de la pièce, je cours également récupérer le reste de citronnade et nos verres, je suis mort de soif. À mon retour, la belle a repris sa place et sa position.
Effectivement, même si cette alternance entre tutoiement et vouvoiement me déconcerte un peu, je me livre sans attendre à l’onction de sa raie profonde et de son orifice plissé. Elle ne bronche pas quand j’y enfonce un puis deux doigts, et c’est elle-même qui écarte ses globes quand mon dard est à son tour enduit. Mon excitation est à son comble quand il faut pousser fort pour franchir le Rubicon, du moins le croyais-je. Mais en fait, quand l’anneau puissant se met à m’étrangler la hampe, je crois que mon sexe va exploser. La belle grogne de satisfaction douloureuse, lance une main entre ses cuisses pour presser mes couilles contre sa vulve dilatée, et sûrement aussi pour masser son clitoris. Très vite, elle impose son rythme en envoyant ses fesses vers moi, tantôt relâchées pour mieux les pénétrer, tantôt serrées comme pour m’empêcher d’en sortir. Pris dans ce délicieux étau, je subis plus que ne provoque ce pilonnage furieux. Mon orgasme ne tarde pas, d’une violence telle qu’elle me perce les reins de mille poignards, déversant tout le reste de ma semence dans son conduit. Elle trémousse quelques instants d’un pied sur l’autre, serrée comme jamais, exprimant les dernières gouttes de ma queue meurtrie comme d’un vieux tube de dentifrice. Je m’affale sur le lit, vivant ma « petite mort ».
Au petit-déjeuner, tête vide et jambes de cotonnade, je l’aperçois dans un brouillard annoncer qu’elle va faire des courses. Vaseux, je fais malgré tout le point sur les faiblesses des filles en français et en maths. Ce sont d’excellentes élèves, dociles et appliquées, dont les carences feraient pâlir d’envie plus d’un autre. Malgré tout, il est clair qu’il leur manque quelques clés toutes simples qu’on ne donne plus aujourd’hui : pour l’une, remplacer un verbe du premier groupe par un autre du troisième, voir ou faire, pour être certain qu’il s’agisse d’un infinitif ou d’un participe passé ; donner du sens aux éléments mathématiques abstraits pour l’autre. Ces enfants intelligentes ne font plus d’erreur dès que la règle est clairement connue. Peut-être manquent-elles un peu d’imagination pour inventer leurs propres règles. Mais dès lors qu’elles en disposent, leur tendance naturelle à l’obéissance et au conformisme fait instantanément effet. En quelques jours, leurs progrès sont fulgurants. Je m’attache dès lors à anticiper sur les principales difficultés qu’elles pourront rencontrer dans leurs prochains niveaux, mais aussi à solliciter leur imagination et à élargir leur vision du monde, à mon sens plutôt étriquée. Par exemple, lorsqu’elles me disent :
Ces petites bourgeoises n’ont pas la pratique de la deudeuche, je me propose donc de les emmener à leur séance d’équitation de l’après-midi. Elles rient beaucoup en m’aidant à rouler la capote de mon engin et se montrent si excitées par cette perspective au déjeuner qu’elles réussissent à convaincre leur mère d’être du voyage. Notre équipée cahotante et tressautante est pour les trois un vrai tour de manège qui les enthousiasme et les fait beaucoup rire. Je ne manque pas de poursuivre ma leçon du matin, montrant combien cette petite auto, qui doit coûter plus de dix fois moins que celle de leur mère, peut apporter tout aussi bien le service du transport et l’agrément d’une voiture décapotable, et rigolote de surcroît. Au retour, alors que les plages se sont vidées de leurs estivants, je les emmène même faire un petit rodéo sur la plage de la Grande Côte dans un sable où la belle Chevrolet se serait enlisée avec certitude.
Ce qu’elles ne surent pas c’est que, tandis qu’elles chevauchaient leurs canassons avec bombe, cravache, bottes et tenues ad hoc, je chevauchais leur maman dans cette même deudeuche garée dans un petit bois de pins. Ce fut là, mais aussi sur le sable restreint d’une petite plage accessible uniquement en bateau ou après une demi-heure de crapahut sur les rochers du lapiaz, au milieu des dunes, dans les blockhaus abandonnés de la dernière guerre et bien sûr chaque soir dans ma chambre. Pour la première fois, je baise autant que mes hormones de jeune mâle me sollicitent. Il suffit que Kimberley perçoive mon regard concupiscent sur son corps pour qu’elle sache immédiatement que j’ai envie d’elle. Et elle est toujours prête, m’offrant toujours une chatte détrempée, mon désir allumant le sien, comme si nos corps se reconnaissaient instantanément et savaient à l’avance tout le plaisir qu’ils allaient prendre l’un de l’autre. Parfois, l’attente obligée d’un moment propice ou la précarité d’une situation ou d’un lieu ajoutent à notre frénésie sexuelle, décuplant l’intensité de ce plaisir volé.
Preuve s’il en fallait que je ne suis pas sa première expérience avec des jeunots. C’est toujours un peu désagréable de ne pas être le premier. Mais bon, il ne faut pas espérer trop d’une femme mariée, mère de famille de trente et un ans. Pourquoi ne pas s’étonner qu’elle ne soit pas vierge, tant qu’on y est…
Hélas, tout a une fin. En août, la petite famille prend l’avion pour l’Afrique du Sud. Je rentre chez moi par le chemin des écoliers, descendant jusqu’aux Pyrénées, histoire de dissiper le blues qui m’a envahi. L’année suivante, je reviens à Saint-Palais, mais hélas, la belle villa demeure désespérément close. Je rencontre Irma, ravie, qui me dit que Madame tenait à ce que ses filles soient parfaitement bilingues et qu’elles passent toutes les vacances en Afrique du Sud. Dommage…
Je plante donc ma tente au camping, sur la seule aire disponible, minuscule, coincé entre deux caravanes et la palissade. C’est bruyant, inconfortable au possible, et je respire plus de gaz d’échappement que d’odeurs de marée. L’expérience de l’année précédente me donne une idée : je scotche sur les vitrines de la boulangerie, de la charcuterie et de la pizzeria une petite annonce offrant mes services de cours particuliers. Il suffit que les gens laissent leur numéro pour que je les rappelle. Mais cette fois, je fais chou blanc et continue de m’ennuyer ferme. J’attends cependant le quatorze juillet avant de repartir, la fête y est toujours agréable et le feu d’artifice somptueux. D’ici là, je traîne de droite et de gauche, un tour à Talmont, un autre à La Rochelle, Brouage, Rochefort, Port des Barques… Un vrai touriste ! J’ai un peu plus de pognon que l’an passé avec toute une année de salaire, suffisamment pour alimenter deudeuche et rapporter quelques produits locaux : des friandises de Mornac-sur-Seudre chez l’adorable « Nougatine » et du pineau de la Cave coopérative de Breuillet. Mes parents seront contents. Et puis il y a les jours « sans », sans balade parce que ça finit par coûter, et puis aussi parce que je ne vais pas passer toutes les vacances en bagnole. C’est donc baignade en fonction de la marée et flânerie dans le patelin. En rentrant au camping avec mes petites courses, je vois une situation étonnante : une caravane a pris un air penché et une petite dame essaye de pousser pour la redresser.
Je vais poser mon sac de courses pour voler à son secours. Constat, une roue est complètement à plat et les pattes censées empêcher la remorque de bouger se sont enfoncées dans le sol sablonneux.
Deudeuche dispose d’un formidable cric très long, avec un support qui se déplie à la perpendiculaire et voyage le long d’une vis sans fin. Il est très pratique parce qu’il peut partir presque du ras du sol et monter très haut, ce qui est nécessaire à cause du grand débattement des roues de la 2CV. Et comble de bonheur, comme le fameux embrayage centrifuge interdit le frein moteur, le carrosse est livré avec une grosse cale de bois, pour les stationnements en pente. Je ramène le tout. Les grands yeux noisette me regardent comme le Messie. Elle est mignonnette, cette dame, petite mais charmante avec sa petite robe de cotonnade à fleurs et sa belle tignasse brune. Il y a quelque chose de bizarre chez elle mais je ne sais pas trop quoi ? C’est en regardant ses jambes, alors que je suis à genoux le long de la caravane, cherchant un endroit où placer le cric, que je comprends. Sa peau est blanche. Mais quand je dis blanche, c’est blanc-blanc, même pas pâle, carrément laiteuse. C’est incongru ici où tout le monde n’est là que pour bronzer, voire rougir dans un premier temps. Je trouve une traverse qui paraît solide, histoire de ne pas passer au travers du fond de la caravane, la cale par terre pour ne pas m'enfoncer et je tourne la manivelle. Ça vient doucement, jusqu’à presque l’horizontale, mais c’est de plus en plus dur. Bizarre. Évidemment, les pattes de stabilisation qui s’étaient enfoncées ont du mal maintenant à ressortir. Leurs pieds carrés, bien que trop petits pour le terrain, sont coincés par l’herbe poussée sur le sol sablonneux. Avec ma pelle américaine, indispensable pour faire la rigole autour de la tente, je les dégage, et enfin la caravane se met à pencher de l’autre côté.
Je laisse la roue frotter au sol le temps de desserrer les boulons, bien grippés par le temps, il me faut même monter sur la manivelle pour en débloquer un. Puis je finis de lever pour la retirer. Mais là, elle ne vient pas, quelque chose l’empêche même de tourner. Je fouille de la main et sens un morceau de métal fiché dans le pneu. Je crois un instant à un piquet de tente oublié, mais non. Un coup de pelle découvre une brochette métallique en inox, une de ces brochettes bien pointues en métal torsadé, bien pliée en angle par de nombreuses roues passées dessus. Elle s’est plantée dans le pneu et a fini par le perforer. Sûrement à cause du cagnard, auquel la roue est exposée tout l’après-midi, la chambre à air a résisté un moment et puis, la pression augmentant avec la chaleur, a fini par se percer.
On se retrouve vers quatorze heures trente, elle a un petit chapeau de paille et de grosses lunettes de soleil. Je n’ai pas débâché Deudeuche pour la protéger du soleil, on ouvre « grand » (?) les fenêtres rabattantes pour avoir un peu d’air, si ce n’est de la fraîcheur. Le vent tourbillonne et joue avec les pans de sa robe, découvrant une partie de ses cuisses blanches, plutôt (toujours club Mickey) appétissantes.
Le garagiste aurait bien voulu réparer la chambre, mais la brochette l’avait percée juste à côté d’une ancienne rustine. Coïncidence.
Il en a une, il la change, il fait un prix parce qu’il l’a depuis longtemps, la dimension étant assez rare.
Remettre la roue est chose facile. Après, il faut rééquilibrer la caravane. Or, comme j’ai creusé pour dégager les pieds, il me faut dégoter une vieille palette à la boutique du camping, la démonter, et soulever quatre fois la caravane aux quatre coins pour poser les pieds sur les planchettes de bois. Eh oui, impossible de mettre la main sur la manivelle manœuvrant ces fichus pieds, le mari a dû la remporter dans son coffre. Merci. Je finis trempé comme une soupe et je cours aux douches collectives pendant que Michelle, c’est ainsi qu’elle se prénomme, lit en écoutant son petit transistor. Je reviens propre et rafraîchi pour réclamer mon dû, un bisou. Elle s’exécute volontiers avec un magnifique sourire mais, comme elle est petite et que je refuse de me baisser, elle doit se coller à moi et se hisser sur ses pointes. J’en réclame un second pour la suée de l’après-midi. Ce petit corps collé contre le mien m’excite instantanément et mon boxer passe aussitôt en « poutre apparente ».
Cette fois, je mets mes mains autour d’elle, ce qui me provoque une émotion rare. Elle est si menue, semble si fragile, rien à voir avec la femme athlétique de l’an passé. J’en bande plus fort encore. Je tourne légèrement la tête et nos lèvres se rencontrent, à la commissure d’abord, puis plus franchement. Soudain, elle se recule.
« Culpabilité, sors de ce corps » ! Oh là là, comme c’est mal ce que je viens de faire ! Ça, il ne faut vraiment pas. Je suis une femme mariée, mère de famille, sérieuse et tout et tout.
Nous rentrons donc dans la caravane pour « en tester le calage ». Elle se laisse embrasser, longuement. Mes mains trouvent des petits seins très réactifs et des fesses étonnamment développées, rondes et fermes. Ce n’est pas seulement sa taille fine qui fait galber sa robe. Robe que mes doigts soulèvent pour trouver sa peau, tâter sa culotte de coton avant de s’y engouffrer. Mon majeur s’engage dans le sillon fessier, chaud, tendre, charnu, me donnant une fabuleuse émotion. Je pénètre dans la naissance du monde, mais côté pile. Elle sort encore une fois de mon étreinte, écarlate, les yeux brillants, robe soulevée et tire-bouchonnée.
Au-dessus de ma poutre, mon boxer bleu est marqué d’une petite tache plus sombre, humide. Elle me fait un effet dingue. Elle ferme sa caravane à clé et s’enfuit en courant, comme si elle s’éloignait du diable en personne.
Le lendemain, vers midi et demi, une petite fille se présente dans l’ouverture de ma tente.
Elle voulait soi-disant présenter à ses enfants le gentil Monsieur qui avait réparé leur logis de vacances. En fait, je crois surtout qu’elle veut mettre ses enfants entre elle et moi, façon d’éviter de succomber.
On mange du melon, de la salade et de la pizza. En fait, tout le monde fait festin. Ensuite, je cours à la boutique du camping chercher quatre glaces, un vrai repas de fête.
Les deux piquent du nez en rougissant.
Nous allons ensemble accompagner les enfants à leur club, je voulais voir de quoi il retournait. Un grand enclos de ganivelle avec un Mickey en carton-pâte à l’entrée, trois animateurs, deux garçons et une fille, des étudiants certainement qui se font un peu de sous. La fille avec les petits, les garçons avec les groupes des moyens et des grands. Pour le reste, ça n’a rien de Mickey mais tout de la colo, avec des rondes, des comptines, des courses en sacs, des jeux de quilles, etc. Cinq francs la journée pour une cinquantaine de gosses en payant les animateurs avec un élastique à mille balles le mois, l’organisatrice qui fait payer à l’entrée n’y perd rien. Bon plan. Un peu de matériel, dont le plus coûteux doit être la clôture qui sert tous les ans, mémère doit se faire trois ou quatre mille balles pendant deux mois, pas mal. Le reste de l’année, elle doit manager des putes, elle a bien la tête à ça. Au reste, les parents ainsi libérés de leur progéniture ont tout loisir de faire des galipettes dans les bois de pins. Si on y pensait, nous…
Elle me propose de me faire un café en retournant à la caravane, j’accepte. Cette fois, je fais la visite du lieu, c’est petit mais bien conçu. Une petite cuisine genre kitchenette avec à peu près tout sur deux mètres carrés, une petite salle d’eau avec douche et chiottes repliables sous le lavabo, et une pièce plus grande dont le canapé sert de lit pour maman et deux lits superposés pour les » tits n’enfants. Partout des placards, dans lesquels j’ai tendance à me cogner.
Nous y allons après avoir bu le café sous l’auvent. J’ouvre le double toit puis la tente, en lui demandant de poser ses godasses. Entrer dans une canadienne se fait à quatre pattes, tout un programme avec son popotin. Ça y est, la tente a un mât de plus !
En disant cela, je lui caresse doucement l’avant-bras. Je n’avais pas remarqué combien elle était duveteuse. Un petit duvet brun qui ne ternit pas sa peau très blanche, constellée de nombreux grains de beauté.
Ma main parcourt le mollet puis s’aventure sur la cuisse. Elle veut protester, mais je suis persuadé que ce n’est que pour la forme, puisqu’elle est là.
Je poursuis mon exploration, sa poitrine se gonfle. Les boutons de la robe cèdent un à un, puis la ceinture. Quand je retire la culotte de coton, genre foc de Pen Duick, j’ai la surprise du siècle. J’en avais entendu parler, mais je n’en avais jamais vu. Un « tablier de sapeur », un éventail d’astrakan, dense, long, luisant, couvrant tout le bas du ventre presque jusqu’au nombril, qu’une petite raie de duvet vient rejoindre. Furieuse envie de plonger mes doigts dans cette broussaille. Mais il faut d’abord dégager ces petits nichons sensibles, elle m’aide, enfin convaincue de s’abandonner. Elle n’émet plus que des sifflements entre ses dents et des souffles rauques quand je m’empare de sa poitrine. Il nous reste deux bonnes heures de tranquillité, nous les exploitons pleinement. Une femme mariée résiste longtemps, mais quand elle se lâche, c’est pour de bon. Il faisait déjà chaud sous la toile, il y fait désormais une chaleur tropicale. Elle se montre littéralement affamée, me bouffant la bouche, le torse, le sexe. Quand c’est mon tour, je constate que la nature fait bien les choses. Si elle est dotée d’une pilosité très développée, au beau milieu de son entrecuisse jaillit une pelote de chair fripée, ses petites lèvres également surdimensionnées. Il me suffit de les déployer en grand papillon, et l’éden est offert, exempt de tout poil. Je peux lécher, sucer et surtout pénétrer à l’aise dans son chaudron. Elle est si menue et si petite qu’il m’est facile de la manipuler à mes souhaits, prenant garde de ne pas la casser tant elle paraît fragile. Du missionnaire à l’amazone, de l’amazone à la levrette, tout s’enchaîne harmonieusement. J’ajoute quantité de perles nacrées à sa toison noire, mais aussi sur ses fesses et dans sa bouche avide. Nous terminons rompus, ruisselants de sperme, de sueur, de salive et de cyprine. Elle enfile sa robe réduite à l’état de torchon pour aller prendre une douche, hélas, c’est trop petit pour deux. Je vais donc aux collectives. En revenant, elle est partie chercher ses gosses. Je n’ai pas envie de la revoir avec ses mômes, je saute dans la Deuche et sors en ville, manger un truc et boire une bière fraîche.
Le lendemain matin, je l’aperçois revenir du club puis étendre sa robe fraîchement lavée. Elle est en T-shirt et jupette courte et je me sens pris soudain d’un désir subit, avec une gaule pas possible. Je vais à sa caravane, entrant derrière elle. Sans un mot je la saisis par la taille, la pose sur la tablette, arrache sa culotte et l’empale sans précaution. Je la pilonne comme un fou, elle se mord le poing pour ne pas crier. Je laisse aller mon plaisir sur sa broussaille et repars sans un mot, sans un baiser. Une attitude de la dernière goujaterie, j’en conviens, mais le fruit d’un désir impérieux, urgent. L’après-midi, c’est elle qui vient me voir sous ma tente.
Comme des bêtes, nous nous comportons comme des bêtes ! Tous les jours, matin et après-midi. Elle me met sur les rotules mais j’adore ça. Vient le treize juillet et son feu d’artifice, nous y allons tous quatre avec les enfants. Elle les place devant elle pour les contrôler, je me place derrière elle pour quelques caresses. Dans le noir, pas de souci ! Je frôle ses fesses de mon ventre, elle les appuie sur ma verge érigée, cherchant à lui faire une place dans son sillon, bien au chaud. De temps en temps, je pose mes mains sur ses hanches pour la serrer plus fort contre moi, quand elle applaudit je monte les mains sur ses seins. Je sens en direct au travers de la cotonnade ses pointes érigées. Elle n’a pas de soutif. Et si elle n’avait pas de culotte non plus, histoire d’être offerte à mes éventuelles caresses ? Ma main s’égare sous la courte robe pour vérifier, c’est bien le cas. De là, je me sens à la fois obligé et ravi d’accéder à cette offrande muette et je fourrage à pleins doigts entre ses fesses. Elle a des soubresauts, des crispations soudaines, crie plus fort son enthousiasme aux déflagrations multicolores. C’est prodigieusement excitant et frustrant à la fois, juste de quoi nous inciter à nous masturber tout le reste de la nuit. Le quatorze, il n’y a pas club, férié pour tout le monde. Je leur propose, puisqu’elle n’a pas de voiture, de les emmener faire un peu de tourisme. Ma Deudeuche explose complètement les gamins, plus habitués à la 504 de papa. Les remparts de Brouage sont intéressants pour eux, la plus grande surtout. Et puis la Charente, le bac, Mornac et les friandises. Belle journée pour les mômes, un peu frustrante pour les adultes qui n’ont droit qu’à quelques baisers furtifs…
Le lendemain, les habitudes reprennent, boostées par tant de frustration.
Matinée de folie, séance de rattrapage durant laquelle je dispense ma semence sur ses fesses, sur ses seins et dans sa bouche. Je meurs d’envie de pouvoir éjaculer en elle et le lui dis…
Bof ! À cette époque heureuse sans Sida, on ne risquait que quelques maladies ne résistant pas à la pénicilline, et le risque était faible avec les femmes mariées et supposées sérieuses. Et puis les préservatifs étaient épais, beaucoup moins bien faits qu’aujourd’hui et aussi moins résistants. Les déchirures étaient fréquentes.
La principale difficulté n’a donc pas été de convaincre Michelle, mais elle est d’acheter ce fameux gel, dans une pharmacie bondée d’estivants et d’autochtones. Le brouhaha de la boutique cesse instantanément lorsque j’ose annoncer la couleur à la petite préparatrice. Je suis soudain catalogué homo, une bête curieuse en somme. Alors pour faire bonne mesure je demande également une boîte de préservatifs, grande taille s’il vous plaît, rien que pour montrer leurs godasses aux mémés outrées. Je m’offre une sortie très digne, la foule s’écartant devant moi. Vieilles toupies ! L’exercice avec un anus vierge s’avère bien plus difficile que je ne pensais. J’ai cru que quand un doigt puis deux passaient, avec du lubrifiant, l’affaire irait sans problème. Mais pas du tout. D’abord parce que le diamètre de mon sexe est d’au moins trois doigts, ensuite parce que la dame se contracte, enfin parce que mon gland chasse et ne tient pas en place dans l’alignement des planètes. Après plusieurs essais infructueux et frustrants, je finis par mettre au point une technique : le prépuce bien rabattu sur le gland rentre un tout petit peu en premier puis sert de coulisse, grâce à sa double peau. Dire que ma partenaire apprécie, ce serait excessif. Mais elle me laisse aller deux fois jusqu’au bout de mon plaisir cette semaine-là. Pour la dernière semaine, déjà, elle m’annonce que, ses règles approchant, je pourrai l’inonder en toute liberté.
Hélas, elle reprend le travail le lundi suivant et son mari viendra les chercher le samedi, qu’elle ait le temps de tout ranger le dimanche. Je n’ose pas lui dire que moi, j’ai repoussé mon départ de quinze jours rien que pour elle…
Je n’ai pas envie de le rencontrer, ce Monsieur, aussi gentil soit-il de m’avoir prêté sa femme pendant trois semaines. Je me réveille au lever du jour, c’est assez facile sous la tente. Je plie en une demi-heure, c’est toujours le matelas le plus long à vider de son air. Je sais que Michelle ne bougera pas tant que les gosses ne seront pas réveillés, je pars en catimini, je dois même attendre à l’entrée pour payer mon séjour. Je n’ai pas non plus envie d’en rajouter, de vivre des adieux difficiles devant les enfants. Je ne la reverrai sûrement jamais. Ça ne fait rien, cette dernière semaine a été fabuleuse, justement parce que nous savions que c’était la dernière, les derniers ébats, puis la dernière fois…
Ce fut mon dernier séjour à Saint-Palais en tant que célibataire. Ah les mamans, seules l’été sur les plages, comme elles ont besoin d’affection ! Une fois marié, moi aussi, j’ai bien veillé à ne jamais laisser seuls en vacances ma femme et mes enfants. Pour autant, ça ne m’a pas empêché, à mon tour, d’être coiffé comme un cerf d’une splendide ramure. C’est la vie…