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Temps de lecture estimé : 21 mn
23/11/21
Résumé:  En rentrant de la soirée du week-end d’intégration, je me découvre audacieux.
Critères:  fh fhh hbi jeunes copains médical fête hdomine fellation cunnilingu 69 préservati double fsodo -couplea3
Auteur : Couple?      Envoi mini-message
Le week-end d'intégration


Cette histoire est véridique jusqu’à un certain point dans le récit.

À vous de me dire en commentaire quand se trouve le point de bascule entre la réalité et la fiction.








Je vais vous raconter une histoire qui s’est passée avant ma rencontre avec Mya.

J’étais alors avec Noémie. Je l’avais connue pendant mes études de kiné, nous étions dans la même école. Nous venions de terminer notre cursus, nous étions donc un petit couple de 24 ans entré récemment dans la vie active.

Pour ne pas devenir trop rapidement des adultes responsables, la bande d’amis que nous formions avec quelques autres jeunes diplômés avait décidé de participer au Week-end d’intégration, organisé pour les premières années par le Bureau des Élèves (BDE).


Un Week-End d’intégration, qu’est-ce que c’est ? Attention, je vois venir la levée de boucliers, scandant déjà la mise à mort du bizutage.

Bizutage, il n’en est rien.

En effet, en études de kiné, les élèves apprennent le métier les uns sur les autres lors des Travaux pratiques (TP). Comment un bilan ? Comment une mobilisation passive, active, un massage, de la jambe, du bras, du dos ou du ventre ? L’apprentissage se fait donc le plus souvent en petite tenue : slip ou caleçon pour les garçons, soutien-gorge et culotte pour les filles.

Quoi de plus normal ? En effet, au cours de notre carrière professionnelle, la nudité des patients est omniprésente. Évidemment, les patients sont rarement des jeunes filles magnifiques de 20 ans. La plupart du temps et surtout dans ce dernier cas, elles s’arrangent pour porter de la vieille culotte de grand-mère et le soutien-gorge dépareillé. Mais toujours est-il que pour apprendre ce beau métier, il faut donner de sa personne et se déshabiller soi-même.


Quand on arrive à 20 ans dans l’école et qu’au premier TP les profs vous demandent de vous mettre en petite tenue, je vous garantis que la gêne est palpable dans la salle. Sorti du WE d’intégration, le lundi suivant, l’ambiance est tout autre lors du nouveau TP.

Ce WE est donc salvateur, encore une fois, point de bizutage. Le but est clair et les règles aussi. Le but est de s’amuser tous ensemble et de se désinhiber un peu. Les règles : encourager les 1ères années à participer à des jeux potaches dans le respect des participants. Il est important de ne proposer que des épreuves que l’on peut réaliser soi-même et il est recommandé de montrer l’exemple. Les filles des années supérieures motivent les 1ères années « filles », les garçons motivent les garçons.

Dans le cas où les anciens profiteraient de leur position pour imposer des choses aux nouveaux, je vous assure qu’ils se font reprendre sèchement par le staff.

À partir de là, chacun est libre de faire ce qu’il veut. Reste aux anciens à donner envie aux nouveaux.


Ce WE est habituellement réservé aux étudiants mais notre petit groupe faisait partie du BDE pendant toutes nos études et nous étions donc les bienvenus à la fête !


Concrètement, le WE commence vers les 7 h du matin. En attendant la répartition dans les cars, les bizuts (oui, on a gardé le nom) commencent à apprendre les chansons paillardes de l’école et à enquiller quelques bouchons d’alcool. Je ne l’ai pas précisé, mais la consommation d’alcool, bien qu’elle soit à consommer avec modération, est très présente lors de ce WE bien que toujours sur la base du volontariat (et les volontaires sont nombreux).

Soit dit en passant qu’un des intérêts de ce WE aussi d’apprendre à gérer son état d’ébriété sur le long terme, chose qui n’est pas aisée et qui nécessite l’aide de ses pairs.


Une fois monté dans les cars, on chante, on danse, on boit un peu et quelques jeux s’organisent. Tels que le jeu de la corde à linge qui consiste à passer une corde dans un de ses vêtements, puis la passer à son camarade qui fait de même. Une fois que les bizuts ont tous passé un vêtement dans la corde, ils doivent retirer leurs vêtements et le laisser sur la corde. C’est le début de l’effeuillage.

Un autre jeu est le choix d’un bizut horloge qui, chaque demi-heure, doit venir à l’avant du car crier cocorico, annoncer l’heure et montrer ses fesses. Oui, c’est puéril, mais à 20 ans, ça fait rire. Il faut savoir que chaque 2ième année a un filleul 1ière année, les 2ièmes année cherchent donc à mettre en avant leur filleul et donc font tout pour qu’il ait envie de participer.

Les jeux et les chansons s’enchaînent sur les aires d’autoroute jusqu’à l’arrivée au lieu de villégiature.


Après un repas revigorant, les jeux de l’après-midi s’enchaînent. Rapidement, tous les bizuts se retrouvent en sous-vêtements (les plus malins auront prévu un maillot de bain mais c’est tricher) pour participer à diverses épreuves. Les raconter toutes prendrait trop de temps mais on trouve entre autres le gobage de Flamby sur le ventre, l’échange de bouteille savonneuse entre les cuisses, et l’épreuve reine qui clôt les festivités : le parcours du combattant des filles qui doivent ramper sur les garçons qui ont été préalablement enduits de produits visqueux et glissants.

Pour les sceptiques, lors de ma dernière organisation de WE d’intégration, deux élèves me sont littéralement tombés dans les bras pour me remercier du super moment qu’ils venaient de passer, une vraie intégration !


Enfin, cette ambiance festive et grivoise se poursuit en mode dancing et DJ.


Noémie et moi sortons donc de la soirée tard dans la nuit pour aller nous coucher, après avoir profité de la musique, de l’échauffement des corps et de la boisson qui a coulé à flots.

Lors de ce WE, nous partageons un grand bungalow en dur avec quelques-uns de nos camarades diplômés. Noémie et moi nous nous sommes vus attribuer le canapé-lit dans le salon. Au point de vue intimité, ce n’est pas le top mais nous nous connaissons tous depuis plusieurs années et nous sommes à l’aise les uns avec les autres (même en sous-vêtements : merci le WE d’intégration).


Arrivé au bungalow, bref passage à la salle de bain, j’enfile un caleçon de nuit et un t-shirt pendant que Noémie passe une chemise de nuit pas franchement sexy étant donné que nous ne serons pas seuls dans le logement au réveil et une culotte.

À la lumière de la lampe de chevet, nous commençons à nous bisouter pour nous dire bonne nuit. Il est clair que comme nous sommes à fond depuis le matin, les choses risquent de tourner court. Personnellement, je ne compte pas en rester là. J’appuie un peu mes caresses, je glisse sur ses fesses et la demoiselle se trémousse un peu. Nous sommes allongés face à face et je lui glisse à l’oreille mon envie, elle soupire l’air faussement agacé et me répond par l’affirmative à condition d’éteindre la lumière. J’éteins et elle passe sous les draps.

Elle fait glisser mon caleçon jusqu’à me l’ôter. Elle attrape la base de mon sexe et me suçote le gland le temps de faire gonfler un peu l’animal. Je me détends alors que Noémie alterne masturbation et coups de langue. Au bout d’un moment, je lui dis :



Sur ce, j’allume la lumière et j’avance mon bassin pour qu’elle reprenne son activité. Elle attrape mon sexe et le remet dans sa bouche après m’avoir traité de pervers exhibitionniste. Je dois avouer qu’elle n’a pas tort et pour une fois que j’exprime mes fantasmes un peu déviants, je prends son reproche comme un compliment. Je traiterai avec la culpabilité demain.


Noémie s’affaire, quelques minutes passent quand nous entendons la porte d’entrée s’ouvrir doucement. Dans un mouvement de panique, Noémie remonte vers le haut du lit, tire sur les draps et s’essuie la bouche d’un revers de la main. Si la personne qui entre ne se doutait de rien, tous ces gestes brusques et compulsifs sont assez clairs pour comprendre ce qui se passait. Pour ma part, je suis décidément relax ce soir car je la laisse faire et me retourne ensuite pour voir qui est l’intrus qui rentre sans doute, comme il en a bien le droit, pour se coucher.


Il s’agit de Thomas, il est célibataire en ce moment et est revenu seul ce soir. Je crois que sur le plan sentimental, il prend la vie comme elle vient et ne s’attache pas vraiment. Je ne l’ai vu qu’une fois dans une relation stable, pour le reste, c’était plutôt des rencontres. Il est bonnard ce Thomas. Toujours agréable, toujours de bonne humeur, toujours le bon mot. On s’entend bien tous les deux. Il est du genre sûr de lui qui accepte ses défauts.

Noémie est souvent après lui et j’ai déjà éprouvé des pointes de jalousie. Quand je dis après lui, je veux simplement dire qu’elle rit fort à ses blagues et cherche sa présence quand il est avec nous pour les fêtes, rien de plus a priori.


Le voilà donc qui entre, avec une attitude de crooner, il commence à jouer un rôle pour nous faire marrer. Il s’approche et se place au bout du lit.



Nous commençons à sourire, le malaise de Noémie passe, il continue sa comédie :



Sur ce, il place les index sur ses tétons à travers la chemise et imite le la chaleur qui s’éteint par un pschitt.



Il déboutonne sa chemise langoureusement en faisant des grimaces comme José Garcia quand il imitait Cindy Crawford dans « nulle part ailleurs » sur Canal +.


Noémie et moi nous nous marrons franchement et lui il essaie de garder son sérieux.

Il jette sa chemise sur le lit et nous demande, toujours avec la même voix :



En disant tout cela, il a déboutonné doucement son pantalon et quand il a dit le dernier mot, il s’est tourné et l’a baissé jusqu’aux genoux

On continue de se poiler de bon cœur, Noémie et moi applaudissons assis sur le lit comme au spectacle. Je veille malgré tout à bien me couvrir le bas avec les draps car mon caleçon est perdu quelque part au fond du lit. Pour sa part, Noémie passe régulièrement les mains sous les draps pour tirer sur sa chemise de nuit.

Jusque-là, il n’y a rien de vraiment extravagant par rapport à ce que l’on a l’habitude de voir ou de faire tous ensemble donc on rigole bien et Thomas cherche à rester dans son personnage. Pour lui donner un côté comique, il tombe, se met sur le dos en mode tortue et tire frénétiquement sur les jambes de son pantalon pour le retirer. De là où nous sommes, nous ne voyons plus que les bras et les jambes qui s’agitent.

Il se relève et nous dit en s’adressant à Noémie, toujours d’un air faussement suave :



Sans attendre sa réponse, il tire sur l’élastique de son boxer, s’arrête, nous fait signe que non… C’est digne d’un club de strip-tease. Il se met de dos, refait le même cinéma. Il nous fait signe qu’il a besoin d’encouragement. Pour moi c’est OK, tant que son sexe est caché, il peut retirer son caleçon, ça continuera de me faire rire, j’avoue que je suis curieux de savoir jusqu’où il est capable d’aller. Noémie est plus gênée, et rit de manière compulsive.

J’applaudis donc et encourage Noémie à encourager Thomas. Ce qu’elle fait de bon gré.

Sous la chaleur de l’ovation, il se met sur un pied, retire une chaussette, change d’appui et retire l’autre. À chacune des chaussettes, nous le félicitons comme s’il avait effectué un exploit sportif.


Il est maintenant dos à nous, toujours dans sa chorégraphie sans musique, il passe ses pouces sous l’élastique et descend centimètre par centimètre son boxer. Il nous découvre ses fesses musclées déjà vues maintes fois mais là, les circonstances sont quelque peu différentes. Nous sommes dans un lit alors que nous étions « occupés » tandis qu’un ami nous fait un strip-tease intégral sans avoir l’air de vouloir s’arrêter. Une fois les fesses passées, il se penche en avant et fait glisser le boxer jusqu’à ses pieds. Il pratique la capoeira et nous prouve à ce moment-là qu’il a la souplesse pour pratiquer ce sport.

Thomas se relève dos à nous et écarte le bras. Nous applaudissons joyeusement à nouveau. Je me dis qu’il va ramasser ses affaires et se rhabiller. Mais c’est autre chose qui se passe. Thomas tourne la tête, nous fait un grand sourire énigmatique, il plie les genoux et s’exclame :



Il pousse alors sur ses cuisses, se jette en arrière, direction le lit. Noémie et moi nous écartons vite l’un de l’autre et Thomas atterrit sur le dos au milieu de nous deux. Son sexe vient rebondir sur son ventre puis claque sur ses cuisses. Il se redresse un peu, placé sur les coudes. Il est là, comme si de rien n’était, son sexe mou repose sur sa cuisse en direction de Noémie qui a du mal à détacher son regard de l’objet nouvellement apparu.

Il nous ressort un bonsoir.

Noémie et moi rions bêtement, aidés par la gêne issue de la situation. Je vois bien qu’elle ne sait pas quoi faire. Thomas, lui, est vautré dans le jeu du personnage qu’il a créé. Moi, je suis un peu trop attentiste à mon goût. Il n’y a pas de raison, si Thomas joue et que ça fait rire la demoiselle qui partage mon lit, je vais jouer aussi.


Je réponds à Thomas :



Bingo, j’enchaîne alors :



Je retire donc mon T-shirt et m’exclame :



Je pense que comme pour la lumière tout à l’heure, il faut remercier la désinhibition de l’alcool. Elle rigole, se redresse sur son séant, remonte les draps jusqu’au nombril, lève les bras et ôte sa chemise de nuit. Nous pouvons alors contempler son ventre plat et ses beaux seins hauts placés. À son tour, Thomas a du mal à détacher son regard de la poitrine exposée.

Il nous regarde l’un après l’autre et nous dit :



Je soulève le drap qui me couvre et expose tout mon corps nu à mes deux comparses. Noémie ouvre grand ses yeux et passe son regard de Thomas à moi et de moi à Thomas. J’ajoute :



Je me mets à scander, suivi rapidement par Thomas :



Elle rit encore, s’allonge sur le lit, lève les fesses, fait descendre la fameuse culotte, la ressors et nous la présente en disant :



Je saisis prestement ladite culotte et la jette à travers la pièce disant à Thomas tel à un chien :



Le petit sous-vêtement est venu s’échouer sur le dossier d’une chaise du salon. Thomas imitant un chien fou part à quatre pattes (sur les pieds et sur les mains) déguerpit à la recherche de la culotte comme si un bâton lui avait été lancé. Il est donc devant nous, les fesses en l’air laissant apercevoir son anus, les jambes écartées découvrant les couilles pendantes, à faire semblant de chercher le jouet.

En partant si vite, il a embarqué les draps et Noémie se retrouve découverte. Elle cherche à les rattraper, un peu paniquée, mais je les tire à nouveau et, sur un ton autoritaire que je ne me connais pas, je lui dis :



Pour démonstration, je lui montre mon sexe et je pointe Thomas du doigt.


À action nouvelle, réaction nouvelle : elle ne me répond rien, elle serre un peu les cuisses et pose une main sur son sexe pour le cacher. J’hallucine un peu mais je suis bien satisfait qu’elle obéisse.

Je me tourne vers Thomas pour reprendre le jeu et l’encourage comme un bon chien-chien. Il trouve finalement le jouet, fourre son nez dedans, l’attrape avec la bouche et revient vers nous et se jette sur moi tout fier de son trophée. J’ai donc un pote nu sur moi qui suis dans la même tenue et ce dernier pose frénétiquement ses pattes sur mon torse, je réfrène l’élan du Patou qui me sollicite. Autant vous dire que la sensation est étrange. Son torse est glabre, sa peau est douce, il a un côté un peu androgyne malgré les épaules plutôt carrées et sa musculature sèche. Même si je ne suis pas bi, je me dis qu’il est important de garder l’esprit ouvert et que ce qui peut donner du plaisir ne doit pas être empêché par des principes d’éducation ou des a priori. Sans aller plus loin dans ma réflexion, je flatte le flan, félicite le bon toutou et toujours dans le jeu, je lâche cette phrase à double sens en lui tapotant les fesses pour le renvoyer vers Noémie :



Brièvement, Thomas me sonde du regard pour savoir. Il sait.

En cet instant, je n’ai plus de doute mais plus de sentiments non plus. Je ne veux plus continuer ma relation avec Noémie. J’accepte de la donner en pâture à un autre avec pour seules pensées celle de rompre d’une part et celle de prendre mon pied dans un plan à trois d’autre part.


Cela m’arrive comme un flash mais en réalité, ça m’aide à me rendre compte de ce que je me cache à moi-même depuis trop longtemps. Un début de relation basée sur un adultère de sa part, poursuivie pour de mauvaises raisons telles que la facilité, le confort, le sentiment de valoir quelque chose aux yeux de quelqu’un, et finalement, cette demande qu’elle attend que je lui fasse : la robe, la pièce montée, le sourire figé, le photographe, le chat, la maison en banlieue, le jardin, les enfants, l’équitation, les beaux-parents cons comme leurs pieds, les copines insupportables, IKEA le dimanche, la télé pendant le repas, la béquille, les kilos, l’enfermement, la déprime. J’ai un haut-le-cœur, putain, il faut que je la baise. Il paraît qu’on trouve la bonne personne quand le ratio mère/pute est correctement équilibré : autant vous dire qu’il y a un dénominateur à remonter.

Cette prise de conscience a été fulgurante, j’ai l’impression d’avoir pris un coup sur la cafetière. Il faut que je la baise, il faut que je baise.


Pendant ce temps, Thomas a sauté par-dessus Noémie qui se trouve donc entre nous deux. Il se rapproche d’elle en continuant de jouer. À quatre pattes, il pose ses mains sur Noémie comme sur moi tout à l’heure. Comme un bon toutou, il la pousse avec sa truffe sur l’épaule, sur le ventre. Tout en riant, Noémie tente de reculer mais elle vient cogner ses fesses contre mon bassin. Je passe mon bras par-dessus elle et je tapote sur le lit devant son ventre en encourageant Thomas :



À force d’être frotté, mon sexe a pris une belle érection et ce dernier se frotte à son tour à sa vulve bien humide. Conséquence : elle a de plus en plus de mal à retenir Thomas qui se retrouve calé en fétus la tête en bas, le haut du crâne contre le ventre de Noémie, les pieds à hauteur de son visage. Il cherche à continuer de se blottir.


Quand je sens le passage s’ouvrir, je pousse d’un coup de bassin et la pénètre aisément. Les derniers remparts lâchent, elle desserre ses bras et ses cuisses. Je débute mes va-et-vient et rapidement je lui écarte la cuisse du haut.

Thomas n’a qu’à relever la tête pour se trouver face à la chatte de ma future ex-future épouse. Il est à quelques centimètres de mon sexe qui entre et sort. Il fourre sa tête en avant pour gober le bouton de Noémie et son nez frotte mon sexe par la même occasion. Je ne me soucie pas de ce qui provoque cette pression, homme ou femme, le plaisir est là.

Thomas a pris le relais pour tenir les cuisses écartées. Je lui attrape le bassin pour le rapprocher de nous et je susurre à Noémie de sucer la belle bite qui se présente devant elle, elle me fait non de la tête.


Elle a toujours été réticente à gober une queue, c’est plutôt le genre fille à goûter du bout de la langue. Malgré tous mes conseils, c’est toujours un peu fastidieux. La première fois, elle m’a même dit que c’était plus engageant de faire une pipe que de se faire pénétrer. C’est marrant mais quand elle se fait lécher, elle ne demande pas son reste… La colère monte, j’ai de la rancœur envers elle.

Là encore, alors qu’elle se fait pénétrer par son homme pendant qu’un copain la lèche, elle ne daigne pas rendre la pareille. Et bien vaille que vaille. Je la pénètre fortement et profondément, lui faisant lâcher un râle. Je sors, la laissant béante, je lâche un :



Je m’appuie sur le coude, passe par-dessus Noémie, j’attrape la bite de mon camarade, me la colle dans la bouche pour une belle démonstration de fellation. C’est la première fois que je fais ça. Je n’éprouve pas de plaisir physique, pas d’excitation particulière non plus, j’assouvis ma colère et j’exulte de mon ressentiment. Rapidement, Thomas lâche le clitoris de Noémie, passe sa tête entre ses jambes pour attraper mon sexe et le mettre à son tour dans sa bouche. Là, à l’inverse, la sensation est très bonne et on sent que quand celui qui fait sait ce qui est bon, la qualité est meilleure.


Noémie est donc comme une c… entre nous avec personne pour s’occuper d’elle. Comme prévu, plutôt que de revenir dans la partie, elle dit :



Je lâche le sexe de Thomas pour lui répondre :



Je retire mon sexe de la bouche de Thomas et je l’enfonce dans le sexe de Noémie.



Dans un râle elle répond :



Elle s’exécute l’air peu fier, Thomas, lui, reste sur lit pour voir ce qui va se passer. Pour ma part, c’est bien la première fois que je donne des ordres et qu’une femme suive, alors je commence à prendre confiance et je continue mon jeu. Je me mets debout et place mon sexe devant elle.



Elle attrape ma verge tendue, commence à me masturber puis me suce délicatement mon gland. Encore une première : je lui attrape la tête et pousse mon bassin en avant.



Toujours avec ma main sur sa tête, j’imprime le mouvement et elle commence à me suivre. Mon plaisir augmente, elle le sent et cela lui donne de l’ardeur à l’ouvrage.



Sans rechigner, elle place sa main entre ses cuisses et s’enfonce directement deux doigts dans le fond du vagin qu’elle ressort trempés. Elle lubrifie son clitoris et le frotte vigoureusement.


Je m’aperçois que je tourne le dos à Thomas qui, par conséquent, ne voit pas bien la scène. Je me décale pour qu’il puisse observer correctement l’entrejambe de Noémie et sa fellation. Je dis alors à Thomas :



Noémie tente une petite rébellion :



Quand je réponds cela, je n’en crois pas mes propres oreilles, pour couronner le tout, je lui adresse mon plus beau sourire, je caresse ses cheveux et je fourre à nouveau ma bite bien profond le temps que Thomas arrive jusqu’à moi, et la coquine reprend son ouvrage sans piper mot.


Mais qu’est-ce qui m’arrive ? J’adore ça. J’ai toujours rêvé de faire ça, de m’exprimer librement. J’ai toujours été empathique, précautionneux avec mes partenaires. J’ai toujours fait attention à ne pas les brusquer de peur d’être rejeté. Et là, du fait de ne plus rien attendre de Noémie, je me lâche et contre toute attente, elle se soumet et prend du plaisir.

Alors c’est ça être soi-même, s’exprimer sans craindre la réaction en retour. L’effet est détonnant !


Thomas arrive à ma hauteur, je me dégage de l’emprise buccale pour lui céder ma place. Je caresse à nouveau les cheveux de Noémie et la guide vers le nouveau chibre.



La voilà en train de sucer Thomas avec passion pendant que je m’extasie devant ses cuisses bien écartées. Jamais je n’aurais pensé qu’oser m’exprimer pour assouvir mon désir de fellation tel que je l’imaginais aurait pu me conduire à une telle situation. Le bon entraîne le bon.

Je sais, c’est très égocentrique, mais c’est une grande découverte : je suis d’habitude tellement introverti et au service de ces dames que je jouis d’être concentré sur moi, moi, moi !


Je me place à côté de Thomas, épaule contre épaule. Pour voir comment elle réagit, je dis à Thomas :



Nous la gratifions tous les deux d’un grand sourire. Elle bombe fièrement le torse et prend une initiative issue de ce compliment. Elle m’attrape le sexe de sa main libre et nous suce l’un après l’autre.


Après un moment, je lui dis :



Noémie se place à quatre pattes et Thomas se glisse sous elle. Il lui attrape les fesses et s’attaque à coups de langue à son clitoris. La miss est trempée, elle dégouline. Elle se jette sur le sexe de thomas. Elle le branle, le suce, le lèche. Elle monte rapidement.

Je me mets à genou derrière elle : à peine ai-je posé mon gland à l’entrée de sa vulve qu’elle pousse son bassin vers l’arrière pour se pénétrer. J’entame donc des puissants coups de boutoir encouragés bruyamment par Noémie. À chaque mouvement, je sens le nez de Thomas qui appuie sous ma verge. Je suis vraiment dur, cette sensation nouvelle est extra !


J’ai envie de profiter de la situation au maximum. Je pose mon pouce sur le petit trou de Noémie et je le masse pour le dilater un peu. Je frotte mon sexe plein de cyprine sur son anus et la pénètre délicatement centimètre par centimètre. Elle pousse sur moi en jurant son plaisir. Quand je suis arrivé jusqu’à la garde, je commence de lents va-et-vient tout en laissant dégouliner de la salive sur mon sexe pour bien humidifier son cul.

En s’adressant à Thomas, elle dit :



Ce dernier s’y emploie donc. Je sens ses doigts à travers la fine paroi.

Je suis très serré, et je sens que je ne vais pas pouvoir longtemps. Quitte à en être là : partager sa future ex avec un pote qui frotte mon sexe et y passe quelques coups de langue en même temps qu’il s’occupe de la chatte de cette dernière qui a ma verge dans le derrière, autant aller au bout du fantasme.


Je demande à Thomas d’enfiler un préservatif et de se placer face à Noémie. Bien évidemment, chacun a compris rapidement où je voulais en venir. Noémie lance :



C’est marrant, elle ne dit pas qu’elle ne veut pas, elle exprime sa crainte que cela soit difficile et ça, ça fait toute la différence.



Thomas se place à l’entrée de son vagin et à son tour entre, centimètre par centimètre. Noémie nous demande de faire attention et doucement. Nous prenons donc le temps et commençons à rythmer délicatement la pénétration. Chacun prend ses aises, Noémie se dilate petit à petit, se met à onduler pour nous indiquer comment elle veut nous sentir et c’est parti, elle repart dans sa bruyante sarabande qui nous enchante.

C’est ma première double pénétration. Ah ah, en réalité tout est une première là-dedans : première fois à trois, première fois que je dirige les opérations, première fois que je me fais sucer par un mec, première fois que je suce un mec, première fois que j’ai un tel self-control. Ça fait beaucoup pour une seule soirée.


Avec tout ça dans la tête, la bite bien serrée, un autre membre qui me stimule à travers le vagin de Noémie, je monte très vite dans les tours et rapidement, je ne peux plus me contrôler. J’accélère, je pilonne, je prends mon propre rythme, ce qui fait sortir Thomas de son logement. Noémie s’agrippe à ses pectoraux et les fesses pleines, elle crie son plaisir.

Je jouis dans son cul, lâchant au fond d’elle de longues semences de sperme, fier de l’expérience que je viens de vivre. Finalement, je m’étale sur le lit pendant qu’ils reprennent leurs affaires.


Tout à mon plaisir, je ne m’occupe plus d’eux. Ils sont bruyants et font bouger le lit. Une caresse dans le dos de Noémie et un check à Thomas, je ramasse mon T-shirt et mon caleçon puis je me dirige dans sa chambre pour aller me coucher dans le lit une place qui lui était réservé.

Noémie ne m’a pas vraiment retenu quand je l’ai quittée. Je les écoute d’une oreille distraite pendant un moment puis je ne les entends plus.


Un peu plus tard de la nuit, le reste de nos camarades rentrent les uns après les autres. Les lumières s’allument puis s’éteignent régulièrement. Je me rendors à chaque fois.


Le lendemain matin, m’étant finalement couché le premier, je me lève alors que la maisonnée dort encore. Thomas et Noémie dorment enlacés et vraisemblablement nus, là où je les ai laissés hier.

Le matin est frais mais le soleil perce à travers les arbres. Je me dirige vers le self pour le petit déjeuner. Lorsque je reviens, la plupart de mes amis sont levés. Noémie et Thomas aussi. Évidemment tout le monde a compris l’histoire. Je salue Thomas et embrasse Noémie comme si de rien n’était, car cela ne regarde personne d’autre que nous deux. Thomas s’éloigne pour ne pas créer de malaise bien qu’il n’y en ait aucun.


Lundi, après le boulot, j’annoncerai à Noémie que tout est fini. Je lui dirai que ce qui s’est passé hier soir n’a rien à voir. Que cela m’a juste permis de me rendre compte de ce que je voulais, que simplement je m’écoute, enfin.