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Temps de lecture estimé : 24 mn
24/11/21
Résumé:  Bruno rencontre Paul et Virginie, un couple de sexagénaires qui vont lui ouvrir les portes du libertinage et l’aider à accepter sa bisexualité.
Critères:  f h hh fhh hbi hplusag fplusag couple hépilé fépilée douche fmast hmast fellation fgode hdanus hsodo init -bisex
Auteur : François Angler  (Ecrivain en herbe)      Envoi mini-message

Série : Bi or not to bi

Chapitre 03 / 03
Bruno lève ses derniers doutes

Résumé de l’épisode précédent :

Après un week-end avec ses amies, Émilie et Juliette, où il a découvert sa tendance à la bisexualité.







Mon smartphone vibre sur mon bureau, c’est la notification de la réception d’un texto, je lis le message.


« Bonjour Bruno. Êtes-vous disponible ce soir ? Paul aurait grand plaisir à vous revoir et moi également. Signé Virginie. »


J’ai rencontré, il y a environ un mois, lors d’une soirée au lounge-bar « La Péniche », ce charmant couple de sexagénaires. J’étais venu écouter un groupe de rock. Vers 22 h 30, la piste de danse a été ouverte, j’ai accepté d’être le cavalier d’une femme mûre, même si je ne suis pas un bon danseur. À la fin, elle a tenu à m’offrir un cocktail pour me remercier. C’est ainsi que j’ai rencontré Virginie, qui m’a présenté son mari Paul qui avait le pied plâtré.


Nous avons fini la soirée, loin du bruit de la fête, sur le pont supérieur, à faire plus ample connaissance. À un moment, Paul a posé sa main sur ma cuisse, un instant surpris, je ne l’ai pas repoussée. Elle est restée là plusieurs secondes, immobile, avant de tenter une lente progression vers le haut de mes cuisses. Une décharge électrique m’a alors parcouru, déclenchant dans mon slip une réaction des plus surprenantes, une érection. Troublé, je croisais les jambes pour stopper sans brutalité excessive cet attouchement.


Ma curiosité piquée, je m’interrogeais sur les intentions de ce couple. Paul, 57 ans, est un ancien sportif de haut niveau, qui s’est reconverti comme gérant d’une salle de sport. Sa femme Virginie, 62 ans, est DRH en temps partagé pour plusieurs PME de la région. Des notables dans notre petite ville de province. Moi, je suis qu’un jeune cadre dans un cabinet comptable, nous avions peu de chance de nous rencontrer.


Peu après, j’ai été intrigué par des comportements, que je jugeais aguicheurs de Virginie. Tel que ce croisement de jambes, qui fit tomber l’un des pans de sa longue robe du soir, offrant à mes yeux, a priori involontairement, la vision d’une jambe enveloppée dans un bas résille noir. Mon regard suivait les courbes de cette jambe du pied jusqu’au haut de sa cuisse. Ainsi, je sus qu’elle portait des bas tenus par un porte-jarretelles, une lingerie fine que je n’imaginais pas que l’on puisse encore porter de nos jours. Elle ne sembla pas pressée de cacher son corps ainsi dévoilé. Elle réajusta sa tenue lentement, me laissant tout le loisir d’entrevoir une culotte noire transparente. Quelques minutes plus tard, elle me fit un clin d’œil tout en se penchant et en tendant son verre. Je me saisis de la bouteille de crémant posée devant moi, et lui remplit sa coupe, ce qui me donne l’occasion de voir sa poitrine libre dans l’entrebâillement du haut de sa robe. J’admirais quelques secondes une jolie petite paire de seins comme je les aime. Paul assis à mes côtés me semblait complice de ce jeu de séduction. Confirmé par une question directe de sa part, au moment où sa femme nous laissa en tête à tête pour aller aux toilettes, quelques minutes plus tard.



Je l’ai regardé, interloqué. Depuis que sa main m’avait touché, et avec le jeu troublant de sa femme, effectivement j’avais une solide érection qu’il m’était difficile de cacher. Une bosse déformait ma braguette.



Nous nous sommes quittés, peu après sur le parking, tout en ayant échangé nos numéros de téléphone.


Nous nous sommes revus dix jours plus tard. Lors d’un dîner au restaurant, la conversation a vite dérapé sur des sujets plus intimes. Nous avons parlé sexe et fantasmes sans aucune gêne. Ainsi, j’appris qu’ils sont libertins, pas trop branchés « rencontres en club », et ils sont depuis plusieurs semaines en quête d’un nouveau complice. C’est ainsi qu’il nomme leur amant. La Péniche étant un lieu réputé de la communauté LGBT, ils y viennent régulièrement pour écouter des musiciens ou voir des humoristes, mais avec l’espoir de faire une rencontre.


Paul m’a avoué être bisexuel et attiré par moi. Il apprécie les hommes au physique sportif qui prennent soin d’eux, et Virginie a apprécié ma galanterie. Ils ont senti que j’étais un garçon réservé. Sa main n’était pas une maladresse mais un test. Et comme je n’ai pas eu un geste de rejet, il a fait un signal convenu avec sa femme, pour qu’elle m’aguiche ouvertement afin de me faire tomber dans leur filet. Ils n’ont jamais eu de complices si jeunes. Ils sont excités par le fait de m’initier au libertinage. Nous convenons de nous revoir, dès que Paul pourra marcher sans béquille lors d’une soirée coquine à trois, sous le signe de la bisexualité masculine. Je ne cache pas mon manque d’expérience avec les hommes, je leur parle sans détour de mes fantasmes en la matière. Mais je ne leur évoque pas mes ébats avec Juliette et Émilie.


Je pianote une réponse favorable à leur texto, ayant un vif intérêt à les revoir, tout en sachant ce que cela implique. Nous sommes jeudi après-midi. Nous fixons un rendez-vous pour le soir même à 18 heures, sur la place de l’église, c’est à deux pas de chez moi.


Dès que je rentre de mon travail, je file sous la douche me préparer comme si j’allais à un premier rendez-vous : rasage de près de la barbe et du torse, un peu de parfum et de déodorant sous les bras, me voilà prêt. Je glisse des préservatifs dans mon portefeuille, on ne sait jamais.


Je suis en avance, stressé, je fais les cent pas le long de l’allée en platanes. Je gamberge sur cette soirée, j’espère être à la hauteur pour satisfaire une femme mûre et expérimentée comme Virginie. J’espère aussi être en capacité de me lâcher pour m’offrir à Paul, je sens que je vais être passif, j’espère qu’il sera respectueux. Je consulte toutes les minutes mon téléphone, le temps passe lentement. Je sursaute, un coup de klaxon derrière moi, une Porshe 911 est stationnée le long du trottoir. La fenêtre ouverte, je reconnais Paul, il est vêtu d’un polo à l’effigie d’un crocodile, d’un pantalon en toile légère et de mocassins sans chaussettes. J’ouvre la portière et m’installe dans le siège baquet à ses côtés.



Les 20 minutes, bien sûr, c’est à la vitesse d’une Porsche, le respect des limitations fut un peu oublié. La conduite sportive ne contribue pas à me détendre, même si Paul a une grande maîtrise du pilotage. À un moment pour me rassurer, dans une ligne droite, il pose sa main sur mon genou et la remonte le long de ma cuisse. Cet attouchement volontaire a déclenché en moi une brusque érection. Un homme me touche à peine et voilà que je bande, une partie de mes appréhensions s’envolent. J’observe à la dérobée mon chauffeur, je ne l’avais pas vraiment fait lors de nos précédents rendez-vous. Malgré qu’il ait arrêté la compétition, il continue de prendre soin de lui, il semble assez sec, je ne serais pas surpris de voir des tablettes de chocolat sous son polo. Une épingle à cheveux en fin de ligne droite l’oblige à tenir le volant à deux mains. J’aurais aimé que sa main reste plus longtemps sur ma cuisse. Je travaille ma respiration pour me détendre. Nous passons un portail en fer forgé, et nous nous arrêtons dans une allée en gravier devant une petite maison en pierre. Virginie en sort venant à ma rencontre et me fait la bise.



Ils n’ont pas tort, ayant voulu faire bonne impression, je me suis habillé comme si j’allais au travail voir un client. Je suis en costume-cravate et chaussures de ville. Visiblement, c’était idiot de m’habiller ainsi. Eux ont un style décontracté, Virginie porte une robe légère toute en transparence qui laisse deviner ses formes et elle est pieds nus dans des sandales. Je me sens bête devant eux.



Paul me montre le chemin de leur chambre à l’étage, attenant à un dressing immense, il me tend un short en jean et un polo bleu qu’il sort d’un tiroir. Je me déshabille devant lui, sans me poser de question. Je défais le nœud de ma cravate, déboutonne ma chemise, révélant à sa vue mon torse épilé, mes épaules larges et mes pectoraux bien développés. Paul s’est installé dans un fauteuil en osier, il a clairement l’intention d’assister à mon déshabillage. Nous sommes entre mecs, je n’éprouve pas de gêne. Je m’assois sur le lit pour me déchausser puis je me redresse. Toujours face à lui, simple observateur, j’accepte le jeu tacite qui se joue dans cette chambre. Je déboutonne ma braguette, j’écarte les pans du pantalon dévoilant mon sexe pas totalement débandé au regard inquisiteur de Paul. La situation commence à m’exciter, mon sexe me démange, il se gonfle de sang. Le tissu de mon boxer le moule contre mon pubis, en révélant les dimensions. Je suis là, quasi nu, en érection devant un autre homme. Mon rythme cardiaque s’accélère, je sens mon cœur taper fort dans ma poitrine. Paul ne dit rien, il m’observe silencieux, les yeux rivés sur mon caleçon, un léger sourire aux lèvres, les mains à plat sur les accoudoirs, conscient de son ascendant sur moi.



J’obéis. Une idée fugace traverse mon esprit, s’il me demande de m’agenouiller devant lui et de baisser sa fermeture éclair pour le sucer… je suis prêt à obéir aux ordres d’un dominant. J’en rêve presque chaque nuit depuis plusieurs jours. Je me suis astiqué le manche presque chaque nuit en imaginant toutes sortes de scénarios. Cette pensée érotique tend un peu plus ma queue, je sens une goutte de liquide séminal venir tacher le tissu. Il ne peut que le voir. J’ai à la fois peur et envie de m’offrir à cet homme, me voilà devant lui dans l’attente de ce qui va suivre.



Je craignais qu’il me mette la main au panier sans autre forme de procès. Il garde le contrôle. Moi totalement passif, la gorge sèche, les bras le long du corps je hoche la tête en signe de consentement, j’avale ma salive, à la fois anxieux et excité. Sa main s’approche de mon entrejambe, sa paume soulève mes couilles, il opère un mouvement de palpation de mes testicules. Je me laisse faire sans dire un mot. Son autre main s’approche, il me touche le braquemart de son pouce et son index, le remontant le long de ma colonne de chair, lentement. Je savoure cet attouchement. Je ferme les yeux. Son pouce et son index s’attardent sur mon gland. Brusquement, à ma grande surprise, j’inonde le tissu. Merde ! Je n’ai pas pu me retenir trop excitée. J’ai envie de partir, de fuir, la honte me submerge. Je ne bouge pas, figé comme une statue de pierre. J’ai envie de pleurer. J’ai reculé d’un ou deux pas en arrière vers le lit, paniqué.



C’est la voix de Virginie qui provient du rez-de-chaussée. Un silence pesant s’est installé dans la pièce. Je sens d’un coup une main caresser mon torse, un corps venir se coller au mien derrière moi.



Je sens une protubérance dure contre mes fesses. Visiblement, il ne me tient pas rigueur de mon éjaculation précoce. Il est lui aussi excité, et me le fait sentir en se frottant contre mes fesses. Il bande.



Mes mains saisissent les bords de mon caleçon, le vêtement glisse jusqu’au sol. Me voilà totalement nu devant cet homme, mon sexe n’a pas totalement débandé.



Il s’écarte pour venir se mettre à ma droite. J’entends le bruit d’une fermeture éclair que l’on descend. J’ai rouvert les yeux. La vitre de la fenêtre face à nous me révèle la scène : moi debout et nu, le caleçon à mes pieds et le sexe en demi-érection. À mes côtés Paul, le sexe sortit du pantalon : un gros gland, bien plus gros que le mien mais une tige plus courte. Sa bite me semble très large, je la touche sans le prévenir pour en évaluer le diamètre. Elle m’impressionne. La scène me rappelle mes premiers émois avec un camarade de chambre au lycée. Nous nous étions mutuellement masturbés debout dans les douches collectives. Cela exacerbe en moi, mes envies homosexuelles, je veux sentir son corps nu contre le mien, sa virilité se frotter à moi et me laisser aller sous ses caresses.


Nous échangeons un regard, son visage s’approche du mien et il m’embrasse, sa langue force ma bouche, passif quelques secondes, je réponds à son désir et m’abandonne dans ces bras. À chaque fois que j’embrasse ainsi une femme, je ne tarde jamais à reprendre de la vigueur. Aujourd’hui, mon excitation est surtout provoquée par le simple fait de sentir dans ma main le sexe d’un autre homme. Il n’y a pas de doute, je suis programmé pour aimer les hommes comme les femmes.



Je sursaute, tourne la tête, Virginie est là dans l’entrebâillement de la porte. Nous lui offrons une scène cocasse, je sens son regard parcourir ma nudité, il s’arrête un instant sur mon caleçon au sol, puis fixe intensément mon bas-ventre. Paul se place derrière moi, je sens son sexe dur contre mes fesses nues. Il m’enlace de ses bras puissants, ses mains parcourent mon corps, caressent mes épaules, mes pectoraux, il m’embrasse dans le cou. J’exhibe avec fierté une belle érection, ma bite est à l’horizontale, gland luisant et décalotté. Virginie ne dit rien, elle nous observe de l’encadrement de la porte, elle sourit.



Elle s’avance vers nous, ses mains se posent sur mon torse, caressant quelques secondes ma poitrine, son corps se colle contre le mien. Me voilà pris en sandwich entre ce couple. Ses lèvres déposent un baiser sur ma bouche, ses mains s’emparent de mon visage, nos langues se mélangent, mes bras enserrant cette femme, mes doigts découvrent dans son dos des petits boutons. Je les déboutonne les uns après les autres, dans la vitre de la fenêtre se dévoile son dos, jusqu’à la courbure de ses reins. Elle s’écarte, et sa robe légère glisse le long de sa peau, là voilà nue devant moi, devant nous.



Sa main s’avance, sa paume se glisse sous ma hampe, ma verge y repose comme une offrande. Ses doigts se referment autour de ma queue, elle me branle avec douceur. Je me laisse faire. J’espère ne pas jouir comme tout à l’heure, en quelques secondes. Je respire lentement, cherchant à maîtriser mes émotions car je ne veux pas que tout s’arrête trop vite. Je veux vivre ce soir, cette nuit, une expérience qui, j’espère, ne sera pas unique. Elle lâche ma bite et vient tout contre mon corps nu et chaud, elle m’embrasse dans le cou, puis me dit à haute voix :



Je suis tétanisé. Je crève d’envie de tailler une pipe. Cette tige que j’ai touchée, que je sens contre mes fesses. J’hésite pourtant, encore honteux. Paul n’est plus derrière moi, il me fait face, il s’est dévêtu, je ne me suis pas trompé, ses abdos sont bien dessinés sous des pectoraux bien développés. C’est un bel homme.



Virginie est à nos pieds et prend en main la bite de son époux, négligeant la mienne, pourtant tout proche de son visage. Elle engouffre la queue énorme, se décrochant la mâchoire pour la prendre tout entière dans sa bouche. Elle commence des mouvements de va-et-vient avec sa tête. Je la regarde, hypnotisé. Puis, cédant à une pulsion, je plie les genoux. Virginie arrête de sucer et me tient la bite de son mari devant mon visage. Elle est à quelques centimètres de ma bouche, son gland violacé, gonflée de désir pour moi, je ferme les yeux, et j’approche ma bouche grande ouverte. Je sens mes lèvres toucher le gland, puis progressivement j’engloutis cette bite, la tige courte me permet de l’insérer profond, j’ai le nez collé contre son pubis rasé. Je suce sans les mains, pour moi c’est comme cela qu’un homme doit l’être. Ma honte s’est d’un coup envolée. Ma tête s’avance vers le pubis de mon amant, un petit haut-le-cœur mais ses dimensions font que je peux l’engloutir en entier. En reculant ma tête, j’aspire la hampe, mes joues gobant cette tige. Les bruits de succion emplissent la pièce. Virginie m’encourage, me dit que je suce bien. Elle me donne des conseils que je suis à la lettre. Je suis hors du temps, je me concentre sur ma fellation, que c’est bon de sucer une queue. Je sens la main de Paul caresser mes cheveux. Il appuie sur ma tête me forçant à le garder en bouche plus longtemps. Je découvre que j’aime ça être dirigé ! Je m’attends à ce qu’il jouisse tout au fond.



Ces compliments me rendent fier de ma prestation. Je suis concentré, je fais attention avec mes dents, je m’applique. C’est ma première pipe en tant que bi qui s’assume, je n’ai pas le souvenir de m’être senti autant à ma place que ce soir, là, à genoux devant cet homme.



J’ouvre les yeux. Je le regarde. Je cligne des paupières. Je me soumets aux désirs de mon amant. Il se retire de ma bouche et empoigne sa queue, qu’il astique vigoureusement quelques secondes encore avant de vider sa semence sur mon visage. Le premier jet atteint mes cheveux et le front, les suivants sur mes joues, il me remet sa bite dans la bouche pour que je la nettoie de ses dernières sécrétions.



Il quitte la pièce. J’entends l’eau d’une douche. Je suis toujours agenouillé au pied du lit. À côté de moi, je prends conscience que Virginie se caresse assise à la place que Paul occupait dans le fauteuil en osier. Elle a assisté à toute la scène, et visiblement cela l’a excitée. Ses jambes reposent sur les accoudoirs, ses cuisses largement écartées, m’offrant la vue de sa fente rasée légèrement ouverte, luisante d’humidité au-dessus d’un petit ventre potelé et fripé. Elle se masturbe avec frénésie le clitoris avec trois doigts joints de sa main droite, en glissant par moment l’un d’eux dans sa fente. La tête rejetée en arrière, la bouche ouverte, elle pousse des petits cris de plaisir, tout à son plaisir solitaire.


Je m’avance à quatre pattes, ma tête se faufile entre ses cuisses, je décide de la lécher, elle arrête de se masturber, relève la tête, sa main dirige ma bouche sur son sexe. J’aspire son clitoris dressé hors de son capuchon. Il est gros, protubérant. Je le suce comme une petite bite. J’adore lécher les femmes. J’adore être entre leurs jambes écartées et à leurs pieds, les satisfaire sans rien espérer en retour. Elle gémit, exprimant son plaisir à haute voix sans pudeur.



Elle releva les jambes contre ses seins dévoilant son trou plissé et brun, au milieu d’un large cul rebondi. Je n’ai jamais fait ça, mais j’obéis à la supplication, docile. D’abord timide, la pointe de ma langue vient donner un petit coup à l’entrée du fondement de la sexagénaire. Je refoule mon dégoût, et lèche avec plus d’ardeur ce petit trou. Ce n’est pas aussi répugnant que cela, je commence à aimer cet acte. Elle a repris son activité masturbatoire.



En sortant de la salle d’eau, attenante à la chambre parentale, Paul reste là debout à regarder sa femme se faire lécher par leur nouveau complice. Un garçon qui semble prêt à accepter ou expérimenter leurs fantasmes. Avec leur précédent complice, c’était plutôt l’inverse, dans la même situation c’est lui qui aurait sucé Mathieu, lui qui serait là accroupi à lécher le cul de son épouse. Il sourit, et se décide à s’approcher de cette paire de fesses qui lui redonne une certaine vigueur dont il n’a plus trop l’habitude de ressentir ces derniers temps.


Je n’ai pas prêté attention au bruit d’eau que l’on n’entend plus couler. Je sens brusquement un produit froid couler sur le bas de mon dos, une main se poser sur moi et étaler ce que je comprends être du gel lubrifiant entre mes fesses. On me masse le petit trou, cela me déconcentre un instant de l’attention que je porte à Virginie. Je relève le visage mais d’une main autoritaire, elle me plaque la bouche à nouveau dans son entrejambe.



Je me reconcentre sur cette fente, ce bouton rose et ce petit trou plissé qui réclame mon attention. Les doigts qui me massent mon cul me procurent du bien-être, je me laisse guider par mes deux amants. Ma langue lèche à grandes lapées la fente, j’aspire entre mes lèvres celles de mon amante, mon index pénètre le trou d’où s’écoule une abondante cyprine, mon majeur se joint à lui, pour une pénétration lente mais profonde de cette chatte. Je trouve que c’est étroit comme si cette femme n’avait pas eu de relations intimes depuis longtemps.


Dans le même temps, un doigt inquisiteur vient de forcer ma rondelle, qui s’est ouverte sans difficulté. Je vais à la rencontre de ce doigt, signifiant ainsi à son propriétaire qu’il peut m’entreprendre plus encore. Et c’est bientôt deux doigts qui me fouillent, tournant pour élargir l’entrée. Que c’est bon de lécher une vulve et en même temps d’être pris par-derrière, faisant grandir en moi l’envie de me faire enculer ! Un troisième doigt tente de se joindre aux deux autres, mon cul résiste. Les doigts se retirent. À nouveau ce produit froid, et deux doigts glissent en moi avec une grande facilité, mon cul semble visiblement apprécier le traitement qu’il subit. Un troisième rejoint bientôt ces deux compères. Je suis ouvert comme jamais. Je fouille toujours Virginie et butine son bouton.



Mes bruits de succion répondent à cette supplique. Je sens soudain les trois doigts ressortir de mon fondement, deux mains fermes se poser sur mes épaules, et le souffle chaud de Paul dans mon cou.



Je sens le sexe chaud peser sur ma rondelle, je sens le gland essayer de forcer l’entrée, mes chairs bien préparées s’écartent sous la pression du pieu. Voilà, je vis enfin le rêve qui hante mes nuits depuis des jours. Je ferme les yeux, n’éprouve pas de douleur à l’introduction d’une verge qui, il y a peu, me semblait énorme. Le gland passé, je sens mes sphincters se refermer autour de la tige de mon sodomisateur, il s’arrête, me laissant le temps d’apprécier le moment de mon dépucelage. Puis, me tenant toujours fermement par les épaules, il force complètement le passage, je sens son bassin buter contre mes fesses. Me voilà enculé bien profond par un mâle. Et j’aime ça !



Je sens la bite se retirer jusqu’à la base du gland, puis me pénétrer à nouveau tout au fond. J’ai arrêté de m’occuper de Virginie, j’apprécie cette première vraie sodomie, dont je suis la victime consentante. Paul fait preuve d’une douceur incroyable, je suis détendu, ses va-et-vient sont lents et entrecoupés de pauses pour me laisser le temps d’apprécier chaque pénétration.



Je reste silencieux, à cette question de Virginie, encore honteux, n’osant avouer à voix haute le plaisir que je ressens à cet acte.



C’est la main de Paul qui vient d’empoigner ma verge qui témoigne à ma place de mon état.



Je relève la tête et regarde Virginie. Je fais signe que oui avec ma tête.



Je relève la tête, fier, je la fixe droit dans les yeux, une excitation incroyable m’envahit lorsque je m’entends dire :



Virginie pose ses pieds à terre, penche son visage vers le mien, m’embrasse sur la bouche, et dit :



Et Paul ne se fait pas attendre, il accélère le rythme de ses allers-retours dans mon petit trou. Les premiers coups de reins m’excitent. Que c’est bon de sentir sa verge s’enfoncer en moi, et le claquement de son pubis sur mes fesses dynamise mon plaisir ! Les halètements de Paul aux creux de mes oreilles me font penser qu’il ne va pas trop tarder à jouir, le frottement de sa bite monstrueuse dans mon conduit commence à devenir douloureux, ça me brûle. Je mords dans le coussin sur lequel est assise Virginie, pour ne pas crier. Paul n’est plus l’amant doux, c’est une bête qui massacre mes fesses de coups de reins de plus en plus violents. Il me défonce. Mais je prends conscience que j’aime être enculé avec cette pointe de brutalité. J’aime être soumis à ce mâle. J’aime l’être devant une femme, sa femme. D’un coup, je sens que le gland écarte mes chairs, il ressort de mon conduit, et déverse sans trop attendre sa semence chaude sur le bas de mon dos.



Paul se relève, Virginie aussi, j’entends le bruit de leur baiser, ils s’embrassent.


Là, sur le parquet, cette position animale à quatre pattes ne fut pas des plus confortables. J’ai des égratignures sur la peau des genoux suite au frottement contre le bois. Je me redresse, m’accroupis, mes fesses reposant sur mes talons, à quelques centimètres du sopalin qui traîne sur la table de chevet. Je m’en saisis et m’essuie les fesses ainsi que le visage encore couvert du foutre à moitié séché de Paul. J’ai besoin de m’asseoir. J’ai mal au cul. Je prends appui sur l’assise du fauteuil, et repose mon fessier endolori avec précaution sur le coussin.


Paul et Virginie sont toujours là debout, serrés l’un contre l’autre, amoureusement enlacés. Il lui caresse la joue du dos de sa main, ils ont des gestes tendres l’un pour l’autre.


Je détaille le corps de la sexagénaire, qui est tourné dans ma direction. Sa peau cuivrée témoigne de nombreuses heures passées à s’exposer au soleil. Je ne serais pas étonné qu’ils soient adeptes du naturisme, car lui aussi est très bronzé. C’est une femme très bien conservée, un peu de cellulite, des hanches larges, une allure sportive se dégage. Ayant aperçu sa poitrine dès notre première rencontre, je ne suis pas surpris de découvrir une petite paire de seins. Curieux tout de même, j’imagine que plus jeune, leur forme de poire devait en faire craquer plus d’un. J’aimerais bien les embrasser, les aspirer entre mes lèvres, en faire dresser les bouts. Là, c’est son mari qui en profite, il les tient en main, il tire avec une certaine violence les tétons qui pointent fièrement. Machinalement, ma main s’est emparée de mon sexe, et je masturbe sans honte devant eux.


Paul s’est glissé derrière Virginie. Il l’exhibe fièrement. Elle me fixe droit dans les yeux. Elle me sourit. Les mains de Paul explorent son sexe, des deux mains il écarte les grandes lèvres dévoilant à ma vue les chairs roses de sa vulve qu’il y a peu je léchais et fouillais de mes doigts. J’espère avoir la chance de glisser mon membre dans cette chatte qui m’a semblé étonnamment étroite. De son index, il titille son clitoris, elle se cambre sous les caresses prodiguées. Elle gémit.


Je me masturbe toujours avec cette extrême lenteur que j’affectionne, tout en les observant. Je suis calé au fond du fauteuil, les talons posés sur le bord. Je ne perds pas une miette du spectacle.


Elle a les yeux clos, la bouche ouverte. Il la pousse vers le lit tout proche, elle s’allonge sur le dos, ses genoux contre sa poitrine, offrant sa vulve à nos regards concupiscents. Je constate que Paul ne bande pas : sa bite au repos semble tout à fait quelconque, mais moi, je sais que dès qu’elle se dresse, c’est un sacré calibre qui fait jour. Il caresse sa femme, et pénètre avec douceur son minou épilé avec deux doigts joints. Il commence des mouvements de va-et-vient en elle, le pouce de sa main asticotant le clitoris. Elle tient ses genoux contre son corps avec ses bras.



Paul se lève, ouvre le tiroir de la table de chevet, apparaît alors tout un assortiment d’accessoires érotiques. Il choisit un phallus artificiel, à la forme et aux dimensions très réalistes. Il humidifie le gland avec sa salive, avant de le présenter à l’entrée du vagin entrouvert. Virginie qui a senti l’objet posé sur ses muqueuses relève la tête pour voir, il lui montre le choix qu’il a fait, sa tête retombe en arrière sur le matelas. Je suis intrigué par l’attitude du couple et surpris du nombre de jouets dans le tiroir : plugs, pince-tétons, cravache, loup, foulard, menottes, et quatre ou cinq modèles de godemichets. Paul prend un coussin, qu’il glisse sous le bassin de sa femme. Il me regarde, et me fait signe d’approcher. Je quitte le fauteuil pour m’installer sur le lit, tout à côté de Virginie.



Je ne me masturbe plus. J’ai envie de caresser cette femme, de lui donner du plaisir, avec une grande douceur. Je me tourne pour prendre dans le tiroir, d’abord le foulard avec lequel je lui bande les yeux m’assurant bien qu’elle ne peut rien voir à travers. Ensuite, je prends une huile de massage, j’en verse dans ma paume, frotte mes mains l’une contre l’autre, la chauffant avant de les poser à plat sur ce corps offert. Mes mains détendent les muscles du cou, avant de descendre sur les épaules, puis le buste. Mes mains virevoltent sur sa poitrine, caressant ses seins, les palpant, les malaxant, et progressivement s’attardent sur les tétons. Ils sont visiblement sensibles à ces attouchements, les voilà bien dressés. Paul s’est enduit les mains à son tour d’huile. Le gode n’est plus enfoncé dans le vagin, il repose sur le matelas. Paul prend chacune des jambes de son épouse, et les fait se reposer sur le matelas.


Les mains de Paul commencent à masser les mollets, remontant lentement vers les cuisses, tout d’abord le dessus, les quadriceps, pour finir sur l’intérieur de ses cuisses. Je ne masse plus que d’une main la poitrine, ma seconde main massant le ventre, et descendant progressivement vers le bas ventre. Nos mains finissent par se rejoindre. La mienne caresse son pubis sans poil, celles de Paul sont aux abords de sa vulve.


Je regarde régulièrement le visage de Virginie, les mouvements de ses lèvres, les palpitations de ses narines, sa respiration saccadée, la crispation des traits de son visage témoignent de son état croissant d’excitation. Elle gémit de plus en plus fréquemment, des « Oh, oui ! », des « Hum, c’est bon » qui s’échappent de sa bouche. Ses bras reposent le long de son corps abandonné à nos caresses.


Son clitoris, un gros bouton, surgit hors de son capuchon tout en haut de sa vulve. Nos doigts, nos paumes l’ignorent, ce serait trop facile de faire jouir notre suppliciée. Nos quatre mains se croisent et s’entrecroisent autour de son sexe brillant d’huile de massage, aux lèvres gonflées, sa fente est grande ouverte. Elle espère peut-être que l’un d’entre nous la pénètre. Je regarde Paul, il bande, sa queue n’est qu’à quelques centimètres de la grotte de sa femme. Ma main s’égare sur son sexe, je le masturbe quelques instants tout en continuant de masser le haut de la vulve de sa femme, tout près du clitoris le faisant darder un peu plus hors de son capuchon.


J’approche mon visage de celui de Paul, et dépose un baiser rapide sur ses lèvres avant de l’abandonner pour me concentrer sur Virginie. Son bassin se soulève, il s’avance vers nos mains, je fais signe à Paul, il comprend mon intention. Il prend en main le gode. Mes mains ne sont plus que les seules à s’occuper de Virginie. Elle gémit de plus en plus fort, elle supplie, elle est au bord de l’anéantissement.



Paul insère le godemichet dans le sexe qui réclame son introduction, il le pousse tout au fond, et commence des mouvements de va-et-vient, il accélère le rythme allant de plus en plus rapide. Les fesses de Virginie se soulèvent, ses jambes se plaquent contre sa poitrine, je vois son petit trou palpiter. Je me penche vers le tiroir, je prends un plug que j’insère entre ses fesses sans difficulté. Voilà un trou qui semble plus habitué à subir la visite de la queue de Paul.



Ses jambes retombent sur le matelas. Elle vient d’atteindre l’extase, vidée de toute énergie. Nos mains la massent pour la détendre. Je lui retire son bandeau. Elle ouvre les yeux, nous sourit.



Son regard se porte sur nos anatomies, nous sommes tous les deux en pleine érection. Elle nous sourit.



Virginie se lève, et nous précède dans la salle d’eau. Nous la suivons, nos sexes tendus devant nous, je m’écarte pour laisser passer Paul en premier. La vision de son fessier galbé me donne quelques idées, ne m’a-t-il pas dit qu’il espérait sentir ma bite dans son cul ? Je découvre une salle de bain immense, une vaste cabine de douche, une baignoire d’angle, un meuble à double vasque au-dessus duquel, un grand miroir.


Virginie me prend la main, et m’entraîne dans la douche, elle me savonne le dos, ses mains sont douces, c’est très agréable. Paul nous rejoint, ses mains caressent mon torse, je subis toute l’attention de mes deux amants. Je savoure ce moment. Ma tension sexuelle ne diminue pas. Les mains de Virginie descendent sur le devant de mon bas ventre, ses mains pleines de mousse enveloppent mon vît dressé. La paume d’une de ses mains masse mon gland. La sensation est divine. Je me laisse aller sous la douceur de la caresse.


Un coup de langue sur le bout de ma queue me fait sursauter. Je baisse les yeux vers le sol. Paul est là à mes pieds. Il me regarde, ses lèvres s’approchent de mon gland que les mains de Virginie décalottent, elles se referment autour, la bouche gobe ma verge, je vois mon gland déformer la joue droite de Paul. Je ne sais pas comment il fait pour m’avaler tout entier, aucune femme de m’a jamais fait une gorge profonde. Je suis au bord de l’explosion. J’ai un geste pour prévenir mon amant. Je sens deux mains m’écarter les fesses, une langue lécher ma rondelle, c’est Virginie. Oh mon Dieu que c’est divin. Mes mains se posent sur la tête de Paul, sa bouche coulisse sur mon dard, les coups de langue sur ma rondelle m’emmènent dans des contrées jusqu’alors inexplorées. Je ne tiens pas très longtemps, je rejette ma tête en arrière, les yeux révulsés, et j’éjacule avec force dans la bouche de Paul. Ma bite dégonfle doucement dans la bouche de mon amant, qui se charge de la nettoyer avec application. Elle m’est restituée propre comme un sou neuf, et ce n’est plus qu’un morceau de chair plissé et rabougri.


Nous finissons de nous laver. J’enfile enfin le short et polo que devait me prêter Paul. C’est effectivement ma taille. Virginie remet sa robe légère qu’elle a récupérée au pied du fauteuil. Paul m’imite en enfilant un short sans sous-vêtements et un nouveau tee-shirt.



Seulement deux heures, j’ai l’impression qu’une éternité s’est écoulée depuis mon arrivée dans cette maison. Voilà, maintenant c’est clair dans mon esprit, j’aime faire l’amour avec une femme mais aussi avec un homme ! J’ai aimé caresser un autre sexe que le mien, j’ai aimé sucer et j’ai aimé sentir un sexe viril coulisser en moi… il me tarde de recommencer.


Bi or not To bi n’est plus la question. Je suis bi et je dois explorer cette voie… et l’assumer.



– Fin –