En ce milieu d’après-midi, Pierre venait de terminer son premier cours de l’année, les étudiants avaient maintenant dix minutes de pause avant de rejoindre les différentes salles de TD (travaux dirigés) ou les attendraient les assistants. Tout en se dirigeant vers la machine à café, il sortit son téléphone d’un geste automatique pour contrôler ses messages.
Il avait en effet un message d’Alina, une nouvelle chargée de TD. Alina était chinoise et plutôt jolie selon les critères de Pierre. Elle terminait son doctorat sous la direction d’un de ses collègues. Son monitorat faisait partie de ses obligations et Pierre qui la connaissait comme étudiante savait qu’elle était sérieuse et travailleuse. Il l’avait agréée comme assistante pour ce cours qui en nécessitait trois. Les deux autres avaient déjà un an d’expérience, et l’absence de message indiquait l’absence de problèmes.
- — Désolée, désolée, panne de RER, retard, ne pourrais pas arriver à temps…
- — Zut ! pensa Pierre, il allait devoir la remplacer au pied levé, ce n’était pas vraiment un problème sauf qu’il s’attendait à se détendre après son cours.
Lui-même était proche de la soixantaine et il appréciait le calme et le silence qu’il pouvait s’accorder… en principe… après une intervention auprès des étudiants. Résigné, il se dirigea vers la salle de TD.
Deux heures plus tard, il rejoignait son bureau, et Alina arrivait, la mine déconfite, expression paniquée…
- — Professeu’, oh professeu’, le re’ était arrêté, pas de messages, je n’ai pas pu ar’iver pour le TD, je suis désolée, je suis désolée…
Pierre adorait cet accent où Alina mangeait les « R » et son petit air contrit.
- — C’est bon Alina, tu m’as envoyé le message et j’ai pu te remplacer, il n’y a pas de soucis, tu sais ?
- — Professeur, c’est terrible, je suis désolée… Alina avait les larmes aux yeux.
- — Mais ce n’est pas grave, je t’ai remplacée, et tu feras le TD la semaine prochaine !
- — Professeur, ce n’est pas possible, je suis désolée, je suis désolée… il faut une punition professeur :
- — Une punition ? Une fessée ?
- — Oui, professeur, j’ai commis une faute, je dois avoir une punition… Une fessée, oui, une fessée, professeur !
- — Euh, mais tu sais ce que c’est "une fessée" ?
- — Non, professeur, mais je veux une fessée, oui, je mérite une punition.
- — Alina ! Je plaisantais, tu sais !
- — Non, professeur, une fessée, expliquez-moi !
- — Écoute, c’était une plaisanterie, je ne vais pas te donner une fessée !
- — Si professeur, une fessée ! Je dois être punie !
Elle regarde son téléphone…
- — Excusez-moi, professeur, je parle pas bien le français… Oh… je vois… oui, une fessée, je mérite…
Et Alina retroussant sa jupe se penche et pose les coudes sur le bureau de Pierre.
Pierre commençait à être émoustillé par la situation… Mais Alina était majeure, et manifestement consentante…
- — Alina, une fessée, c’est fesses nues. Alors tu ôtes ta culotte !
- — Ma culotte, professeur, oui !
Et joignant l’acte à la parole, Alina se redressant, ôte sa culotte blanche, s’accoude à nouveau sur le bureau et retrousse sa jupe.
- — Voilà, professeur, je dois être punie…
Pierre regardait les fesses blanches et… charnues d’Alina… avant de se décider à claquer sur une fesse… puis l’autre.
- — Plus fort professeur… je dois être punie…
Et Pierre se prenant au jeu de claquer de plus en plus fort…
- — 9, 10 sur chaque fesse… Voilà, Alina… Mais… tu pleures ?
- — … Oui professeur, ça fait mal la punition… mes fesses sont très chaudes maintenant…
Alina restait les fesses nues, accoudée sur le bureau, et Pierre regardait ce joli cul désormais tout rouge.
- — Alina, j’ai de la crème pour les mains, je vais t’en passer là, ça devrait apaiser un peu !
- — Oui professeur, je veux bien.
Et Pierre débouchant son tube se mit à enduire les fesses d’Alina de crème, passant et repassant sa main sur les globes pulpeux de son assistante, y prenant de plus en plus de plaisir…
- — Professeur, la crème me fait beaucoup de bien, ça apaise…
Alina dandinait un peu du bassin au rythme des caresses de Pierre sur ses fesses, écartant un peu ses jambes tendues en V…
Pierre bandait dans son pantalon, en se demandant si Alina était épilée, ou si comme il l’aurait préféré, elle avait une petite toison, qu’il imaginait noire et drue au-dessus de la chatte… Les doigts passaient entre les fesses d’Alina, son majeur dans la raie, le bout du doigt à l’orée du minou de son assistante, dont il découvrait l’anus en retirant la main…
- — Merci, professeur, je respire fort…
Retirant sa main, Pierre se recula…
- — Voilà Alina, tu peux te rhabiller, tu as été punie !
- — Oh, c’est fini… oui professeur…
- — …
- — Vous m’avez… apaisée aussi… merci, merci…
Alina remit sa jupe sur ses cuisses, avant de se reprendre sa culotte, et de la remettre puis de se retourner… ses joues étaient toutes rouges, presque comme ses fesses se disait Pierre… elle avait les yeux brillants.
- — Professeur…
- — Oui, Alina ?
- — J’ai honte… Mais j’ai bien aimé être punie…
Et Alina ouvrant la porte s’enfuit sans que Pierre ait le temps de répondre…
******
Le lendemain, Pierre était dans son bureau, corrigeant un fichier de cours, quand on frappa…
- — Entrez… Oh, bonjour Alina… tout va bien ?
Alina avait encore une mine déconfite en le regardant tête baissée…
- — Professeur, vous m’avez donné une commande pour passer les transparents… mais je l’ai fait tomber et elle est cassée.
- — Bon, eh bien, ça arrive, je vais en commander une autre, ce n’est pas grave.
- — Non, Professeur, j’ai fait encore une faute… je dois être punie encore…
Et Alina qui portait ce jour-là une robe en laine lui arrivant à mi-cuisses s’accouda de nouveau sur le bureau de Pierre après avoir descendu sa culotte qu’elle avait posée sur le bureau…
- — Alina ! Vraiment tu veux être punie encore ?
- — Oui, professeur, j’ai fait une faute, je mérite une punition…
- — Mais tu sais que ça ne marche pas comme ça les punitions…
- — Que voulez-vous dire professeur ?
- — Eh bien, voilà… d’accord, tu vas être punie… mais pas forcément comme hier ! Voilà, je garde ta petite culotte, et toi tu vas sortir et passer ta journée comme tous les jours mais sans ta culotte. Et ce soir, tu viendras la rechercher ici, et tu me diras ce que tu as ressenti durant la journée !
- — Mais professeur… je ne peux pas sortir sans ma culotte !
- — Et pourquoi non ?
- — Mais les gens vont me voir, je ne peux pas sortir comme ça…
Alina regardait Pierre, implorante, les yeux humides.
- — Eh bien, c’est ta punition aujourd’hui !
- — Mais je préfère une fessée comme hier, professeur.
- — Ce n’est pas toi qui décides de la punition, allez, sors !
Et Alina, rouge à nouveau, sortit furtivement du bureau de Pierre qui l’imaginait rasant les murs… Prenant la culotte qu’il avait à la main, il la renifla, elle sentait… le savon.
À 18 h, Pierre attendait Alina lorsqu’on frappa à la porte… c’était elle, qui entrait un sourire lumineux sur son visage.
- — Alina, alors on dirait que tu as aimé ta journée !
- — Euh, professeur, je viens pour ma punition !
- — Oui, tu dois me raconter ta journée !
- — … Euh, professeur, oui, je raconte ?
Oui, c’est ta punition !
- — Mais professeur, je ne peux pas rester sans culotte toute la journée !
- — Eh bien, c’est pourtant ce qui s’est passé aujourd’hui !
- — Mais… je suis sortie acheter une culotte, j’avais très honte, professeur !
- — Comment ça ? Et là, tu as une culotte ?
- — Professeur…
Alina semblait maintenant plus paniquée, ses yeux devenaient brillants de larmes…
- — Je suis sortie de votre bureau ce matin, et j’avais très peur.
- — Mais, montre-moi si tu as une culotte maintenant !
Alina se tourne pour relever sa robe dévoilant une culotte jaune couvrant complètement ses fesses…
- — Alina, tu n’as pas respecté la punition ! Alors tu ôtes cette culotte tout de suite, et tu vas avoir la fessée que tu mérites vraiment ! Mais raconte-moi ce que tu as fait ce matin !
- — Professeur… Mais je ne pouvais pas rester la journée sans ma culotte !
Alina qui avait de petites larmes aux yeux retire sa culotte et la tend à Pierre qui la prend et la pose sur le bureau.
- — Je ne fais pas de collection, je vais te les redonner, mais je t’écoute.
- — Eh bien en sortant de votre bureau ce matin, j’avais très peur, alors je suis sortie, mais je marchais les jambes très serrées, j’avais l’impression que tout le monde savait que j’étais sans ma culotte, là…
- — Oui c’est ça ta punition !
- — Alors je suis allé dans le supermarché à côté et j’ai acheté une culotte. Après je l’ai mise dans mon sac et je suis revenue ici pour la mettre dans les toilettes… Je mérite une fessée, professeur, je n’ai pas su faire la punition…
- — Oui, tu as triché là, tu mérites une bonne fessée encore !
Et Alina de se tourner avant de remonter sa robe sur ses reins et de poser les coudes sur le bureau de Pierre.
- — Mais cette fois-ci… 15 sur chaque fesse, Alina.
- — Oui professeur, je mérite la punition de la fessée.
Et Pierre, de claquer les fesses d’Alina.
- — 14, 15… Voilà… tu as les fesses toutes rouges !
Alina pleurnichait en répondant :
- — Oui professeur, mais je méritais la punition, et j’ai cassé votre matériel… mais aussi vous avez encore la crème ?
- — Oui, tu veux que je t’en passe encore ?
- — Oui professeur, la crème !
- — Tes désirs Alina…
Et Pierre se mit à enduire le cul rouge d’Alina de crème en le caressant à pleines mains.
- — Ça apaise, professeur, j’ai les fesses toutes chaudes !
- — Ah oui, ça apaise ?
Pierre n’hésitait plus à écarter les fesses d’Alina des deux mains pour venir glisser ses doigts enduits de crème entre elles…
- — Et là, ça apaise ? Écarte un peu plus les jambes !
Le bout des doigts de Pierre était juste à l’orée de la chatte d’Alina, massant l’intérieur des cuisses, remontant lentement, caresse après caresse…
- — Professeur, c’est très agréable, vous êtes très gentil… et aussi ça excite…
- — Ah oui, et là, ça excite aussi ?
Pierre venait de poser la main sur la chatte d’Alina, découvrant du bout des doigts qu’elle avait une fine toison qu’il imaginait très noire.
- — Arrgrgghh, oui, professeur, ça excite, et vous aussi, ça excite ?
Pierre caressait maintenant franchement la chatte d’Alina, écartant la vulve, caressant les lèvres de ses doigts enduits de crème, pénétrant à peine des doigts à chaque aller et retour.
- — Oui, Alina, ça m’excite aussi…
- — Professeur, j’ai envie de me retourner, vous voulez bien ?
Pierre retirant ses mains, Alina se retourne et s’assoit sur le bureau, jambes écartées, robe relevée, découvrant enfin sa chatte ouverte, avec sa toison très noire et drue au-dessus de la vulve.
- — Professeur… Arrrgghh, ça apaise mes fesses quand vous me caressez devant, je crois…
- — Ah oui, vraiment, et quand je te pénètre des doigts en caressant un peu ton clitoris du pouce comme ça… ça apaise toujours ?
- — Arghh, le clitoris professeur ?
Alina avait les mains posées sur ses seins sur le tissu de son chemisier et les pressait de plus en plus…
- — Oui, le petit bouton là, que je palpe de mon doigt, tu sens ?
- — ARrgggggh, Professeur… j’ai de l’eau, là, c’est normal ?
- — Que tu mouilles ? Oui, je crois que c’est normal.
- — Arghh… mais je n’ai pas de « mouille » comme ça avec mon ami…
- — Ça dépend, Alina, l’important c’est que tu aimes… Et moi ça me donne envie de goûter, tu sais ?
- — Arghhh, je suis toute en eau… de goûter professeur, c’est quoi ?
- — C’est de poser mes lèvres là et de caresser ta chatte de la langue pour venir titiller ton clito du bout de la langue… comme ça…
- — Arrgrhhh, professeur, professeur, je vais cum…
- — Tu vas jouir, Alina !
Et Pierre d’enrober délicatement le clitoris dressé d’Alina pour le sucer en aspirant doucement…
- — Arrrrggghhh je cum… jouis, professeur, professeur….
Le bas ventre d’Alina était agité de mouvements rythmiques, sa petite chatte se mit à se contracter et Alina jouit en mouillant les lèvres de Pierre, ravi, qui aspirait et suçait en accompagnant les mouvements de la jeune femme.
Pierre s’était maintenant redressé et regardait Alina qui avait les yeux mi-clos et qui ne bougeait plus.
- — Professeur, c’était très bon…
- — Oui, j’ai eu l’impression que tu as aimé !
- — Mais vous, professeur, vous n’avez pas cum !
- — Non Alina… je n’ai pas joui, mais j’ai apprécié !
- — Ce n’est pas juste professeur, je vais vous tenir aussi le sexe !
- — Me tenir le sexe ?
- — Oui, je sais le faire, laissez-moi vous montrer !
Et se remettant debout, Alina caressa la bite de Pierre à travers le tissu.
- — Vous aussi avez envie de cum jouir, professeur.
Elle défit la ceinture de Pierre, lui baissa son pantalon et son boxer, découvrant la queue dressée.
- — Oh, elle est plus épaisse que la sexe de mon ami…
- — Le sexe, la queue, la bite Alina…
Alina d’une main soupesait les bourses de Pierre tout en caressant sa queue de l’autre main…
- — Professeur j’ai envie encore !
- — Tu as envie de quoi Alina ?
- — J’ai envie encore !
- — Et moi j’ai envie aussi de voir comment tu te caresses les seins, retire cette robe ! Je vais fermer…
Pierre donnait un tour de clé à la porte de son bureau alors qu’Alina retirait sa robe par le haut.
- — J’ôte aussi ma brassière professeur ?
- — Ton soutien-gorge Alina… Je vais le faire pour toi…
Pierre était maintenant jambes nues, en chemise, et retirait le soutien-gorge de son assistante.
- — Tu as des petits seins, mais ils sont tout mignons, je vais goûter tes tétons,
Et Pierre d’enrober un téton de ses lèvres pour le caresser, aspirer, suçoter…
- — Voilà, il est tout dressé, montre-moi comment tu le caresses !
- — AHhhh, professeur… j’ai très honte…
- — Oui, c’est ta punition, n’oublie pas… pince-le.
- — Comment je pince professeur ?
- — Comme ça !
Et Pierre prenant la main d’Alina lui pince le téton de ses doigts,
Des larmes encore perlaient aux yeux d’Alina.
Et Pierre enrobait à nouveau ce téton de la bouche pour le sucer d’importance.
- — C’est très bon, professeur. Arrgghh… il faut aussi punir l’autre.
- — C’est toi qui vas le faire Alina, moi j’ai envie de m’occuper de ta petite chatte.
Et Pierre s’agenouille entre les cuisses de la doctorante pour venir lui sucer la chatte ouverte et mouillée.
- — Caresse-toi les seins Alina !
- — Professeur, j’ai aussi envie de caresser vous.
- — Oui, caresse-moi et suce-moi un peu.
- — Sucer, professeur ? C’est quoi ?
Alina reprenait son geste en caressant la base de la bite de Pierre d’une main en le masturbant de l’autre…
- — Votre sexe elle est très épaisse, professeur.
- — Suce-moi le bout Alina.
- — C’est quoi sucer professeur ?
- — Tu le prends dans ta bouche comme un bonbon, j’ai envie de voir tes lèvres autour de mon gland.
- — Dans ma bouche professeur, mais j’ai honte….
Mais Alina enrobait le bout de la queue de Pierre de ses lèvres sans cesser de le caresser des mains.
- — Woowww ! Tu me chauffes très bien, tu sais, maintenant j’ai envie de te pénétrer !
- — Professeur, je suis chaude comme la marmite, mais je suis trop petite pour votre sexe.
- — Pas du tout, tu vas voir… tu as un préservatif ?
- — Un condom professeur ? Non, je n’ai pas… mais je prends la pilule, professeur…
- — Humm… Assieds-toi sur le bureau et écarte les cuisses, tu vas me guider, je vais te pénétrer très lentement.
- — Arghhhh, Professeur…
- — Tu vois que ça rentre très bien…
- — Professeur, ça me remplit….
- — Ah oui, tu sens ma queue en toi ? Elle est presque tout entrée maintenant… Je ne bouge plus… Caresse-moi de l’intérieur…
- — Arrrghhhh, je suis remplie, professeur, je ne peux pas bouger… qu’est-ce que c’est caresser de l’intérieur ?
- — Tu ne bouges pas mais tu me caresses la queue de tes muscles internes…
- — Je ne sais pas professeur…
- — Eh bien, tu me serres la bite et tu desserres, essaye…
- — Je n’arrive pas, Professeur…
- — Tu manques d’exercices Alina ! je vais bouger un peu, caresse-toi en même temps…
- — Je me caresse les seins, professeur.
- — Non, caresse-toi la chatte, le clitoris…
- — Arrghhhhh, professeur, je vais cum… je vais cum, jouir…
- — Jouis, Alina, je me retirerai pour jouir moi aussi.
- — ARRRGHHhhhhhhh !
Pierre sentait les contractions autour de sa queue, et serrait les dents pour ne pas jouir lui aussi.
Alina se détendit d’un coup, retombant en arrière, Pierre eut à peine le temps de la rattraper.
- — Ouuuuhhh, Professeur, je suis très faible… mais je me sens très, très bien, mais vous aussi devez cum jouir.
- — Je me retire là… tu vas me regarder jouir pour toi.
- — Oui professeur, je me sens trop faible pour bouger, je vous regarde…
Et Pierre enrobant sa propre bite de la main se mit à se masturber, pour sentir sa jouissance arriver…
- — ARRGHHHHHhhhhhhhhhh
- — Professeur, j’aime vous cum sur moi.
- — …
Ce soir-là, en rentrant chez lui, Pierre se sentait très satisfait de sa petite aventure très inattendue, il en avait apprécié tous les éléments et quant à la suite… Il ignorait si Alina se prêterait à nouveau à ce jeu avec lui. Il l’espérait toutefois…