n° 20614 | Fiche technique | 33159 caractères | 33159Temps de lecture estimé : 19 mn | 03/12/21 |
Résumé: Après notre sortie en club libertin, Muriel qui nous a accompagnés avec Stéphane, son mari, désire me parler. La suite montre son évolution. | ||||
Critères: 2couples grp copains fépilée piscine nudisme fellation cunnilingu pénétratio fdanus -libercoup | ||||
Auteur : Nanou (Femme mariée, libertine, un peu exhib, souvent sans-culotte) Envoi mini-message |
Épisode précédent | Série : Journal d'une sans-culotte libertine Chapitre 14 / 16 | Fin provisoire |
Résumé des épisodes précédents :
Nous avons participé à une soirée dans un club libertin présenté par Muriel et Stéphane qui nous ont servi de guides, sans participer eux-mêmes.
Après notre escapade dans un club libertin avec Domi et Philippe, en présence de Muriel et Stéphane, Muriel m’a téléphoné pour me demander de venir chez nous pour discuter avec moi. Bien sûr, j’ai accepté, en devinant qu’elle voudra aborder le sujet du libertinage. Surtout qu’elle souhaitait que Bernard ne soit pas présent.
Le jour prévu, elle arrive habillée d’une robe, le temps est plutôt estival. Je suis moi-même vêtue d’une jupe et d’un débardeur. Après les bonjours d’usage, je lui propose d’aller au bord de la piscine. Nous nous installons sur les bains de soleil.
Je commence la discussion :
Je lui résume notre parcours naturiste sans trop dévoiler mes tendances exhibitionnistes. C’est un peu tôt pour ce genre de confession, même si vu ce dont elle a été témoin, elle ne serait pas étonnée !
Je rentre dans la maison et reviens quelques instants plus tard avec deux verres et du jus de fruits. Je sers la boisson.
Je ne lui parle pas de notre voisin, voyeur à ses heures. Je commence à me déshabiller, ce qui est vite fait puisque, à part ma jupe et mon débardeur, je n’ai rien d’autre, comme d’habitude. Muriel s’en aperçoit aussitôt :
Muriel enlève la robe sous laquelle elle porte un maillot de bain deux-pièces standard. Elle continue son déshabillage et se retrouve nue devant moi. Pour ne pas la gêner, je vais dans la piscine, surtout que je suis toujours parfaitement glabre. Elle me rejoint sans délai. J’ai quand même eu le temps de m’apercevoir que son pubis est un peu taillé, ce n’est pas la jungle, certainement pour pouvoir mettre des bas de maillot du type « string ». Elle a une jolie poitrine, plus grosse que la mienne, un peu bronzée, la marque du bas de maillot est bien visible.
Nous nageons quelque temps en parlant de choses et d’autres, puis nous sortons de l’eau. Je tends une serviette à Muriel, me sèche et m’allonge sur un transat.
Je me lève et vais téléphoner à notre voisine, je lui spécifie bien que c’est pour une épilation intime. Elle est d’accord pour recevoir Muriel et lui donne rendez-vous pour la semaine suivante.
Ensuite, Muriel me dit :
Je lui raconte l’anecdote suivante :
Nous avions loué un mobile home dans un grand camping, par l’intermédiaire du CE de l’entreprise où je travaille. Nous avons choisi cet endroit parce qu’il y avait une plage naturiste pas trop loin, il n’était pas nécessaire de prendre la voiture pour y aller.
Ce jour-là, nous étions allés nous baigner. Je suis sortie de l’eau en premier et en remontant sur la plage je suis tombée sur un collègue de travail. L’ennui, c’est qu’avec ce collègue ce n’est pas l’entente cordiale, je l’avais même traité de c… !
Bien sûr, lui n’était pas nu, ce que je n’avais pas envisagé en venant dans ce camping ! Je pensais, « plage naturiste » implique la nudité pour tous. Autrement, il y aurait eu moins de gêne. D’ailleurs, je le soupçonne fortement d’être venu se rincer l’œil, vu que pour venir sur cette plage, il faut marcher quelque temps après la plage « textile » et qu’elle est parfaitement indiquée des deux côtés. En plus, il est venu avec son fils pour servir d’alibi, la honte.
Quand je l’ai aperçu, j’ai bien essayé de faire comme si je ne l’avais pas vu, en espérant qu’il passe son chemin. Seulement, lui n’a pas hésité à m’aborder :
- — Ah ! Bonjour, tu es en vacances par-là ?
- — Oui, nous sommes au camping « machin ».
- — Ah oui ! Nous aussi ! Quel hasard, tu vas bien ?
Je suis persuadée qu’il n’en avait rien à faire et je voyais bien son regard aller de mes seins à mon bas-ventre. Je ne savais pas trop comment m’en dépêtrer et me sauver pour qu’il ne me regarde plus.
- — Oui ça va !
À ce moment, son fils a demandé :
- — Dis, papa, pourquoi la dame est toute nue ?
- — Chut, laisse la dame tranquille ! Et vous êtes là pour le week-end ?
Je me demandais ce que j’allais lui répondre pour écourter la conversation. Heureusement, Bernard s’est aperçu de ma rencontre et est venu nous rejoindre. Je pense que la situation devait lui plaire un peu, car il adore que les autres hommes me reluquent ; même s’il devait bien se douter que j’étais gênée d’être nue devant ce collègue de travail avec qui il savait que je n’avais pas de bonnes relations.
En plus, j’étais totalement épilée, et même si c’est de plus en plus courant sur les plages naturistes, cela ajoutait à mon embarras.
Au moment où il nous rejoint, le garçon reposait la même question :
- — Dis, papa, pourquoi la dame est toute nue ?
C’est mon chéri qui a répondu :
- — Bonjour ! Parce qu’ici, les gens se baignent tous nus et toi et ton père devriez enlever votre maillot sur cette partie de plage.
Du coup, la conversation a tourné court et après un au revoir bref, ils sont repartis d’où ils venaient.
Mon chéri a essayé de me tranquilliser :
- — Ne t’inquiète pas, je suis sûr qu’avec ce que je lui ai dit, il ne va pas revenir ici !
- — Oui, je pense que tu as raison. J’espère surtout qu’il ne va pas s’en vanter !
- — Je ne crois pas, il faudrait qu’il explique pourquoi il était tout habillé sur une plage naturiste ou qu’il mente en disant que lui aussi était à poil !
- — C’est surtout le fait que ce soit lui qui m’ait vue nue, j’aurais préféré n’importe lequel de mes collègues, même s’il n’avait pas été nu ! J’aurais certainement aussi été gênée, mais moins qu’avec lui, il est malsain, sexiste, je le sens capable de raconter n’importe quoi sur notre rencontre ! De dire que j’étais sur une plage « textile », que je m’exhibais et qu’en plus j’étais complètement épilée.
- — Et alors, il ne pourra pas cacher que j’étais avec toi, donc que je suis d’accord. Je pense que beaucoup lui diront que cela est ta vie privée. Surtout que tes collègues connaissent vos mauvaises relations.
À la fin de mon récit, Muriel me demande :
L’après-midi se termine tranquillement et nous prévoyions de nous revoir le week-end d’après.
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Le week-end suivant, Muriel me confirme qu’elle viendra pendant que nos chéris iront faire du VTT. Elle arrive en début d’après-midi, Stéphane est déjà parti avec Bernard pour leur sortie hebdomadaire. Elle porte toujours une robe, seulement cette fois, en dessous, elle n’a qu’une culotte en dentelle. Quand elle l’enlève, je vois qu’elle est allée chez notre voisine : son pubis est parfaitement lisse.
Après la baignade, elle s’enduit le pubis de crème solaire. Je sens bien qu’elle veut me poser d’autres questions plus intimes, mais elle hésite. Puis, elle se lance :
Je lui résume nos deux premières rencontres avec Philippe. Je me rends compte que ce que je raconte lui fait de l’effet.
Je suis persuadée qu’elle me confie cette envie, car elle aimerait commencer avec nous. Ils nous connaissent et nous ont vus à l’action, donc, ils savent que nous ne les jugerons pas mal. Aussi, je lui demande :
À ce moment, la sonnette retentit des fameux trois coups brefs ! Aussi, je demande à Muriel si elle veut se rhabiller. Elle me répond qu’elle reste nue, comme elle l’avait dit précédemment.
Nos chéris arrivent. Le premier à s’exprimer est Stéphane :
Quand nous revenons, les hommes sont dans la piscine, à poil, évidemment. Stéphane a eu moins d’hésitation que sa moitié. Il est vrai qu’il a certainement plus l’habitude avec les vestiaires sportifs.
Et comme il m’a déjà vue toute nue, ça ne le gêne pas vis-à-vis de moi. Je serais curieuse de savoir ce qu’il pense de sa femme qui se montre sans maillot à Bernard, surtout épilée !
Nous posons les boissons sur la table et rejoignons nos sportifs de maris. Je vois bien que Bernard mate avec attention notre amie. Je sais qu’il la trouve jolie.
Il prend sa femme dans les bras et l’embrasse tendrement. Nous profitons un peu de la piscine, puis les hommes sortent pour se désaltérer. J’ai l’impression que Stéphane n’est pas complètement au repos. Il est vrai que lui n’a pas l’habitude de voir des femmes nues, à l’inverse de Bernard.
J’attends que Muriel sorte, de manière à observer la réaction de nos maris. Je m’aperçois que sa sortie attire tout de suite leurs regards. La première fois qu’elle est nue et en plus parfaitement épilée, suscite un intérêt non dissimulé de la part de nos hommes.
Stéphane s’exclame :
À mon tour, je sors de la piscine. De la même façon, le regard des deux hommes se dirige vers moi. Pour moi, c’est différent, Stéphane m’a déjà vue toute nue. Je me dirige vers mon chéri et lui propose de venir avec moi chercher quelque chose à grignoter.
Une fois dans la maison, je lui narre notre après-midi et, surtout, je lui fais part de mon ressenti sur les réactions de Muriel lorsque je lui ai raconté quelques-unes de nos aventures.
Nous revenons auprès de nos amis. Ils sont l’un contre l’autre et s’embrassent comme de jeunes amoureux. Dès que nous arrivons, ils se séparent, Stéphane semble un peu gêné par le début d’érection que lui a suscité leur étreinte. Aussi, il va tout de suite s’asseoir pour continuer à boire sa bière. Nous disposons sur la table quelques amuse-gueules. Bernard s’assied sur une chaise et je m’installe sur ses genoux. D’une main, je me sers quelques biscuits et de l’autre je commence à le caresser. Il ne faut pas longtemps pour que lui aussi commence à durcir. La vision de Muriel nue et l’ambiance érotique du moment font leur effet.
Muriel s’est assise à côté de son chéri et semble ne s’être aperçue de rien. De son côté, Stéphane se doute de quelque chose. Comme il est placé, il peut sûrement deviner ma main qui caresse Bernard. J’écarte discrètement les cuisses pour laisser entrevoir mon intimité et me déplace de manière à ce que Stéphane voie mon mouvement sur le pénis de mon chéri.
Cette fois, il a compris : son sexe se tend doucement. Il prend la main de sa femme et la dirige vers son membre viril. Muriel a un geste de recul, toutefois Stéphane tient bien.
Je me relève et dis :
Je me mets à genoux devant Bernard et prends sa verge dans ma bouche. Je suis dans une position où Stéphane voit mes fesses et ma fente. Quand Bernard est bien dur dans ma bouche, je me relève pour voir ce que font Muriel et Stéphane.
Stéphane s’est mis à genoux devant Muriel et lui offre un cunnilingus bien accueilli, vu le visage béat qu’elle nous montre. Ses mains sont posées sur la tête de Stéphane, elle nous regarde avec un sourire complice. Je pense que nos dialogues et mes confessions de cet après-midi l’ont bien émoustillée. D’ailleurs, moi aussi, je suis bien excitée. Je tourne le dos à mon chéri et je m’assieds sur lui. Je sens son membre viril, bien dur dans mon dos. Je passe une main derrière moi et le caresse doucement, je ne veux pas qu’il éjacule trop vite.
De leur côté, Muriel et Stéphane progressent dans leur action : Muriel a reculé sa chaise et a relevé ses cuisses qu’elle soutient avec mes mains. De cette manière, Stéphane peut s’occuper complètement de son sexe exposé dans sa nudité intégrale. Je vois sa langue qui passe de ses lèvres à son clitoris. Puis, une main vient se mêler au jeu, il écarte les lèvres intimes pour atteindre le bouton d’amour plus facilement.
Je commence à ressentir une excitation qui monte au fond de moi, il faut dire que c’est une situation très érotique. Mon chéri passe une main devant moi et commence à caresser mon clito, je suis déjà mouillée et il le sent immédiatement.
Je ne réponds rien, ce n’est pas nécessaire. Du coup, il passe l’autre main et cajole mes lèvres intimes. Puis, un doigt fait une incursion rapide dans ma grotte d’amour, chaude et humide. S’il continue, je vais jouir. Comme il le sait parfaitement, il continue.
Muriel commence à geindre, les caresses buccales de Stéphane et ses doigts inquisiteurs l’ont mise dans un état de ferveur sexuelle intense. Je pense qu’elle ne va pas tarder à atteindre le septième ciel.
Les caresses de mon chéri ne me suffisent plus, aussi, je me lève légèrement et je dirige son pénis, que j’ai toujours en main, en direction de mon sexe. Je me rassois avec sa tige bien calée dans mon vagin. Avec juste des mouvements d’avant en arrière et ses caresses, je me laisse aller au plaisir que je sens monter au fond de moi.
Muriel jouit en gémissant doucement. Stéphane se relève et fait mettre son épouse debout. Il s’assied sur la chaise et attire Muriel sur lui, face à lui. Elle nous regarde et sans hésitation s’embroche sur Stéphane.
J’ai mon premier orgasme quasiment dans la foulée. Bernard ne trouvant certainement pas la position très confortable pour la suite nous propose :
Muriel et Stéphane se lèvent et se dirigent vers un matelas. Muriel s’assied dessus et prend le sexe de Stéphane en bouche. Une bonne fellation pour mettre Stéphane en belle forme, puis elle se lève et dit à Stéphane de s’allonger. Aussitôt, elle prend la position d’Andromaque et enfourche son chéri.
De notre côté, nous prenons un autre coussin, je m’installe en levrette, en sens inverse, car je veux voir Muriel s’embrocher sur le sexe de son homme, tout en me montrant faire de même !
Bernard vient derrière moi et enfonce d’un seul coup son sexe dans le mien. Je gémis sous l’intrusion féroce, de plaisir, bien sûr ! Sans attendre, il va et vient en moi, il alterne les coups profonds et rapides et les coups lents. Je regarde Muriel s’agiter sur le pénis de Stéphane et cette vision m’excite beaucoup !
Quand je pense qu’au début de l’après-midi, elle ne s’était jamais montrée nue devant quelqu’un d’autre que son mari. Et là, non seulement elle s’est exposée devant mon mari, parfaitement nue et épilée, mais maintenant elle fait l’amour devant nous ! Il faut vraiment qu’elle soit excitée !
Muriel geint de plus en plus et s’agite de plus en plus sur Stéphane, puis elle s’arrête avec un cri de jouissance très beau à entendre, puis elle dit :
Stéphane s’exécute instantanément ! Muriel s’est mise à quatre pattes, tête-bêche par rapport à nous. Aussitôt en position, Stéphane la pénètre et commence ses allers et retours dans son sexe.
Je vois le sexe de Stéphane entrer et sortir du corps de Muriel et ça m’excite. En fait, mes confessions de cet après-midi m’ont bien chauffée et j’ai envie de m’exhiber aussi, je tourne la tête vers Bernard et lui murmure :
Il comprend tout de suite et il mouille son pouce pour me le mettre dans mon petit trou. En même temps, je me caresse le clito !
Je vois que Muriel regarde Bernard s’agiter en moi et je sens que l’orgasme arrive. Notre discussion m’avait déjà un peu excitée : raconter nos histoires de sexe à Muriel, c’est comme si je m’étais exhibée et j’adore ! Être prise en levrette avec un doigt dans mon petit trou devant nos amis, c’est la suite logique. Je jouis, Bernard continue ses mouvements dans mon corps et je le sens éjaculer en moi.
De leur côté, Muriel et Stéphane ont fini leur gymnastique érotique et se reposent dans les bras l’un de l’autre.
Bernard se retire et m’aide à me relever. Puis nous allons tous nous asseoir pour nous restaurer.
Je leur propose d’aller se doucher, avant de retourner dans la piscine.
À leur retour, Stéphane s’exclame :
Bien sûr !
Nous leur proposons de rester manger avec nous, pour finir la journée. Et peut-être que nous évoluerons dans nos relations.