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n° 20625Fiche technique20782 caractères20782
Temps de lecture estimé : 12 mn
07/12/21
Résumé:  La nature a doté Cédric d’un sexe hors normes qui lui a longtemps filé des complexes. Mais une rencontre va tout changer.
Critères:  fh fplusag couleurs grossexe grosseins groscul complexe piscine noculotte fellation cunnilingu anulingus pénétratio fsodo coprolalie humour
Auteur : Jacquou            Envoi mini-message
Le secret de la licorne






Marianne venait d’accoucher de Cédric, son premier enfant, sans la présence de son mari à ses côtés parce qu’en voyage, quand elle perçut dans le regard de la sage-femme quelque chose qui la mit au bord de la panique. Elle avait ouvert grand les yeux une fois le cordon ombilical coupé, fait « Oh » avec sa bouche et fixé Marianne avant de lâcher :



Ce « pas qu’un peu » réclamait des explications immédiates. Elles furent obtenues une fois que la sage-femme eut appelé une infirmière et une obstétricienne pour regarder le bébé à peine né.



L’obstétricienne, une jeune femme blonde, ne put s’empêcher de sourire.



Mais elle ajouta aussitôt, comme pour se rattraper.



Son clin d’œil laissa supposer qu’elle appartenait justement à la deuxième catégorie. L’infirmière à ses côtés, qui avait gloussé à la dernière remarque, également. La sage-femme abonda :



Sur ce, les dames en blanc s’occupèrent du petit Cédric comme il se doit dans une maternité, laissant Marianne circonspecte. Elle avait donc enfanté un phénomène…



*******



Vingt ans avaient passé. L’enfant avait fini par s’habituer à la surprise des soignants lors des diverses visites médicales. Mais à l’adolescence, lorsqu’il lui fallut prendre des douches collectives après les cours de gym, les exclamations de ses congénères masculins et les plaisanteries qui suivirent lui filèrent un vrai complexe. L’affaire se répandit et dans sa classe, les filles lui jetaient un regard torve, comme si elles le comptaient parmi les violeurs potentiels. C’est un peu plus tard, lorsqu’il eut passé son bac, que certaines un peu plus délurées lui tournèrent autour. L’une d’elles, prénommée Chloé, le dépucela, mais dans la douleur et n’y revint pas. Bavarde, elle raconta son expérience à certaines copines qui, à force de balancer entre la tentation de la découverte et la crainte d’y laisser des plumes, finirent par s’éloigner de Cédric. Il en conçut une telle amertume qu’il finit par s’en ouvrir à sa mère, Marianne.

Celle-ci s’y attendait depuis longtemps. Son plan était prêt.



Le discours surprit le fils. Faire l’amour avec des femmes de l’âge de sa mère – ou à peu près – ne lui était jamais venu à l’esprit. Il en était donc là par la faute de la nature. Marianne comprit qu’il lui fallait prendre les devants.

Dans son entourage professionnel figurait une femme d’origine sénégalaise prénommée Nafissatou mais préférant se faire appeler Sandra parce qu’elle jugeait son prénom originel encombrant. Mère de trois enfants mais encore quadragénaire, les cheveux toujours en tresses courtes, elle affichait tranquillement sa sexualité par des robes souvent décolletées et découvrant la moitié de ses cuisses musclées, mettant en évidence un physique puissant, athlétique, dominateur. Elle ne faisait pas mystère d’être « open » avec la complicité de son mari qui adorait qu’elle lui raconte ses ébats conjoncturels. Elle était le prototype de la « femme qui baise » et Marianne l’admirait pour sa liberté et sa générosité. C’est même sous son influence qu’elle s’était laissé aller une fois à un « plan à quatre » dans une chambre d’hôtel avec deux clients de sa boîte jugés importants. Elle avait pu alors juger de visu de son abattage et du plaisir qu’elle donnait à ses partenaires. Mais Marianne, soucieuse de préserver son couple, s’était promis de ne pas renouveler l’expérience. Même si elle y avait pris plaisir, il fallait l’avouer.


Aussi, quand elle lui raconta les soucis de son fils, Sandra comprit d’emblée où elle voulait en venir :



Marianne lui proposa un rendez-vous à son domicile pour que Cédric fasse déjà connaissance avec elle. Et le prépara.


Deux jours plus tard, un samedi, Sandra fit son apparition chez Marianne. Le hasard fit que ce jour-là, il faisait chaud. L’hôtesse bronzait nue au bord de sa piscine. Sandra préféra se mettre à l’ombre mais se dévêtit entièrement à son tour. Les deux femmes se baignaient quand Cédric fit son apparition en bermuda de bain. Malgré l’amplitude du maillot, le volume de son sexe était patent. Il balançait sous la toile légère comme un pendule. Sandra retint de justesse une exclamation. Elle était certes habituée aux queues volumineuses de ses amis sénégalais, à commencer par son mari, mais ce gars-là pouvait aisément rivaliser.


Mais quand elle sortit de l’eau, la croupe généreuse, bien fendue, en oscillation, les seins dressés, le pénis de Cédric prit illico une allure horizontale qui tendit le bermuda. Sandra fit mine de ne pas s’en apercevoir et vint le saluer avec un sourire éclatant, frôlant le torse du jeune homme de ses seins au moment de la bise mais entrant en contact avec la queue au niveau de la cuisse.



Les deux femmes étant entièrement nues, le garçon pouvait difficilement ne pas s’aligner. Et sa bite lui faisait mal. Quand il la dégagea, Sandra ne put s’empêcher cette fois de commenter :



C’était direct ; Cédric rougit mais venant d’une telle Vénus, bâtie elle aussi pour l’amour, c’était plutôt gratifiant. « Elle en a autant derrière que devant », nota-t-il in petto, épaté. Il masqua son trouble en plongeant dans la piscine. Marianne buvait du petit lait. Son plan marchait à merveille. Restait à attendre la conclusion. Quand, un peu plus tard, Sandra se rhabilla pour regagner son domicile, elle lui glissa à l’oreille :



Marianne n’eut donc aucune difficulté à préparer Cédric à une rencontre avec son amie.



L’argument porta. Il fut décidé une rencontre au domicile de Marianne. Elle s’échapperait avec son mari pour une raison diverse, lui laissant la maison pour que son fils se sente plus à l’aise. Ce fut le samedi suivant.



*******



Sandra déboula dans la maison tout sourire, les dreadlocks en bataille, sommairement vêtue d’une robe à boutons lui arrivant à mi-cuisses, tendue à craquer au niveau de son ventre, de ses fesses et de ses seins au point de mettre les boutonnières à rude épreuve. Dans son ample bermuda de bain, Cédric se sentit déjà durcir et tenta vainement de masquer son état. À peine arrivée, Sandra s’en amusa :



Lorsqu’elle s’assit, la robe remonta si haut que le dernier bouton lâcha, découvrant la quasi-totalité des cuisses brunes. Sandra n’avait pas l’intention de se perdre en discussion. Elle prit la main de Cédric, qui sentit aussitôt sous ses doigts le sexe déjà humide de la Sénégalaise, lancée dans une logorrhée sexuelle teintée légèrement d’un délicieux accent africain hérité de ses ancêtres :




********



Et quel cul ! Cédric n’en avait jamais vu de pareil. Bombé, charnu et néanmoins musclé, longuement et profondément fendu, il louvoyait devant lui dans l’escalier comme animé d’une vie interne. Il faillit mordre dedans comme un gâteau au chocolat. Il était si près qu’il sentait son odeur sui generis. Sandra percevait sur sa peau le souffle oppressé du jeune homme et accentuait sa cambrure déjà forte. En haut de l’escalier, Cédric bandait comme un cheval, bien heureux de ne plus avoir de bermuda. Quand elle bascula sur le lit, les cuisses déjà écartées, elle se lança à nouveau dans un discours qui l’excitait autant qu’elle excitait l’autre :



Puis Sandra se tut. Elle lâcha simplement quelques soupirs de plaisir, la main crispée sur la nuque de son lécheur, le guidant dans son exploration, les hanches frémissantes, la tête parfois relevée pour observer avant de retomber, en extase. Cédric perçut clairement son orgasme et sa virilité en fut confortée. Lorsqu’il se releva, sa pine faisait comme un os de licorne au bas de son ventre. Sandra s’en saisit à pleine main et le guida dans sa vulve béante, comme pour contenir la rigueur de la pénétration. Il s’enfonça lentement, mais totalement et la fit rugir :



Il n’avait pas besoin de cet encouragement. Le corps en fusion, plantureux, mouvant et offert de la Sénégalaise, lui mettait la queue en feu. Il lui mit une rafale qui la mit en arc de cercle, ses ongles plantés dans ses épaules, la bouche ouverte sur une série de râles seulement interrompus par des « retiens-toi » presque angoissés comme si elle craignait que son jeune amant ne se laisse prématurément emporter par sa virulente pénétration. Mais la nature avait doté Cédric, outre d’un organe plantureux, d’une endurance qui allait lui valoir, dans la suite de sa vie sexuelle, un succès considérable dans la gent féminine. Pour l’heure, c’était la quadragénaire à peau noire qui s’en régalait. Et quand elle eut à nouveau joui, bruyamment et intensément, il se retira, toujours gaillard, au ravissement de sa partenaire, encore essoufflée, qui lâcha :




********



Pour Cédric, le temps était venu de devenir passif. Juste rester raide et pointu. Et gros. Les mains sous la nuque, il regarda Sandra jouer son rôle de femelle et observa avec attention la moindre de ses attitudes. C’était elle qui menait la danse. Et effectivement, elle dansait. Sur sa queue. Tantôt le corps rejeté en arrière en appui sur les mains, la tête repliée et le ventre en avant. Tantôt le visage au ras du sien, roulant des hanches et fixant son regard. Tantôt sur ses pieds, s’élevant et retombant sèchement avec à chaque fois un petit cri de plaisir. Et toujours cherchant à raboter ses parois vaginales pour se faire du bien. Elle était la quintessence de la femme qui baise. Rayonnante, concentrée, roucoulante, toujours en mouvement. Cédric était fasciné par ses seins en poire qui épousaient son agitation et il les empauma avec volupté, constatant leur extraordinaire fermeté. Les circonvolutions de son nombril l’épataient aussi. Mais combien de temps allait-elle rester comme ça à se laisser visiter par sa bite ?

Puis soudain, elle s’immobilisa, en proie à un nouvel orgasme, yeux clos et bouche ouverte sur une rangée de dents éblouissante. Elle se détacha et se coucha, la main entre les cuisses.



Puis elle le regarda droit dans les yeux :



Cédric fit oui de la tête. Il n’avait jamais sodomisé la moindre femme mais commencer par cette somptueuse croupe ne pouvait que le ravir. Elle lui dit :



Cédric ne s’attendait pas à ça. Mettre la langue dans un anus, même celui-là, voilà ce à quoi il n’était pas préparé. Il s’y mit pourtant alors que Sandra l’attendait à quatre pattes, le visage tourné vers lui.



À sa grande surprise, il prit goût à ce contact lingual. La chair de poule envahit les grosses joues arrière de la Sénégalaise, qu’il entendit gémir.



Prudemment, il engagea son gland dans l’anneau, d’abord fermé mais peu à peu ouvert, encouragé par une légère rotation de hanches de Sandra. Le gland entra, puis la hampe, et il fut enfin engagé jusqu’au pubis, en profondeur, dans un étui étonnamment souple. Cambrée, la tête rejetée en arrière,

Sandra cria :



Subjugué par les deux hémisphères copieux et accueillants, Cédric lança sa rafale sur fond sonore de peaux claquées et de cris féminins, pointus et gutturaux. Tenant fermement les hanches, il se mit sur ses pieds pour s’approfondir et se mit en quête de son plaisir, longtemps contenu. Sandra semblait adhérer par des « oui oui oui » et une ardente rotation des hanches, comme pour l’essorer.



Instantanément, il gicla. Sa quantité de sperme fut telle qu’elle déborda de l’anus grand ouvert de la Sénégalaise qui s’aplatit, cuisses en V, en pleine pâmoison. Elle mit un certain temps à récupérer tandis que Cédric, assis, voyait son membre se dégonfler à vue d’œil, comme s’il avait été percé d’une aiguille. Au bout d’un certain temps, elle lâcha :



Cédric en fut tout fiérot. Mais sa conclusion coula de source. C’est avec des femmes expérimentées comme Sandra qu’il aurait le plus de plaisir. Pas avec les filles de son âge.



********



Dans les jours qui suivirent cette mémorable partie de jambes en l’air (pour les deux), Marianne, la mère de Cédric, vit défiler dans son bureau un nombre anormal de collègues femmes, quels que soient leur âge et leur situation maritale. Toutes avaient pour point commun l’intérêt pour son fils. Et qu’est-ce qu’il devient ? Que fait-il comme études ? A-t-il une petite amie ? Fait-il du sport ? Tout y passait. Marianne comprit que Sandra avait été bavarde. Lorsqu’elle l’avait rencontrée récemment, elle avait parlé de Cédric avec un regard extasié et la bouche humide. Elle avait ainsi résumé sa pensée :



Marianne se retrouva donc avec des sollicitations inattendues. Ainsi Martine, 60 ans, aux cheveux argentés, qui voulait l’inviter à dîner en présence de sa fille « qui s’ennuie » mais se proposait de le rencontrer d’abord en privé « pour discuter ». Corinne, grande blonde de 50 ans, qui proposait un jogging en forêt « là où je ne peux pas aller seule », bien que mariée. Agnès, petite boulotte de 45 ans, larguée depuis peu par son mari, qui demandait si, des fois, Cédric ne serait pas intéressé par des leçons de piano, son hobby. Julie, 40 ans, pulpeuse, brune, prématurément veuve, la seule à ne pas avoir évoqué un prétexte. Et la plus étonnante de toutes, Élise, 37 ans, sa chef de service, mère de famille multidiplômée, petite poupée au corps parfait, bien sous tous rapports, qui proposa à Marianne un job d’été à son fils « le mois où je serai présente ».

Toutes, sans exception, voulaient son numéro de téléphone portable. Et donc implicitement aspiraient à se faire sauter par ce phénomène sexuel, à connaître le plaisir de la grosse queue, histoire de, dit l’une d’entre elles, ne pas mourir idiote. Toutes étaient des femmes à la sensualité plus ou moins dissimulée, mais avide.



La Sénégalaise partit d’un de ses rires cristallins qui égayaient son entourage.



Et c’est ainsi que Cédric entra dans sa nouvelle vie sexuelle, riche en diversité d’âges, de peaux et de tempéraments, très épanouissante, parce que très désirée. Jusqu’au jour où une fille de son âge, agacée par ce succès auprès des femmes mûres, se décida elle aussi à connaître le bonheur de la licorne…