n° 20643 | Fiche technique | 23143 caractères | 23143Temps de lecture estimé : 14 mn | 16/12/21 |
Résumé: En cette soirée de vendredi, mi-décembre, sur le chat d’un site libertin, je discute avec diverses personnes dont une qui m’a carrément proposé deux cents euros pour bénéficier des faveurs d’Alice, ma femme. | ||||
Critères: fh extracon candaul | ||||
Auteur : Patrik (Carpe diem diemque) Envoi mini-message |
Bonne lecture pour ce texte finalement très soft, malgré le sujet abordé : )
En cette soirée de vendredi, mi-décembre, sur le chat d’un site libertin, je discute avec diverses personnes, dont une qui m’a carrément proposé deux cents euros pour bénéficier des faveurs d’Alice, ma femme. Comme on n’attire pas les abeilles avec du vinaigre, notre profil présente quelques photos de ma chère moitié sous son meilleur profil et ses meilleures courbes. Mais pour l’instant, pour notre recherche de plaisir, nous nous en tenons plutôt aux autres couples, mais pas aux hommes seuls.
À chacun ses critères…
Nous ne sommes pas des serial-baiseurs, nous préférons nettement la qualité à la quantité, mais dénicher un bon autre couple avec qui s’entendre n’est pas chose facile. Néanmoins, notre carnet d’adresses contient les coordonnées de deux couples avec qui tout se passe très bien, même si nous ne nous voyons pas assez à notre goût. Avoir la mi-trentaine et en même temps des jeunes enfants n’aide pas beaucoup dans cette pratique…
En dehors de nos jeux à deux, pardon, à quatre, Alice s’offre parfois des extras, mais modérément. Disons qu’elle a parfois la chatte en furie et en folie deux à trois fois par an, ce qui reste raisonnable, mais dans pareil cas, rien ne l’arrête. Elle se jette sur sa proie, en profite à mort, l’épuisant sauvagement, puis la plupart du temps, elle la jette sans remord, sa passion flamboyante étant retombée comme un soufflé… Pouf !
Quelque part, je peux me féliciter de ne pas avoir été encore jeté après usage !
Pour ma part, je suis fidèle à ma façon puisque j’ai la même maîtresse depuis maintenant cinq ans. Emma s’évade avec moi, son conjoint n’étant pas précisément le mari idéal. Pas un mauvais bougre, mais pas de quoi la faire rêver, ni même espérer. Je m’entends très bien avec elle, nous avons plein de goûts en commun, peut-être trop.
Par trois fois déjà, ma maîtresse m’a confié sans fard :
Honnêtement, que voulez-vous répondre à ce genre de confession spontanée que je sentais indubitablement sincère ? Je reconnais que, parfois, je me suis posé la question si je n’avais pas les choses en mode inversé, que ma vie aurait dû être avec Emma comme épouse, et Alice comme maîtresse…
Mais la vie n’est pas un film ou une BD dont on peut remonter les images à sa guise…
Le soir, au lit en tête à tête, avant de nous endormir, ma femme et moi avons l’habitude de discuter des événements de la journée, de ce qui s’est passé pour elle comme pour moi, et donc fatalement, je lui annonce :
Alice semble ferrée. Je lui raconte tout ce que je sais de cet homme, mais je n’ai pas beaucoup de choses à blablater. Smartphone en main, je lui fais voir le profil de celui-ci. Malgré une censure partielle du visage sur les quelques photos disponibles, on peut se faire une bonne idée du quidam. Après examen, ma femme dit alors :
À cette réponse, je souris :
Puis, en verve, elle se lance dans un petit délire concernant le nombre d’hommes qu’elle pourrait baiser en se faisant payer, et ainsi ne plus aller travailler, car depuis quelques mois, ce n’est pas la joie pour elle, contrairement au temps d’avant où elle était contente d’aller au boulot. Puis un peu déprimée, elle lâche :
Je lui laisse l’entière responsabilité de ce propos. Je lui rappelle un point de détail :
Dédaigneuse, elle répond :
Sur ces bonnes paroles, nous décidons de dormir. Fidèle à mes bonnes habitudes, couché sur le côté, je me plaque sur son dos, ma verge contre ses fesses, une main sur son sein. Me soulevant un peu, je murmure à son oreille :
Ce matin, elle m’en reparle succinctement, mais sans plus. Il est vrai que cette journée de vendredi va être chargée ainsi que les deux suivantes, mais pour raisons familiales et de fêtes de Noël. Comparativement, je présume que notre Nouvel An sera plus calme !
Je comprends la réaction assez positive de ma femme à cette proposition. Elle a déjà couché plus d’une fois avec divers hommes, à condition qu’elle ait le feeling avec eux. Sinon, c’est niet. Depuis la restructuration de sa boîte, son boulot est devenu pourri, c’est indéniable. De plus, gagner un peu de sous en se faisant plaisir en même temps n’est pas négligeable.
Mais il y a ce qu’on dit et il y a ce qu’on fait. Il y a les fantasmes et la réalité quotidienne…
Ce lundi soir, après le week-end, le même quidam me demande à nouveau si ma femme serait d’accord pour coucher avec lui. Je lui réponds franchement que ma femme exige un minimum de feeling, sinon c’est niet. Fabien s’étonne franchement :
Nous discutons de diverses choses, puis il revient à la charge :
Je lui fais remarquer :
Fabien s’esclaffe :
Son ton devient plus sérieux :
Je ne peux pas lui donner tort, je suis dans le même cas. Qu’est-ce que ma femme déguste dans pareil cas ! J’ai franchement l’impression d’être un étalon fougueux et infatigable, je suis boosté à mort ! Nous convenons d’un éventuel endroit de rencontre, ainsi que d’une date, à faire valider par ma femme, bien sûr.
Le lendemain, donc mardi soir, face à la webcam, mon interlocuteur est étonné :
À la grande surprise de Fabien, Alice s’invite dans la conversation à distance :
Ce qui amuse beaucoup ma femme qui aime faire son petit effet :
Alice et Fabien discutent, la conversation devient vite conviviale, ils passent au « tu » assez vite. Aguicheuse comme elle sait l’être, ma femme a revêtu un petit top qui met bien en valeur sa poitrine. Elle sait incontestablement vendre la marchandise !
Après un dialogue plutôt neutre, Alice aborde frontalement la situation :
Alice sourit :
Fabien affiche un large sourire sur l’écran :
Son interlocuteur s’esclaffe :
Je quitte la pièce les laissant discuter. Une bonne demi-heure plus tard, Alice vient me voir dans la chambre où je me suis retiré.
Elle m’adresse un large sourire, annonçant d’un ton volontairement vulgaire :
En effet, Fabien et Alice ont eu droit mutuellement à une petite bande-annonce, sans tromperie sur la marchandise. Pourquoi diable suis-je en train de penser maintenant à Amazon et son service de livraison à domicile ?
Vendredi, Alice et moi avons planifié de rentrer plus tôt ce soir… moi, pour aller ensuite chercher les enfants, et elle pour se préparer pour son rendez-vous. J’aurais pu ne pas rentrer à la maison, mais ma femme a tenu à me montrer sa tenue pour aller se faire sauter, son côté pervers, mais aussi excitant.
Je me demande quelle excuse Fabien a bien pu invoquer auprès de sa légitime pour justifier son absence. Peut-être un coup de bourre à la veille du week-end…
Ça y est, c’est fini, Alice se présente enfin devant moi. Je siffle d’admiration devant le résultat : une petite veste bleue sur un chemisier blanc qui cache mal un bustier redresse-seins. Ses tétons pointent agréablement sous le tissu. Plus bas, une jupe un peu fendue laisse deviner des bas maintenus par des jarretelles. Je reconnais la lingerie, très excitante ! Enfin, des chaussures à talons aiguilles, des bracelets, un collier et un sac à main assorti complètent le tableau qu’elle m’offre, sans oublier le maquillage…
Plutôt excité, je me lève prestement, elle me dirige illico vers le couloir afin d’échapper à mon étreinte. J’ai quand même le temps de lui assener une petite tape sur le cul, tout en lui disant, rigolard :
Elle se retourne, me faisant un petit bisou sur les lèvres :
Elle se met à rire. Quelques instants plus tard, elle est dans sa voiture, en train de se diriger vers l’hôtel proche de chez nous où l’attend son premier client.
Alors que je suis en train de lire le journal, tandis que les enfants jouent devant moi, un SMS se fait entendre. Intrigué, je m’empare de mon smartphone pour lire le message en provenance d’Alice :
Et comme preuve, une photo d’Alice quasiment nue, voluptueusement allongée sur un grand lit, avec tout le tralala classique, c’est-à-dire bas, porte-jarretelles et aussi son serre-taille qui fait office de redresse-seins. Je sens que Fabien va en avoir pour son argent. Le SMS suivant me le confirme :
Je réponds aussitôt :
Oui, je suis au courant que j’ai eu de la chance. J’ai vite compris aussi qu’il vaut mieux être plusieurs sur une bonne affaire que seul sur une mauvaise. Néanmoins, je garde la priorité, Alice n’envisage pas une seconde de me quitter. Une autre photo arrive, ma femme y figure, fesses à l’air, allongée cette fois-ci sur le ventre, dans une pose provocante. Puis un dernier SMS s’affiche :
Amusé, je replonge dans ma lecture, quelque chose me dit que ma garce de femme va avoir affaire à quelqu’un d’assez passionné. La vie sexuelle de Fabien n’est pas folichonne, sa femme n’est pas très portée sur la chose. À prime vue, il semble qu’il ne l’ait pas (encore) trompée, aucune maîtresse, pas même un petit flirt. Donc aujourd’hui, il a des années à rattraper !
L’heure tourne, il faut que je fasse quelque chose à manger. J’invite les enfants à venir m’aider en cuisine pour confectionner une quiche lorraine, ce qui prend un peu de temps, surtout avec l’enthousiasme débordant des petits ! Puis une fois la chose enfournée, après nettoyage de la cuisine, chacun repart à sa place, en attendant que ce soit cuit.
Un peu plus tard, le téléphone sonne, c’est le numéro d’Alice, mais je n’entends pas sa voix, mais les gémissements de ma femme. Ce salopard me fait entendre comment il baise ma femme, grognements en prime ! D’après la bande sonore, il la pistonne à tout va, j’entends même le lit grincer, et ma femme miauler sous ses coups !
La soirée ne fait que commencer…
Ah, je crois que ma femme vient de rentrer, si j’en crois la porte d’entrée qui vient de claquer. Je regarde le radio-réveil posé sur mon chevet, il est vingt-deux heures trente-quatre, une heure un peu tardive par rapport à d’habitude. Pourtant l’hôtel est situé à cinq kilomètres d’ici. Les enfants sont couchés depuis un certain temps, après leur avoir lu une petite histoire, comme souvent.
Toujours aussi sexy qu’à son départ, voire plus, sachant ce qu’elle vient de faire, Alice s’encadre dans la porte de notre chambre, quelques cernes sous les yeux, les cheveux moins bien coiffés. Elle soupire longuement :
Je préfère ne pas lui demander ce qu’elle a pu manger ou boire pour ne pas avoir faim. Après avoir ôté sa veste puis sa chemise, munie de son bustier qui soutient bien ses seins, elle s’approche du lit, trop bandante comme toujours :
Sa jupe chute au sol, révélant son porte-jarretelles et ses bas qui sont maintenant filés et bons à jeter à la poubelle :
Assez fasciné par son pubis dévoilé, car elle ne porte pas de culotte, je préfère ne pas relever l’allusion. Cette vision ne dure guère car, fatiguée, Alice se laisse choir lourdement sur le lit, me tournant à moitié le dos. Je m’amuse à ma façon :
Comme vous pouvez le constater, ma chère épouse n’a pas beaucoup de tabous ni beaucoup de complexes, et elle possède aussi un esprit pratique. Comme j’en ai moi aussi, je réponds tranquillement :
Elle farfouille dans son bustier, sous ses seins, et en extirpe quatre billets de cinquante euros, qu’elle jette nonchalamment sur le lit, puis elle dit en riant :
Je ramasse les billets :
Tandis que je range la quadruple trace du délit, elle ôte prestement le reste de ses vêtements. Puis elle s’allonge toute nue sous la couette, qu’elle repousse ensuite pour mieux dévoiler ses beaux lolos que j’adore tant.
Pressant ses seins entre ses mains, elle sourit d’un air vicieux :
Inutile de me le dire deux fois !