Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 20657Fiche technique30078 caractères30078
Temps de lecture estimé : 17 mn
24/12/21
Résumé:  Ce samedi matin de novembre, étant d’assez de mauvaise humeur, Guillaume quitte la maison pour aller travailler une fois de plus un jour de week-end.
Critères:  fh extracon travail fellation préservati pénétratio fsodo
Auteur : Patrik  (Carpe diem diemque)            Envoi mini-message
Le voyant rouge sur le tableau de bord

La mécanique ou plutôt les problèmes de mécanique mènent à bien des choses.

Bonne lecture :)







Voyant rouge


Ce samedi matin de novembre, étant d’assez de mauvaise humeur, Guillaume quitte la maison pour aller travailler, une fois de plus, un jour de week-end. Il râle copieusement et est plutôt triste de me laisser une fois de plus toute seule un pareil jour, d’autant plus que nous avions prévu d’aller faire du shopping ensemble, main dans la main, en amoureux.

Mais bon, le travail n’attend pas, et son patron non plus…


Pour le consoler un peu, je lui fais un gros bisou plein de promesses. Puis quand il est parti, je paresse un peu dans le lit avec ma tablette. Une bonne heure plus tard, je vais dans la salle de bain afin de me préparer pour aller faire du shopping toute seule dans la grande ville voisine. Après une bonne douche vient le choix de la tenue.



Je finis par fixer mon choix. Comme il ne fait pas froid dehors, le réchauffement climatique y étant pour quelque chose, ma robe est plutôt courte et décolletée avec des bas autofixants avec une paire de bottes. Je termine ma préparation en me maquillant de manière assez marquée avec un rouge à lèvres qui me donne une bouche pulpeuse à souhait, et une bonne dose de bleu à paupière. Par rapport à mes habitudes, j’ai un peu forcé la dose, la frustration sans doute…


Je m’admire dans le miroir :



Une fois prête, j’enfile un long manteau, puis je prends la route. Je regarde l’heure sur le tableau de bord, il est dix heures trente-quatre précisément. Comme il n’y a pas le feu au lac, je prends les petites routes pour me balader. Aujourd’hui, il ne pleut pas, il fait plutôt beau pour la saison, avec un soleil qui brille, bien qu’étant assez aveuglant quand même. La radio diffuse diverses musiques, je roule tranquillement, sans hâte, cool !


Bip, bip, bip !


Soudain, un bruit inconnu retentit, accompagné par une lumière rouge qui vient de s’allumer sur le tableau de bord. En même temps, un court message s’affiche sur l’ordinateur de bord, il m’indique que je dois m’arrêter urgemment dans le garage le plus proche.



Comme je n’y connaissais pas grand-chose en voiture et en mécanique, je m’arrête prestement sur le bas-côté, puis je téléphone à mon mari :



Je fais du mieux que je peux pour décrire le voyant qui ne ressemble à rien de concret, un rond avec plein de bâtons. Mon mari est perplexe :



Très vite, j’arrive au rond-point avec la lampe de mineur, je tourne à droite, et effectivement, un garage est bien présent. Sauvée ! Je me gare sur le petit parking.



Réparation


Je descends prestement de voiture. Tandis que je referme la portière, un homme habillé d’un bleu de travail s’avance vers moi. Je dois reconnaître que c’est un homme bien de sa personne, un du genre que je ne déteste pas. Il m’interpelle :



Il en profite pour me zieuter copieusement et il semble très content de ce qu’il voit. Pour forcer un peu les choses, je prends ma voix la plus suave et la plus sexy, pour mettre tous les atouts de mon côté. Je sais, je suis parfois un peu garce :



La garagiste se met à sourire :



Il me montre du doigt un hangar un peu isolé sur le côté :



Peu après, le volet métallique se lève ensuite dans un grincement strident. Le garagiste apparaît et me fait signe de rentrer ma voiture. À peine suis-je entrée que le grincement recommence, le volet se refermant derrière moi. Je me dis alors que je me suis peut-être jetée dans la gueule du loup : ce voyant, il aurait pu le regarder quand on était dehors…


Pas très rassurée, je sors alors de ma voiture. Je vois tout de suite que le garagiste semble apprécier encore plus ma petite personne et mes gambettes. Il s’approche de moi, mais je ne décèle pas de mauvaises ondes, je me détends un peu. L’homme tend la main :



Malgré son aspect vétuste, une douce chaleur règne dans l’atelier. Je constate qu’un gros brûle-tout est en train de fonctionner. Le garagiste s’installe au volant, puis il met le contact. À peine la clé tournée, il annonce :



Je m’étonne franchement du diagnostic :



Il sort de la voiture, il glisse un carton sous la voiture, puis il ouvre le capot. Cela fait, il file dans le fond de l’atelier. En attendant qu’il revienne, comme il fait assez chaud dans ce local, j’ouvre mon long manteau.


Peu après, le garagiste revient avec un bidon d’huile. Vu l’expression de ses yeux et son sourire, je comprends aisément qu’il apprécie beaucoup ma tenue. Tout en versant l’huile dans le moteur, il me flatte :



Je souris, pleine de connivence. J’apprécie qu’on m’apprécie. Oui, j’aime plaire aux hommes et leur faire de l’effet, et je suis assez douée pour ça. Plus jeunette, j’ai parfois été traitée de garce par certaines de mes copines, surtout quand leurs petits amis louchaient dans ma direction. Quel mal y a-t-il d’aimer se mettre un peu en valeur ?


Après avoir terminé et vérifié que tout est en ordre, le garagiste m’annonce :



Puis il s’éloigne d’un pas alerte pour aller se laver les mains.



Paiement


Son absence ne dure pas très longtemps. Quand il revient, nous discutons de la pluie et du beau temps, un sujet bateau, classique, mais qui fonctionne la plupart du temps. Soudain, il se penche vers ma voiture et retire le carton qu’il avait placé en dessous :



Il me regarde avec convoitise, puis il me dit carrément :



Ce n’est pas la première fois que je me fais draguer, mais aujourd’hui, ça y va fort ! J’affiche un petit sourire narquois !



Pour ma part, je reconnais que ça me tente, l’homme est bien bâti, agréable, et je suis un peu frustrée par le départ au boulot de mon mari qui aurait pu dire au moins une fois non à son patron. Comme déjà dit : tant pis pour lui !


Pour savoir où je mets les pieds, je demande :



Normalement, je devrais envoyer promener l’importun, mais diverses choses font que j’y réfléchis à deux fois. L’homme n’est pas moche, il dégage de lui un certain charisme, mon mari m’a frustrée et j’en passe. C’est quand même avec un certain étonnement que je m’entends dire :



Je tergiverse encore un peu, puis je dis d’une petite voix :



Se penchant un peu vers moi, le garagiste affiche un large sourire :



Avec soin, le garagiste retire mon imperméable qu’il dépose sur le siège arrière. Puis il capture ma taille dans ses bras, me rapprochant de lui, plongeant son nez dans mon décolleté. En voilà un qui ne perd pas trop de temps !



Il commence à les lécher, les bisouter, les mordiller délicatement. Ce petit coquin sait bien s’y prendre, je sens une douce chaleur monter en moi. Excitée, par-dessus la salopette, pour vérifier quelque chose, je pose ma main sur la braguette du garagiste pour constater illico que son engin est déjà bien raide et plutôt gros. Voilà un homme bien outillé ! Tandis qu’il pelote mes seins, il macule mon décolleté de plein de petits baisers de plus en plus brûlants. Bonne pioche…


Une de ses mains s’égare plus bas, caressant ma cuisse, tandis que je flatte toujours le mandrin par-dessus le tissu. Son excitation augmente d’un sérieux crantage, quand il se rend compte que je n’ai rien sous ma robe, exception faite de mes bas. Le contact avec ma chatte toute lisse attise sérieusement son ardeur :



Tandis qu’il lève un peu le nez de mon décolleté, je lui souris :



De plus en plus excité, il continue à s’occuper efficacement de mes seins aux tétons dressés et de l’orée de ma fente qui mouille de plus en plus :



À ces mots, le garagiste s’emploie à ôter petit à petit sa salopette sans cesser de s’occuper de moi. Très vite, mis à part un T-shirt et ses chaussettes, il est nu, son sexe fièrement dressé devant moi. Je me fais un plaisir de le saisir à pleine main, sa verge est à la fois dure et douce, agréablement chaude dans ma paume. Je le branle quelques instants, il apprécie beaucoup, ses baisers sont de plus en plus voraces. Puis il murmure :



En effet, Roland sort un préservatif d’une des poches de sa salopette qui gît au sol. En un rien de temps, il s’en chapote, puis ceci fait, il me capture dans ses bras. Sans effort, il me soulève comme une poupée pour m’allonger sur le capot resté chaud de la voiture.



Impérieusement, le mécano écarte mes cuisses, puis sans ménagement ni préliminaires, il enfonce sa tige de chair dans ma fente déjà mouillée. Investie à la hussarde, je me laisse aller. Même si ce n’est pas coutumier pour moi, je ne déteste pas me faire baiser de la sorte, mes fesses et mon dos au chaud, même si ça manque singulièrement de romantisme.


Je le lui fais remarquer :



Après de longs pistonnages durant lesquels le garagiste me fait sentir qu’il sait agréablement se servir de son pilon privé, il penche vers le mien son visage illuminé par le désir pour me dire dans un souffle roque rempli de convoitises :



Sa phrase à peine terminée, sans attendre la moindre réponse, il me bascule en arrière, me tirant vers lui, remontant mes gambettes afin de dégager mon cul qu’il caresse aussitôt avec son doigt. Je proteste mollement :



Il cueille de la cyprine à l’orée de la ma fente, il en badigeonne la cuvette de mon anus et aussi son gland écarlate, puis posément, il dirige son mandrin vers mon entrée interdite. Je re-proteste :



Tandis qu’il se positionne au mieux, il me répond avec un grand sourire carnassier :



Je ne suis pas précisément pucelle de là, mais Roland n’a pas tort. Certaines de mes amies m’ont avouée que ça les faisait grimper aux rideaux quand leurs amants investissaient vaillamment leur sombre couloir. Mais jamais, au grand jamais, elles n’oseront ou ne voudront proposer la même chose à leur légitime.



Assez surprise, je pousse un petit cri : ce salaud vient d’introduire une partie de sa queue en moi ! Je suis quand même assez étonnée qu’il soit entré si facilement. À son air ravi, je constate qu’il prend son pied. Tant mieux pour lui ! Il commence par des petits mouvements de va-et-vient, s’insinuant de plus en plus profondément en moi. J’essaye de me détendre pour accepter au mieux cette intrusion non prévue.


Puis arrive le moment où les chauds testicules viennent s’écraser contre ma peau, preuve concrète qu’il a tout mis en moi. Il s’exclame :



Il me défonce joyeusement le cul à grands coups de queue de plus en plus amples et rapides. Il y va de bon cœur, j’ai déjà été ramonée par cet endroit, mais aujourd’hui, c’est quelque chose ! J’ai l’impression d’avoir en moi une locomotive !



En tout cas, mon garagiste m’a l’air d’être très heureux de coulisser là où il le fait ! Même s’il me malmène un tantinet à ramoner de la sorte mon entrée des artistes maintenant plutôt dilatée, son plaisir à lui fait plaisir à voir ! Je reconnais que ça me fait des choses. J’accompagne maintenant ses « han » par un petit soupir circonstancié…



Puis il continue de plus belle. Je dois avouer que ça fait son petit effet de sentir une verge inconnue coulisser dans ma sombre intimité, mais je ne suis pas certaine que je jouirai de cette façon. En tout cas, même si la sensation est étrange, je n’ai pas mal, et c’est déjà une bonne chose !



Sans prévenir, agrippant mes cuisses, se propulsant au plus profond, il se met à jouir en longues secousses. S’il n’y avait pas de préservatif, je pense que mes entrailles auraient été copieusement arrosées ! J’aurais sans doute débordé de partout, c’est l’impression que j’ai !


Puis quelques secondes plus tard, Roland se retire. Libérée, toujours sur le dos et accoudée sur le capot, je regarde cette queue se ramollir doucement dans ce préservatif poisseux qui pendouille. Une belle illustration de débandade ! Mais mon mécano a de la suite dans les idées :



Je souris, mon nouvel amant a décidé de profiter jusqu’au bout de sa bonne fortune du jour, et puis un peu d’autorité ne fait pas de mal. Ce n’est pas comme mon mari qui se laisse marcher sur les pieds par son patron. D’ailleurs, si j’ai été baisée, c’est surtout à cause de lui ! Moi, j’avais prévu un samedi avec lui, rien qu’à deux !



Pourboire


Je me laisse glisser du capot, puis je m’accroupis devant le garagiste pour retirer délicatement le préservatif bien rempli. Je fais un nœud, puis je le pose à terre. Son sexe pendouille sous mon nez. Même avachie, c’est une belle bête ! Je donne quelque coup de langue à cette verge maintenant toute molle. Puis je la prends en bouche, elle est chaude et poisseuse. Je suce doucement mon amant du jour, puis je m’active un peu plus. Sa queue frémit de plus en plus, signe évident qu’elle se réanime à nouveau. Peu après, c’est un bâton de berger bien dur que j’ai en bouche. Au moins un homme qui ne fait pas trop attendre les femmes !


Soudain Roland plonge autoritairement ses doigts dans mes cheveux et enfonce sa queue un peu plus loin dans ma bouche :



Sa verge est à nouveau au maximum, je suis fière de moi. Il baise carrément ma bouche, dans une série de va-et-vient de plus en plus puissants, toujours agrippé à ma chevelure. Je décide de me doigter, de m’offrir moi aussi un peu de plaisir. Moi aussi, j’ai droit à ma part !



Tandis que sa bite coulisse dans ma bouche, sur ma langue, sur mon palais, mes doigts s’agitent dans ma fente détrempée. Je ne serais pas étonnée si je découvre dans quelques minutes une petite flaque de cyprine sous moi !



À chaque coup de reins, sa queue s’enfonce en moi, à la limite de transformer cette fellation en gorge profonde. Parfois, j’ai un commencement de nausée, mais ce traitement machiste m’excite. Peu après, n’y tenant plus, Roland décharge son foutre dans ma bouche, se laissant aller vulgairement :



Le liquide visqueux remplit ma bouche et commence à couler dans le fond de ma gorge. Être prise pour une pute augmente d’un seul coup mon plaisir, et moi aussi, je jouis, malgré la situation assez humiliante, la bouche pleine d’une queue vicelarde, d’un foutre gluant, accroupie devant un homme peu romantique. C’est enveloppée dans un brouillard cotonneux que j’avale tout avec application, chaque goutte marquant un peu plus ma dépravation…


Ma dépravation, ma perversité à être le docile jouet d’un tel homme…


Mais c’est si… excitant !


Quelques instants plus tard, remise de toutes ces émotions, je suis debout, cul et chatte toujours à l’air, face au garagiste visiblement fier de lui et de sa bonne fortune du jour. Celui-ci m’avoue :



Me serrant dans ses bras, Roland soupire :



Il me serre un peu plus contre lui :



Bien sûr que je connais ce garagiste ! D’ailleurs, cet homme n’est même pas garagiste, son métier est d’être acheteur dans une grosse boîte, et son autre métier est d’être mon amant depuis un certain nombre de mois, voire d’années. Que croyez-vous ? Que je m’offre comme ça à n’importe qui ? Roland, mon amant, adore les mises en scène, et moi, ça me convient très bien !


Quant au voyant rouge, il ne s’est jamais allumé, j’ai joué le jeu du début à la fin.



Néanmoins, Roland semble triste :



Je sais que nous n’avions pas beaucoup de temps. Mon amant a lui aussi des obligations, mais les minutes que nous passons ensemble, nous les savourons.


Nous nous occupons encore de nous quelques instants, avec plein de bisous, de caresses, de mots doux, puis sa montre sonne, indiquant que c’est fini pour aujourd’hui. Roland soupire :



Je dépose un baiser mouillé sur les lèvres du pseudo-garagiste avant de remettre mon manteau, de remonter dans ma voiture – je n’oublie pas de rassurer mon mari, c’était juste une cosse mal fixée – et de quitter le garage à la sauvette pour aller en ville. Ça me fait des choses d’avoir fait l’amour avec mon amant et aucune culotte, tandis que je me balade dans les rues et les allées ! Oui, ça fait très pute, mais j’aime ce sentiment étrange qui me fait des choses dans le ventre ! Quand je retourne chez moi quelques heures plus tard, je me jette dans la salle de bain pour prendre une longue douche bien chaude, et ainsi enlever toute trace et toute odeur suspectes…



Ce n’est pas tout à fait fini…


Guillaume rentre à la maison, une grosse heure plus tard. Quand il me voit, il s’exclame :



Il faut dire qu’après ma douche, j’ai mis une nuisette plutôt sexy. Aussitôt, il m’entraîne vers la chambre à coucher, bien décidé à profiter ignoblement de mon petit corps ! En clair, il a une énorme envie de me baiser, d’autant qu’il n’a pas pu rester aujourd’hui avec moi.


Dommage pour lui et tant mieux pour Roland… Décidément, ce sera un samedi « sexe » !


Je vais me laisser faire pour deux raisons : je me sens un peu fautive, et j’aime faire l’amour avec mon mari, même si c’est différent de ce que me fait mon amant. C’est comme essayer de comparer une pomme avec une orange, ou une entrée avec un dessert. Avec mon amant, c’est plus… comment dire… plus intense, macho, dominateur. Avec mon mari, c’est plus doux, plus câlin…


Après diverses agaceries, gros bisous et caresses, tandis qu’il embrasse comme un fou mes fesses rebondies, il s’étonne à haute voix :



C’est une explication qui en vaut une autre, mais elle semble faire beaucoup d’effet sur mon mari. Je ne vais pas m’étendre sur la suite, mais sachez qu’il m’a culbutée une bonne partie de la nuit dans tous les sens, bien décidé à rattraper à sa manière le temps perdu de ce samedi. Oui, j’ai encore pris cher, mais j’aime qu’on me désire ainsi !


De jour comme de nuit, je prends mon pied. Parfois, entre deux étreintes fougueuses, je songe à ce faux mécano qui m’a royalement défoncée avant midi. Un vrai samedi de baise depuis ce matin ! Oui, j’aime mon mari, mais mon amant attitré et imaginatif m’excite tellement !