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Temps de lecture estimé : 65 mn
03/01/22
Résumé:  Je perds complètement le contrôle et je découvre beaucoup de choses sur moi. (Exercice pas spécialement subtil, mais je voulais essayer ce genre d’histoires.)
Critères:  f fh grp hbi inconnu collègues ascenseur travail hsoumis fdomine humilié(e) chantage photofilm lingerie fmast hmast fellation anulingus 69 fgode fdanus fsodo hdanus hgode partouze jeu attache baillon -dominatio
Auteur : Loupiotte            Envoi mini-message
Perte de contrôle






Ça fait trois semaines que j’ai commencé ce nouveau boulot. En ville, dans une grande boîte, c’est déjà bien assez pour me déstabiliser, moi le gars de la campagne un peu asocial. Heureusement, l’accueil a été sympathique, et je commence à trouver mes marques. Le trajet bien relou en voiture, le costume qui me serre un peu, les e-mails incessants, décidément ce premier « vrai » boulot est plein de nouveautés pour moi. Je viens de finir mes études de comptabilité, et après plusieurs stages dans des petites boîtes près de chez moi, il a fallu que je me décide à prospecter en ville pour trouver un CDI. J’apprends donc, je m’adapte, et je commence même à me plaire dans cette nouvelle vie.


Le seul détail qui me perturbe encore tous les jours, c’est une femme qui bosse dans le même immeuble que moi. Je la croise régulièrement dans les couloirs ou dans l’ascenseur. Une petite femme blonde aux yeux verts, la quarantaine, à la silhouette toute en courbes et reliefs, à la coiffure impeccable et aux lunettes qui lui donnent un air strict. Je ne peux m’empêcher de scotcher sur ses tailleurs, d’essayer de glisser un œil dans ses décolletés toujours trop sages pour que je distingue quoi que ce soit… Je ne sais pas pourquoi elle m’obsède autant, mais elle est mon rayon de soleil de la journée. Elle ne m’a jamais remarqué et je ne fais rien pour, car je ne saurais pas quoi lui dire. Je ne sais pas comment elle fait pour me rendre dingue, je n’ai pourtant aucun problème à aborder et à tenter de séduire les femmes, mais elle m’intimide par son élégance et sa froideur.


Me voici donc, comptable à 26 ans, sorti de mon village et de mes potes d’enfance. Heureusement qu’il me reste l’escalade pour me défouler et évacuer tout ce stress citadin. Ce mardi matin, je suis dans l’ascenseur en train de réfléchir à ma prochaine sortie grimpette avec mes potes quand mon petit soleil entre dans l’ascenseur et se tient devant moi, apparition divine. Comme d’habitude je scotche sur ses formes, son fessier est rond, et a l’air ferme dans son pantalon de tailleur gris. Elle porte de jolis sneakers en cuir noir, sur lesquelles un lacet est défait. Elle s’en rend compte, et se baisse pour le renouer. Et là, je manque de m’étouffer car mon regard plonge dans son décolleté, et j’aperçois un très joli soutien-gorge bleu qui emprisonne une poitrine que je devine généreuse, très généreuse même. Immédiatement, je sens mon sexe commencer à se raidir dans mon pantalon. J’ai à peine le temps de le repositionner pour éviter la « tente » bien visible que les portes s’ouvrent, et un groupe rentre dans la petite cabine, nous obligeant à nous serrer un peu. Elle est maintenant juste devant moi, son cul d’enfer à quelques centimètres de mon érection qui continue à se développer. Je dois être tout rouge, j’ai le cœur à 10 000. Lorsque l’ascenseur redémarre, il a un petit à-coup, et elle perd l’équilibre, reculant pour se rattraper. Et c’est ainsi que son cul se retrouve collé à moi, appuyant sur mon sexe. J’ai maintenant une gaule d’enfer, il est impossible qu’elle ne sente pas ce qui se passe dans mon pantalon. Je m’attends à une belle gifle, voire un scandale en public qui pourrait me mettre dans une belle merde avec mon employeur. Je flippe donc, je sens la sueur couler sous ma chemise, je dois être plus rouge qu’une tomate.


Mais elle ne bouge pas, même d’un millimètre. Son cul appuie contre mon sexe qui tressaute tellement je suis excité. Tout le reste de mon corps est tétanisé. Puis les portes de la cabine s’ouvrent sur son étage, et elle quitte l’ascenseur sans un regard en arrière. Je recommence à respirer. Avant de rentrer au bureau, je passe aux toilettes pour me passer un peu d’eau sur le visage et souffler le temps que mon érection se calme. La matinée se déroule normalement, et mon collègue Julien me propose de déjeuner au bar à salades en face de notre immeuble. Nous nous installons, et il commence à me raconter son week-end entre potes et la soirée qui lui a permis de finalement conclure avec la femme qu’il convoite depuis des semaines. Je l’écoute de plus en plus discrètement, car j’aperçois mon soleil qui entre dans le restaurant. Elle s’assoit, seule à table, à quelques mètres de nous, presque en face de moi. Je regarde son joli visage, ses lunettes rondes et sa coiffure tirée, son air strict, presque sévère malgré ses lèvres pulpeuses et ses yeux magnifiques.


Je me force à reprendre le fil de la discussion et du repas, car après l’épisode de ce matin je ne veux surtout pas me faire remarquer. Mais lorsque je lève les yeux de mon assiette, je suis pris dans son regard comme un insecte devant une lumière. Elle me fixe, me vrille de ses yeux magnétiques. Je reste encore une fois incapable de réagir, je ne peux que baisser les yeux et faire semblant d’avaler de travers.



Le temps que je me remette de ça, elle s’est plongée sur son smartphone, et je passe le reste du repas à reprendre mes moyens. En sortant, nous passons juste à côté de sa table, mais elle ne lève pas les yeux. Nous retournons à nos tableurs et à nos analyses, lorsque je reçois un message sur mon téléphone, d’un numéro que je ne connais pas.


alors comme ça on bande devant un tailleur ? Pas très approprié sur un lieu de travail.


Je recommence à flipper. J’ai dû me faire griller par un des autres occupants de l’ascenseur ce matin, et les conséquences pourraient être graves. Je réponds.



Est-ce que c’est vrai ? Est-ce que c’est elle ? Je recommence à suer, ça pourrait être un piège, et même si c’est bien elle, ça ne change rien au risque. Et si elle voulait une preuve pour me dénoncer ? Je dois faire très attention. Malgré la panique, je sens mon sexe qui recommence à gonfler, décidément je suis débile dès qu’il s’agit de cette femme ! Après quelques minutes sans que j’ose répondre, mon téléphone vibre à nouveau :



Si elle voulait me faire réagir, elle a parfaitement réussi. Je suis terrorisé. Je reprends mes esprits, et je commence à tapoter mon écran :



Je suis déboussolé, mon cœur s’est arrêté quelques secondes avant de repartir beaucoup trop vite. Je ne comprends pas ce qu’elle veut.



Mon sexe bondit dans mon caleçon. Moi qui ne suis pas d’un tempérament docile d’habitude, je suis sous l’emprise de cette femme. Je ne connais ni son nom ni sa voix, mais elle m’a ensorcelé en quelques mots écrits sur un écran. Je camoufle tant bien que mal mon érection, et je file dans les toilettes. À 14 h 56, la photo est envoyée. Quelques secondes plus tard, la réponse arrive :



Je ne sais même plus comment je m’appelle. Si j’accepte, je ne sais absolument pas où je vais, mais mon cerveau bout de désir, et cette situation où je ne suis maître de rien m’excite. Si je refuse, je suis sûr qu’il ne se passera jamais rien avec elle, mais je ne prends aucun risque au niveau de mon boulot. Car au vu de sa requête, je pense que ses prochaines demandes seront plus osées et risquées. Je me lance.



Je prétexte une pause clope, retourne dans nos toilettes, retire mon caleçon que je fourre au fond de ma poche. Je bande depuis une bonne demi-heure maintenant, et c’est maintenant beaucoup plus compliqué à cacher. J’y arrive néanmoins, et je descends vers les toilettes du 3e. J’attends quelques instants devant pour laisser sortir une éventuelle occupante, puis je rentre le plus discrètement possible et je me dirige vers le 3e box. Au moment où j’y entre, la porte s’ouvre et une voix féminine retentit. J’ai à peine le temps de fermer et de verrouiller la porte. La femme que j’entends est manifestement au téléphone, en mode haut-parleur car je peux écouter toute la conversation avec une autre femme.



Elle a maintenant raccroché mais elle est toujours dans les toilettes, même s’il n’y a pas de bruit. Je vais devoir patienter un peu. Je me retourne pour m’asseoir le plus discrètement possible quand mon regard est attiré par… un tanga bleu posé sur la cuvette. Le choc me coupe le souffle. Ma Dame porte un soutif bleu, je l’ai vu ce matin. Elle vient de dire à sa copine qu’elle avait retiré le bas ce matin, ça serait donc elle qui est juste de l’autre côté de la porte ? Est-ce qu’elle a tout planifié ou est-ce qu’elle a profité de l’appel pour me torturer un peu ? Je vais pour sortir du box quand je me souviens de la première règle. Je reste donc immobile, le cœur battant, la queue prête à exploser. Après quelques minutes, je l’entends qui se dirige vers la sortie. Juste avant que la porte s’ouvre, elle parle à nouveau.



Puis elle disparaît. J’aurais au moins entendu sa voix. Je saisis immédiatement le morceau de dentelle bleue. Je ne peux m’empêcher d’y porter mon nez, et je respire une odeur de femme, puissante et agréable. Après une longue hésitation, je me décide et je garde le tanga dans ma poche. Je n’oublie pas de déposer mon caleçon sur la cuvette, puis je repars discrètement vers mon bureau. Par contre, cette aventure m’a fait perdre du temps, et je suis obligé de cravacher pour rattraper mon retard, et Ma Dame sort de ma tête. Pas pour longtemps.


Il est 17 h, Je suis en train de ranger mes affaires avant de rentrer chez moi quand mon téléphone vibre.



Cette femme est redoutable. Je me sens complètement impuissant, mais je crois que je n’ai jamais autant bandé en une journée. Je me précipite donc dans les toilettes du 3e, par chance l’étage semble vide. Une fois dans le 3e box, je sors ma queue et l’enveloppe dans la dentelle bleue. Je me masturbe ensuite furieusement, en pensant à toute cette journée surréaliste. Je jouis en quelques instants une quantité énorme de sperme. Je m’essuie dans le tanga et le dépose sur la cuvette, on ne voit même plus la dentelle par endroit tellement j’ai joui. C’est en repartant que je remarque que le box 1 est verrouillé. Je cours vers la sortie. Mince, j’ai failli me faire griller en pleine masturbation sur mon lieu de travail ! Ce jeu est définitivement dangereux, j’espère que la femme dans les toilettes ne m’a pas reconnu, car j’ai été quelque peu bruyant dans ma jouissance.


Je me dirige vers une galerie commerciale. Ma Dame a raison. Mes caleçons unis, larges, ça fait longtemps qu’il fallait que je les change. Je rentre donc dans une boutique de lingerie, et je demande à voir ce qu’elle propose pour les hommes. Je choisis plusieurs slips blancs et gris, ainsi qu’un boxer ultra-fin noir. Enfin, sans trop réfléchir, j’achète un slip en mailles noir très transparent. Je n’ai jamais porté ça mais je ne veux pas mourir idiot comme on dit. Je continue mon shopping et suis en train de payer le kit de rasage intime (une autre première pour moi) quand je reçois un nouveau message.



Sur la route du retour à mon appartement, mon cerveau fait des bulles, je ne comprends pas ce qui m’arrive. Je me laisse complètement manipuler par une femme dont je ne sais presque rien. Et j’adore ça. Rien que de penser à cette journée, je sens mon sexe gonfler dans mon pantalon.


Arrivé chez moi, je commence par le rasage. Je prends tout mon temps car je ne l’ai jamais fait, mais je suis plutôt content du résultat. Mon sexe, déjà plutôt imposant, donne l’impression d’être énorme. Il est tout doux, et je pense que je vais garder cette habitude. Je me décide à lui envoyer un message.



Je passe la soirée à repenser à tout ça, j’ai besoin de faire le point. Après mûre réflexion, je décide de jouer le jeu à fond, et d’impressionner Ma Dame jusqu’à ce qu’elle craque et m’invite chez elle. Je bande comme un taureau, mais son interdiction est restée dans ma tête, et je me couche sur la béquille.


Le lendemain, vêtu d’un slip blanc serré sur mon sexe glabre, je monte dans l’ascenseur vide, les pensées occupées par ma journée de travail. Au moment où les portes se ferment, une main finement manucurée se glisse entre les portes, et Ma Dame se faufile juste devant moi sans me jeter le moindre regard. Je suis pétrifié, je ne sais pas comment réagir. Mon sexe lui bondit dans mon slip, ce qui m’arrache une petite grimace car cela serre beaucoup plus que mes vieux caleçons. Elle me tourne le dos, m’ignorant complètement. Elle descend au 3e, et je continue vers mon étage, déçu, excité, frustré, la queue douloureuse dans mon slip. L’ascenseur émotionnel par excellence. Ma journée se passe normalement, même si j’ai un peu de mal à me concentrer, et que je ne peux m’empêcher de sourire en allant aux toilettes.


Je rentre chez moi, un peu triste de n’avoir pas eu la moindre attention de la journée. Je me couche tôt ce soir-là, toujours sur la béquille… Au réveil le lendemain matin, un message m’attend déjà sur mon téléphone :



Vers 10 h, juste quand tous les employés commencent à prendre un café et que je remonte de ma pause clope, ma poche vibre :



Je l’ouvre, et je découvre et je découvre une culotte blanche plutôt sage, mais avec une grosse tâche d’humidité sur le devant. Je la prends au creux de mon poing, et alors que des collègues sont autour de moi, je la sens. C’est trempé, et ça sent son odeur. Mon sexe frotte contre mon pantalon immédiatement, je bande à mort. Elle est diabolique ! Elle a réussi, pendant ma pause clope, à déposer une culotte trempée de mouille dans mon tiroir, sans que personne ne s’en rende compte. Mais comment a-t-elle fait pour que sa culotte soit trempée ? Je suis soufflé par les talents de Ma Dame. Je regarde autour de moi, personne ne regarde dans ma direction, ni ne se dirige vers moi. J’ouvre mon pantalon, sors mon sexe au maximum, et je prends une photo le plus vite possible. J’ai à peine le temps de poser mon pull sur ma queue bandée qu’une collègue passe juste devant moi, me saluant avec un sourire. J’arrive tant bien que mal à ranger tout ça, et j’envoie la photo.



Je descends donc au plus vite vers les toilettes des femmes du 3e. Je rentre dans le box et m’enferme, j’ai bien vérifié, il n’y a personne. Au moment où je suis en train d’envelopper ma queue dans le tissu humide, un nouveau message. C’est une photo. On y voit une chaise de bureau dans un open space, et deux jambes écartées dévoilent une vulve rasée brillante d’excitation, avec une main manucurée qui écarte les grandes lèvres au maximum.



Je commence alors à me masturber rapidement, la photo de cette superbe chatte sous les yeux, je m’astique à toute vitesse. Mais alors que je sens ma jouissance monter, j’entends la porte s’ouvrir et plusieurs femmes entrent dans les toilettes. Elles discutent entre elles alors que l’une d’elles entre dans le box à côté de celui où je me tiens la queue à la main. Et alors que mon excitation retombe et que mon inquiétude augmente car cela fait déjà quelques minutes que je ne suis pas à mon poste, je vois soudain un soutien-gorge glisser par terre provenant des toilettes à côté. Je le prends à la main. Un soutif blanc tout simple, qui complète la culotte que j’ai autour du sexe. Je n’en reviens pas. Elle est là, à discuter avec ses collègues d’un dossier administratif, et elle sait parfaitement que je suis à côté, c’est elle-même qui me l’a ordonné. Je reprends ma masturbation en évitant de faire le moindre bruit. La jouissance remonte très vite, mais je ne sais pas si je dois jouir dans la culotte ou dans le soutif. Trop tard, j’ai juste le temps de poser le bonnet devant mon gland qu’un torrent de sperme s’en échappe. Je réussis à ne pas gémir en me mordant la lèvre. Autour de moi la discussion continue, Ma Dame est toujours dans les toilettes. Je regarde alors la culotte toujours autour de mon sexe, et le bonnet du soutien-gorge qui est complètement maculé de foutre, il y a même une petite flaque de liquide dans le fond. Ce ne sont pas les instructions que j’ai reçues, mais c’est trop tard. Je glisse alors les deux sous-vêtements sous la cloison de séparation. Deux minutes plus tard, j’entends la chasse d’eau, puis les femmes retournent à leur bureau, et je peux enfin retourner bosser, mais avec une certaine appréhension quant à la réaction de Ma Dame.



Elle a donc remis son soutif après que j’ai joui dedans. Cette femme est incroyablement perverse, et j’adore ça. Je me remets difficilement au boulot, m’absorbant dans mon travail pour garder l’esprit au clair. Je réussis à bosser ainsi presque toute la journée. Mais à 16 h 45, nouveau message.



À 17 h 15, mon étage était vide. J’avais prétexté vouloir finir un dossier pour rester un peu plus longtemps. Je ne savais pas ce qui m’attendait, mais je bandais déjà en pensant à ce qui pourrait se passer. Assis sur le trône, à poil, je n’eus pas à attendre bien longtemps. La porte des toilettes s’ouvrit et j’entendis des pas. Puis j’entendis sa voix :



Le choc a failli me faire pousser un cri que je retiens de justesse. Elle est là, à quelques centimètres de moi, en train de chauffer un homme. J’entends une braguette s’ouvrir, puis des gémissements masculins s’élèvent alors que des bruits de succion caractéristiques résonnent dans la pièce. Elle est en train de le sucer, et pas qu’à moitié, au vu de ce que j’entends. Puis le bruit s’arrête, et d’un coup un long soupir s’échappe de la gorge de Ma Dame, puis des bruits de chairs qui s’entrechoquent me vrillent le cerveau. Elle est en train de le baiser, et elle aime ça.



Les claquements s’intensifient, et j’écoute pendant de longues minutes Ma Dame se faire prendre dans les toilettes de mon bureau. Les gémissements s’accélèrent, puis elle jouit, dans un long cri étouffé. Enfin, les bruits de succion reprennent, et j’entends l’homme la prévenir qu’il va jouir. Elle continue, et je l’entends se vider dans sa bouche dans une succession de petits cris.



Puis ils sortent des toilettes, et plus rien. J’attends quelques secondes, puis je me masturbe furieusement. En quelques allers et retours je me fais exploser, et je jouis contre la porte des toilettes, repensant à la scène que je viens d’entendre. Je nettoie piteusement le sperme, puis quitte le bâtiment. Je suis en train de monter dans ma voiture quand mon téléphone vibre.



Je passe la soirée chez moi à jouer à la console, sans penser à autre chose, quand un nouveau message arrive.



Je m’empressais de lui obéir.



Je commence à me masturber, jusqu’à bander au maximum, avant de retourner devant mon miroir puis de lui envoyer la photo.



Je reçois en réponse une photo. Elle y est nue, à quatre pattes, en train de s’enfoncer un gode dans le vagin. L’angle est particulièrement torride, on ne voit que son cul et sa vulve humide, écartelée par le gode brillant de lubrifiant ou de mouille. Je commence à me branler fort quand je découvre la légende de la photo : « bien sûr que NON ! Bonne nuit ». C’est avec grande difficulté que je me remets à jouer, espérant que la console me permettrait de me vider la tête de ces images. Peine perdue, je m’endors encore sans avoir joui, les couilles douloureuses.


Je me réveille avec une gaule d’enfer et un nouveau message :



Je les étale tous sur mon lit et je lui envoie la photo. Je reçois la même photo en réponse, avec le slip en maille entouré de rouge.



Je m’habille donc, la sensation de la maille qui glisse sur mon sexe glabre est plutôt agréable. La matinée se passe sans interruption, puis à 11 h 45, ça vibre dans ma poche.



En entrant dans le box à 12 h, je vois un bandeau noir posé sur la chasse d’eau, avec un petit mot en dessous.


Mets-toi en slip, mets le bandeau sur tes yeux, les mains dans le dos et ne bouge pas, tu ne parles pas, sinon tu le regretteras


J’obéis immédiatement, et quelques secondes plus tard je suis debout, avec une demi-molle qui commence à étirer les mailles, complètement aveugle. J’entends la porte s’ouvrir, des talons claquent sur le carrelage. La porte du box s’ouvre, puis plus rien pendant quelques secondes. Soudain, j’entends le bruit d’un appareil photo de smartphone, je me fais mitrailler. Ma queue gonfle sous l’effet de cette exhibition, et je sens mon gland qui sort de mon slip. Les photos continuent, puis je sens une main caresser mon sexe, puis baisser le slip et me saisir doucement les couilles. Elle me branle quelques instants, et je sens un souffle sur mon gland. Ma bite est soudain avalée par une bouche chaude, la langue s’agite sur mon gland, je retiens à grand-peine mes gémissements. La fellation s’arrête, j’entends quelques mouvements, et je sens que mon gland se pose à l’entrée d’un sexe. Elle se recule et s’empale sur ma queue d’un seul mouvement. Elle me baise en se caressant le clitoris comme une folle, je sens sa main s’agiter et j’entends sa respiration s’accélérer. Elle atteint très rapidement l’orgasme, et se retire, me laissant là, la bite qui tressaute car je n’ai pas joui, je sens l’odeur du sexe se répandre dans la pièce, je n’en peux plus. Je l’entends se rhabiller, puis elle commence à s’éloigner.



INCONNUE ! Je viens de me faire baiser par une parfaite inconnue, j’étais persuadé que c’était Ma Dame, mais non, elle s’est encore jouée de moi, et bien sûr je n’ai encore pas joui. Je m’essuie le sexe, me rhabille tant bien que mal et je redescends à mon bureau, j’ai la capacité de réflexion d’une brique. J’essaie de lire un e-mail qui parle de réglementation européenne de fiscalité, mais j’ai mal aux couilles, et je n’arrive pas à penser. Je reçois alors un message avec une photo en noir et blanc. C’est moi, nu, les mains dans le dos, ma queue sortie du slip en maille, le bandeau sur les yeux. Les messages continuent :



Je me remets tant bien que mal au boulot, mais il est clair que ça ne va pas être ma journée la plus productive ! Cela va bientôt faire 24 h que je bande, que je me branle, que je me fais baiser sans jouir. Ça commence à devenir très dur. J’arrive à me remettre dedans et à boucler ma journée correctement. À 17 h, je range mes affaires et commence à me diriger vers le parking. Je monte dans l’ascenseur quand mon téléphone vibre :



J’arrive en courant et me précipite dans le 3e box, pour découvrir le même bandeau avec le même mot. Encore ! Je suis devenu son gigolo personnel ou bien ? Mais l’excitation de la soumission reprend le dessus, et je suis bientôt à nouveau en slip, les mains dans le dos, les yeux bandés. J’entends quelqu’un entrer dans les toilettes, puis j’entends des pas qui se dirigent vers mon box. La porte s’ouvre, et une main se pose directement sur mon sexe qui commence immédiatement à gonfler. Une voix résonne, SA voix :



Elle baisse mon slip d’un coup, libérant ma queue bandée à mort depuis que j’ai reconnu sa voix. Elle me branle en me serrant très fort, à la limite de la douleur. Elle fait des bruits de bouche en même temps que je ne comprends pas. Elle se déplace alors, et je sens un torrent de salive couler sur mon gland et tout le long de mon sexe. Dans la foulée, ma bite se retrouve enserrée entre deux masses de chair qui commencent à coulisser le long de ma hampe. Elle me fait une branlette espagnole ! J’ai ma queue entre les seins de Ma Dame et je ne peux ni voir ni toucher ! Une vague d’émotions me traverse, et il ne lui faut que quelques mouvements pour que ma jouissance arrive dans un cri : « je vais jouir ! ». Elle reprend alors mon gland dans sa bouche tout en me branlant toujours aussi serré. J’ai l’impression d’éjaculer des litres dans sa bouche. Elle avale tout jusqu’à la dernière goutte, et s’éloigne aussitôt puis disparaît. Je retire mon bandeau, et il me faut au moins 10 minutes pour me remettre de cette expérience irréelle. Je suis vidé de toute énergie. Je me rhabille et me dirige vers ma voiture, le cerveau en mode automatique. Arrivé chez moi, je regarde mon portable. 4 messages. Merde !



J’ai reçu le dernier message à 18 h 4, il est 18 h 11. Merde merde merde !!



J’attends anxieusement, scotché devant mon écran de smartphone qui reste noir. Une heure après, je suis toujours scotché sur ce « black mirror », en train de me convaincre que j’ai tout gâché, quand l’écran s’illumine d’un appel. Je décroche sans même qu’il ait le temps de sonner.



La conversation continue, je n’écoute qu’à moitié ses histoires d’escalade, cette sortie qui est organisée pour le mois prochain… J’ai posé le smartphone en haut-parleur et j’attends que ça se termine quand l’icône d’un texto apparaît sur l’écran. Je coupe court à la conversation (désolé, faut qu’j’te laisse Ju, salut !) et ouvre avec fébrilité le message.



Avec ce dernier message, une photo floue d’elle, en entier, en lingerie rouge en matière brillante, avec un air furieux sur son visage qui la rend encore plus stricte. En légende :



Comme d’habitude avec elle, c’est les montagnes russes dans ma tête. Soulagé de continuer ces jeux, frustré d’avoir gâché cette soirée, excité devant son corps voluptueux mis en valeur par la lingerie, et un peu effrayé par ce qui m’attend, j’ai énormément de mal à m’endormir ce soir-là. Je passe le week-end avec mes amis, qui me chambrent un peu car je vérifie mon portable toutes les 5 min. Je leur bredouille une vague excuse de dossier urgent au taf, ça passe. Le samedi soir, soirée chez une copine avec des potes. J’ai un peu picolé, fumé sur quelques pétards, et la propriétaire des lieux, une copine avec qui j’ai déjà couché plusieurs fois s’approche de moi avec un sourire. Nous sommes seuls dans sa cuisine, je lui sers un verre.



Elle sort de la cuisine, visiblement vexée. Et ma frustration augmente. Ma Dame m’obsède tellement que je suis incapable de lui mentir ou de lui désobéir. Pas de jouissance pour moi ce week-end. Je rentre chez moi vers 3 h, à pied, et je m’écroule dans mon lit. Le dimanche est maussade, j’ai la gueule de bois, mais je me suis quand même réveillé avec une érection énorme qui a mis longtemps avant de redescendre. Je suis en train de scotcher sur la télé, vautré sur mon canapé, quand mon téléphone vibre sur la table, au nom de Ma Dame. Mon cœur accélère subitement, je saute sur mon smartphone.



Je commence immédiatement à me branler et en quelques secondes je suis raide comme la justice, et la photo est envoyée en moins d’une minute.



Pas de réponse… Il va falloir que j’assure, et je sens que les punitions vont être salées. Je me rase consciencieusement, jusqu’à être parfaitement glabre. Une courte nuit peuplée de rêves étranges plus tard, je suis prêt à débuter cette semaine. En slip (blanc évidemment) dans ma cuisine, le café à la main, je suis en train de regarder les actualités quand :



Je saute dans mes vêtements et cours vers ma voiture, le timing va être serré. Je roule un tout petit peu trop vite en priant pour ne pas me faire arrêter, non pas pour l’amende mais car ça me ferait arriver en retard, et c’est ma dernière chance. J’arrive à 7 h 44 dans les toilettes, essoufflé, je reprends mon souffle en me désapant. J’entends alors trois femmes entrer dans les toilettes.



Elles éclatent de rire toutes les trois, je suis à poil à les écouter se foutre de moi mais je bande quand même. Elles disparaissent après quelques minutes de discussion où la gent masculine prend cher. Je dépose mon slip sur la cuvette, me rhabille et monte à pied d’un étage, pour m’installer à mon bureau. Je me mets en mode automatique, il faut que j’avance sur mon taf. La journée file dans un brouillard, et je travaille jusqu’à ce que tous mes collègues soient partis. Je me dirige vers ma voiture en espérant que mardi soit meilleur que lundi. Une vibration dans ma poche, j’ouvre fébrilement le message.



Je remonte en quatrième vitesse, prétextant un oubli à mon bureau au vigile de l’accueil. Il n’y a plus personne à cet étage, j’ai l’impression d’être seul dans tout le bâtiment. J’arrive dans la salle de conférence, la seule avec les lumières allumées. Sur la grande table, un mot :


va dans la salle de sous-commission devant toi, assois-toi sur la chaise, à poil les mains dans le dos. Pas de lumière. Et regarde par ici.


Cette salle est plongée dans l’obscurité, et la vitre qui la sépare de la pièce éclairée forme ainsi un grand miroir noir, comme un miroir sans teint. Je commence à me douter de ce qu’il va se passer. Je me déshabille donc, et je m’assois donc, comme elle l’a ordonné, dans le noir. Tout à coup, je sens des menottes se refermer sur mes poignets, je suis immobilisé. Alors Elle se campe devant moi, vision irréelle au possible. Elle est en lingerie blanche, un soutien-gorge ouvert qui redresse sa poitrine, ses gros seins magnifiques exposés aux regards. Un serre-taille et des bas, mais pas de culotte. Elle est divine. Et ma queue bondit. Elle me regarde, un sourire cruel sur ses lèvres pulpeuses.



Elle s’approche de moi, mettant ses seins parfaits à quelques centimètres de mon visage, joueuse. Elle s’assoit alors sur le bureau devant moi, et commence à se caresser les seins, à agace ses tétons qui pointent de plus en plus. Puis elle écarte les jambes, et je vois ses doigts caresser sa vulve doucement, je ne vois pas très bien dans le noir mais elle est clairement en train de se masturber juste devant moi. Ma queue tremble et tressaute, ce qui la fait sourire encore plus. Puis son ton redevient glacial.



Et elle sort de la pièce, me laissant seul dans le noir. Elle se dirige alors dans la salle éclairée et elle s’assoit sur la grande table, me tournant le dos, les jambes écartées face à l’entrée. Quelques instants plus tard, un homme entre dans la pièce, et ma punition commence. Elle l’enlace, alors qu’il saisit à pleine main sa poitrine. Ils s’embrassent quelques secondes avant qu’il n’appuie sur ses épaules. Elle décoche un regard vers la grande vitre et se passe la langue sur les lèvres. Alors elle se déchaîne sur la queue de l’homme. Elle le lèche, le suce, bave copieusement dessus et emprisonne ce sexe entre ses seins. Je contemple ce qu’elle m’a fait, ma bite me fait mal tellement je bande. Puis elle monte sur la table, à quatre pattes face à moi, et lui dit quelque chose. Il plonge sa tête entre ses fesses et la lèche, je distingue les mains de l’homme qui s’agitent entre les cuisses de Ma Dame. Ses gros seins ballottent sous elle, elle a un sourire pervers et elle fixe la vitre du regard, en poussant des gémissements de plus en plus appuyés. D’un coup, elle s’arrête et s’allonge, elle se met de ¾ devant moi, elle sait parfaitement ce qu’elle fait. Elle relève et écarte les jambes, et l’homme positionne son gland sur sa vulve, avant de l’embrocher d’un coup. Il la prend sans ménagements, de grands mouvements de bassin, en sortant presque son sexe à chaque fois. Visiblement, elle adore ça, elle jette régulièrement des coups d’œil vers moi, il doit penser qu’elle s’admire dans la vitre miroir. Après quelques minutes de ce traitement, elle l’allonge sur la table, et s’accroupit sur lui, face à moi, dos à lui. Je vois sa chatte luisante de mouille, ses seins gonflés d’excitation. Elle fixe la vitre alors qu’elle saisit la queue de son amant pour s’empaler dessus. Elle le chevauche ainsi pendant de longues minutes, il lui pétrit les seins, elle s’éclate mais je ne crois pas la voir jouir. Lui en revanche est au bout de sa vie, il lui parle et je la vois qui se dégage, descend de la table et se met à genoux devant la vitre. Elle est à deux mètres de moi, et elle le branle bien fort, pour le faire jouir copieusement sur sa poitrine.


Il se rhabille aussitôt, et quitte la pièce en quelques instants. Elle se caresse les seins, étalant le sperme pour en couvrir ses seins, et éteint les lumières de la salle en sortant. C’est dans le noir complet qu’elle rentre dans la pièce où je suis. Je bande toujours autant, ma queue me fait mal de bander aussi fort.



Je n’ai même pas hésité, elle aurait pu me demander n’importe quoi, j’aurais répondu pareil. Elle saisit alors ma tête et la plonge entre ses seins poisseux. Je la lèche malgré tout, dévorant sa poitrine couverte du sperme de son amant, et m’efforce de tout nettoyer au mieux. Le goût n’est pas désagréable, et la situation est tellement excitante pour moi que je donne tout ce que j’ai. Après quelques minutes de ce traitement qui semble bien lui plaire au vu des petits gémissements qui s’échappent de sa gorge, elle se retire et inspecte sa poitrine.



Je suis assez effrayé par son « inspiration », mais je n’ai pas le temps de me poser de question. Elle attrape ma chaise et la glisse vers le bureau où elle s’assoit, les jambes bien écartées. Elle saisit ma tête et approche ma bouche de sa vulve trempée. Ma position est inconfortable au possible, toujours menotté, la bite douloureuse, mais je m’en fous complètement. Je vais enfin poser ma langue sur sa chatte, je vais enfin pouvoir la faire jouir, et goûter sa mouille que je respire enfin directement ! Mais au moment où ma langue touche ses grandes lèvres, elle éclate de rire et repousse ma chaise. Puis elle commence à se caresser tout en me parlant.



Je ne réponds pas. Elle commence alors à gémir, je vois sa main accélérer mais je ne vois pas les détails sans aucun éclairage dans la salle. Mais j’entends des bruits humides de pénétration, de frottement, et a priori elle mouille vraiment beaucoup. Elle jouit brutalement, son corps arqué dans le plaisir, dans un long cri étouffé entre ses lèvres. Ma queue tressaute et je jouis également, sans un contact, sa perversité a eu raison de moi. Elle me regarde avec un grand sourire alors que je suis en train d’éjaculer sur mon torse, et elle rit encore.



Je reste silencieux, heureux malgré tout. Elle passe un doigt sur sa chatte, et me le fourre dans la bouche. Je lèche ce nectar, je veux sucer ce doigt mais elle le retire. Puis elle le passe sur le sperme que j’ai partout, et le met dans sa bouche avec un sourire diabolique.



Elle se rhabille dans le noir, et je sens les menottes se détacher avant qu’elle sorte de la pièce. Je me retrouve à nettoyer le bureau où sa mouille a coulé, la table de la salle de conférence, bref je range tout ça et me dirige vers la sortie. J’ai même le droit de me faire engueuler par le vigile car je sors trop tard. Mais comment elle a fait pour sortir du bâtiment elle ? Je rentre chez moi, épuisé, la tête remplie d’images, mais aussi de questions. Jusqu’où cela va-t-il aller ? J’avais goûté du sperme pour la première fois de ma vie et sans contrainte, elle m’avait fait choisir cet acte, je commence à redouter la suite autant qu’elle m’excite… Je me couche et m’endors en quelques secondes.


Je me réveille avec un nouveau message :



J’arrivai au boulot pile à l’heure, et je monte dans l’ascenseur, perdu dans mes pensées, lorsqu’elle rentre dans la cabine, ainsi que quelques autres personnes. Elle se positionne juste devant moi, elle est en tailleur/jupe moulant, les cheveux tirés et l’air plus froid que jamais. Son sublime cul à quelques centimètres de moi, elle s’amuse à s’approcher sans jamais toucher, mais cela réussit à me faire bander. Au moment où les portes vont s’ouvrir sur son étage, elle plaque la main sur mon sexe et le compresse bien fort, manquant de m’arracher un cri, mais personne ne remarque rien. Puis elle sort de l’ascenseur sans un regard. Je m’absorbe dans le boulot pour éviter de penser. Alors que je remonte de ma pause clope, mon téléphone vibre dans ma poche.



Une adresse accompagne son message. Je regarde sur le net, il s’agit d’une librairie à 10 minutes à pied de l’immeuble. Étrange. Bref, je me replonge dans le boulot, et à 17 h je range mes affaires. Je me dirige vers la librairie, mais je suis largement en avance. Un panneau « fermeture exceptionnelle » est sur la porte, des rideaux sont tirés, je ne vois pas l’intérieur. En attendant l’heure, je rentre dans le café d’en face et je déguste un expresso en observant la façade. Aucun mouvement, rien. Deux minutes avant l’heure, je règle et je me dirige vers la librairie. Je frappe à la porte, pas de réponse. Je me décide et rentre, je me retrouve devant un comptoir avec un mot dessus.


verrouille la porte, mets-toi en slip et enfile le bandeau derrière le comptoir.


Je suis donc aveugle, en slip ultra serré dans un lieu que je ne connais pas. Je ne suis pas vraiment rassuré, et tout sauf excité à cet instant. J’entends des pas s’approcher de moi. Une main se pose sur mes fesses et me guide ainsi sur quelques mètres, jusqu’à arriver sur un épais tapis. Je reçois une petite fessée qui me stoppe. J’entends des chuchotements, il y a au moins 4 personnes autour de moi. Puis des bruits d’appareil photo, et je distingue quelques flashs à travers le bandeau.



Ma Dame m’a donc guidé de sa main, je l’entends juste à côté de moi. Commence alors une suite d’ordres auxquels j’obéis, toujours aussi peu rassuré. Je suis presque nu devant au moins un collègue et je ne sais qui d’autre. Je dois vraiment être devenu dingue.



Une main très froide me caresse les fesses, puis une petite fessée me fait sursauter.



Une main se saisit alors de mon sexe flasque, et me décalotte brutalement. Je sursaute à nouveau, ce qui déclenche quelques petits rires. Puis une bouche se saisit de mon gland, et commence à me sucer. Je commence immédiatement à bander. Dès que mon érection est complète, la bouche s’éloigne et les ordres recommencent.



La petite main froide se saisit de mes couilles, sans serrer, et joue avec quelques secondes.



À peine me suis-je allongé qu’une vulve s’écrase sur ma bouche. Elle est carrément assise sur mon visage. Je commence à lécher tout ce que je peux. J’entends des gémissements, et de nouveau les appareils photo. La femme au-dessus de moi n’est pas Ma Dame, sa chatte n’est pas rasée. Elle mouille de plus en plus et son goût est très agréable. Je me prends alors vraiment au jeu et donne de grands coups de langue. C’est elle qui bouge son corps au-dessus de ma bouche, me présentant alternativement son anus, son clitoris ou l’entrée de son vagin. J’y vais vraiment à fond, joue de ma langue comme d’un petit pénis pour pénétrer tout ce que je peux. Puis elle me tire par les cheveux, me plaquant sur son clito, j’étouffe presque dans cette chatte que je me démène à satisfaire. La jouissance survient assez rapidement, un long cri s’échappe de sa gorge. Elle mouille très abondamment sur mon visage, je lèche et j’avale au maximum de ce nectar. Elle se relève ensuite, et m’ordonne de me relever aussi.



La quatrième personne s’exprime enfin. D’une voix masculine. Je me suis fait sucer par un homme, et j’ai adoré ça. Je sursaute encore une fois, ce qui fait rire l’assistance, mais je n’ai pas le temps de réaliser quoi que ce soit, une bouche s’empare de ma queue et commence une fellation profonde. Elle essaie de me prendre en totalité, et après quelques efforts, elle y parvient sous les encouragements des autres. Elle me suce ainsi quelques instants, puis se relève.



Quelques secondes plus tard, le clic d’un appareil photo qui tourne autour de mon sexe retentit dans la pièce.



Une main me saisit la bite, me relève et me dirige ainsi vers un fauteuil à ce qu’il me semble, où elle me fait tomber et m’ordonne de ne pas bouger. Puis elle crache sur ma queue, et s’assoit sur mon sexe, s’empalant d’un coup sur toute ma longueur. Un cri retentit, puis elle commence à bouger, les flashs continuent. Elle continue comme ça quelques minutes, puis elle se retire, et une autre vient la remplacer immédiatement, de la même manière. Je ne suis qu’une queue. J’entends à côté de moi des gémissements, je pense reconnaître Ma Dame, la seule qui ne m’ait pas accordé d’attention ce soir. Je sens ma jouissance monter, ma respiration s’accélère et je donne de petits coups de bassin. Elle s’arrête immédiatement et se lève.



À ce moment, je sens un sexe masculin se poser sur ma bouche. Il est très humide, et je reconnais cette odeur, c’est celle de Ma Dame. Elle était en train de baiser jusqu’à côté de moi. Le gland couvert de mouille se promène sur mes lèvres, sur mes joues. Je garde la bouche fermée au début, mais j’ai envie d’essayer. Alors j’entrouvre les lèvres, et commence à lécher ce nectar sur la hampe, puis j’embouche doucement le gland, et je commence à sucer. Les flashs crépitent autour de moi, les encouragements fusent. La bite commence à bouger, à faire des va-et viens. Je me fais doucement baiser la bouche. Je joue alors avec ma langue, titillant le gland. Je sens une main se saisir de mes couilles et serrer légèrement, avant de commencer à me branler d’une façon experte. À côté, j’entends des gémissements de deux femmes, je crois distinguer des bruits humides de masturbation. Je suce encore plus fort, accompagnant les mouvements. Les gémissements de l’homme emplissent la pièce. Je sens mon orgasme arriver très vite, mais la main qui me branle aussi, elle stoppe aussitôt son geste et me serre très fort la queue, stoppant toute montée. Elle recommence son manège ainsi durant de longues minutes, quand soudain la bite dans ma bouche tressaute et je sens de grosses giclées de sperme sur mon palais. J’essaie d’en avaler mais je n’arrive pas à tout garder, et le foutre coule sur mon torse, sur la main qui me branle, sur mon sexe. L’homme jouit longuement sur ma langue, puis se retire. La main me fait encore monter une dernière fois, s’approchant vraiment tout près de l’orgasme, puis serre ma queue bien fort avant de disparaître, me laissant haletant, bandé à mort, les couilles douloureuses de toutes ces montées interrompues. Quelques bruits d’appareils photo, alors que je suis presque sûr que Ma Dame est en train de jouir juste à côté de moi. Après quelques instants, tout s’arrête. Une main me saisit la queue, elle me tire pour me lever et me guider vers l’entrée. La voix de Ma Dame surgit.



Je rentre chez moi, épuisé, et la tête emplie de questions. Je suis donc bi, au moins bi-curieux, et je l’ignorais. Je ne sais pas si j’aurais d’autres occasions d’expérimenter, mais malgré cette impression que mes couilles sont emplies de plomb fondu, cette soirée restera définitivement gravée dans ma mémoire. Je suis à peine arrivé chez moi que je reçois une dizaine de photos de la soirée, habilement choisies pour que l’on ne reconnaisse que moi… Un gros plan de mes fesses dans la maille quand j’étais penché, mon visage écrasé par une femme nue. Mon sexe dans une chatte poilue et trempée, et enfin plusieurs photos de la fellation que j’ai réalisé, jusqu’à l’éjaculation finale. De voir ces images me replonge dans la scène, et je me couche encore sur la béquille.


L’arrivée au boulot le lendemain est troublante. Je ne peux m’empêcher de regarder chaque personne que je croise. Il y a dans ce bâtiment une femme que j’avais léchée et qui m’avait baisé, une qui m’avait sucé, branlé et baisé, et un homme que j’avais sucé, et je n’ai aucune idée de qui cela peut être. Mais eux connaissaient parfaitement mon visage. Je n’arrive pas à penser autre chose, et c’est mon collègue Julien qui, me demandant si je vais bien, me réveille et me permet de me mettre au boulot. À 10 h, je vais pour aller prendre une pause café/clope avec mes collègues quand mon téléphone vibre.



J’ouvre le tiroir avec fébrilité, une boîte en carton sobre est posée au fond. Je la prends et me dirige vers les toilettes. Je m’installe dans un box et ouvre la boîte. À l’intérieur, plusieurs dispositifs en plastique, une petite bouteille de lubrifiant et un manuel d’instructions avec en titre : « Cage de chasteté ». Je ne savais pas que cela existe, mais le manuel est très détaillé. J’urine avant de commencer, puis me nettoie les mains et le sexe. Un anneau, puis une espèce de cage avec une petite clé en plastique. La cage est juste à ma taille, et avec le lubrifiant les frottements ne seront pas douloureux. Mon sexe au repos remplit la cage. Je le prends en photo et l’envoie. La réponse arrive quelques secondes plus tard.



La sensation est étrange, mais aucune douleur ni de frottement désagréable. En plus, la cage est très discrète et on distingue à peine une bosse sur mon pantalon. En sortant de mon bureau, j’aperçois Ma Dame. Elle est en train de discuter avec plusieurs de ses collègues. Quatre femmes et deux hommes. Et si l’une ou l’un étaient là hier ? Elle ne m’accorde même pas un regard bien sûr, mais cette scène me replonge dans la soirée d’hier. Je commence à bander et je ressens aussitôt une douleur : la cage empêche très efficacement mon érection, mais ajoute considérablement à ma frustration. Arrivé dehors, j’allume avec soulagement une cigarette, et je me plonge dans la conversation avec mes collègues pour me changer les idées. Mon portable vibre. Je m’écarte pour regarder, et apparaît alors une vidéo d’hier soir : Je suis en train de me faire baiser par une femme, en gros plan pour cacher son visage. Puis la caméra s’éloigne et je découvre Ma Dame en train de se faire baiser par la queue que je sucerai quelques instants plus tard. Heureusement que je porte en permanence une oreillette Bluetooth, car le son est avec. Gémissements et cris de plaisir emplissent mon crâne. Ma frustration est immense, et mon sexe compressé dans la cage me fait mal. La vidéo est très courte, 10 secondes à peine, mais l’effet est redoutable. Toute la journée, Ma Dame s’amuse à me torturer ainsi, et je découvre avec les yeux toutes les scènes de la soirée de la veille. La dernière, envoyée à 16 h 45, montre l’éjaculation faciale que je reçois, alors que Ma Dame est en train de jouir de la langue d’une autre femme à un mètre derrière moi. Encore une fois, mon sexe essaie de bander mais c’est impossible. Un message arrive alors.



Je monte à l’heure dite, rentre dans les toilettes et je m’approche du 3e box qui s’ouvre à mon approche. Un homme se tient là, les yeux bandés, le sexe en érection. Je reconnais un des juristes du 2e étage. Je suis sous le choc. D’abord car je me suis fait piéger comme un bleu (y a-t-il une femme dans les toilettes des hommes qui attend ? J’en doute fort), et ensuite car je ne suis pas visiblement le seul avec qui Ma Dame joue. Mais je n’ai pas le temps de tergiverser. Je m’agenouille devant cette queue que je prends en main. Je la caresse doucement, elle gonfle encore sous mes caresses, et la respiration de l’homme s’accélère. Elle est longue et assez fine, un peu courbée, propre. Je le branle ainsi pendant plusieurs minutes, mais je sais bien que ça ne suffira pas à me faire finir dans les temps. Je me lance alors et passe ma langue sur la hampe. Un gémissement s’échappe de l’homme. Je le suce alors, très timidement au début, mais je me prends au jeu, mon propre sexe me fait mal mais je me concentre sur le sien. Je le suce maintenant au plus profond que je peux, tout en le branlant. Je lui caresse même les couilles. J’essaie de lui faire ce que j’aimerais que l’on me fasse. À part la cage, c’est loin d’être désagréable. Je dois être plutôt doué car après une ou deux minutes de ce traitement, je l’entends gémir « je vais jouir ». Je garde son gland en bouche en jouant avec ma langue et je le branle très vite, Je reçois trois grosses giclées de sperme au fond de la bouche, que j’avale sans difficulté cette fois. Le goût est légèrement différent d’hier. Aussitôt terminé, je ressors et je retourne à mon bureau. À peine suis-je assis que je reçois un message.



Arrivé chez moi, je trouve dans ma boîte aux lettres un colis alors que je n’ai rien commandé ces jours-ci. À l’intérieur, une dizaine de sous-vêtements masculins, tous plus osés les uns que les autres, et un kit pour fabriquer un gode avec un moulage de son sexe. Au milieu de tout ça, un mot sur une feuille A4 :


Un petit cadeau pour mon petit branleur, et ce soir tu vas fabriquer un petit cadeau pour ta Dame. Et je compte sur toi pour bander comme un âne quand tu feras le moulage.


Au dos de ce mot, une photo d’Elle, harnachée dans une espèce de harnais en cuir qui lui soulève les seins, s’enroule autour de sa taille et lui encadre les hanches, les fesses et le pubis en laissant tout accessible. Ma Dame est accroupie vers l’objectif, et un gode en verre est profondément fiché dans sa chatte dont je distingue chaque détail. Autant dire que le moulage que je réalisais quelques minutes plus tard n’aurait pas pu être plus gros. Une fois le moulage terminé, je verse le silicone dans le moule, et je dispose quelques dizaines de minutes plus tard d’une réplique exacte de mon sexe. C’est une sensation troublante. Je ne peux m’empêcher de le mettre dans ma bouche, pour la satisfaction débile de savoir que je suis plus gros que les deux hommes que j’ai « côtoyé » ces dernières 24 h,


À 22 h, nouveau message.



Je m’amuse à poser le gode sur la table de la cuisine, et à y poser juste à côté l’original



Le bleu en question est un slip ultra moulant en matière brillante que je ne connais pas. Un peu étrange à porter mais je m’en accommode. Dans l’ascenseur je croise l’homme des toilettes d’hier soir. Il n’a aucune idée que j’ai avalé son sperme 15 h avant. Je ne peux m’empêcher de sourire en l’obligeant à me frotter lorsqu’il veut sortir de la cabine bondée. 30 minutes après ma pause clope, ma poche vibre.



Une photo accompagne ce message, celle d’une chatte poilue avec le gode réplique enfoncé jusqu’à la garde. Je bande immédiatement en reconnaissant le sexe de la femme qui m’a baisé dans la librairie.



Diabolique ! Je retourne à ma compta en bandant comme un fou. Et bien évidemment, quelques minutes plus tard, une photo du gode réplique écartelant la chatte de Ma Dame fit vibrer mon téléphone, et mon micro slip bleu. Je ne reçois aucune autre nouvelle de la journée, et j’arrive enfin à rattraper mon retard. Alors que je suis dans les bouchons de sortie de la ville, la musique à fond dans ma voiture, un message :



Par chance, le bouchon a disparu, et je recommence à rouler. Je me voyais mal me désaper au milieu de dizaines de voitures. Cinq minutes après, je sors de la voie rapide, et je me gare dans un petit chemin qui a l’air tranquille. Je retire pantalon et chemise aussitôt, je me sens très exposé ainsi, mais je prends vite une photo que j’envoie.



Je ne fais pas le malin, à traverser plusieurs bourgs, complètement à poil dans ma petite voiture. Mais cette situation m’excite. À un feu rouge, l’inévitable se produit et je vois deux femmes d’une cinquantaine d’années se préparer à traverser quand l’une d’elles me remarque. Elle ne voit que mon torse nu, mais je la vois donner un coup de coude à sa voisine, et elles me regardent fixement, sans traverser. Je dois être rouge comme une pivoine, j’ai chaud, et je bande. Le feu passe au vert, et les deux femmes se campent au bord du trottoir, constatant ma nudité et ma forte érection. Je les vois dans mon rétroviseur, les yeux fixés sur ma voiture qui s’éloigne. J’espère que j’ai égayé leur soirée… Je profite d’un stop en campagne pour prendre une photo en éloignant au max l’objectif pour bien montrer à Ma Dame que j’ai obéi.



Je m’arrête sur le bas-côté pour répondre.



Je continue à conduire, je ne suis qu’à un kilomètre de chez moi. Je suis en panique, mon cœur tambourine dans ma poitrine. Je m’arrête sur le bas-côté, la tête prête à exploser. Si je me fais griller, c’est tout mon cercle privé qui sera au courant. Mais sinon, tout stoppe aujourd’hui. Je tente de reprendre mes esprits, mais c’est mon sexe qui finit par me convaincre, car malgré cette panique j’ai une trique d’enfer. Je me dirige donc vers mon hameau. Personne dans ma rue. Je guette chaque fenêtre, chaque jardin pour voir s’il y a quelqu’un. Martine, ma voisine la plus proche, s’occupe de son potager mais je la connais bien, elle ne lèvera même pas la tête quand je vais me garer dans la rue, devant ma petite maison. Je reste encore 5 minutes dans la voiture, scrutant le moindre mouvement, puis je me lance. Un selfie accroupi le long de ma voiture, puis un autre en speed devant ma porte et je suis enfin en sécurité chez moi. Une dernière photo dans mon entrée, et j’envoie le tout. Je bande toujours autant, mon cœur bat à 10 000, je suis essoufflé, et j’ai adoré ça. Elle s’en rend compte :



Je commence à peine à débander quand je reçois une vidéo intitulée « pour te féliciter ». Le film est court, sombre et tremblant, mais je découvre Ma Dame, assise sur le gode réplique, les jambes bien écartées et une vraie queue dans la bouche. Elle pousse des gémissements étouffés par le sexe qui lui baise la bouche, c’est terriblement excitant. Tu parles d’un remerciement, je n’ai pas joui depuis trois jours, mais je suis constamment excité, je vais encore m’endormir avec la béquille et les couilles douloureuses…


Vendredi matin. Je me lève avec une gaule d’enfer qui ne se calme qu’une fois arrivé dans la douche. Mais à peine me suis-je assis pour mon petit-déjeuner que mes pensées retournent vers toutes ces expériences que j’ai vécues ces derniers jours. Je ne pense qu’à ça, qu’à Elle, je suis obsédé et des images torrides me viennent en tête. Je bande à nouveau, tout seul dans ma cuisine. Mon portable vibre dans ma poche, contre mon sexe, me faisant sursauter.



Je retire mon slip, et je pars en avance au boulot, espérant réussir à me changer les idées en me mettant au boulot. Ça tombe bien, j’ai une réunion prévue, et ça devrait me calmer. Sauf que cette réunion réunit une dizaine de personnes, dont le juriste que je revois assit, un bandeau sur les yeux, la queue raide alors que je m’agenouille devant lui. Mes pensées repartent, je ne peux m’empêcher de me demander si les deux femmes présentes sont celles de la librairie. Je suis obligé d’attendre quelques minutes dans la salle de réunion, prétextant un e-mail urgent, afin de calmer mon érection.


À mon retour au bureau, mon tiroir du bas est entrouvert. J’y découvre un colis, avec un mot dessus :


Ce soir, tu as rendez-vous à 8 h à cette adresse. Tu iras dans la pièce juste derrière l’entrée, que tu verrouilleras derrière toi. Tu porteras ce qu’il y a dans le colis et rien d’autre.


Je ne reçois aucune autre nouvelle de la journée. Je croise Ma Dame, elle discute avec un homme et deux femmes, et l’une d’elles lève les yeux sur mon passage et un petit sourire apparaît sur son visage. Je ne peux pas m’arrêter pour écouter leur voix dans l’espoir de reconnaître les « libraires », je retourne donc au boulot, la tête emplie d’images plus torrides les unes que les autres.


À 19 h 55, je suis devant une porte toute simple, le colis à la main, les mains moites et le cœur battant à tout rompre. Je frappe, aucune réponse. Je rentre alors dans une sorte de petit vestibule, avec un meuble, une chaise et un miroir sur pied. Je verrouille la porte et ouvre le colis. À l’intérieur, un tablier de serveur, une sorte de slip étrange, un collier type « collier de chien » et un masque de carnaval ouvragé, mais sans trous pour les yeux. Je me change, et me regarde dans le miroir avant d’enfiler le masque. Le slip ne comporte que des élastiques, pas de tissu. Les élastiques passent sous mes fesses, les laissant libres, et mon sexe et mes couilles sont apparentes, une sorte d’anneau attaché aux élastiques les remonte en permanence. Avec le tablier on ne voit pas le devant, mais on voit parfaitement l’arrière. Le collier ressort sur mon cou. Enfin, j’enfile le masque et attends, encore une fois aveugle. Une voix sortie d’un haut-parleur retentit.



Je sens immédiatement ma laisse se tendre, et on me fait parader sur le parquet, me faisant tourner, sous les commentaires de l’assistance. À la demande générale, on m’enlève le tablier, révélant mon sexe bandé comme jamais. Une main se saisit de ma queue, me branlant en serrant assez fort, juste à la limite de la douleur. Une autre pose ma main sur une poitrine que je devine menue, aux tétons très érigés, et j’entends un soupir de satisfaction au moment où je commence à peloter ces seins. Un sexe masculin vient toucher ma main, je le saisis et le branle doucement. Il grandit très vite, il n’est pas très long mais assez gros, ma main en fait à peine le tour. Au bout de quelques va-et-vient, je sens cette queue se tendre et des jets de sperme atterrissent sur ma cuisse. L’homme s’éloigne immédiatement. Alors on me tire jusqu’à un grand matelas sur lequel je tombe, sur le dos. Aussitôt, une bouche gobe mon gland tendu, et une fellation très profonde commence. En même temps, une vulve trempée se pose sur mon visage, tout doucement. Je commence à laper, à lécher ce sexe délicieux, et je suis récompensé par des gémissements sourds. La bouche qui me suce sent que je suis beaucoup trop excité, et une main glaciale me serre le sexe très fort. Je reconnais cette main, c’est celle qui m’a empêché de jouir à la librairie. Elle recommence son manège. Je lèche toujours la femme au-dessus de moi, et je me concentre sur le clitoris, je donne tout ce que j’ai. Un long cri conclut ce cunni, et je sens la mouille couler sur mon visage, j’essaie de laper tout ce que je peux. La femme s’éloigne, et j’ai droit à quelques instants de repos, car ma branleuse s’est aussi éloignée.


Mon répit est de courte durée. La laisse se tend à nouveau, et je me retrouve à genoux. Une main me branle doucement, je sens un liquide couler sur mon sexe, puis la main guide mon gland jusqu’à me faire pénétrer un vagin déjà trempé, chaud et serré. La femme joue de moi comme d’un sex-toy, elle sait que je ne peux pas prendre d’initiative, et elle projette son bassin contre ma queue, de plus en plus vite. Elle se baise sur ma queue. Je ne peux me retenir, et je commence à bouger moi aussi. La femme devant moi stoppe tout, et une fessée me rappelle aussitôt à l’ordre. Je me fige alors immédiatement, et la chatte revient s’écraser sur mes couilles, de plus en plus fort. Je sens que mon plaisir monte, et mon sexe commence à tressauter avant l’orgasme. Ma partenaire le sent et se retire immédiatement. La petite main glacée reprend sa tâche, et ruine à nouveau mon orgasme. Autour de moi, des gémissements et des cris de plaisir résonnent de partout, je sens une odeur de sexe se répandre autour de moi.


Ma laisse se tend encore, et je me suis entraîné à travers ce que j’imagine être une scène de théâtre. On m’abandonne là quelques minutes, je reprends mes esprits et mon sexe dégonfle rapidement. Puis la laisse me tire brutalement vers le bas, je me penche et ma bouche s’écrase sur un sexe masculin bandé. Je commence immédiatement à lécher le gland, il est énorme. J’arrive à l’emboucher, mais cette queue gigantesque est trop grande pour ma bouche. On me prend alors les mains pour que je puisse le branler en même temps. Je n’ai pas de petites mains, mais j’arrive à peine à faire le tour de cette hampe énorme. Je me déchaîne pourtant, léchant le gland dans ma bouche et

branlant des deux mains ce monstre. Je bave copieusement dessus, ma salive coule le long de la hampe. Je caresse deux grosses couilles rasées. Aussi brutalement, on me retire de cette queue que je laisse à regret, je m’accroche même un peu ce qui fait bien rire ma « geôlière ». Je bande à nouveau, très fort. Je suis alors tiré vers des marches, et je suis bientôt sur une sorte d’estrade. Je comprends vite que ma queue est à hauteur de visage des participants, car de nombreuses bouches et mains viennent me caresser chacune leur tour. J’entends sur mes côtés des gémissements et des bruits de succion caractéristiques, je ne suis clairement pas le seul dans cette position. Partout autour des cris, des bruits de chair qui claque, des fessées, des orgasmes qui me rendent dingue. Mais ma geôlière veille au grain, et elle prend manifestement un malin plaisir à ruiner toutes mes montées orgasmiques. Mes couilles me font maintenant vraiment mal.


Ma laisse se tend encore. On me tire jusqu’à un fauteuil très bas sur lequel on m’assoit. Une femme pose ses genoux sur les accoudoirs, et plaque sa poitrine sur mon visage. C’est Ma Dame.



Je commence à lécher le sperme qui recouvre ses gros seins, puis, une fois tout nettoyé, je commence à jouer avec ses tétons. Elle commence à s’agiter un peu, elle va me baiser, ma queue gonfle encore plus, à me faire mal elle aussi. Mais Ma Dame laisse échapper un cri de plaisir et je la sens s’agiter juste au-dessus de moi, alors que je sens des pieds entre mes jambes. Elle est en train de se faire prendre, juste là. Ses cris s’intensifient, mais lorsqu’elle commence à vraiment prendre son pied, j’entends l’homme qui la prend jouir en elle, et s’éloigner rapidement.



Elle attrape ma laisse et me ramène vers le matelas. Mes espoirs d’enfin pénétrer celle qui me rend fou remontent très vite, mais elle s’assoit sur ma bouche, et un 69 commence. Elle me suce quelques instants, et je fais tout pour la faire jouir, quand un sexe d’homme me touche le menton. Je le suce immédiatement, et l’homme la pénètre ensuite, très fort et très vite. Je lèche tout ce que je peux, le clitoris de Ma Dame, les couilles de l’homme que je suce alors qu’il sort régulièrement sa queue de Sa chatte pour me la présenter. Pendant ce temps, la petite main glacée a repris son manège et m’empêche de jouir. Après de longues minutes de ce traitement, Ma Dame jouit violemment, se contractant sur cette queue qui la pénètre, sa mouille me coule sur le visage. Elle se relève et je ne l’entends plus.


Ma geôlière prend exactement la même position, écrasant sa chatte sur mon visage alors qu’elle me branle toujours doucement. Et là je sens la queue monstrueuse se poser sur ma bouche. Je lèche et suce ce gland autant que je peux, puis je peux le sentir prendre ma geôlière très violemment, elle crie et tremble, elle s’accroche à ma queue comme jamais. Il la défonce littéralement, tout son corps est secoué sur le mien. Je lèche ce que je peux, essaie de titiller son clitoris mais ses mouvements sont violents, et je suis aveugle. Tout à coup elle se fige, un long hurlement animal s’échappe de sa gorge et elle jouit. Une fontaine de mouille m’inonde le visage, elle jouit ainsi pendant une minute entière, prise de spasmes, alors que le monstre ne ralentit même pas. Elle se dégage alors, clairement elle n’en peut plus, et tombe sur le côté, me lâchant la queue. Visiblement cela plaît au propriétaire du monstre, car je le sens se branler au-dessus de moi. Il enfourne son gland dans ma bouche et jouit à son tour. Une quantité impressionnante de sperme me remplit la bouche, j’essaie d’avaler tant bien que mal, et je subis cette éjaculation jusqu’à la dernière goutte. J’en ai partout, j’ai le visage couvert de mouille et de sperme, j’ai mal à la queue, encore plus mal aux couilles, mais je suis dans un état d’excitation indescriptible. Un corps se pose alors sur le mien, tout doucement. Deux gros seins se plaquent sur mon torse, et une langue commence à me nettoyer le visage, alors que ma geôlière me caresse tendrement la queue.



La laisse se tend alors pour la dernière fois, et me tire jusqu’à la pièce où je suis entré en arrivant, et la porte se referme derrière moi. Je me rhabille, épuisé mais toujours pas vidé, et je rentre chez moi pour tomber dans mon lit. Le lendemain, je me réveille dans un état second, la bite dressée et les couilles douloureuses, et je vaque comme un fantôme dans ma maison. À 11 h, un message :



Je suis fébrile. Je ne sais pas si je tiendrai une autre soirée comme hier. J’ai failli jouir 20 fois, j’ai failli bouger autant de fois, c’était la soirée la plus folle de ma vie sexuelle, mais j’ai peur de décevoir Ma Dame par mon manque de résistance. J’attends donc de nouvelles instructions, j’attends encore et encore. À 21 h, toujours rien, et je commence à me dire que c’était une autre forme de torture, quand ma sonnette de porte retentit. Je sursaute. J’ouvre la porte, ne sachant pas du tout à quoi m’attendre, mais c’est Elle. Elle porte un lourd manteau, un léger maquillage met en valeur sa bouche, elle a les cheveux tirés, l’air un peu moins froid que d’habitude. Elle porte un joli sac à la main. Je suis abasourdi, sous le choc. Ma Dame est dans ma maison. Je suis en train de lui servir un verre quand elle m’annonce :



Je la regarde, désemparé.



Elle vient se coller à moi, je sens sa poitrine contre mon torse, et m’embrasse passionnément. Je manque de défaillir. Elle me déshabille avec tendresse, avec douceur. Elle prend mes mains et les place sur son ventre, m’invitant à lui caresser la vulve. Le Clic des menottes retentit, et elle se recule en riant.



Elle ouvre alors son manteau, et je découvre l’ensemble de lingerie rouge brillant que j’avais vu en photo. C’est du cuir, et ce que je n’avais pas distingué sur la photo, c’est que la culotte est ouverte sur sa chatte et son anus, et que le soutien-gorge expose ses seins en entier. Elle me pousse alors sur une chaise et se saisit de ma queue qu’elle branle à toute vitesse en me serrant très fort. Elle lèche le gland, me regarde avec un air diabolique, et me dit :



Elle me maîtrise parfaitement, et au moment où elle dit maintenant, ma tête explose, et des torrents de sperme jaillissent de ma queue, j’éjacule 8 ou 9 longues cordes de foutre sur son visage et sur ses seins. Elle éclate de rire, très satisfaite, et me colle ses seins dans la bouche. Je nettoie mon propre sperme sur la peau de Ma Dame, sur ses seins, sa bouche, ses joues, son menton, son cou. Je suis au paradis. Une fois toute nettoyée, elle me dit :



La clé des menottes apparaît dans sa main et elle me libère. Elle se dirige alors vers ma chambre, et je contemple son magnifique cul souligné de cuir rouge, avant de la suivre docilement. Elle s’assoit sur le lit, sors son téléphone de son sac, et elle règle le minuteur.



Elle me regarde dans les yeux et déclenche le compte à rebours. Je ne me fais pas prier. Je me jette sur elle, j’enfonce ma tête entre ses seins, que je malaxe en même temps. Sa respiration s’accélère immédiatement. Après quelques secondes, je reprends mes esprits et je descends vers sa vulve que je découvre bien humide. Je commence à l’embrasser, à la lécher doucement, caressant les lèvres de ma langue alors que mes doigts frôlent l’entrée de son vagin. Mais je n’obtiens que peu de réactions, et le temps défile. Je change alors complètement d’attitude. Je lui bouffe la chatte, de grands coups de langues dans toute l’ouverture de sa culotte, de son anus à son clitoris. Je lèche deux de mes doigts que je lui enfonce au plus profond de la chatte, et je commence à la branler. Je lèche, mordille et suce son clitoris, et mon autre main caresse son petit œillet qui accueille bientôt un doigt. Je la doigte ainsi furieusement, elle gémit très fort. J’accélère encore, donnant tout ce que j’ai, et je la masturbe presque violemment maintenant. Elle se cabre d’un coup, un long cri s’échappant de sa gorge, la mouille coule sur mon visage, elle jouit grâce à moi, enfin. Elle relève la tête, un sourire aux lèvres, et me montre son téléphone sur lequel il ne reste que 10 secondes.


Je m’allonge alors à côté d’elle, plus que fier de moi. Elle éclate de rire.



Je file prendre une courte douche dans laquelle j’insiste particulièrement sur mon sexe et mon anus. Lorsque je retourne dans ma chambre, elle est nue, debout à côté du lit, et elle sort de son sac un gode de forme étrange. Noir, pas très gros, il a une espèce de protubérance sous les couilles moulées dans le silicone. Je comprends beaucoup mieux quand je la vois s’insérer cette protubérance dans la chatte. Elle se met de profil, et cela donne l’impression qu’elle a un sexe d’homme. Voir cette bite jaillir de sa chatte me donne un coup de fouet, et je recommence à bander.



Elle vient alors fourrer ce sexe dans ma bouche. Je la suce comme si c’était une vraie, et chaque mouvement de ce gode se répercute dans sa chatte, ce qui visiblement lui plaît beaucoup.



Lorsque j’ai bien bavé sur le gode, elle reprend son air sévère et m’ordonne de me mettre à quatre pattes sur mon lit. Elle grimpe derrière moi, et je sens alors sa langue sur mon anus. Je sursaute, mais elle appuie plus fort et commence à me lécher le cul de plus en plus fort. Elle bave et crache sur mon œillet, puis un doigt vient forcer l’entrée de mon anus, et elle me doigte doucement. Après quelques minutes, un deuxième puis un troisième doigt rejoignent le premier. Ils coulissent et m’ouvrent bien le cul, et je commence à ressentir un plaisir intense. Ma respiration s’accélère, je gémis à la même cadence que ses doigts. Elle pose son autre main sur ma bite, qu’elle trouve déjà bandée au maximum. Elle interrompt alors ses mouvements.



Elle se redresse un peu, et je la regarde. Elle sort du lubrifiant de son sac, et elle commence à en verser sur mon anus, et elle enduit copieusement le gode toujours enfiché dans son sexe.



Je sens alors le gode se poser sur mon œillet, elle pousse sans interruption jusqu’à ce que je sente son ventre contre mon cul. La pénétration n’est pas douloureuse du tout, et m’arrache un long gémissement. Elle gémit aussi, je ne sais pas si c’est la partie du gode dans sa chatte ou juste le plaisir de m’enculer. Elle se recule un peu, et attend. Je recule alors et m’empale sur le gode, ce qui déclenche un petit rire de Ma Dame, qui commence à m’enculer plus franchement alors. Elle me donne des fessées, de plus en plus fortes, alors que ses mouvements accélèrent plus en plus. Je l’encourage en projetant mon cul vers elle, je gémis maintenant sans m’arrêter, la sensation est incroyable, j’adore ça. Elle me défonce maintenant, son pubis claque fort sur mon cul à chaque mouvement, et je sens que ma jouissance monte. Je lui dis, et elle se déchaîne, sortant le gode puis replongeant au fond de mon anus à chaque pénétration. Je hurle de plaisir, et je jouis, éjaculant sous moi sans que rien n’ait touché mon sexe. Je m’écroule sur le lit, et me retourne vers elle. Vision magnifique, elle tient le gode dans sa main et agite la partie qui est en elle, se caressant la poitrine, les yeux rivés aux miens.



Je me nettoie consciencieusement, mon cul me fait un tout petit peu mal, mais le jeu en a largement valu la chandelle. Lorsque je sors de la salle de bain, elle est toujours nue, assise sur mon fauteuil qu’elle a déplacé au milieu du salon. Elle se masturbe, alternant les caresses sur le clitoris et de profondes pénétrations de deux doigts. Elle a les yeux fermés, et me dit dans un soupir.



Je m’approche d’elle, je bande déjà. Elle saisit ma hampe, et commence à me lécher le sexe, avant de l’emboucher et de me sucer doucement, avalant toute ma queue à chaque passage. Pis elle m’ordonne de m’allonger par terre, sur le carrelage bien froid. Elle pose alors mon t-shirt sur mes yeux, se saisit de ma queue, et s’empale dessus d’un seul coup, s’assoyant sur mon ventre. Je suis en elle. Elle s’agite doucement, jouant du bassin et montant doucement, avant d’accélérer progressivement. J’ai l’impression d’être encore une fois juste une queue, elle s’en fout de moi, je ne suis là que pour lui donner du plaisir. Elle gémit, doucement puis de plus en plus fort, puis elle semble reprendre ses esprits, et son air malicieux revient.



Elle sent mon sexe tressauter en elle à ces paroles, et elle rit avec son petit air diabolique



Elle attrape son sac qu’elle avait ramené dans le salon, et en sort le gode réplique de mon sexe. Elle le brandit sous mes yeux, le passe sur ma bouche, me fait le sucer quelques instants. Elle n’a pas arrêté de me baiser.



Elle se retire, et se met à quatre pattes sur mon canapé, levant son cul au maximum. Je ne me fais pas prier. Je lèche, doigte, stimule autant que je peux. J’ai bientôt trois doigts dans son cul et au vu des cris qu’elle pousse elle adore ça. Je lèche sa chatte pour ramener de sa mouille. Elle suce avec application la réplique de mon sexe pendant ce temps-là. Elle me repousse soudain, et me montre le gode avec gourmandise.



Je suis franchement déçu, mais je compte bien profiter du spectacle. Elle approche alors le gland de silicone de son anus, elle le pose dessus… Et descends de quelques centimètres pour se l’enfoncer profondément dans la chatte, poussant un cri rauque. Elle me regarde droit dans les yeux.



Je n’en reviens pas. Je vais vraiment enculer Ma Dame. Je verse du lubrifiant dans mes mains, étale une généreuse couche sur tout mon sexe, j’en verse un peu sur son œillet qui semble palpiter sous mes yeux, et je pose mon gland. Je vais pour commencer à pousser quand elle recule d’un coup sec, s’empalant jusqu’à la garde. Je sens la réplique de mon sexe coulisser dans sa chatte, tout contre mon sexe. Elle se fait une double pénétration avec ma queue et sa réplique. Cette scène surréaliste et l’étroitesse de son cul me font presque jouir sur place. Elle me regarde alors, en sueur, un air de diablesse sur le visage, et me demande de la prendre fort. Je m’agrippe à ses hanches, et je commence de longs va-et-vient, de la même manière que ce que j’ai reçu tout à l’heure. Elle se masturbe furieusement avec la réplique, et je me calque sur sa cadence pour lui défoncer le cul. En quelques minutes, elle explose alors dans un orgasme ravageur, sa mouille coule le long de ses cuisses, elle pousse des cris suraigus pendant une bonne minute, avant de m’expulser de son cul en même temps que la réplique. Elle tombe alors sur mon canapé, sur le dos, saisis sa poitrine et la compresse, me la présentant, et me fixe des yeux.



Je me masturbe comme un fou devant elle, et je jouis encore, une quantité surprenante de foutre qui vient recouvrir ses seins, coule sur son ventre, sa bouche, je ne me contrôle pas et je l’arrose partout.


Elle se relève alors, déesse du sexe, la chatte rougie, les seins gonflés et couverts de sperme. Elle ramasse le gode réplique, le jette dans son sac, enfile son manteau sur sa peau nue, et elle sort de ma maison sans que je puisse dire quoi que ce soit, terrassé par mon orgasme et cette sortie qui me choque.


Je ne la revis plus jamais. Je passais mon dimanche à regarder mon portable, espérant un message qui ne vint jamais. Le soir, dans le désespoir, je lui envoyai un message, mais le numéro n’existait plus selon mon opérateur. Je restai donc seul, avec une sexualité changée à tout jamais, à jamais reconnaissant envers Ma Dame, Ma Déesse, celle qui m’a révélé à moi-même.