n° 20685 | Fiche technique | 17630 caractères | 17630Temps de lecture estimé : 11 mn | 07/01/22 |
Résumé: Une escale professionnelle à Beyrouth, dans un environnement dépaysant où notre héros se fait surprendre agréablement par deux inconnues qui savent ce qu’elles veulent. | ||||
Critères: h ff ffh inconnu collègues grosseins hotel caférestau voyage voir exhib fmast hmast fellation cunnilingu pénétratio confession -occasion | ||||
Auteur : Alias Fogg |
Juste après avoir longé la côte méditerranéenne, l’avion plonge vers Beyrouth et l’aéroport Rafic Hariri, en passant au-dessus des vagues. Le vol de Middle East Airlines – la compagnie nationale libanaise – est plein… Rien de surprenant, la diaspora locale est présente sur les cinq continents et reste fidèle au pays. Peu importe le moment de l’année, je suis toujours entouré de familles, d’étudiants, qui rentrent au Liban.
Nous ne sommes pas encore au parking que tout le monde est déjà debout et les bagages pleuvent dans les couloirs et sur les sièges. L’hôtesse tente désespérément de demander aux passagers de se rasseoir, mais c’est peine perdue.
J’aime ce moment, je reste assis, et j’en profite pour regarder l’excitation dans le regard des gens. Les tenues de grande marque sont des trophées de chasse ramenés de contrée lointaine au prix de longs efforts. Les femmes se remaquillent, les hommes réajustent leurs cols. Les enfants sont fatigués, mais impatients, et les gens comme moi qui voyagent pour le boulot attendent juste que les portes s’ouvrent.
On avance tous dans les couloirs tel un torrent de montagne avec comme bruit de fond, des roulettes et des pleurs. La vague humaine s’échoue sur les quatre douaniers et, rapidement, une file d’attente se constitue et, contrairement à beaucoup de pays, même la file réservée aux internationaux est longue, car les Libanais sont nombreux à avoir une double nationalité.
Je récupère mon passeport et remercie la douanière dans son uniforme qui ressemble fortement aux uniformes français, un des nombreux vestiges du court, mais important passage de la France dans ce pays. Pas de bagages à récupérer, je me dirige vers les comptoirs des hôtels pour prendre mon taxi. Les portes s’ouvrent sur une centaine de personnes qui sont là pour attendre et guetter leurs proches, avec des fleurs, des ballons à hélium et surtout une impatience bien visible sur des visages anxieux.
Je prends rarement les taxis des hôtels, mais les taxis de l’aéroport de Beyrouth sont trop exotiques, et même après vingt ans dans des pays exotiques, je préfère les éviter. Le principal danger est un parc de voiture qui a mon âge, et pour une voiture ce n’est pas bon signe, la seule pièce d’origine est son conducteur…
Le trajet n’est pas long, mais on est vite coincé dans les embouteillages qui ralentissent l’accès à l’hôtel Phœnicia. Je profite des odeurs chaudes et de ces couleurs familières qu’on retrouve de Barcelone à Beyrouth en passant par Istanbul, ces impressions qui sont propres et uniques à la méditerranée. On se sent un peu à la maison. On arrive au Phœnicia, mes bagages sont rapidement vérifiés, et je monte le grand escalier pour me diriger vers le comptoir pour faire mon check-in en regardant la belle fontaine du lobby. J’ai demandé une chambre avec la vue sur le port, je récupère mon Amex et monte rapidement. Une fois arrivé, j’installe mes affaires de manière machinale, après tant de voyage, c’est un réflexe, et comme toutes les chambres se ressemblent, on gagne du temps. Il est arrivé qu’on me propose une suite, que je refuse systématiquement. C’est comme voyager seul dans un bus, on se sent vite un peu perdu, pour ne pas dire con….
J’ouvre la baie vitrée et prends un peu de temps pour profiter de la vue, avec le soleil qui vient de se coucher, les couleurs sont belles. Pas vraiment l’envie de sortir pour profiter un peu du centre-ville, et rien que l’idée de reprendre un taxi me décourage, je vais rester dans ma chambre. Je n’ai pas encore faim avec le décalage horaire, je décide donc d’écluser péniblement ma boîte mail qui s’est remplie durant mes heures de voyage.
Les bruits de la rue commencent à arriver à moi, les gens sortent et vivent le soir à Beyrouth. C’est l’un des rares endroits où je fais l’effort de descendre manger dans un des restaurants de l’hôtel et de ne pas rester dans ma chambre. Je troque donc mon habituel Club Sandwich pour des mezzés, et surtout une shisha en terrasse. J’arrive au restaurant qui est bondé, c’est presque impossible d’arriver à trouver une table. Je suis un peu surpris, car nous ne sommes pas dans une période particulièrement chargée, mais le congrès médical qui se déroule dans l’hôtel est sûrement la raison de cette affluence.
Je tente ma chance, et le serveur, particulièrement efficace, essaye de me trouver une petite table, mais la mission semble difficile. Après quelques minutes, il revient un peu penaud, m’expliquant en arabe, français et anglais, le tout dans la même phrase (possible qu’au Liban), qu’aucune table n’est disponible pour le moment. Je suis un peu déçu, et cela doit se voir, mais avec ma journée d’avion, je n’ai pas envie d’attendre ni de me battre pour une place au bar, je vais donc remonter dans ma chambre.
Elle avait sûrement dû noter ma déception.
Je m’assois à leur table, qui est déjà recouverte de mezzés froids, et commande un verre de Château Kefraya. La femme aux yeux rieurs se nomme Lisa, elle a un regard qui pétille, des yeux noisette, et un sourire qui envoûte. Elle a des pommettes avenantes, de jolis cheveux mi-longs, châtain très clair. Son décolleté voluptueux et provocant est porté par des seins parfaits. On a envie de les caresser, de les effleurer avec la pulpe de nos doigts, et s’amuser à suivre les lignes de couture à l’infini. Sa collègue, Joséphine, est une jolie brune aux yeux bleus et une peau blanche qui contraste avec le teint mat de Lisa. Ses cheveux sont bien rangés dans un carré net qui met particulièrement bien en valeur son cou. Un buste généreux et avancé, avec un chemisier blanc qui essaye difficilement de retenir une poitrine aussi avenante que gourmande. La pression sur le tissu me laisse deviner un soutien-gorge avec de grandes rosaces de dentelle blanche.
Je prends mon verre pour garder un peu de contenance, mais je sens que les choses commencent à déraper, et ce n’est pas moi qui ai la main. Ce moment de silence exprime bien plus que je ne le souhaite.
Son message est insistant, elle s’attend à mieux…
Nous continuons ainsi à parler de la région, détendue, en profitant de nos shishas et nous ne voyons pas le temps passer. Ce dialogue à trois est plaisant, on sourit, on rigole. Néanmoins avec la fatigue, j’avais de plus en plus de mal à contrôler mon regard, mes yeux et aussi mes pensées. Tous mes sens dérapent et caressent ce décolleté, néanmoins à aucun moment je n’ai senti que cela les embêtait, au contraire.
Elles décident de partir ensemble aux toilettes.
Je profite évidemment de l’occasion pour les regarder se lever et se déhancher légèrement, étant quasi certains qu’elles souhaitaient sentir mes yeux sur le reste de leur corps.
Lisa porte une jupe avec un tissu fin, les ondulations de son bassin sont souples, mais pas vulgaires. Pas possible de voir si elle porte des collants ou des bas. Ses fesses rondes sont parfaites et ses jambes musclées et bronzées dégagent une forte énergie. Des bottes fines et élégantes finissent cette silhouette divine. Joséphine n’est pas en reste avec un cul bien plus gourmand, mais tout en harmonie avec sa taille et ses jambes posées sur des talons noirs fins. Sa jupe est un peu trop serrée, mais elle laisse deviner des bas sans jarretelles, aucun doute.
Je tente de me calmer, mais j’ai du mal à rester concentré, et cela va commencer à se voir. Je décide donc de remonter dans ma chambre. Alea jacta est. Je finis mon verre de vin et j’appelle le serveur pour prendre l’addition, lorsque Lisa me demande de goûter le Château Kefraya.
Une digue lâche dans ma tête, et une poutre qui tombe dans mon caleçon. Il me faut quelques secondes pour réaliser, mais son sourire est suffisant pour que je n’aie pas à lui faire répéter. Je me penche vers elle et ses lèvres se posent doucement sur les miennes, sa langue chaude me lape discrètement.
Joséphine se tourne alors vers moi, mais le serveur arrive à notre table pour prendre la dernière commande.
Lisa, demande l’addition, et Joséphine me prend la main pour m’attirer en direction du lobby sans que je puisse dire un mot. Le serveur me regarde en se demandant comment j’ai bien pu réussir à me fourrer dans un guêpier comme ça…
On traverse le lobby et les clapotis de la fontaine, pour se diriger vers les ascenseurs. Joséphine me demande mon étage :
On aurait pu voir une référence aux « Chiffres et les Lettres », mais elle me mord les lèvres pour ponctuer sa blague, ce qui ne me fait pas rire, du moins pas avec le visage.
Elle a un parfum envoûtant et j’en redemande. Le contact de ses mains m’a électrisé, elles sont un peu froides, mais ses doigts sont doux.
On arrive rapidement à mon étage, et devant ma porte. Les choses se sont faites naturellement. Je passe ma carte dans la serrure, et à peine passée la porte, Lisa me colle au mur et défait mon pantalon. Je bande tellement que mon caleçon a du mal à descendre, mon sexe ressemble à un énorme hameçon. Joséphine éclaire la chambre et s’assoit dans mon seul et unique fauteuil.
Elle lèche délicatement mon gland, ses lèvres et sa langue sont chaudes et le contraste avec les mains qui caressent doucement mes couilles, rend le moment divin. L’excitation est en train de monter terriblement vite, voire trop vite. Lisa me regarde en me suçant doucement, son décolleté en contre-plongée rend cette vision inoubliable.
Je détourne le regard et en regardant mon lit, je me rends compte que Joséphine est dessus, allongée sur le ventre. Elle a juste remonté sa jupe suffisamment pour pouvoir se frotter au lit, elle a enlevé son haut. Elle se touche et se caresse en regardant Lisa me sucer. Son cul qui se déhanche, avec ses bas magnifiquement bordés de dentelle, et ses seins énormes suivent le rythme de Lisa. J’essaye de me retenir, et demande à Lisa de ralentir, mais elle en a décidé autrement.
C’est immédiat, très fort, trop fort, ma tête tourne et j’ai l’impression qu’elle va exploser. Pour reprendre mon souffle et mes esprits. Je parviens péniblement à m’effondrer dans mon fauteuil tandis que Lisa rejoint Joséphine sur le lit.
Joséphine :
Lisa relève sa jupe. Juste des bas, et aucune culotte. Joséphine se met à la lécher délicatement, son intimité est déjà bien luisante et trempée de mouille. Ses doigts caressent et visitent langoureusement ses trous, et la respiration de Lisa commence à s’accélérer. Elles sentent mon regard. Très rare, trop rare, mon érection commence à revenir, alors que je viens à peine de jouir.
Joséphine :
Ma queue est redevenue dure, gorgée de sang, et je sens mon cœur qui pompe comme jamais. Lisa n’arrive plus à se retenir, et Joséphine ne lui laisse pas de répit, elle jouit en criant sous les doigts joueurs, cochon et coquins de sa partenaire.
Joséphine se met alors à genoux pour m’offrir son cul, et son regard se tourne vers moi.
Joséphine :
Ma bite rentre facilement, elle est trempée. M’agrippant à ses hanches, je lui donne de gros coups de boutoirs qui font danser ses seins. Son visage enfoui dans un oreiller, elle geint sans retenue. Lisa continue à se caresser en regardant le spectacle. Les allers-retours se succèdent et mon sexe pistonne parfaitement sa chatte. Je pensais que je tiendrais bien plus longtemps, mais tous mes sens sont en incandescence et une vague de chaleur puissante monte. J’explose en elle et ses cris de satisfactions, voulus ou pas, viennent clôturer ces moments torrides et brûlants. Je m’effondre rapidement entre elles, réalisant que je viens de vivre un de mes plus grands fantasmes, et cela en moins d’une demi-heure. L’odeur suave et douce ne trompe pas.
On laisse le temps passer, en fumant une cigarette, sans parler, profitant de ce moment à part. Personne ne s’est retenu, pas de calcul, une phase bien animale partagée.
La clim commence à donner la chair de poule à Lisa, on se regarde alors en souriant, et avant même que je n’aie le temps de prononcer quelque chose, Lisa m’annonce :
Elles sortent toutes les deux avec un sourire.