n° 20691 | Fiche technique | 42486 caractères | 42486Temps de lecture estimé : 24 mn | 10/01/22 |
Résumé: Ce Noël, nous sommes invités chez Sophie, ma copine, ma grande copine, puisqu’elle me dépasse de quelques centimètres. | ||||
Critères: fh fplusag jeunes fellation pénétratio init -initiatiq fetes | ||||
Auteur : Patrik (Carpe diem diemque) Envoi mini-message |
Un texte plutôt initiatique.
De beaux souvenirs pour les uns comme pour les autres…
Bonne lecture :)
Ce Noël, nous sommes invités chez Sophie, ma copine, ma grande copine, puisqu’elle me dépasse de quelques centimètres.
Pour la circonstance, je suis habillée avec un haut bleu croisé et ajouré sur les épaules et les avant-bras, une jupe noire, des bas et des talons aiguilles de même couleur. J’ai assorti mes ongles et mes paupières au bleu du haut de ma tenue. Un collier muni d’un pendentif en forme de flèche (qui indique posément mon décolleté) et mes cheveux, flottants librement, complètent le tout.
En me voyant arriver habillée ainsi dans le salon, mon mari s’exclame :
Il se met à rire. Mon mari n’est pas du genre embêtant, il est même facile à vivre. Il me tend mon manteau :
Quelques minutes plus tard, nous voici partis chez ma grande copine.
Quand j’arrive, je suis aussitôt accueilli par Jean-Philippe, le fils de ma copine. Il est toujours très heureux de me voir, et me fait quatre fois la bise. Son père n’est pas en reste : tel père, tel fils, à prime vue ! Puis Sophie me présente plus ou moins, car je connais déjà la plupart des personnes qui sont présentes ce soir, certaines plus que d’autres. En plus de son mari, ma copine possède deux enfants, une fille et un garçon, dans cet ordre-là. Elle a aussi invité sa sœur, son beau-frère et leurs deux nièces, ainsi que deux couples d’amis, l’un plus âgé sans enfant avec eux, le second avec deux gamins. Je vous laisse compter.
Comme ma copine possède une vaste salle à manger, il n’y a aucun problème pour que tout le monde se répartisse autour de la grande table qui a été rallongée pour la circonstance.
En attendant, c’est dans la bonne humeur que nous prenons l’apéritif. J’ai droit à divers compliments, il faut dire que ma tenue est de loin la plus excitante du lot. Jean-Philippe, le garçon de Sophie louche largement dans ma direction. Ça va faire quelques mois que ses hormones le travaillent. Je me rappelle très bien une conversation avec sa mère :
Flegmatiquement, elle lâche :
C’est vrai que Sophie m’avait beaucoup surprise avec sa réponse. Retour au temps présent. Je décide d’aller aider ma copine qui a disparu dans la cuisine. Alors que je viens de rejoindre mon hôtesse, elle me dit en pointant du doigt ma tenue :
Sophie possède un faux tatouage sur le sein droit. Elle me demande soudain :
Je me mets à rire :
Nous nous éclipsons dans sa chambre. Elle fait divers essais peu concluants. Je lui propose :
Je décide d’intervenir. Je plonge ma main dans sa penderie, puis, après une rapide recherche, je lui montre un haut accroché à un cintre :
Elle m’obéit, elle sait que j’ai l’œil pour ça. Elle ôte son soutien-gorge puis enfile le vêtement que je lui ai choisi. Elle et moi n’avons pas la même poitrine, mais ça offre ainsi de la diversité… Quand elle se regarde dans le miroir, elle s’exclame :
Nous nous mettons à rire, puis nous rejoignons les autres. Le changement de tenue de Sophie n’est pas passé inaperçu. Elle aussi reçoit à son tour des compliments.
Un peu plus tard, Bernard, le conjoint de ma copine, se penche sur moi :
C’est vrai que Sophie est souvent mal fagotée, alors qu’elle a ce qu’il faut là où il faut. D’ailleurs, elle a toujours eu son petit succès auprès des hommes, et aussi de certaines femmes. Sa haute taille doit y être pour quelque chose…
Puis nous passons à table.
J’aime bien me trémousser en musique, me faisant plaisir, tout en dépensant des calories. J’aime aussi faire des slows plus reposants. Le nec plus ultra est d’alterner les deux.
Quelque chose me dit que je vais danser ces slows avec tous les hommes présents. Naturellement, Bernard veut sa part, il ne rate jamais une occasion ! Quant à mon mari, il n’est jamais blasé de ma petite personne, ce qui me convient parfaitement, car ça démontre que, malgré les années et mes légères infidélités, il est toujours aussi amoureux de moi.
Quoique, lui aussi, il lui arrive d’aller voir un peu ailleurs, nous nous sommes mis d’accord sur le sujet.
En tout cas, tous les hommes présents se proposent d’être mon cavalier. De ce fait, pour ne léser personne, j’en change à chaque chanson, comme ça, tout le monde aura sa part. Parfois, certains restent galants, du moins au début, ensuite, ils se pressent souvent sur mes seins qui ne sont pas étriqués, je l’avoue. Certaines mains s’égarent parfois plus bas que mon dos. Enfin, on me fait parfois sentir plus bas que je les excite.
Il vaut mieux faire envie que pitié…
J’ai même eu droit à une proposition que je pourrais qualifier d’indécente si j’étais une femme bien comme il faut. Ça m’a amusé. Je fais remarquer à mon cavalier un peu leste que sa femme est en train de nous observer scrupuleusement. Il soupire :
Il me colle un peu plus :
Je range la proposition dans un coin de ma tête. Cet homme est plutôt mignon et il le sait. Sophie m’a déjà confié à mi-mots qu’il était aussi très cavaleur, je veux bien la croire. Dans l’absolu, je serais tentée, mais je n’ai pas trop envie d’être un simple numéro sur une longue liste. Si je n’oublie pas, je demanderai à ma copine ce qu’il vaut vraiment, et si ça vaut la peine d’écarter les cuisses pour ce quidam…
Oui, je sais, ça manque de glamour, mais il convient de savoir faire la part des choses.
Quant à Jean-Philippe, il suit le cursus : au départ galant (voire timide), puis amateur de mes seins, et enfin, par inadvertance, je suppose, j’ai bien senti son envie. Parfois aussi, il tremblait un peu. Un désir mal contenu ? Il est vrai que ses hormones doivent le travailler de temps à autre !
Puis nous revenons au repas, tout se passe bien. Je suis satisfaite de faire toujours autant d’effet à la gent masculine, malgré les années qui passent.
Un peu plus tard, lors du second trou normand, tandis que nous sommes dans la cuisine en train de papoter tout en préparant la suite, Sophie apostrophe son fils qui revient de la salle à manger avec des plats vides :
C’est ainsi que Jean-Philippe et moi montons à l’étage.
En effet, je suis visiblement l’inspiratrice du dessin que je suis en train de contempler dans la chambre de Jean-Philippe, c’est indéniable. Celui-ci trône au-dessus de son lit, c’est gentiment coquin, mais largement montrable. Le fils de ma copine est quand même un peu gêné. Je le rassure en lui disant qu’il a un joli coup de crayon, ça le détend. Soudain, pris d’une subite intuition, je tourne la tête vers une pile de papier griffonné. Me voyant faire, le garçon devient rouge-écarlate.
Intriguée, je m’approche de la pile, Jean-Philippe s’exclame :
Trop tard, j’ai déjà découvert le premier dessin qui me représente en bikini riquiqui. Le suivant en montre un peu plus, le troisième encore plus, puisque je suis lolos à l’air.
Il tente de s’emparer des autres feuilles. Je l’arrête de la voix :
En effet, plus j’avance dans les dessins dont la plupart sont de simples croquis, plus je constate qu’on s’enfonce assurément dans la libido torride du jeune homme. Je découvre aussi quelques photos de moi imprimées sur du papier glacé, clichés sans doute issus de l’appareil photo familial et qui ont servi à fixer mes traits.
Après quelques feuilles, je m’exclame :
Maintenant, on verse dans les scènes de sexe, avec moi en héroïne bien entreprise. Jean-Philippe est rouge de chez rouge, comme on dit dans mon coin. Sa tête va exploser s’il continue ainsi. Amusée, je le rassure :
Je lui montre un double dessin où je suis, d’un côté, prise en levrette, et de l’autre, en pleine action espagnole notariale. Amusée, je lui fais remarquer :
Il se tortille sur place :
J’ai déjà vu des figures ahuries dans ma vie, mais aujourd’hui, je pense que c’est le top du top. Abasourdi, Jean-Philippe bredouille :
Spontanément, il laisse échapper :
Sa mère a dû oublier de lui dire qu’elle et moi faisions et faisons encore souvent la paire, mais je préfère ne pas casser l’image de la mère aux yeux de son fils. Je pense que Jean-Philippe est assez intelligent pour avoir dépassé le célèbre « toutes des putes, sauf maman qui est une sainte », mais il ne serait pas diplomate de dire toute la vérité.
Précipitant les choses, je m’assieds sur son lit, puis j’ordonne :
Il tergiverse quelques instants, pesant le pour et le contre. Je vois que ça le tente, mais en même temps, il hésite beaucoup. Je peux presque lire sur son visage les allers-retours entre ces deux extrêmes. Peu après, il demande :
Se décidant, il abaisse son pantalon et son caleçon en même temps à la hauteur de ses genoux, puis il se redresse. Je constate que sa verge n’est pas vraiment au repos, mais pas totalement dressée. Elle est à mi-chemin. Visiblement, malgré une certaine honte, je l’excite, et ça me permet d’avoir une petite idée de son engin en plein fonctionnement.
Tandis qu’il se tient immobile, tout en regardant le plafond, j’inspecte du regard la chose, mi-dure mi-molle. Puis je lâche mon verdict en toute sincérité :
Visiblement soulagé par ma réponse, il se met à rire doucement. Puis il reprend :
Ce que je comprends de mon côté, c’est que la situation l’excite, puisque sa verge se redresse et se décalotte lentement. Je constate mieux qu’elle est assez large, épaisse, sans l’être de trop, ce qui n’est pas un mal, tant s’en faut.
Désignant du doigt son pénis qui monte lentement, je lui souris :
Je rentre dans le vif du sujet :
À sa grande surprise, je m’empare de sa verge toute chaude. Ça va faire un certain temps que je n’en ai pas tenu en main, je parle de jeunettes. J’adore sentir une queue palpiter sous mes doigts, savoir que je suis à l’origine de sa pleine forme. Décidée à jouer le jeu, je branle délicatement la tige de chair. Son propriétaire s’étonne :
Je réponds en biaisant :
Je répondrais bien que son père adorerait me sauter, là tout de suite, et que si j’étais dans la chambre de son paternel, il y a longtemps que j’aurais déjà eu les deux gambettes en l’air, mais ce n’est pas non plus approprié de le lui dire.
En parlant de profiter, j’en profite pour déballer un peu ma marchandise, c’est-à-dire mes deux lolos, ce qui fait sortir les yeux de la tête de Jean-Philippe qui n’en revient pas. Il bafouille :
Au moins un à qui il ne faut pas répéter deux fois les choses ! S’agenouillant sur le bord du lit, ses jeunes mains avides caressent fiévreusement mes reliefs rebondis. Il en vient à jouer avec mes tétons, il sait vite se mettre dans le bain. Durant ce temps, je le branle toujours, mais plus fermement.
J’en profite pour caresser ses testicules. Il murmure avec ravissement :
J’en profite pour capturer sa verge dans ma bouche. Ce faisant, je limite son accès à mes seins, mais ça ne semble pas le traumatiser pour autant. Pour confirmation, il s’exclame :
Je suis en train de lui offrir une belle turlutte, déployant mon art en la matière, diverses techniques apprises sur le tas, si je puis le dire ainsi. À certains frémissements, je sens que Jean-Philippe ne va plus résister bien longtemps. Il gémit :
J’ôte sa tige momentanément de mes lèvres pour lui dire :
Vraiment le cri du cœur ! Au moins quelqu’un qui sera très heureux de son Noël !
Je constate que Jean-Philippe essaye de se retenir, mais qu’il a quelques difficultés. De mon côté, je ne fais rien pour l’aider, je ne me débrouille pas trop mal dans ce domaine. Certains hommes ont d’ailleurs éjaculé une fois ma bouche refermée, que des petits joueurs ! De ce côté-là, mon mari tient largement la distance.
Ça, c’est le fils de ma copine qui se laisse aller. Il vient d’envoyer un premier jet plutôt copieux, son sperme est assez liquide et pas trop salé, ça va, j’ai connu nettement pire en goût. Il se déverse abondamment dans ma bouche, comme s’il tentait de rattraper des mois et des mois de retard. Une vraie vidange ! Pourtant, je suis persuadée qu’il se branle allègrement sur mes photos et les dessins qu’il a faits de moi.
Bien que la source soit à présent tarie, je continue de le sucer pour le nettoyer. Il soupire abondamment. Puis quand j’estime que c’est fini, je le libère. Il soupire une nouvelle fois, puis il dit :
Il se met à rire. Admiratif, il me regarde :
Il essaye de se relever, mais il vacille :
À nouveau, il se met à rire :
Puis il louche sur ma poitrine toujours à découvert, la désignant du doigt :
Il plonge son nez entre les seins, ses mains voraces agrippées dessus. Il les couvre de baisers, tout en les malaxant, les pétrissant. Je dois le modérer un peu :
Je le laisse jouer avec mes appas quelques instants supplémentaires, puis je le repousse gentiment en lui expliquant :
Planté devant moi, il s’enhardit :
Il se tortille sur place, mais il avoue :
À mon tour, je me lève, je remballe ma marchandise, puis je dépose un furtif baiser sur ses lèvres. Il est à la fois stupéfait et ravi. Le laissant derrière moi, je quitte la chambre.
Après m’être réajustée devant la glace de la salle de bain de l’étage, je redescends en catimini. Visiblement, personne ne s’est vraiment aperçu de ma longue absence. Tant mieux, ça m’évitera de trouver une justification. Au pire, j’évoquerai un passage obligé au petit coin !
Comme si de rien n’était, la soirée continue. À nouveau, je danse avec tout le monde, souvent en mode collé serré, y compris avec Jean-Philippe qui a pris de l’assurance. Ça me fait tout drôle de danser avec mon nouveau demi-amant, sous les yeux de ses parents et aussi sous les yeux de mon mari. Je sens que je vais longtemps me souvenir de ce Noël !
Après cette première leçon, deux autres se sont enchaînées, une chez-moi où je l’ai totalement déniaisé juste avant la nouvelle année, et l’autre dans un hôtel, ce qui m’a permis de bien approfondir le sujet. Jean-Philippe est un élève assidu, qui apprend vite et qui met aussitôt en pratique.
Avant-hier, alors que nous faisons du shopping, j’ai eu confirmation que sa mère avait bien constaté qu’il y avait un certain changement chez son fils :
Je ne nie même pas :
Je me mets à rire :
Sophie sourit :
Retour au temps présent, avec mon élève attitré et sa quatrième leçon. Tandis qu’il caresse mon corps avec un certain nouveau savoir-faire, teinté d’impatience juvénile et d’un poil de maladresse attendrissante, mon étudiant soupire :
Pensif, il marque une petite pause, puis il caresse amoureusement mes seins qu’il macule de divers baisers brûlants :
Je caresse ses cheveux :
Affamé, il continue de ravager ma poitrine et mes tétons :
Je me mets à rire :
Ses baisers deviennent plus voraces :
Il se contente de glousser. Je me laisse adorer, j’aime beaucoup ça ! Mon Fifi n’est pas toujours tendre, il est parfois un peu trop enthousiaste et passionné, mais ça me plaît bien. Il alterne tendresse et possessivité, son désir de ma petite personne ressemble parfois à une avalanche qui me retourne dans tous les sens. Après la tempête, il s’excuse d’avoir été trop démonstratif.
Peut-être que le temps est venu de lui expliquer quelque chose…
Je décide de passer à une nouvelle étape avec mon Fifi. Il y a des choses qu’un jeune homme doit savoir et appliquer selon le contexte, et je pense être la bonne personne pour lui expliquer et lui faire connaître. À sa grande surprise, je me mets carrément à quatre pattes sur le lit, lui disant :
Il marque une petite pause, puis il demande :
Jean-Phil a la bouche grande ouverte. Remuant du popotin, j’insiste :
Mon jeune amant s’exclame :
Je remue à nouveau du popotin pour le stimuler, mais est-ce vraiment la peine. Je sais fort bien qu’il a trop envie de me faire l’amour. Il se positionne derrière moi, je sens son gland taper contre mes lèvres intimes. Un coup de reins plus tard, il plonge avec volupté dans ma chatte déjà détrempée. Puis vient un moment de flottement de sa part.
Il faut que je prenne les choses en main, si je puis le dire ainsi :
Il obéit. Peu après, je dois constater qu’en matière de pilonnage, il se défend bien. Il se prend au jeu. Je l’encourage :
Il accélère le mouvement, me secouant allègrement. Je ne déteste pas qu’un homme s’y prenne parfois ainsi, mais ce n’est pas offert à tous mes amants. C’est selon qui ils sont et aussi mon humeur du moment. Je sens bien passer sa colonne de chair en moi, ses mains rivées sur mes hanches.
Maintenant, il y va de bon cœur, plongeant profondément en moi, dans différents claquements de son bas-ventre sur mes fesses, me faisant bien sentir la différence entre mâle et femelle. J’ai connu mieux, mais je n’oublie pas que mon Fifi ne fait que commencer. Je me demande ce qu’il donnera dans quelques années. Je suis consciente que ses premiers pas conditionneront beaucoup la suite, et que j’y serais pour quelque chose. Autant que ce soit moi qui lui fasse découvrir certaines choses, ce sera plus sûr !
Un bref blanc, puis j’entends :
Ah, mon jeunot se lance dans la poésie ? En tout cas, il y va de bon cœur, il a franchi le gué. Je suis secouée de partout, comme si mon amant était un marteau-piqueur. Jean-Phil devient à moitié lyrique :
Je ne réponds rien, trop occupée à maintenir mon équilibre sur le lit. Il continue sur sa lancée :
Je souris, mon Fifi a vraiment basculé de l’autre côté de la frontière, je sentais qu’il était de ceux qui en sont capables. Oui, il y aura prochainement d’autres jeux particuliers à lui faire découvrir, mais n’allons pas trop vite, le noir n’est admirable que dans un océan de blanc. Il doit rester l’exception, comme l’est un réveillon.
Jean-Philippe exagère un peu, mais l’esprit y est ! Il est carrément en roue libre et se déchaîne telle une sex-machine ! C’est beau d’avoir la vigueur de la jeunesse avec soi et en soi ! De mon côté, je me masturbe, le bassin sérieusement secoué, mon corps embarqué dans un ouragan que j’ai déclenché et qui m’échaude furieusement l’intimité !
Mon amant est en train d’exploser, de se vider, de me remplir. J’accélère le mouvement de mes doigts. La double excitation de mon clitoris et d’être une bonne initiatrice dans des chemins de traverse moins vanilles me donne le dernier coup de fouet pour je décolle moi aussi !
Après cette ignition, je perds pied, partie bien loin, là-haut, par-dessus tout le monde réel…
Puis lentement, je sombre…
Quand j’émerge, Jean-Philippe est affalé sur le lit, juste à côté de moi :
Rougissant un peu, il devient tout penaud :
Me sentant poisseuse, je saisis un sopalin sur la table de chevet afin de m’essuyer :
Je suis en train de changer de sopalin, ce petit salopiaud m’en a vraiment mis partout, ça dégouline comme pas possible, à croire qu’il avait fait des réserves !
Troisième sopalin, je commence à en voir le bout :
À ces mots, je souris :
Je dois reconnaître que c’est une belle réussite, mon petit Fifi vient de démontrer qu’il avait un côté dominateur et qu’il savait se laisser aller, sans toutefois trop déraper. Maintenant, est-ce que mon jeunot saura appliquer par la suite avec doigté et circonspection, ça, c’est un autre problème.
Quinze jours après le printemps, alors qu’elle vient d’arriver chez moi avec sa petite famille (avec mon Fifi à moi, bien sûr), une fois les bises de bienvenue faites, Sophie me prend à part dans la salle de bain, puis une fois la porte refermée, elle me lance, mi-rigolarde, mi-sérieuse :
Sophie écarte les bras :
Ce que ma copine ignore, c’est que Jean-Phi essaye très souvent de venir me voir. Dès qu’il le peut, et si je suis libre, il arrive ventre à terre (pour ne pas dire autre chose), ou c’est moi qui le rejoins, car nous n’habitons pas très loin l’un de l’autre. J’ai arrêté de compter le nombre de fois où nous avons fait l’amour depuis Noël. S’envoyer en l’air avec un jeunot amouraché me rajeunit, et ça me plaît beaucoup d’être son initiatrice, même si, étant visiblement peu fidèle, il redistribue les leçons qu’il apprend de ma part à son entourage féminin. Son père étant un tantinet cavaleur, le fils suit dignement ses traces…
Poursuivant son discours, faisant abstraction de ma petite place, Sophie pose ses poings sur les hanches :
Je me mets à rire. Je crois que j’ai un peu trop bien réussi avec le fils de ma grande copine…