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n° 20695Fiche technique15042 caractères15042
Temps de lecture estimé : 10 mn
11/01/22
Résumé:  Fantasme ou réalité ?
Critères:  f fh ff fhh collègues poilu(e)s cérébral fellation cunnilingu préservati pénétratio double délire -humour
Auteur : Anaclem  (Femme, plus prés des 60 ans que des 20 ans)      Envoi mini-message
Le retour du radis noir






Aujourd’hui, Sophie va au marché avec une idée bien précise en tête. Cette idée lui a été soumise par une copine, Anne, au cours d’un dîner bien arrosé. Elle lui a raconté comment elle arrivait à prendre son pied toute seule, non pas en allant chez le primeur mais… chez le boucher.


Genre une petite escalope toute froide et humide au fond de la culotte. Anne fait ça généralement en prévision d’un dîner qu’elle prévoit pénible ; elle parvient ainsi à prendre son pied au nez et à la barbe de tous.


Sophie prévoit de faire la même chose ce soir. Elle doit se rendre à un dîner chez un collègue de travail, Paul, Sympathique au demeurant, mais avec qui elle n’a pas d’autre point commun que le travail. Sophie avait déjà refusé plusieurs fois et avait saisi l’occasion pour aller chez lui avec une autre collègue, Marie. Cette dernière, à la pause-café, lui avait dit qu’elle n’avait pas su refuser et qu’elle se retrouvait un peu coincée, Sophie avait donc suggéré de s’y rendre avec elle, ce que Paul avait accepté de suite.


Deux filles chez lui, l’occasion était trop belle pour qu’il puisse refuser. Don Juan de naissance, il avait invité toutes les filles de la boîte, Marie et Sophie étant les deux dernières à n’avoir jamais foulé le sol de son appartement.


Super motivée et excitée par cette expérience, un petit jet de douche sur le clito pour se calmer, Sophie saute dans ses fringues et part faire son marché. La rue est bondée sous le soleil printanier. Très commerçante, elle accueille toutes les familles du quartier et les touristes en quête d’authenticité. Fleuriste, boulanger, pâtissier, boucher, pas de supermarché par ici mais que des boutiques familiales. Tout le monde se connaît, se respecte.


Sophie entre chez le boucher et attend son tour derrière une vieille dame qui chipote sur les prix, les grammes et la provenance de la viande, pour finalement ne prendre qu’un morceau de viande hachée. Le boucher la sert avec toute la gentillesse qu’il peut lui donner et surtout beaucoup de patience.


À son tour, Sophie choisit une escalope avec le plus grand soin. Elle ne voit que les mains du boucher qui la lui découpe ; mains larges de travailleurs aux ongles coupés à ras. Sophie imagine alors ses doigts fouillant son intimité et ne voit même plus son visage.


Avec deux doigts, il écarterait ses lèvres et regarderait son clitoris curieusement. Son petit bouton frétillerait sous son regard, palpiterait et attendrait. Une voix grave la sort de sa rêverie, le boucher lui annonce le prix de son escalope. De peur qu’il ne se doute de quelque chose, Sophie rajoute une côte de porc. Elle paie, prend son sac et sort tout étonnée de ses débordements imaginaires. Petit passage chez le primeur avant de rentrer : tomates, salade, radis noir, quelques fruits, et la voilà parée pour la semaine.


Tout en se dirigeant chez son fleuriste favori, une envie de sexe et de queue dressée prend Sophie dans la rue. Elle en mouille sa culotte et s’en dilate l’anus. Ça la prend aux tripes. Elle voudrait croiser un homme et qu’il sente cette envie pressante. Il s’arrêterait face à elle, la regarderait sans aucune gêne : le visage, le corps. Il la mettrait à nu d’un simple regard. Sophie le regarderait à son tour : beau brun, un mètre quatre-vingt-dix, belle carrure. Sophie ferait un pas vers lui, il ferait un pas vers elle puis la contournerait pour mieux l’enlacer. Il la prendrait par la taille, se baisserait pour glisser sa langue sur sa nuque ; tout en lui mordillant l’oreille, il frotterait sa bite contre son cul. Elle la sentirait durcir à travers leurs vêtements, elle la sentirait se dresser et ne mouillerait que plus.


Ses mains passeraient de ses hanches à ses seins, il les pétrirait tout en la dirigeant vers une porte cochère, sous le regard outré des passants, ce qui exciterait Sophie un peu plus. Ouvrant la porte avec son pied, ils tourneraient sur eux même pour se retrouver derrière la porte, contre le mur. Il prendrait alors sa bouche et avalerait sa langue.


Elle ne verrait rien, sentirait seulement son corps contre son corps, sa bouche contre sa bouche. Il s’écarterait alors d’elle et la regarderait, n’attendant qu’un geste de sa part pour continuer.


Par-dessus son épaule, un jeune homme les regarderait, Sophie l’inviterait du regard tout en soulevant sa jupe. L’homme se baisserait et commencerait à mordre son sexe, petits coups de langue rapides et saccadés. Le jeune homme s’approcherait et prendrait à son tour la bouche de Sophie, timidement. Il glisserait ensuite sa tête vers ses seins, les lécherait doucement, presque avec tendresse, maladroitement. Ses tétons se redresseraient, ses seins durciraient.


Sa tendresse contrasterait avec la langue et le doigt qui vont et viennent entre son sexe et son anus. L’homme fourragerait, chercherait, et chaque fois qu’elle bougerait elle enfoncerait l’un ou l’autre plus profondément dans son intimité.


L’homme lèverait la tête et verrait le jeune homme, il se lèverait et d’un commun accord, l’un lui enfoncerait sa bite dans le cul, l’autre dans le vagin. Première sodomie pour le jeune homme qui n’oserait pas rentrer dans son anus dilaté, il hésiterait. L’homme la pousserait alors brutalement pour l’empaler sur cette jeune bite.


Prise entre les deux, Sophie ondulerait afin de bien les sentir. Impression d’être coincé, transpercée de part et d’autre, de se fondre en chacun d’eux. Volupté mais envie de bite dans sa bouche. D’un mouvement brusque, Sophie se dégagerait de l’homme en prenant appui sur le jeune homme, qui pousserait alors un petit cri de surprise ou de jouissance, peu lui importerait. Elle se baisserait, prendrait son membre viril dans sa bouche. Sophie lécherait son gland jusqu’à ce qu’elle le sente tressaillir dans sa bouche. Petit gémissement de plaisir dans son dos, le jeune homme aurait fini son affaire. Il se retirerait, resterait penaud dans son dos, ne sachant comment la remercier de lui avoir offert son cul.


Elle continuerait à lécher l’homme jusqu’à ce qu’il vienne dans sa bouche. Son sperme jaillirait, chaud et épais, elle l’avalerait. Il la relèverait et la pilonnerait jusqu’à ce que ses cris de jouissance se mêlent aux siens.


Seulement, voilà, Sophie est seule dans une rue déserte, pas de porte cochère ni de bel inconnu. Elle rentre à la maison, range ses courses et surtout, met l’escalope dans le freezer car Anne lui a dit que c’était mieux lorsqu’elle était bien froide, que ça durait plus longtemps. Elle en a été étonnée, car, ne dit-on pas que pour calmer ses ardeurs rien ne vaut une douche froide ? Mais Sophie lui fait confiance et suit ses conseils à la lettre.


Petite douche de nouveau et sieste pour être en forme ce soir. Son appartement est vaste et clair, il donne sur une petite rue peu passante. Sa sieste est bercée par le chant des oiseaux, elle est chaude comme la braise mais ne se touche pas.


Vers 18 heures, Sophie se réveille en forme et tout aussi excitée que lorsqu’elle s’est couchée. Petit rafraîchissement, elle choisit une robe bleue à fleurs, fendue sur les côtés et bien échancrée sur le devant. Petites chaussures à talon mais dans lesquelles elle est à l’aise.


Puis vient le moment fatidique tant attendu, Sophie va chercher l’escalope et la met dans sa culotte. Froideur, impression désagréable d’avoir un truc entre les jambes. Elle prend son sac, l’adresse, et la voilà partie. Le souvenir de la Vania de ses quinze ans ressurgit.


Elle prend le métro, ligne deux, change pour la station Chevaleret ; arrivée à destination, Sophie sent que l’escalope se réchauffe. De l’eau coule entre ses cuisses. Une douce chaleur l’envahit et elle lui frotte délicatement son entrejambe à chacun de ses pas.


Arrivée en bas de l’immeuble, elle regarde la tour qui se dresse sous ses yeux, Paul est au 24e étage. Elle fait le code, rentre et cherche son nom sur l’interphone. Un homme arrive en courant, pénètre avec elle dans le hall de l’immeuble. Il la laisse sonner et sourit, amusé de voir qu’ils vont au même endroit. Une fois dans l’ascenseur, les présentations sont faites. Il est italien, se prénomme Gianni et vit à Paris depuis trois ans. Grand, brun, il a des yeux noirs dans lesquels Sophie se perdrait volontiers vu son état d’excitation.


Arrivée devant la porte de l’appartement, Paul est tout étonné de les trouver tous les deux. Gianni passait en fait à l’improviste, il restera donc pour le dîner. Marie est déjà là, sublime dans sa petite robe noire, fines bretelles dénudant ses épaules et mettant en valeur sa poitrine plus que généreuse.


L’escalope se fait tendre et chaude entre ses jambes. Ils prennent tous les quatre place dans le salon. Le frottement de ses jambes l’une contre l’autre ne fait qu’accentuer le doux mouvement de la chair contre sa chair. La présence de Gianni leur permettra sans doute de parler d’autre chose que du travail et rendra sans doute ce dîner plus agréable. D’un regard, Sophie comprend qu’Anne pense la même chose.


Gianni la regarde du coin de l’œil et observe le mouvement de ses jambes d’un air amusé. Cela la rend très mal à l’aise et Sophie arrête de se tortiller sur son fauteuil. Ils parlent politique, vins français et vins italiens, charcuterie, le champagne coule à flots. Son désir augmente, pour qui, elle l’ignore mais Sophie a envie d’être prise ici, de crier de plaisir, de jouir.


Marie la frôle pour se mettre à table et ça l’électrise. Elle téléphonera demain à Anne pour la remercier de ce bon tuyau. Elle mouille, elle mouille, son clitoris ne demande qu’à être titillé, son vagin trifouillé.


Ils passent à table, Sophie essaie de suivre les différentes conversations, le repas lui paraît long. Elle regarde sa collègue d’un œil nouveau, Marie est très à l’aise, parle beaucoup, joue avec son corps, la regarde de temps en temps d’un air complice. Les hommes n’ont d’yeux que pour elle. Et elle aussi.

Au moment de débarrasser la table, ils se lèvent tous les quatre pour aider. Quelle n’est pas sa surprise, lorsqu’elles se se retrouvent seules dans la pièce, de voir Marie se toucher les seins tout en la regardant droit dans les yeux. D’un signe entendu, elles se dirigent ensemble vers la salle de bains, laissant les deux hommes servir le digestif et s’installer de nouveau dans le salon. Affaire de filles, disent-elles à leur adresse en gloussant.


Arrivées dans la salle de bains, brutalement, Marie plaque Sophie contre le mur, soulève sa robe et dirige sa main vers sa culotte. Elle éclate de rire lorsqu’elle entre en contact avec son escalope, la retire, se baisse et se met à lui lécher la chatte. Il faut faire vite, dit-elle, ils vont se douter de quelque chose.


Très surprise mais aussi très curieuse, Sophie laisse faire. Marie lui titille le clito comme jamais aucun homme ne l’avait fait ; elle mord son sexe, l’embrasse, y glisse sa langue. Sophie mouille très vite, elle l’était déjà. Marie ajoute ses doigts sans enlever sa bouche, les faisant pénétrer délicatement mais rapidement. Son doigté a la juste vitesse et s’harmonise avec sa langue. Debout et prenant appui sur le mur, Sophie laisse le plaisir l’envahir, les jambes légèrement écartées. Elle jouit par saccade, sa collègue la retourne et lui met deux doigts dans le cul, il est trempé et elle n’a aucun mal à y rentrer. Sophie est plus sensible de ce côté-là, en général, elle jouit de suite et surtout, elle aime ça. Elle se met alors en mouvement pour mieux la sentir à l’intérieur. Son anus est super sensible et elle n’a pas de mal là aussi à la faire jouir. Marie se relève, lui remet son escalope dans la culotte et sort sans se soucier de son propre plaisir.


Sophie reste dans la salle de bains, se regarde longuement dans la glace, le souffle court de tant de jouissance. Elle retire alors l’escalope, la met dans son sac et sort. Installée dans un fauteuil, Marie reprend la conversation là où ils s’étaient arrêtés. Les garçons sont subjugués par elle. En fin de soirée, Gianni propose de les raccompagner. Elles acceptent de suite et les voilà partis tous les trois, laissant leur hôte la mine déconfite.

Est-ce qu’elle couchait avec des hommes aussi ? Plan à trois ?


Rien de cela, Gianni la dépose en premier et la voilà seule dans son appartement. Le champagne la grise, elle a pris son pied, mais pas de bite à l’horizon. Une fois dans ses draps, elle décide de recommencer toute seule, elle se lève, va chercher le radis noir choisi avec soin plus tôt dans la journée, et se recouche. Coup de sonnette, Gianni est là, tout penaud, et lui demande s’il peut rentrer, Sophie s’empresse d’ouvrir tout en faisant tomber la bretelle de sa chemise de nuit.


Gianni la prend alors dans ses bras et elle le laisse la serrer contre lui ; elle l’entraîne ensuite vers sa chambre, pas un mot n’est prononcé. Ils se déshabillent puis se mettent au lit. Il la caresse doucement, prend tout son temps pour découvrir son corps. À son tour, Sophie s’aventure sur ce corps inconnu et se rend compte qu’il est tout poilu. Rédhibitoire, voulant finir au plus vite, elle met sa main sur son sexe pour se rendre compte qu’il est flasque et mou. Tout d’abord surprise, elle décide de le titiller en le mordillant un peu. Gianni lui demande de le mordre plus fort, ce qu’elle fit. Sophie voit alors le sexe de Gianni se dresser. Dès qu’elle arrête de mordre, il retombe, dès qu’elle mord, il bande. Voulant sentir sa bite en elle, elle se résout à mordre sa chair à travers ses poils ; elle remonte sur son torse, lui toujours couché sur le dos, puis Sophie fait entrer son sexe à l’intérieur d’elle. Il gémit les yeux fermés, essayant d’adapter ses mouvements aux siens. Sophie ne s’occupe pas de lui, trop envie de bite toute la journée pour se soucier de son plaisir.


Légèrement couchée sur lui pour pouvoir continuer à le mordre, elle frotte son clitoris contre sa chair tout en enfonçant sa bite au plus profond d’elle. Sa jouissance est rapide. Elle se lève, leur sert un verre et le laisse la serrer contre lui. Sophie s’endort très vite.


Le lendemain matin, elle est seule dans son lit, le radis noir fier et droit capoté à ses côtés.