n° 20704 | Fiche technique | 20021 caractères | 20021Temps de lecture estimé : 12 mn | 14/01/22 |
Résumé: Delphine et Philippe participent à leur première soirée libertine privée. Ce sera un feu d’artifice de jouissance qu’ils ne sont pas près d’oublier. | ||||
Critères: fhhh grp collection fellation pénétratio -totalsexe -lieusexe | ||||
Auteur : Toute ressemblance... Envoi mini-message |
Philippe ne peut s’empêcher d’être fasciné par le couple qu’ils viennent de croiser. L’incarnation du sexe ! Lui, un bon mètre quatre-vingt-cinq, musclé mais pas trop, la trentaine, et surtout un sexe de belle dimension, même au repos, qu’il arbore fièrement dans son pantalon de cuir noir largement ouvert sur ses attributs. Elle, un mètre soixante-dix, jolie, très jolie, et surtout des seins fantastiques, qui ne semblent pas connaître les lois de la gravité, et qu’elle affiche fièrement en se baladant dans la grande maison qui les reçoit ce soir-là.
Sans être des oies blanches, Delphine et Pierre ne sont pas des habitués des soirées libertines. Pour être précis, c’est même leur première soirée de ce type, alors qu’ils fréquentent assidûment depuis un an les clubs libertins. C’était sur un site bien connu, sur lequel ils avaient déposé leur profil, qu’un couple qu’ils avaient déjà rencontré en club leur avait proposé de se joindre à eux. Quelle n’est pas leur surprise de se retrouver en pleine campagne entourés de dizaines d’autres voitures, ce qui les rassure, dans le parc d’une immense propriété à quarante kilomètres de Paris.
Ils ne connaissent absolument personne. De plus, même s’ils sont habillés assez sexy – une robe rouge très courte et échancrée sur sa lourde poitrine, des bas et des hauts talons rouges pour elle ; un pantalon noir et une chemise de même couleur pour lui – cela n’a rien à voir avec l’ensemble des invités. Ceux-ci avaient dû dépenser des fortunes dans des magasins libertins et BDSM. Comme les deux spécimens qu’ils admirent, ils sont le plus souvent revêtus de tenues en cuir et latex assez stupéfiantes. Ce n’est que chaussures-plateformes de vingt centimètres, poitrines dénudées et sexes masculins mis en valeur par des étuis péniens… Un quasi-défilé de stupre qui excite prodigieusement Delphine.
Heureusement, leurs hôtes, un petit monsieur tout roux et sa compagne, une belle Africaine, tous deux hyperlookés, lui santiag aux pieds et bites au vent, elle sur d’immenses bottes noire et rouge, un splendide décolleté sur une robe en cuir noir, les mettent vite à l’aise :
Ledit buffet est tenu par deux superbes mecs, torses nus en cette belle soirée de mai, qui versent allégrement du champagne amené par les invités – Delphine et Pierre ont acheté une belle bouteille de Ruinard histoire de se faire bien voir – en faisant des compliments aux invités.
Delphine : pas très grande – 1,60 environ –, comme elle le dit : « Je suis plus belle horizontale que verticale ». Et horizontale, elle aime l’être ; mince dans ses bons jours, un peu ronde dès qu’elle se laisse aller - Mince ce soir-là après un sévère régime pour se sentir vraiment belle face à une concurrence qu’elle imagine exacerbée ; 28 ans ; une étonnante poitrine de 90D à se damner ; un cul un peu large, mais vraiment très, très joli ; brune, Italienne d’origine par sa mère, elle a une peau de pêche d’une douceur incomparable ; signe particulier : elle a toujours trompé Philippe depuis qu’ils se connaissent.
Pierre : 1,85 m ; très mince ; assez beau avec ses grands yeux bleus ; le même âge que Delphine avec laquelle ils se sont connus pendant leurs études à la fac ; signe particulier : après en être pratiquement devenu fou de jalousie, il a bien été obligé d’accepter un fait évident… quand on est aussi incroyablement sexy et aussi portée sur le sexe que l’est Delphine, on ne peut pas ne pas tromper son compagnon.
La solution à leur problème : le libertinage. Depuis un an, ils écument les clubs pour que les sens de Delphine soient apaisés, sans que Philippe se demande constamment où et avec qui elle est passée. Pour l’instant, cela semble leur convenir. En un an elle a vu passer une bonne centaine de bites, et lui, un peu moins de chattes. Mais ce qui l’excite finalement le plus c’est de la voir se faire prendre, et ce qu’elle préfère dans leurs agapes c’est le moment où il la baise, dur comme du bois et excité comme jamais.
C’est dire s’ils se pensent que cette soirée, leur première soirée privée, leur semble devoir être intéressante. D’autant que pour une première ils font fort, il y a bien là une centaine de convives parmi les plus beaux et les plus excitants qu’il leur ait été donné de rencontrer… et assez chics – au moins, assez riches –, si on en croit les marques des voitures présentes.
Mais le plus étonnant, c’est la maison… ou plutôt un petit château qui semble abandonné. De nombreux tags sont au mur et toutes les lumières sont produites par des lampes à alcool.
Ils partent en visite. Deux étages en tout, assez faiblement éclairés ; une bonne dizaine de chambres, toutes vides si on excepte des matelas posés à même le sol. Bonne surprise : les toilettes fonctionnent. Il est un peu tôt, à peine 23 h, et rien ne se passe encore. Ils redescendent.
Les choses commencent à devenir sérieuses. Dans le hall d’entrée, un homme est en train de se faire prendre par une fucking machine, une très belle blonde le masturbe pendant qu’il subit les assauts mécaniques. Elle regarde Delphine :
Ni une ni deux, devant un Philippe passablement étonné, Delphine commence à masturber le jeune homme. Pendant ce temps, celle qui s’appelle Chrystèle s’adresse à Philippe :
Elle est très belle aussi… moins que Delphine, mais plus grande. Une superbe blonde dont la poitrine se dessine dans une robe en latex noire dont la fermeture éclair descend sur les seins.
Ils sont interrompus dans leur conversation par Delphine, qui se lève :
Laissant le couple à ses pratiques, Delphine rigole :
Philippe n’aime guère laisser sa compagne seule, mais il sait aussi que cela l’excite prodigieusement. Comme la première fois où il l’avait retrouvée en train de se faire embrasser dans une soirée étudiante à laquelle ils étaient venus ensemble. Il avait fracassé la tête du pauvre garçon avant de partir furieux… et seul. La conduite de Delphine était d’autant plus incompréhensible qu’ils devaient partir ensemble en vacances la semaine suivante à la montagne… Ils avaient finalement réussi à partir dans des groupes différents et à ne pas se voir de leur séjour. Il avait fallu de longues semaines pour qu’ils se réconcilient. Huit ans maintenant. Elle avait promis, garanti, juré qu’on ne l’y reprendrait plus, mais c’était sans espoir. Leur mariage, trois ans plus tard, n’avait guère changé la donne… elle s’y était même fait prendre toute la nuit avant pas ses meilleurs amis pendant que lui passait une soirée assez lugubre avec ses meilleurs amis. Amis sans « e » dans les deux cas…
Ces souvenirs, il se les remémore en regardant trois hommes entourer une très belle femme noire dont on ne distingue que les yeux dans la pénombre, qu’ils prennent à tour de rôle. Soudain, elle l’appelle :
Difficile de ne pas répondre présent. Le temps de poser ses habits dans un coin, il est dans ses bras. Elle est superbe, grande, des seins en poire aux tétons énormes qu’il prend tout de suite en bouche sous le regard des trois autres hommes qui se masturbent.
Elle embrasse divinement et sa langue semble se porter jusque dans les amygdales de Philippe.
Son fourreau est brûlant et Philippe s’y abandonne avec délectation, l’emmanchant à grands coups tout en songeant à bien gérer son plaisir. Elle lui flatte le dos de ses grands ongles, caresse ses fesses, c’est divin. Il l’entend jouir dans un grand soupir.
D’un coup, elle se relâche, comme assommée. Il ne sait plus s’il doit continuer ou en rester là. L’un des hommes, la quarantaine, plutôt baraqué, lui dit gentiment :
Rhabillé, heureux mais un peu frustré de ne pas être allé jusqu’au bout de son désir – il pensait à une levrette qui aurait certainement était incroyable vu le galbe se ses fesses qu’il avait pu longtemps flatter pendant qu’il la prenait –, Philippe descend donc. Il se demande ce que Delphine a bien pu traficoter pendant ce temps, combien d’hommes l’ont honorée, voire de femmes auxquelles elle n’est pas totalement indifférente.
Le tout c’est de la retrouver dans toutes ces chambres, alcôves et salles de bain. Il la cherche donc longtemps. Il la reconnaît par… ses pieds. Ses chaussures rouges pour être précis, qui sont tout ce qui permet de la trouver. Ses chaussures rouges placées autour d’un homme qui la prend sur une table, dans une pièce qui devait servir de bureau. Debout, il ahane en la bourrant très vite.
Il n’est pas seul. Deux autres hommes lui caressent les seins et une femme l’embrasse. Un sacré quatuor entre lequel Philippe s’est infiltré pour regarder sa belle prendre son plaisir. Elle est sublime dans ces moments où elle se concentre sur sa jouissance. Elle subit en l’espèce avec délices les assauts d’un grand homme d’origine sans doute indienne.
Très beau, grand, un catogan retenant ses longs cheveux, il est resté habillé et porte une chemise aux dessins compliqués or et rouges. Delphine s’est quant à elle contentée d’écarter sa culotte – rouge – et de défaire le haut de sa robe pour faire apparaître ses merveilleux seins. Bon camarade, l’homme laisse la place au deuxième homme du trio. Lui aussi originaire du Moyen-Orient, il porte une large barbe et est beaucoup moins grand, mais son sexe est beaucoup plus imposant, comme le constate Philippe en le regardant mettre un préservatif et retourner Delphine pour la prendre en levrette.
Comme elle n’est pas très grande, ses pieds ne touchent même pas terre, allongée qu’elle est sur la table, mais il n’en a cure. Il la pénètre d’un coup avec un grand ahanement de bûcheron auquel elle répond avec un petit cri de souris prise dans les pattes d’un gros matou. Un instant, elle reconnaît Philippe et lui fait un petit signe. Le voyant, la femme qui tient maintenant les deux mains de Delphine pour l’empêcher de glisser, lui demande :
Elle a effectivement beaucoup de charme. Pas très grande, comme Delphine, très brune, des seins assez époustouflants qui gonflent un haut à lacets qui laisse deviner sa plastique. Mais effectivement, elle n’est pas très belle.
Le troisième homme vient alors à leur rescousse. Pas du tout comme les deux autres, c’est un grand blond qui propose à la belle Tania – c’est son prénom – de prendre son relais pour tenir les deux bras de Delphine. Toujours couchée à moitié sur la table, celle-ci prend avec un plaisir non dissimulable les assauts du bel Oriental dans son sexe. Ses cheveux sont retombés sur ses yeux et on l’entend gémir sans rien voir.
Profitant de ce qu’elle est maintenant libre, Philippe prend Tania dans ses bras. Il a un peu l’impression d’embrasser sa femme. Même taille, même technique, des seins un peu plus lourds, sans doute, dont il fait maintenant darder les pointes tout en l’embrassant et en caressant son sexe qui ruisselle littéralement dans ses doigts.
Laissant Delphine à son trio, Philippe et Tania partent à la recherche d’un espace un peu tranquille. Il est près d’une heure du matin et les couples commencent à se défaire après un « premier round » qui laisse partout de fortes odeurs de sexe. Il y a donc un peu de place, mais encore faut-il que les matelas ne soient pas trempés du plaisir de ces dames. Il leur faut donc un peu de temps pour trouver l’endroit idoine : une chambre du deuxième étage dans laquelle ils s’étendent avec délice.
Tania est une amante hors pair. Douce, amoureuse, elle commence par le déshabiller, léchant chaque parcelle de son corps, s’attardant sur ses tétons – « Laisse-toi faire, profite » – avant de le sucer comme il l’aime, pas trop vite, sensuellement, en lui faisant profiter de sa langue. C’est absolument divin. Nue, elle se met directement en levrette – « J’ai trop envie. Prends-moi comme ça » - face à la porte, pas fermée car justement il n’y a plus de porte nulle part à l’exception des toilettes et salles de bains.
Beaucoup plus grand qu’elle, il lui remonte le plus possible les fesses, les écartant moins qu’elle ne le souhaiterait, et lui plante son… ma foi…, son très beau sexe – pas loin de 17 centimètres et une belle circonférence de huit centimètres – dans sa chatte béante pas épilée – c’est rare dans le milieu –, pour lui faire vivre un grand moment de jouissance. Il prend ses fesses à pleines mains, les malaxe, lui met quelques petites claques, remonte ses pieds, et surtout, en profite pour prendre ses seins à pleines mains. Elle geint sans atteindre l’orgasme.
Tout pourrait être pour le mieux mais un gros homme se précipite d’un coup vers eux. Tout nu, il est extrêmement poilu, oriental comme Tania. Il éructe :
Il pleure presque.
Elle se lève :
C’est un quasi Feydeau. Il ne manquerait qu’un placard pour que Philippe se cache.
Pendant que Philippe ramasse ses habits pour s’éclipser, le couple semble se retrouver. D’ailleurs, Tania fait tout ce qu’il faut pour cela en suçant un sexe, apparemment assez sous-dimensionné, sous le regard extatique de son mari qui semble totalement oublier la présence de Philippe. Vu son gabarit, celui-ci ne peut que s’en féliciter en faisant un large tour autour d’eux pour rejoindre le rez-de-chaussée. Pas totalement rassuré néanmoins quant aux sentiments du mari de Tania à son égard.
Au rez-de-chaussée, il retrouve cette fois rapidement Delphine qui discute, les seins toujours à l’air, avec ceux qui viennent de la baiser.
Il n’épilogue pas sur ses bonnes ou moins bonnes fortunes de sa soirée. Delphine aime tromper Philippe. Philippe aime que Delphine le trompe. La réciproque est moins vraie. Elle n’a accepté ces sorties que parce qu’elle sentait bien qu’elle ne pouvait éternellement le tromper sans lui permettre d’assouvir également ses envies. Mais, au fond d’elle, elle est extraordinairement jalouse de son homme et n’assiste jamais à ses saillies tout en appréciant que lui assiste aux siennes. Quand ils rencontrent des couples, elle est plutôt adepte du 2 + 2 que du quarto.
Elle avait en tout cas apprécié la soirée. Dès qu’elle avait été seule trois secondes, trois hommes avaient entamé la conversation, la félicitant pour sa beauté, lui demandant assez vite s’ils pouvaient admirer ses seins. Elle avait prestement découvert son sein droit, le plus tactile, et apprécié les doigts puis les langues que le grand blond avait portés dessus. Mais elle avait encore mieux aimé les doigts que les deux Orientaux avaient introduit qui dans son sexe, qui dans son anus qu’elle avait soigneusement préparé – un lavement dont elle ne parlait pas à Philippe, qui n’avait aucun droit sur cet orifice – pour une double pénétration potentielle qui était son Graal sexuel.
Le trio constitué qui l’avait abordé lui avait donc beaucoup plu et elle avait profité de leurs caresses, accolée à un mur, une coupe de champagne à la main dont elle avait bu régulièrement quelques gouttes, sans rien donner et en recevant beaucoup.
Ils l’avaient entraînée dans ce petit bureau où une femme semblait se morfondre mais était restée. Rapidement, ils avaient intimé l’ordre à Delphine de les sucer. Ce qu’elle avait fait avec la motivation de la femme qui savait combien ferme serait la saillie ensuite. Pas très raffinés, ils l’avaient rapidement couchée sur la table, et avaient commencé à la pénétrer l’un après l’autre. D’abord dans le sexe puis, une fois en levrette, le plus membré des deux était allé chercher son anus et elle avait adoré se toucher le clitoris tout en subissant son assaut. Elle avait à peine vu Philippe entrer mais son plaisir n’en avait alors été que plus fort… bien qu’elle était restée frustrée de ne pas avoir subi une double pénétration.
Ce serait pour une autre fois, car là, il leur faut rentrer. Une fois chez eux elle se livrera aux assauts d’un Philippe dont elle ignore qu’il n’a pas encore joui mais dont elle escompte bien qu’il lui permette de finir la nuit en apothéose.