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n° 20706Fiche technique16400 caractères16400
Temps de lecture estimé : 10 mn
15/01/22
Résumé:  Promenade très sexy d’une soumise exhibée puis baisée par son mari et maître avec un ami.
Critères:  f fhh couplus candaul collègues parking caférestau voiture fsoumise hdomine exhib noculotte fellation fsodo sm -candaul -dominatio
Auteur : Domisexy      Envoi mini-message
Promenade sexy d'une soumise





J’avais un collègue de travail auquel j’avais déjà offert Do à plusieurs reprises. Je l’ai convié pour une balade dans Colmar en fin d’après midi. C’était l’été et il faisait beau et chaud. Il est venu nous chercher afin de faire le trajet avec un seul véhicule.


Do était habillée d’une jupe portefeuille qui lui arrivait juste au-dessus du genou, d’un chemisier au tissu aussi léger qu’un souffle d’air et d’une paire d’escarpins avec un petit talon. Le tout formait un bel ensemble d’apparences assez sages, sauf pour la jupe que nous avions achetée une taille trop petite et qui avait donc une fâcheuse tendance à s’ouvrir quand Do marchait ou s’asseyait.


Do s’est mise à l’arrière et je me suis installé à côté de Jean à l’avant. Il avait acheté une nouvelle voiture et nous en avons bien sûr discuté pendant tout le trajet, ne prêtant pas vraiment attention à Do. Alors que nous étions sur le point d’arriver à destination, je me suis retourné pour voir ce que faisait Do parce que je ne l’avais pas entendue de tout le voyage. Je l’ai alors surprise la main sous la jupe entre ses cuisses légèrement écartées ; elle était tout simplement en train de se masturber ! Ses yeux à moitié clos elle se donnait du plaisir caressant son bouton déjà bien érigé par ses doigts habiles en même temps qu’elle agaçait ses tétons bien durs. J’ai vu qu’elle était assise sur sa jupe et pas directement sur le siège. Je n’ai rien dit et me suis retourné.


Après nous être garés dans un coin calme d’un parking du centre-ville, nous avons commencé à nous promener dans les rues piétonnes adjacentes en parlant de tout et de rien, Do entre moi et mon ami.

Je voyais aux regards des passants que la jupe éveillait beaucoup de curiosités et Do en retenait les pans quand le vent soufflait un peu plus fort. J’ai dit à Jean :



Il m’a bien sûr répondu que non, j’ai alors demandé à Do de lui dire ce qu’elle avait fait pour s’occuper dans la voiture. Elle a baissé les yeux et a dit tout doucement qu’elle s’était caressée. Je lui ai fait répéter parce qu’elle n’avait pas parlé assez fort ni été assez précise. Elle a dit alors :



Elle l’a dit tellement fort pour être sûre de ne pas avoir à répéter une nouvelle fois que les gens qui marchaient à côté de nous ont tout entendu !


Nous avons convenu, Jean et moi-même, que ce n’était pas une attitude qui convenait à une soumise et Do n’a rien trouvé à y redire. J’ai proposé à Jean de la prendre par le bras et j’en ai fait de même de mon côté. Les bras ainsi occupés, Do ne pouvait plus retenir les pans de sa jupe qui virevoltaient au vent et dévoilaient ses cuisses presque jusqu’à son sexe lisse. Après quelques instants, j’ai ouvert deux boutons à son chemisier et nous avons continué notre promenade sous les regards de plus en plus intéressés des touristes. Mais Jean trouvait que l’attitude de Do méritait une punition. Je lui ai demandé laquelle. Il a dégrafé deux boutons supplémentaires du chemisier, nous nous sommes regardés et avons trouvé l’idée excellente. J’ai dit OK, et nous avons repris notre marche.


Le chemisier était maintenant ouvert jusqu’au nombril et comme nous avions repassé nos bras sous les siens, personne ne pouvait ignorer que sa poitrine était libre de tout carcan, s’offrant aux regards au gré du vent et des mouvements. Nous nous sommes arrêtés devant plusieurs vitrines, en profitant pour caresser les seins quasiment nus et le ventre offert, ce qui avait pour effet de faire se dresser les tétons. Do tressaillait à chacune de nos caresses et était de plus en plus sensible à nos attouchements. Le chemisier opaque mais très fluide laissait clairement distinguer les seins gonflés aux pointes dardées sous le tissu.


Nous avons décidé de prendre un rafraîchissement à la terrasse d’un café et nous sommes installés, Do face à la rue et nous de part et d’autre. Bien sûr, Do a du s’asseoir directement sur la chaise, ce qui n’a pas manqué d’écarter les pans assez hauts sur les cuisses, quasiment à la limite de ses lèvres intimes. Malgré que ce ne soit pas la première fois qu’elle devait s’asseoir ainsi, elle n’arrivait pas à s’habituer à la situation et en éprouvait toujours une grande honte, ce qui la fit piquer un fard. En ajoutant à cela le chemisier très dégrafé et les jambes qu’elle devait garder écartées, Do offrait un spectacle ravissant à tous les passants. Mais le meilleur était encore pour le serveur parce qu’il a eu une vue plongeante sur les seins offerts lorsque nous avons passé notre commande.


Jean et moi nous nous sommes amusés à caresser les jambes offertes, faisant courir nos mains des genoux à ses cuisses, joignant nos mains à leur intersection, glissant de temps en temps un doigt inquisiteur entre les lèvres de plus en plus humides de ma soumise, continuant notre manège pendant que le serveur déposait notre commande pour le plus grand trouble de Do. Pendant qu’il déposait les verres sur la table il regardait Do frissonner sous les caresses et ne pouvait pas ignorer le plaisir qu’elle prenait d’être ainsi traitée en voyant ses tétons complètement érigés sous la fine étoffe qui lui dessinait la poitrine comme une seconde peau. Certains passants assez observateurs ont aussi bien profité du spectacle vu leurs regards appuyés…


Nous avons repris notre promenade en l’agrémentant de temps en temps de caresses plus ou moins discrètes de ses seins, son sexe et ses fesses, qui ne passaient pas toutes inaperçues, loin de la…


Vint l’heure du dîner et nous nous sommes installés dans un petit resto sympa, Do toujours entre nous, le cul nu directement sur la chaise. Nous avons passé commande pour un repas léger à la serveuse qui était assez intriguée par Do, ayant remarqué la manière dont elle s’était assise. J’ai dit à Jean qu’il avait donné sa punition mais que je devais moi aussi punir ma femme. J’ai alors dégrafé deux boutons supplémentaires du chemisier qui n’était plus retenu que par la jupe dans laquelle il était glissé. Il bâillait de tous côtés et dévoilait au moindre geste la poitrine offerte. J’ai aussi écarté les pans de la jupe jusqu’à offrir le sexe humide à nos regards par-dessus la table. Elle était ainsi assise quasiment nue dans ce restaurant.


Lorsque la serveuse est arrivée, elle a tout de suite vu le chemisier ouvert. Mais c’est quand elle a déposé nos plats qu’elle a découvert le ventre offert avec nos mains sur chaque cuisse. Elle a rougi puis a souri d’un regard entendu, ne se privant pas de profiter du spectacle offert… Le repas terminé, nous avons décidé de retourner à la voiture pour rentrer finir la soirée à la maison. Quand Do s’est levée plusieurs clients du restaurant et la serveuse ont pu clairement voir son sexe glabre offert par la jupe totalement ouverte ainsi que la poitrine complètement dévoilée par les mouvements qu’elle faisait pour se lever qui avaient complètement sorti l’un de ses seins.


Nous sommes sagement retournés au parking, la nuit était tombée. Arrivés au véhicule, pendant que nous fumions une cigarette, Jean m’a proposé de conduire pour essayer son nouveau bolide. Do devrait s’installer à mes côtés et lui derrière. À ma grande surprise, ma chérie a fait glisser les pans de son chemisier le long de ses bras. Le vêtement était maintenant retenu par la jupe et tombait sur ses fesses, laissant son torse entièrement dénudé. Elle a sorti les pans du fin tissu de la jupe et me l’a tendu en me disant que je pouvais le garder, elle voulait me faire ce cadeau pour s’excuser de sa conduite lors du trajet pour venir à Colmar.


Elle était maintenant frissonnante, les seins nus sur le parking pendant que nous fumions tranquillement notre cigarette ! Elle ne cherchait pas à se cacher, fière de son audace, bombant le torse pour exhiber fièrement sa poitrine, les tétons bandés autant par l’air qui se rafraîchissait que par l’excitation de la situation. Avant de m’installer au volant j’ai mis son chemisier dans le coffre de la voiture, ainsi elle ne pourrait plus se cacher une fois installée dans le véhicule ! Jean lui a ouvert la portière et elle s’est avancée pour prendre place. Mais avant qu’elle puisse entrer dans la voiture, Jean a tiré sur le lacet qui fermait sa jupe. Celle-ci s’est alors entièrement ouverte, laissant ma femme totalement nue sur un parking en plein centre-ville. Il lui a dit qu’elle n’en avait pas besoin pour le trajet et qu’il la gardait avec lui à l’arrière. C’est donc totalement nue que ma soumise s’est installée à mes côtés sans émettre la moindre objection.


J’ai démarré, quitté le parking et me suis engagé dans les rues presque vides pour rejoindre l’autoroute. Jean a demandé à Do d’incliner son siège pour pouvoir mieux la mater et avoir accès à ses seins. J’ai dû m’arrêter à un feu rouge. Un scooter avec deux jeunes s’est arrêté du côté passager et, bien sûr, ils ont regardé à l’intérieur. Ils ont bien maté Do qui avait les jambes écartées, les seins caressés par l’occupant arrière. Son sexe était de plus en plus entrouvert et luisant de ses liqueurs intimes sous l’excitation des caresses sur ses seins. Ils n’en revenaient pas du spectacle offert !


Le feu est passé au vert et nous nous sommes engagés sur l’autoroute. J’ai allumé le plafonnier côté passager pour que les routiers profitent mieux de la vue lors des dépassements que je faisais à allure réduite pour mieux exhiber la cochonne à mes côtés, à un moment nous avons même dépassé un bus ou de nombreuses personnes ont profité de l’aubaine.


Arrivés à Mulhouse, nous sommes allés près du Zoo. Je savais que c’était un lieu d’exhib. Nous avons trouvé un homme dans un coin un peu plus sombre de la rue. Je me suis garé et il s’est immédiatement approché. Jean a mis le siège de Do en couchette, l’a embrassée et lui a demandé de se caresser comme à l’aller. Elle s’est exécutée sans discuter, passant ses doigts de ses seins à ses lèvres puis glissant dans son puits d’amour dégoulinant de ses sécrétions intimes, d’abord un doigt, puis deux, puis trois pour finir par s’enfoncer les quatre à un rythme de plus en plus effréné. Pour ne pas être en reste, je m’occupais de ses seins et Jean, quant à lui, l’embrassait rageusement.


Le type dehors avait un spectacle hallucinant rien que pour lui et il s’astiquait fébrilement un sexe de taille plus qu’honorable. J’ai alors baissé la vitre côté passager, le voyeur en a profité pour tout de suite caresser les cuisses offertes, puis il a glissé un doigt entre les lèvres trempées que Do avait abandonnées. En sentant ses mains étrangères prendre possession d’elle, elle s’est mise à trembler des pieds à la tête et est partie dans un orgasme.


Quand elle a repris pied, j’ai demandé à ma compagne de sucer cet inconnu pour le remercier du plaisir qu’elle avait eu sous ses doigts. Elle s’est redressée et a ouvert la portière, pris le chibre bandé dans ses mains et l’a glissé sans hésitation entre ses lèvres, commençant une fellation experte, même si elle avait un peu de mal à engloutir ce membre qui grandissait encore sous les caresses. L’excitation devait être trop grande pour le chanceux parce qu’il a explosé dans la bouche de la suceuse en lui prenant la tête, la plaquant contre son ventre pour l’obliger à l’engloutir jusqu’à la garde. Il s’est lâché en gémissant tout au fond de sa gorge.


Nous sommes repartis assez rapidement, Do toujours intégralement nue. Arrivés à la maison c’est toujours dans le plus simple appareil qu’elle est descendue de voiture, au risque d’être vue par des voisins. Elle est entrée dans l’immeuble et a gravi les quatre étages jusqu’à notre appartement, toujours dans le plus simple appareil. C’est encore totalement nue qu’elle nous a servis à boire puis nous a gratifiés d’une fellation chacun notre tour.


J’ai dit à Jean qu’il pouvait l’utiliser comme bon lui semblerait. Nous sommes allés dans la chambre à coucher. Il a allongé Do sur le lit, a pris ses seins, les pressant, les tirant de plus en plus fort, pinçant les pointes déjà gonflées de désir pour arracher des gémissements de douleur et de plaisir mêlés à sa proie. Ses mains sont alors descendues sur son ventre frissonnant jusqu’au sexe déjà ouvert par l’excitation. Il a introduit un doigt dans la fente mouillée, rapidement rejoint par deux autres. Les va-et-vient étaient de plus en plus violents et arrachaient des cris de plaisir à ma chérie. Elle cherchait mon regard. Je lui ai pris la main et je l’ai serrée fort. Nos regards ne se quittaient pas.


Jean l’a encore gratifiée d’un long cunnilingus qui a fait se pâmer la coquine. Puis il s’est positionné sur elle. Quand il s’est enfoncé d’un seul coup en elle jusqu’à la garde, Do m’a serré la main encore plus fort. Je me suis penché vers elle et lui ai pris la bouche pour un long baiser très tendre puis de plus en plus endiablé, fouillant sa bouche comme l’autre fouillait son ventre. Elle a joui sous nos assauts coordonnés.

J’ai abandonné sa bouche pour la contempler. Je voyais le sexe ouvert écartelé par la queue pas très longue mais bien plus épaisse que la mienne, Do n’arrêtait pas de gémir sous les coups de boutoir de son amant. Au bout d’un moment, il s’est arrêté, il a mis Do en levrette, lui a léché le trou du cul, a glissé un doigt, puis deux autres qu’il avait mouillés dans son vagin dégoulinant, puis s’est mis en position pour l’enculer.


Je me suis mis devant elle et lui ai repris les mains dans les miennes pour partager au plus près ce moment. Do a crié quand son sphincter a été écartelé par le gros gland de son amant. Jean lui a accordé quelques secondes de répit puis a commencé des mouvements de va-et-vient pour se glisser inexorablement dans le conduit étroit jusqu’à ce que ses couilles touchent la vulve encore ouverte. Do me broyait les doigts mais ne cherchait pas à échapper à son tortionnaire. Il a encore marqué une pause puis a repris ses va-et-vient, de plus en plus puissants, de plus en plus rapides.

Do gémissait à présent non plus de douleur, mais bien de plaisir, elle était enculée par un gros sexe et prenait son pied ! J’ai alors pris sa tête pour lui faire prendre mon sexe érigé comme jamais dans sa bouche.


Jean sortait maintenant entièrement du cul offert puis replongeait jusqu’à la garde dans l’antre qui restait ouvert sous ses assauts. Il donnait le rythme de la fellation que me faisait ma chérie. La salope s’est mise à gémir encore plus fort, elle ahanait de plus en plus. Elle s’est libérée de mon sexe bandé puis elle a dit :



Elle jouissait du cul ! Jean l’a prise encore plus fort et plus violemment si c’était possible et s’est déversé en râlant tout au fond de son rectum ! Do m’a repris entre ses lèvres et j’ai joui rapidement tout au fond de sa gorge tellement j’étais excité par toute cette aventure.


Ce fut vraiment une soirée mémorable. Quand Jean nous a quittés j’ai bien sûr moi aussi pris mon épouse, mais cette fois-ci bien tendrement pour la remercier du plaisir qu’elle nous avait offert à tous et nous nous sommes endormis fourbus mais heureux.