n° 20714 | Fiche technique | 47174 caractères | 47174Temps de lecture estimé : 26 mn | 18/01/22 |
Résumé: Parfois, sans qu’on s’y attende, le cours de choses ne va pas dans la direction la plus commune, et on peut se retrouver dans une situation dans laquelle on n’aurait jamais pensé être, sauf peut-être inconsciemment. | ||||
Critères: fhh couplus fellation cunnilingu anulingus pénétratio sandwich fsodo -dominatio | ||||
Auteur : Patrik (Carpe diem diemque) Envoi mini-message |
Tout est dans le titre, bien que cette folie reste finalement légère.
Bonne lecture : )
Parfois, sans qu’on s’y attende, le cours de choses ne va pas dans la direction la plus commune, et on peut se retrouver dans une situation dans laquelle on n’aurait jamais pensé être, sauf peut-être inconsciemment.
C’est quand on redescend sur terre qu’on réalise ce qui vient d’arriver, et là, parfois, ce n’est pas évident pour les protagonistes ! Mais avant d’en arriver à cette conclusion, il faut que je vous raconte ce qui s’est passé auparavant.
Ce soir, mon grand copain Arnault est venu dîner à la maison, car il est de passage dans la région durant deux semaines. Après son divorce très mouvementé, il a mis un maximum de kilomètres entre lui et son ex-femme, puisqu’il s’est installé à la Réunion, soit un peu plus de neuf mille kilomètres. Assez dégoûté de la vie en couple, il s’offre à présent des aventures sans lendemain, en attendant de changer d’avis dans quelques mois ou dans quelques années.
Il parle librement de tout ça, avec parfois des détails fort croustillants, mais toujours bien amenés, sans vulgarité. Il est comme ça, notre Arnault.
Je réponds par une plaisanterie :
Restée debout, car elle revient juste de la cuisine après avoir vérifié la cuisson, Ambre (ma femme) lui demande un peu effrontément :
Arnault éclate de rire :
Ma femme s’empare de la bouteille et se penche pour remplir le verre de notre invité. Ce faisant, je constate qu’elle dévoile un peu trop le haut de ses gambettes, ce qui est fort visible dans la psyché qui est derrière elle et qui orne notre salon, et je suppose que mon voisin doit avoir la même vue que moi. Il a sûrement remarqué qu’elle porte des bas autofixants, puisqu’aucune jarretelle n’est présente. Je jette un rapide coup d’œil. Oui, Arnault l’a remarqué puisqu’il fixe le miroir…
Ambre emplit aussi mon verre, puis le sien, toujours aussi penchée.
Elle s’assied confortablement dans le fauteuil face à nous, la table basse en bois entre nous, comme pour se faire doublement admirer. Ma femme est un joli petit lot, c’est indubitable, typiquement le genre de brune piquante, comme on dit. Arnault avait préféré le style blond scandinave (avant de se convertir dernièrement dans la femme exotique), mais ça ne l’avait pas empêché de m’avouer en catimini qu’Ambre était aussi à son goût. Comme il était à l’époque marié avec sa grande blonde, je ne m’étais pas alarmé. Maintenant qu’il est célibataire et qu’il expose sa bonne fortune sans complexe, peut-être faudrait-il que je me méfie…
Ce soir, ma femme est habillée en noir de la tête aux pieds. Sa mignonne petite robe au gentil décolleté la présente au mieux de ses belles courbes. Si elle mettait un petit tablier blanc par devant, elle ressemblerait presque à une soubrette.
Bien enfoncée dans son fauteuil, Ambre croise les jambes, ce qui les met en valeur. De plus, plus bas, avec le bon angle, je peux distinguer un morceau de chair blanche au-delà du liseré sombre des bas. On dira ce qu’on voudra, mais la lingerie, ça booste la libido.
Ma femme ne déteste pas être sexy, ce n’est pas la première fois qu’elle s’habille de la sorte quand nous recevons ou quand nous sommes invités. C’est un jeu pour elle, je le sais, c’est cette raison que je dis rarement quelque chose. Mais aujourd’hui, réalise-t-elle que c’est un célibataire qui est face à elle ? Un célibataire devenu coureur de jupons, et non des moindres…
Néanmoins, j’apprécie le spectacle qu’elle nous offre, et je constate qu’il en est de même pour Arnault. Je suis en train de me demander si ma chère femme n’est pas en train de nous allumer tous les deux ! Et ce, plus ou moins consciemment…
La conversation porte sur un peu de tout. Je ne sais plus pour quelle raison exacte nous en sommes venus à parler de pilori. Arnault est en train d’expliquer que ça ne se limite pas à un carcan, comme on le voit traditionnellement.
Soudain, Ambre se lève précipitamment :
Dans une cascade de claquements de talons aiguilles, elle se précipite aussitôt vers la cuisine. C’est vrai que ça sent un peu le brûlé, mais honnêtement, je ne m’en étais pas rendu compte. Quelques instants plus tard, elle revient piteusement dans le salon :
Arnault se met à rire, puis il scande :
Je l’accompagne :
Amusé, Arnault intervient :
Notre invité désigne le plafond et ses belles poutres apparentes :
Je lève le nez. En effet, notre plafond aux poutres en bois massif est garni de crochets divers, trace d’une ancienne époque révolue, puisque notre maison était antan une ferme. Je n’y fais plus attention depuis des années que nous vivons ici.
Jouant le jeu, je me lève :
Sans attendre sa réponse, je pars chercher une corde ou deux. Depuis une bonne minute, assez intriguée par la tournure des événements, Ambre ne dit rien, elle nous regarde nous agiter. Je reviens vite avec ce qu’il faut. Arnault me félicite :
Il s’empare de la corde comme s’il voulait sauter avec. Mais c’est le plafond qu’il vise. Au second essai, la corde se niche dans un gros crochet. J’applaudis :
Je ne demande pas plus de détails. Immobile et intriguée, ma femme nous regarde toujours faire. Arnault repousse les verres, les bols et les bouteilles sur le côté. Puis il s’adresse à Ambre :
Amusée, ma femme se prête au jeu, elle se déchausse avant de monter sur la table basse. Aussitôt qu’elle est debout, Arnault lie ses poignets, puis il tire sur la corde, obligeant Ambre à lever les bras. Moi, je reste spectateur. La scène est singulière, mais plaisante. Je n’aurais jamais cru que ces crochets au plafond puissent être utilisés de la sorte, et surtout sur ma femme. Je dois manquer d’imagination !
Se perchant sur une chaise, Arnault fait une sorte de gros nœud. Puis il descend pour venir contempler ce qu’il a mis en place :
Perchée debout sur la table basse en bois massif, les bras d’Ambre sont à présent attachés par une corde au gros crochet rivé au-dessus de sa tête. De ce fait, ma femme est devenue très vulnérable. Tournant plusieurs fois autour d’elle, Arnault et moi contemplons la fautive en silence. L’ambiance est assez électrique…
Une lueur étrange dans les yeux, mains en l’air, poitrine bien en avant, elle nous questionne :
Elle se met à rire. Comme aimanté par la fautive suspendue face à moi, je caresse une de ses jambes par devant. Profitant de l’occasion, Arnault fait la même chose, mais par-derrière. Ambre ne frémit pas, on dirait que ça l’amuse.
Elle ne dit rien quand ma main continue de caresser sa jambe enrobée de soie tout en passant sous sa robe pour remonter un peu plus haut. Après une faible hésitation, la main de notre invité suit le même chemin, s’approchant un peu plus des fesses toujours cachées par le tissu.
Je m’aventure un peu plus haut :
Arnault me confirme :
Puis il s’enhardit, sa main remontant nettement plus haut :
Ce sont maintenant ses deux mains qui s’invitent sous le tissu et qui palpent délicatement le cul rebondi de ma femme qui proteste faussement :
Ce n’est pas la première soirée durant laquelle ma femme se fait palper, c’est déjà arrivé lors d’un réveillon avec des gages, vers quatre heures du matin. Mais il y avait beaucoup plus de monde, et l’atmosphère était différente. Ah oui, et aussi lors de nos vacances en Espagne, c’est vrai…
Un geste en entraînant un autre, glissant sur une longue pente savonneuse, je relève le bas de la robe, afin de dévoiler complètement ses bas noirs, puis sa petite culotte en soie de la même couleur. Je cale le tissu à la hauteur de la taille, ce qui nous permet de bien admirer ce que ma femme cache la plupart du temps.
Le spectacle semble beaucoup plaire à Arnault :
Pour toute réponse, Arnault caresse maintenant avec ferveur les fesses offertes de ma femme qui apprécie l’hommage, même si le contexte est assez particulier. Ambre apprécie visiblement cette ferveur à son égard. Puisque nous en sommes à ce point, je monte le curseur d’un cran :
J’abaisse posément la petite culotte jusqu’aux genoux, ma femme proteste :
Ravi, Arnault abonde dans mon sens :
Voluptueusement, il caresse à nouveau le popotin nu de ma femme, puis emporté par son élan, il pose sa joue dessus, puis se lance dans une débauche de baisers de plus en plus appuyés sur les fesses dénudées. Une fois de plus, ma femme est visiblement ravie de la passion que notre invité lui témoigne sans faux semblant.
Quand il s’arrête, il s’exclame :
Puis il donne une petite claque gentillette et bien sonore sur une fesse qui vibre sous le choc. Ma femme ne dit rien, je sais qu’elle ne déteste pas une petite fessée de temps à autre, mais ça, Arnault ne le sait pas. Moi non plus, je ne savais pas qu’un autre homme que moi pouvait s’offrir ce genre de privauté avec elle. Voyant qu’Ambre se laisse faire, notre invité continue, mais de façon toujours douce, sans forcer, pour le plaisir du son et des masses qui oscillent, sans oublier d’alterner les caresses réparatrices. Je connais bien ce singulier divertissement, mais je n’en abuse pas…
Puis après une dernière caresse sur ses fesses, il vient se poser tout fébrile face à ma femme qui rougit un peu. Une fois de plus, il s’exclame :
Mutine, ma femme répond à ma place :
Ravi de la tournure des événements, Arnault dépose son premier baiser sur le pubis lisse offert. Ambre rougit un peu plus, mais apprécie l’hommage. Le deuxième baiser descend un peu plus, juste à l’orée de sa fente. Il est un peu plus appuyé que le premier. Le troisième se pose carrément sur le haut des lèvres intimes. Enfin, le dernier descend légèrement et est très appuyé. Ambre rougit et son corps est parcouru d’un long frisson.
Un peu gênée, ma femme s’adresse à moi :
Fautif, Arnault se repositionne derrière ma femme, flattant à nouveau ses fesses. Il les caresse longuement, ce qui plaît une fois de plus à Ambre qui se laisse faire. De temps à autre, il donne une petite fessée, puis pour se faire pardonner, il embrasse illico la fesse meurtrie.
Tout en câlinant le cul de plus en plus rouge, Arnault soupire :
Je saisis la balle au bond :
Je me contente de sourire, il existe des questions auxquelles on ne donne pas toujours de réponse. Nous avons rarement utilisé ce genre d’instrument dans nos jeux de couple. Néanmoins, nous possédons deux cravaches, une petite et une grande, achetées toutes les deux au rayon Équitation d’une grande enseigne, ce qui n’a pas été un achat ruineux…
Je reviens vite avec les deux instruments. Ambre frémit.
Aussitôt, Arnault me fait une démonstration avec les deux cravaches. Il n’a pas menti, il sait s’en servir sans faire vraiment mal à ma femme ! Je vois bien qu’il sait se contrôler. Puis j’ai droit à une petite initiation de sa part, durant laquelle il m’explique quelques rudiments utiles et astuces à savoir. J’apprends vite, d’autant que cette pratique me plaît bien.
Parfois, Ambre proteste, mais c’est par pure forme, jouant ludiquement la pauvre esclave martyrisée, ce qui est loin d’être son cas. Je vois bien que tout ce jeu l’excite. Ce que j’avais déjà compris lors de nos précédents jeux de fessée. Cependant, je suis quand même étonné de la tournure de la soirée et de la permissivité de ma femme, mais je ne vais certainement pas y mettre fin !
Quand nous estimons qu’il est temps de passer à l’étape suivante, et après concertation, nous détachons notre jouet vivant pour l’installer sur la table basse recouverte d’un gros duvet que je suis allé prendre dans notre chambre. Assez intriguée, Ambre se laisse faire. Puis, après avoir placé un gros oreiller sous son ventre, nous l’attachons pieds et mains afin que son popotin soit en évidence et en hauteur.
Puis à sa grande surprise, je la bâillonne. La suite peut commencer…
Utilisant les deux cravaches, une grande et une petite, nous alternons les petits coups afin de faire vibrer les chairs comme il se doit. Les frappes alternées échauffent ses fesses, ses cuisses, parfois son pubis et sa chatte. L’autre cravache plus étroite et petite me permet de titiller son clito, voire de s’introduire un peu en elle.
Je montre le bout de ma cravache bien luisante de cyprine. Souriant, notre invité acquiesce :
Durant ce temps, Ambre essaye d’échapper à nos cravaches, à nos mains qui la caressent, qui la pincent parfois, mais attachée comme elle l’est, que peut-elle faire ? Un peu plus tard, je glisse un autre oreiller sous son ventre, le premier s’étant aplati sous son poids. Une fois de plus, ses fesses remontent, puis nous la faisons glisser un peu sur la table basse afin que ses jambes s’écartent plus encore.
Malgré le bâillon, Ambre proteste parfois, mais ses tortillements désespérés augmentent surtout notre excitation ! Je me demande jusqu’à quel point c’est un jeu pour elle, et quelle est la part d’appréhension. Nous sommes clairement entrés dans le domaine du BDSM, mais sans trop d’algésie, tout en soft, ma femme est trop précieuse pour oser dépasser certaines limites !
Délaissant sa cravache, Arnault est en train de malaxer copieusement les deux fesses rougies. On dirait qu’il pétrit de l’argile, ses doigts s’enfonçant dans les chairs débordantes. C’est assez surprenant, mais jubilatoire !
C’est vrai que je découvre là une mignonne cuvette ourlée qui palpite étrangement. J’en déduis que les sens d’Ambre sont aussi tourneboulés que les miens, voire plus.
Ayant murmuré ce qui précède, à ma grande surprise, Arnault s’agenouille, puis le bout de sa langue commence à titiller délicatement l’entrée interdite. Comme elle ne s’y attendait pas (et moi aussi), ma femme pousse un petit cri surpris :
Je ne savais pas qu’Arnault avec une telle prédilection pour la porte d’ébène. La caresse insidieuse semble plaire à ma femme qui se laisse faire sans problème. Je l’entends même soupirer faiblement. Je reconnais que je ne pratique pas souvent ce genre de cajolerie sur ma femme. Entre deux coups de langue, notre invité murmure :
Puis après quelques longues léchouilles, reprenant son souffle, Arnault se redresse, me regardant bizarrement. Puis il dit d’une voix légèrement tremblante :
Puis sans attendre ma réponse, il déballe son engin bien raide qui forme un bel arc de cercle. Je ne suis pas un fan des verges, encore moins un collectionneur, mais je dois reconnaître que celle d’Arnault n’est pas moche, tant s’en faut.
Avec sa salive, il mouille son gland, puis prenant sa tige bien en main, il vient frotter celui-ci sur l’orée de l’anus dévoilé et déjà humecté. Ambre comprend vite la situation. Son premier réflexe est de serrer les fesses, ce qui emprisonne le cinquième membre de notre invité qui n’en prend pas ombrage. Il caresse l’œillet de ma femme avec sa verge bien raide. Appréciant cette nouvelle caresse, elle se détend, semblant accepter cette câlinerie un peu étrange et peu anodine.
Voire plus, si j’en crois les actuelles oscillations de son bassin !
De son côté, Arnault continue son petit manège, sa verge bien pointée vers le petit trou sombre de ma femme. À son regard et son expression, je constate qu’il est pleinement concentré sur ce qu’il est en train de faire. Puis, tournant partiellement son visage vers moi, il murmure :
Combien de fois suis-je passé par là ? Je ne compte plus ! Nous avons même eu une période durant laquelle nous faisions l’amour que par là. Je murmure à mon tour :
Arnault continue de caresser à sa façon la cuvette ourlée de ma femme qui remue doucement du popotin autour de cet intrus. Qu’espère-t-elle ? Que cherche-t-elle ? D’autant que je constate que le gland de notre invité s’appuie de plus en plus, évasant ainsi l’entrée obscure. Ce qui n’empêche toujours pas ma garce d’épouse de continuer son indécent manège.
Ambre a-t-elle vraiment envie d’être enculée par un autre homme que moi ? À moins que ce soit de la provoc ? Mais vu le contexte, c’est une provoc dangereuse…
Arnault pousse un long soupir, puis remballe son attirail après un furtif essuyage. Il tient donc parole. Puis il met une claque sur la fesse rebondie la plus proche :
A-t-il dit ça à cause de l’attitude consentante de ma femme ? Ou pour une autre raison ? En tout cas, je suis secrètement soulagé, et en même temps déçu. Ne me demandez pas pourquoi, je suis incapable de répondre.
Je regarde furtivement l’anus de ma femme, je crois distinguer un peu de liquide brillant, qui ne ressemble pas vraiment à de la salive. Je n’ai pas trop le temps d’y réfléchir, Arnault dit à haute et intelligible voix :
Puis notre invité reprend sa cravache pour zébrer à nouveau le cul rebondi et rougi. Je vois bien qu’il fait attention, qu’il ne frappe pas trop fort, que ce sont plus des caresses qu’autre chose, même si les coups claquent de façon sonore sur la peau. Moi aussi, j’entre à nouveau dans le jeu.
Après quelques longues agaceries souvent retentissantes, nous détachons partiellement notre soumise pour la retourner sur le dos, en répartissant au mieux les deux coussins pour qu’elle soit à l’aise. Au passage, nous en profitons pour lui enlever le peu de vêtements qu’elle a encore sur elle, lui laissant uniquement ses bas autofixants. On ne peut pas dire qu’Ambre se débatte beaucoup ! Tout au plus dit-elle de façon étouffée, pour cause de bâillon :
Puis nous la lions à nouveau, cuisses largement ouvertes, bien sûr. Malgré le bâillon, elle proteste à sa façon avec une conviction que je trouve éteinte et feinte, mais à présent muette. Ce qui ne change rien à notre détermination de continuer notre petit jeu de tortures. Durant ce temps, elle se tortille dans tous les sens. Parfois, je dois revérifier les liens.
Allongée sur le dos, Ambre expose sans protection ses mignons seins aux tétons déjà bien dressés. Bien entendu, notre invité s’en occupe comme il se doit, en les caressant, les palpant, les léchant et les mordillant parfois. Il soupire :
Alternativement, nous nous relayons autour de son clitoris et de ses seins, avec nos mains, nos lèvres, nos langues, et parfois nos cravaches. Sa fente odorante dégouline littéralement, luisante à souhait. Quant à ses tétons qui ornent ses seins largement pétris, ils sont devenus durs comme de l’acier !
Elle gémit, elle supplie, mais nous devinons sans problème que sa jouissance est proche, et qu’elle tente de la juguler. Pour l’instant, elle réussit son dur combat, mais c’est juste une question de temps. Nous nous acharnons sur elle, bien décidés à gagner la partie, et nous sommes deux contre elle, focalisés sur ses endroits les plus sensibles.
Soudain, malgré les liens qui l’entravent, elle se cabre :
C’est le premier gémissement sourd d’une longue série…
Que c’est magnifique une femme attachée qui jouit ! Je n’aurais jamais pensé que ce le soit à un tel point ! Je sens confusément que je suis à un tournant de mes préférences et pratiques sexuelles. Et vu l’expression sur le visage d’Arnault, il apprécie nettement cette victoire. Sa première dans cette pratique ?
À moins que ce ne soit déjà le cas depuis un certain temps… Ce qui ne serait pas étonnant, car notre invité me semble être plutôt à l’aise dans la situation étrange et peu commune dans laquelle nous nous trouvons actuellement. Je ne pense pas que ce soit tous les jours qu’on cravache une femme et qu’on la fasse jouir dans un contexte BDSM.
Ambre s’apaise petit à petit… Elle tremble moins, sa poitrine se soulève moins…
Me penchant sur elle, j’ôte le bâillon, Ambre soupire abondement. Puis avant qu’elle ne puisse prononcer le moindre mot, je pose sans complexe sur ses lèvres ma verge bien raide que je viens d’extirper. Docile, elle ouvre la bouche pour m’accueillir et me sucer, et elle s’y emploie avec application.
Je viens de donner le coup d’envoi pour une nouvelle étape…
Me voyant faire, Arnault se positionne posément entre ses cuisses, il s’accroupit et commence à lécher avec enthousiasme la fente odorante. Ma femme frémit puis ondule sous cette caresse, sans toutefois cesser de me lécher. Elle se raidit bien vite, gémissant doucement, malgré ma verge en bouche. Puis soudain, alors qu’Ambre est proche de la jouissance, Arnault cesse ses léchouilles.
Il se relève, en respirant en grand coup. Sans doute était-il partiellement en apnée.
Je constate que sa verge est bien raide, le contraire eût été étonnant. Puis il me regarde fixement, son sexe bien en avant, prêt à plonger. Je pourrais dire non, mais au point où nous en sommes… Et puis, découvrir que ma femme peut devenir vraiment une libertine me convient, ça ouvre tant de perspectives !
Alors, à la suite de mon léger hochement de tête, il dirige de la main son pieu de chair vers le lieu convoité, puis il s’enfonce sans vergogne dans la fente en liquéfaction, en poussant un long et bruyant soupir de satisfaction. Ambre frémit sous cette intrusion, mais ne ralentit en rien la sucette qu’elle me prodigue. En un rien de temps, la totalité de sa verge disparaît dans les profondeurs intimes et chaudes de ma femme.
Ravi d’être calé au plus profond, il s’exclame :
Puis pour prouver ses dires, il commence à la pistonner longuement, doucement, puis de plus en plus férocement. Ambre ne peut rien dire, puisqu’elle est en train de me sucer, mais elle commence à se masturber, ses doigts frôlant parfois la verge qui la ramone. La situation m’excite tellement que j’ai un mal de chien à me contenir, il faut que je déploie toutes mes ressources pour ne pas inonder tout de suite la bouche de ma femme.
Durant ce temps, Arnauld s’active toujours aussi intensément dans la chatte offerte. Je constate qu’il a une belle santé et une bonne résistance à ce niveau. Sans doute la profusion de ses aventures sans lendemains, et aussi l’assouvissement d’un fantasme qui dure depuis des années… Quant à ma femme, elle frémit doucement, son corps étant parcouru par de longs frissons, signe évident chez elle qu’elle apprécie beaucoup ce qui est en train de lui arriver, sans oublier le plaisir que lui offrent ses doigts. Elle en gémit sourdement malgré ma verge qui occupe sa bouche :
Pour ma part, je suis arrivé au bout de ma résistance : un premier jet fuse dans la bouche de ma femme, puis un autre suit le même chemin. Avant de me laisser aller complètement, j’ai le temps de gronder à l’attention de ma suceuse :
Puis je sombre dans mon égoïste jouissance, flottant par-dessus les nuages, si haut, si puissant ! Je me vide inlassablement dans la chaude bouche de ma femme tandis qu’elle se fait entreprendre par un autre homme. C’est l’une des définitions de salope, je crois. Ma femme est donc devenue une salope, et ça me plaît énormément qu’il en soit ainsi ! On dit que les salopes sont les meilleures, j’aurais sans doute confirmation d’ici peu…
Dans le brouillard tiède qui m’enveloppe, j’entends Arnault s’exclamer :
Tandis qu’il jouit en elle, se déversant sans contrainte, je constate plus ou moins distinctement qu’Ambre enserre Arnault entre ses jambes, les nouant dans son dos, l’attirant férocement en elle, comme pour l’empêcher de partir. Oui, ma femme a basculé, elle aussi…
Ambre a tellement basculé qu’une longue plainte étouffée de jouissance s’échappe de ses lèvres qui enrobent toujours ma verge molle !
Elle sait maintenant s’offrir à un autre homme que moi, et ceci, devant moi…
Puis naturellement, nous les hommes, nous avons inversé nos places. Nos verges déjà à nouveau durcies se sont installées aisément dans une bouche et dans une chatte, toutes les deux très accueillantes. C’est la première fois de ma vie que je ramone ma femme dans le sperme d’un autre. La sensation est curieuse, étrange, même si ce n’est pas la première fois que je baise ma femme dans un endroit poisseux et gluant. Mais avant, il s’agissait de mon sperme, pas celui d’un autre.
À prime vue, Ambre n’a pas rechigné à sucer une queue visqueuse, mélange de cyprine et de sperme, tandis qu’Arnault s’occupe de ses seins, jouant avec ses tétons bien dressés. On dira qu’elle fait ça dans le feu de l’action, comme si nous étions dans un monde parallèle. Il est vrai que flotte dans l’air quelque chose d’irréel, comme si j’étais dans un jeu vidéo.
Je redescends un peu sur terre, dans notre monde, quand j’entends Arnauld dire :
Sans m’arrêter de pistonner ma nouvelle belle salope en devenir qui se masturbe posément, ses doigts virevoltant autour de son clitoris, je réponds placidement :
Entre nous deux, Ambre suce et se laisse baiser par deux hommes en même temps comme si c’était naturel. Ses jambes encadrent mes hanches, tandis que je m’enfonce toujours un peu plus loin en elle, mon pouce câlinant son clitoris en feu, conjointement à ses doigts. Soudain, ses gambettes se nouent autour de mes reins. Je devine que la jouissance est proche pour elle.
Quand elle pousse son premier cri, abandonnant son petit bouton rose, je me vautre sur elle, pour bien la posséder, tout en écrasant ses seins. Arnault a juste le temps d’ôter sa main. Moi aussi, je me laisse aller, je veux remplir cette catin de mon sperme, le mélanger à celui de cet autre homme qu’elle vient d’accueillir en elle !
Quelques secondes plus tard, ce sont trois jouissances qui se mêlent les unes aux autres, tourbillonnantes, tournoyantes, virevoltantes dans l’atmosphère surchauffée.
Comme je le disais au début de ce récit, parfois, sans qu’on s’y attende, on peut se retrouver dans une situation pas du tout prévue au programme. Ce qui nous arrive actuellement est peu commun, du moins pour la majorité des personnes.
Puis on redescend sur terre et on réalise ce qui vient d’arriver. Plusieurs attitudes sont possibles :
Peut-être ai-je oublié des variantes.
Tiens, en parlant d’oublier, nous avons carrément zappé le repas. Il faut dire que nous avions nettement mieux à faire…
Revenons à nos moutons. Pour ma part, j’adopte l’attitude : j’y suis, j’y reste. Et j’assume aussi de A à Z, sans réserve. Ce qui vient d’arriver est une occasion trop rare pour qu’on la gâche. Je n’ai peut-être pas une grosse expérience en libertinage, elle est d’ailleurs nulle, je ne m’en cache pas, mais la consultation de certains forums m’a ouvert les yeux sur certains points. Mais je ne pensais pas appliquer de sitôt ce que j’y avais lu !
Curieusement, c’est moi qui mène la barque :
À ma grande satisfaction, jouant le jeu, Ambre répond d’une voix docile :
Sur mon ordre, Ambre s’agenouille sur le canapé, présentant bien ses fesses, ses seins plaqués sur le cuir des coussins. Son cul est ainsi pleinement offert. De son côté, Arnault est totalement parlant pour ce genre d’expérience avec ma femme, le contraire m’aurait étonné !
Toujours aussi directif, je lui dis :
Il se met comiquement au garde-à-vous :
Comme tout à l’heure, après l’avoir lubrifié (merci le beurre), Arnault utilise son sexe bien raide, appuyant son gland contre la cuvette ourlée de notre soumise commune qui remue doucement du popotin autour de cet intrus. Il recommence ses caresses de tout à l’heure. Le gland de notre invité s’appuie de plus en plus, évasant ainsi l’entrée obscure.
Ambre pousse un petit cri quand le gland disparaît entre ses fesses. Ça y est : après sa bouche et sa chatte, c’est au tour de son cul d’être visité par un autre homme que moi. Elle me regarde intensément, elle a pleinement conscience que nous avons franchi ce soir une étape supplémentaire, et non des moindres.
Elle se cabre quand la moitié de la nouvelle verge s’enfonce irrésistiblement en elle. Un autre cri assourdi, puis c’est tout le mandrin intrusif qui se cale complètement en elle. Ambre soupire un bon coup, il est vrai qu’Arnault possède un engin plus long que le mien, mais néanmoins plus fin.
Bien calé au chaud et à l’étroit, notre invité s’exclame :
À cette évocation, je demande à ma femme qui supporte stoïquement cette nouvelle avanie :
Elle marque une légère pause, puis elle enchaîne :
Elle grimace un peu. Je change de ton, passant du mari au Maître :
Elle me regarde toujours intensément :
Impérial, je me tourne vers Arnault :
La bouche ouverte, investie par cette nouvelle verge, Ambre ouvre de grands yeux, tandis que notre invite la ramone lentement sur toute sa longueur. Puis il accentue le mouvement. J’en profite pour m’asseoir à côté de ma femme, la colonne bien en évidence. J’attends un peu, admirant ma femme se faire sodomiser, contemplant les diverses expressions qui chatoient sur son visage, de voir un certain plaisir s’installer en elle…
Oui, ça plaît visiblement à ma femme de se faire royalement enculer par un autre homme, tandis que son mari la contemple. Moi aussi, ça me plaît. Je songe fugacement à tout ce que nous pourrons bientôt faire autrement. Mais ne brûlons pas trop vite les étapes…
Après quelques longs instants, je lance :
La suite se montre assez acrobatique, avec une femme qui se déplace lentement vers moi, tandis qu’un homme reste empalé en elle, un déplacement à quatre jambes et à quatre mains, comme une sorte de grosse araignée humaine !
Je cligne des yeux, j’ai franchement de ces idées stupides !
Tant bien que mal, à moitié accroupie autour de mon bassin, Ambre se positionne par-dessus ma verge, puis une fois ses lèvres en contact avec son gland, elle se laisse choir. Je serre les dents une première fois quand sa vulve englobe ma tige, puis une seconde quand son pubis heurte le mien.
Soupire-t-elle quand j’arrive au fin fond. Je découvre une certaine lueur dans ses yeux qui semblent me dire « bien fait », une sorte de vengeance par rapport à tout ce que nous lui faisons subir depuis un long moment. Je lui souris, je capture ses seins entre mes doigts rapaces. Totalement comblée devant et derrière, elle laisse échapper :
Elle marque une courte pause, puis elle ajoute avec une pointe de défi :
Bien planté en ma récente soumise, sentant l’autre verge la pistonner à travers la mince paroi, je malaxe copieusement ses seins :
Ma femme n’a pas tort, je le reconnais. J’agrippe ses seins et je la force à se pencher un peu plus sur moi, ses lèvres proches des miennes, tandis qu’Arnault continue de labourer joyeusement son entrée des artistes :
Les yeux luisants, elle sourit :
C’est ainsi que nos vies ont pris un gros virage, un très agréable et fort excitant virage. Tel que nous sommes partis, je ne pense pas qu’elle et moi opérerons prochainement un demi-tour…
Et la route devant nous est si vaste…