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n° 20717Fiche technique20202 caractères20202
Temps de lecture estimé : 11 mn
19/01/22
Résumé:  Un match "Tinder". Une rencontre avec Samantha, touriste américaine à Paris. Premiers ébats et fantasmes prometteurs.
Critères:  fh couleurs caférestau voyage fellation cunnilingu préservati pénétratio -occasion -internet
Auteur : Grizzli            Envoi mini-message

Série : Samantha, Américaine délurée à Paris

Chapitre 01
Première rencontre avec Samantha

L’histoire que je vais raconter s’est passée à la fin du printemps 2018. Une époque où l’on voyageait encore librement à travers la planète et où aucune attestation de sortie n’était nécessaire – pas plus que de passe sanitaire – pour se promener dans les rues et entrer dans un bar. C’était un temps d’insouciance où le concept de distanciation sociale n’avait pas cours.


J’avais alors trente-quatre ans, un emploi de consultant en organisation qui ne m’enthousiasmait pas, mais qui avait le mérite de remplir le frigo d’un studio dans le 11e arrondissement de Paris. À cette époque, célibataire depuis une grosse année et d’une nature plutôt introvertie, j’avais néanmoins une libido à combler, et une envie d’interactions sociales avec des personnes du sexe opposé.


Les applis de rencontres vinrent à mon secours : je créai alors des profils sur deux d’entre elles. Faisant défiler les profils, j’étais parfois gratifié par la notification d’un nouveau « match » sur mon téléphone. La conversation démarrait alors avec la demoiselle qui avait aimé mon profil, souvent s’interrompait au bout de quelques échanges qui tombaient à plat, et parfois se poursuivait de manière plus fluide, menant finalement à une rencontre autour d’un verre.


Je fis ainsi quelques rencontres, certaines passables, voire gênantes, d’autres mémorables. Celle que je m’apprête à relater tombe dans la seconde catégorie.




*******




Mardi, 10 h 30. Déjà une heure que je suis coincé dans cette réunion qui s’éternise. Certains collègues ont plus de talent pour faire durer les discussions que pour travailler et délivrer leurs objectifs… Soudain, mon téléphone vibre brièvement dans la poche de mon pantalon, signe d’une nouvelle notification. Je jette discrètement un œil sur mon portable : il s’agit de l’application de rencontre installée il y a quelques mois, qui m’annonce en anglais que « Samantha a retourné mon like ». Je ne peux décemment ouvrir Tinder en pleine réunion et dois donc prendre mon mal en patience pendant la presque demi-heure qui suit avant que mon chef ne clôture finalement les débats, sans que je parvienne à comprendre ce qu’on doit en conclure.


À peine réfugié dans mon bureau, j’ouvre le profil de Samantha pour en apprendre un peu plus sur cette personne. Le profil est succinct. J’apprends néanmoins que Samantha est de nationalité américaine et d’origine ghanéenne, qu’elle a trente-six ans, qu’elle est en vacances en France et à Paris pour quelques jours, qu’elle aime le yoga, la course à pied et le vieux rock’n’roll. Je fais défiler ses photos de profil. La première la présente en train d’exécuter une pose de yoga : elle semble grande, à la fois élancée et musclée par une pratique sportive assidue, souple, la peau mate. Sur la photo suivante, elle est accoudée à un bar, un cocktail devant elle, ses grands yeux séducteurs aux longs cils soulignés d’eye-liner plongés vers l’objectif. Dans le troisième cliché, elle pose en robe de soirée, visiblement dans un grand hôtel. Sa classe paraît naturelle et son choix vestimentaire témoigne d’un goût sûr.


Enthousiaste à la vue de ces clichés et des quelques lignes de présentation, je démarre la conversation de manière somme toute bien banale :



Quelques minutes plus tard, sa réponse apparaît :



Je réponds donc (je traduis désormais en français la suite de la conversation tenue en anglais) :



La conversation se poursuit sur un ton léger pendant quelque temps, jusqu’à ce que je prenne l’initiative :



Durant le reste de la journée, et le lendemain, nous poursuivons nos échanges, d’abord sur l’appli, puis sur WhatsApp pour plus de commodité. Le courant passe, la conversation est fluide, les sous-entendus prometteurs.


Finalement, nous nous retrouvons devant le bar à vin le mercredi soir, à 20 h. Samantha est habillée d’une longue robe colorée fendue qui laisse subtilement apparaître ses jambes finement galbées par une pratique sportive intensive, et de sandales à talons hauts qui me font un effet certain.


La soirée commence chaudement. Il va falloir que je me calme et que je temporise. Difficile lorsqu’on est accompagné d’une si belle femme et que les messages échangés laissent peu de doute sur les envies de chacun, manifestement convergentes. Nous nous asseyons en terrasse, dans un coin relativement en retrait de l’agitation, et commandons une bouteille de vin et une planche mixte pour accompagner l’alcool.


Assise, la robe de Samantha s’ouvre pour dévoiler plus largement sa cuisse droite. La conversation commence sur un ton amical, mais plus réservé que sur l’appli du fait de la proximité physique. Samantha me raconte sa vie à Philadelphie, ses espoirs déçus de sport de haut niveau, son ras-le-bol de son dernier boulot dans une agence de communication, finalement, sa démission et son idée de voyage en France, pause méritée avant de démarrer un nouvel emploi dans un magazine culturel dont elle espère qu’il s’avérera plus épanouissant.


Je fais de même : j’explique rapidement mon travail, conte mes derniers voyages – dont un road trip en van en Scandinavie –, m’attarde sur mes endroits préférés à Paris et mes recommandations de visites. À l’énoncé de la liste des musées à visiter, Sam rebondit sur un ton plus coquin :



À cette nouvelle suggestion, je fais un bond sur ma chaise, avale une gorgée de vin pour dissimuler mon trouble. Me ressaisissant, je réponds :



Pendant cette discussion, je caresse légèrement la cuisse de ma partenaire, qui répond en se tournant davantage vers moi. Posant sa main sur mon épaule, elle dit :



Je renforce l’intensité de mes caresses, apprécie le grain fin de sa peau. Notre désir monte. Je me penche vers elle, qui tend sa bouche vers la mienne. Nos lèvres se rencontrent. Nous échangeons quelques baisers légers, sensuels. Je darde ma langue, elle fait de même et gémit son appréciation. Sentant que la situation commence à déraper, nous cessons notre baiser, sans rompre le contact physique pour autant, et reprenons notre discussion.


Celle-ci se fait plus explicite, nos caresses plus appuyées, à la limite de la décence pour un tel endroit public. Nous convenons de nous rendre dans un club libertin le vendredi soir et de réserver le cabaret pour le samedi. La bouteille finie, les esprits et les corps passablement échauffés, je lui demande si elle souhaite un autre verre, ici ou ailleurs.



Après avoir réglé, nous nous dirigeons donc vers mon appartement qui n’est situé qu’à une quinzaine de minutes à pieds. Je lui demande si elle souhaite qu’on appelle un Uber, mais vu la courte distance, elle préfère marcher. Je passe mon bras autour de sa taille et elle se laisse aller contre mon corps. Le désir monte, je bande dur. Nous marchons ainsi enlacés pendant quelque temps, nous embrassant régulièrement. Arrivé dans une ruelle plus sombre et moins fréquentée, j’attire Samantha sous un porche dont j’ai repéré la porte, mal fermée. Nous nous engageons dans l’entrée de l’immeuble et, protégés par l’obscurité, nous pouvons donner libre cours à notre passion.


Samantha presse son long corps ferme contre le mien, plonge sa langue dans ma bouche. Je caresse ses cheveux, son visage, son dos. Mes mains descendent au creux de ses reins, saisissent son cul. Elle gémit, projette son bassin contre le mien, sent ma verge gonflée d’envie contre son ventre. Nous nous frottons l’un contre l’autre, terriblement excités. Je remonte mes mains le long de son bassin, caresse à nouveau son visage, descends le long de son cou. M’écartant légèrement, j’effleure ses seins. La sentant réagir positivement, j’appuie davantage mes caresses. Elle gémit de plus belle. Samantha profite de la situation pour caresser mon entrejambe à travers le tissu du pantalon. Ses va-et-vient le long de ma verge, la chaleur de sa main m’excitent, je durcis encore davantage.


Pour ma part, je pose de délicats baisers sur son cou, descends sur sa poitrine, lèche le pourtour de ses aréoles. J’entreprends de malaxer sa poitrine. Puis, je saisis délicatement les bretelles de la robe, les fais glisser le long de ses bras, dévoile deux superbes seins. Je titille ses tétons, les aspire à pleine bouche. J’empaume ses deux magnifiques globes alors qu’elle continue de masser mon membre dur. Nous nous caressons ainsi pendant quelques minutes puis, n’y tenant plus, j’abandonne sa poitrine, plaque Samantha contre le mur, l’embrasse à pleine bouche. Sauvagement. Je redescends mes mains le long de ses reins, empoigne ses globes fessiers. Alors, je remonte sa jupe, glisse une main sous sa culotte, malaxe ses fesses. Sam, se frottant contre mon entrejambe, m’encourage d’un feulement suggestif. J’y réponds par un grognement d’excitation. Mes doigts tracent le contour de ses fesses, plus bas, jusqu’à rencontrer une moiteur. Je plonge l’index dans sa grotte brûlante, elle mord ma lèvre. J’entreprends de la doigter, la sentant onduler au gré de mes va-et-vient.


Pendant de longues minutes, nous nous caressons ainsi. Samantha peu à peu ralentit ses attouchements sur mon corps en feu, concentrée sur ses sensations. Soudain, elle se cambre, tétanisée. Elle jouit. Je sens un flot de cyprine glisser le long de ma main. Je poursuis plus doucement mon mouvement, la laissant à son orgasme. Enfin, elle se détend. Je sors ma main de sa culotte, goûte sa mouille sur le bout de mes doigts, m’enivre de son odeur. Elle me repousse, glisse le long du mur en laissant ses mains descendre sur mon torse, mon ventre, jusqu’à mon bassin.


Accroupie devant moi, elle défait la boucle de ma ceinture, ouvre la braguette, descend mon pantalon. Elle saisit mon membre encore couvert par le caleçon, le branle un moment, puis me débarrasse du dernier vêtement, qui tombe sur mes chevilles. Alors, elle me prend en bouche. Cela fait plusieurs heures que nous flirtons, échangeons des propos coquins, nous caressons. Mon excitation en est presque douloureuse. Sa chaleur, le contact de ses lèvres et de sa langue manquent de me faire défaillir. Je me ressaisis. Elle commence à me sucer, lentement, la main fermement enroulée à la base de ma verge. Sa langue imprime de petits mouvements de va-et-vient sous mon gland. C’est bon. Trop bon.


Elle sent que je suis sur le point de jouir, et ralentit à nouveau. Elle me laisse retrouver un semblant de contenance avant de se mettre à me lécher – de la base du pénis jusqu’au gland – plusieurs fois. Enfin, elle me reprend en bouche, me pompe plus fort, plus profondément, me branlant d’une main, me malaxant les couilles de l’autre. J’annonce ma jouissance imminente. Elle plonge son regard dans le mien, suce de plus belle. Soudain, mon pénis se tend. Elle sort ma queue de sa bouche, dirige le jet vers ses seins libres. Elle me branle de plus belle avec sa main droite, la gauche toujours sous mes bourses. Je me déverse sur sa superbe poitrine dans un long râle animal.


Rarement, j’ai eu un orgasme d’une telle intensité. Mes jambes tremblent, je tiens à peine debout. Enfin, elle se relève et me dit :



Je trouve un paquet de Kleenex, nous nous rajustons. Je contemple ma partenaire, stupéfait de ma chance d’avoir rencontré cette déesse. Nous reprenons notre route vers mon domicile désormais tout proche, sans cesser de nous caresser. Nous nous engouffrons dans l’ascenseur, reprenons nos étreintes. Mon membre reprend de la vigueur.


Arrivés chez moi, nous nous dirigeons rapidement vers la douche. J’ouvre le robinet, laisse l’eau chauffer. Ce faisant, j’embrasse Samantha, fais glisser sa robe le long de son corps. Elle se retrouve en talons et petite culotte, un charmant tanga en dentelle blanche qui met délicieusement en valeur sa carnation mate. Je me repais de cette vision fantasmatique, caresse ma partenaire de plus belle, fais lentement descendre ma langue le long de son corps. Je m’arrête sur le creux de son nombril. L’embrasse. Elle apprécie. Puis je reprends mon chemin vers la source du plaisir, franchis l’aine, longe une cuisse, remonte vers l’entrejambe. Je fais glisser son tanga, découvre l’objet de mes convoitises surmonté d’un fin duvet soigneusement entretenu.


Je poursuis mon exploration de cette zone interdite, mes mains fermement agrippées à ses fesses fermes. Peu à peu, je me rapproche de son bouton de plaisir. Enfin, ma langue rencontre son clitoris. Durant de longues minutes, je le titille, le lèche, le suce. Je lèche sa vulve, sens sa moiteur qui s’écoule du gouffre chaud que je devine sous ma langue. Remonte sur le clitoris. Insère un doigt dans son vagin. Elle gémit. Un deuxième. Elle ondule. Imprime un mouvement de piston. Elle accélère. Je suce de plus belle son clitoris, le fais sortir de sa gaine protectrice, le taquine de petits coups de langue. Elle agrippe ma tête à pleines mains. Me presse contre son intimité. J’accélère… Soudain, tout son corps tremble. Elle crie sa jouissance. Je bois son plaisir. Je poursuis mes caresses intimes, ralentis le rythme. Elle retrouve ses esprits, un rire irrépressible la submerge. Je suis au paradis.


Finalement, nous entrons dans la douche. Sous le jet, nous nous embrassons, nous murmurant à l’oreille des mots tantôt doux, tantôt cochons. Nous nous savonnons mutuellement, explorant nos corps respectifs. La soirée n’est pas finie. Nous savons tous deux ce que la nuit nous réserve. Elle murmure : « viens au lit, je veux te sentir en moi ».


Nous sortons donc de la douche, nous séchons. J’admire son corps splendide, le contraste de la serviette blanche sur sa peau foncée. Enfin, j’entraîne Samantha vers la chambre. À peine arrivés, nous reprenons nos caresses, nos embrassades. Je sens ma partenaire encore humide sous mes doigts. Elle saisit mon membre, le branle quelques instants avant de me pousser sur le lit. Elle s’agenouille entre mes jambes, m’embouche. Je ferme les yeux. La sensation est divine. Ses lèvres, soyeuses, glissent le long de ma verge dressée. Elle pompe de plus belle, profondément, ralentit le rythme, se fait mutine. Enfin, me sentant prêt, elle me rejoint sur le lit. J’enfile un préservatif pendant qu’elle s’allonge. Les jambes écartées, elle m’enlace.



Je ne me fais pas prier et m’enfonce au plus profond de sa chatte brûlante. J’étouffe un râle de bonheur. Je m’immobilise, profite de la sensation que me procure ce fourreau. Ne comptant pas en rester là, Samantha tente d’imprimer un mouvement de piston. Je comprends son envie, commence à lui faire l’amour.



J’accélère. Pendant de longues minutes, nous baisons sauvagement, assoiffés par le corps de l’autre. À un moment, elle serre ses jambes puissamment autour de mon bassin, m’attire au plus profond d’elle. Elle me griffe le dos, grogne sa jouissance. Je la sens se convulser sous mon corps. Soudain, elle me repousse.


Je bascule sur le dos. Elle me chevauche, s’empale sur ma bite. J’en profite pour saisir ses seins, ses fesses, caresser son ventre. Au comble de l’excitation, je réprime un râle. Elle me dit « Jouis ! », continue sa cavalcade. Enfin, tout mon corps se tend. Je jouis. Je me répands dans le préservatif en attirant Samantha contre moi. Nos mouvements ralentissent, nos ébats se font « câlins ». Nous nous endormons enlacés.


Le lendemain matin, nous sommes réveillés par la sonnerie de mon téléphone : je dois aller au bureau. Nous partageons un petit-déjeuner, profitons du café pour nous dire combien nous avons apprécié cette soirée de folie. Samantha me dit que pour notre prochaine soirée, elle veut me sentir complètement en elle, sans la barrière du préservatif. Elle prend la pilule. Nous convenons de faire des tests de dépistage IST dans la journée. Finalement, je dois partir, j’ai une réunion à 9 h. En bas de mon immeuble, une dernière étreinte avec Samantha me redonne une trique que je tente de dissimuler alors que je me dirige vers le métro.



À suivre…