n° 20722 | Fiche technique | 16143 caractères | 16143Temps de lecture estimé : 10 mn | 20/01/22 |
Résumé: Une rencontre et de doux moments à deux. | ||||
Critères: fh essayage hsoumis exhib pied caresses fellation cunnilingu pénétratio -totalsexe | ||||
Auteur : Piewy Envoi mini-message |
Mon histoire commença il y a quelques mois au cours d’un concours d’équitation. Mais je me présente d’abord, je m’appelle Pierre, divorcé, début quarantaine et moyen physiquement.
Ce jour-là, mon club organisait un concours et j’avais la charge de remettre certaines coupes et médailles. Ce fut là que je l’ai vu pour la première fois. Elle avait fini deuxième de sa catégorie et j’étais missionné pour récompenser les trois jeunes femmes. Dès que le speaker l’annonça, je m’approchai et étais fasciné par sa beauté. Mais lorsqu’elle ôta son casque et laissa ses cheveux de feu (un superbe roux) s’écouler en cascade sur ses épaules, j’en perdis mes moyens ; ce fut en balbutiant que je lui glissai sa médaille autour du cou, et une décharge électrique nous surprit quand je lui fis la bise. Elle éclata de rire et moi je rougis.
Après la remise des prix, je perdis Sophie (j’ai juste retenu son prénom) de vue et ne la retrouvai pas de la journée, sauf l’une ou l’autre fois où j’entraperçus sa chevelure dans la brise légère, ainsi que sa silhouette pleine de grâce.
Cette nuit-là, je fis un rêve d’elle des plus érotiques et je me réveillai le sexe en érection comme il l’était rarement dans de mêmes circonstances, et je jouis en fantasmant du corps parfait de Sophie. Les semaines suivantes, son image m’obséda et mon travail en pâtit… tout cela à cause d’une jeune femme que je n’allais peut-être jamais revoir.
Le hasard fit malgré tout bien les choses… Car un jour, alors que j’entrai dans un magasin de lingerie pour acheter un nouvel ensemble pour ma maîtresse, mon regard alla vers les cabines d’essayage et j’eus la chance d’entrevoir, par un rideau mal fermé, une jeune femme dans des dessous sages à fleurs (string et soutien-gorge), mais aussi ses beaux cheveux roux. Ces cheveux… Ce fut ce qui me fit attendre, immobile, la dentelle noire que j’avais choisie dans les mains.
Quand elle apparut, je la reconnus tout de suite. Dès qu’elle m’aperçut et me sourit, je me sentis rougir, tout comme elle… et nous partîmes dans un fou rire. Elle vint vers moi pour me dire bonjour et nous commençâmes à parler de tout et de rien en allant à la caisse pour payer. Elle me complimenta sur mon achat : un string avec un bustier qui permettait de voir plus qu’il ne cachait ; mes joues en reprirent de la couleur.
En sortant du magasin, on se promena en discutant équitation et cheval (notre passion commune), et en passant devant un café, je l’invitai à boire quelque chose. Par politesse, je la laissai entrer la première et en profitai pour admirer ses fesses, superbement moulées dans son jean serré, qu’elle mettait en valeur par un beau déhanchement.
On alla s’asseoir au fond du bar dans un endroit discret, et ce fut avec un sourire plein de sous-entendus qu’elle prit place face à moi. Après avoir commandé, nous reprîmes notre discussion, mais j’en perdis un peu le fil, la vision de ses fesses encore à l’esprit.
Nous reçûmes nos boissons et elle entreprit de siroter la sienne à la paille en me regardant dans les yeux avec malice, puis elle me demanda tout à coup :
Je rougis, mais ne pus que répondre :
Sophie ayant lancé la conversation, j’osai lui dire que la vue était superbe avec le dessin de sa culotte sur ses courbes ; elle m’assura qu’elle serait encore bien mieux avec un string en dessous… Je lui fis un grand sourire pour toute réponse.
Sophie s’excusa pour aller aux toilettes, je suivis bien sûr du regard son déhanchement. Avant de disparaître, elle tourna la tête et me fit un petit signe accompagné d’un sourire radieux.
En revenant s’asseoir, elle se pencha par-dessus la table pour prendre place, et par la même occasion, m’offrit un panorama sur sa poitrine. Le chemisier s’était un peu plus ouvert pendant son absence et, voyant le galbe de ses seins, je supposai que le soutien-gorge s’était envolé… il devait être dans son sac, car elle l’avait pris avec elle. Elle finit son verre puis me proposa de poursuivre notre promenade.
Nous nous levâmes et je la laissai passer devant moi pour prendre congé. Mon regard dut s’y prendre à deux fois pour constater que la marque de sa culotte avait disparu, il n’y avait pas que son soutien-gorge qui s’était envolé durant son séjour aux toilettes !
Une fois sortie, elle s’approcha de mon oreille et me murmura :
Ma main glissa dans son dos jusqu’à ses fesses et sentit la présence d’un string, je lui répondis :
Elle partit dans un éclat de rire. Nous continuâmes notre ballade, bras dessus bras dessous, ma main sur sa hanche et mes doigts cherchant de temps en temps le contact de sa peau. Puis n’y tenant plus, dans une rue peu fréquentée, je la serrai contre moi pour un premier baiser brûlant, un baiser qui ne s’arrêtait plus ! Mes mains caressèrent son dos et ses fesses, puis remontèrent pour effleurer ses seins, dont les pointes durcirent, libres sous son chemisier.
Hélas, nous devions nous quitter, j’avais rendez-vous avec ma copine du moment, et elle, elle sortait avec des amies le soir. Nous échangeâmes malgré tout nos tél. et nos emails, ainsi qu’un baiser plein de promesses et de désirs inassouvis.
Invité à dîner en tête à tête, je m’y rendis en songeant à Sophie. Au cours de l’apéro, je lui offris le cadeau que j’avais acheté quelques heures plutôt. Elle était ravie et souhaita l’essayer de suite, ce que j’acceptai avec plaisir. Elle alla dans sa chambre pour se changer et je la vis réapparaître quelques minutes plus tard, toute de noir vêtue (ce qui est en grand mot) : un haut qui ne couvrait rien au-dessus de sa poitrine et qui laissait entrevoir à travers la dentelle ses aréoles, un bas dans le même style et dont la finesse permettait de distinguer sa toison de blonde, ses fesses étaient sublimées par le string et elle avait ajouté des bas noirs et des talons aiguilles pour mettre ses jambes en valeur. Ce spectacle réveilla mon désir de sexe. Je lui confiai mon admiration envers son merveilleux corps et l’attirai à moi pour l’enlacer, mais avant que j’eusse le temps d’explorer ses formes, elle me repoussa et me dit :
Je ne pouvais refuser une telle offre. Je reconnais avoir oublié le menu, mais je me souviens très bien de l’appétissante serveuse et compagne de ce repas, qui ne manqua pas une occasion de m’exciter, toujours davantage, soit par des déhanchements très évocateurs, soit quand elle était assise et qu’un de ses pieds se risquait agacer mon entrejambe. Après avoir pris le dessert, elle me convia à m’installer sur le canapé pendant qu’elle finissait de débarrasser la table, refusant mon aide.
Je l’entendis s’agiter puis venir derrière moi en me disant de ne pas bouger tout en me mettant un foulard sur les yeux ; je ne voyais plus rien, mais mes oreilles se dressèrent pour écouter le moindre de ses mouvements, comme celui du crissement de ses bas.
Elle posa sa main sur mon épaule puis, du bout des ongles, passa de l’une à l’autre en faisant le tour du canapé pour me faire face. Ses doigts glissèrent dans le col de ma chemise, en ouvrirent un à un les boutons et en écartèrent les deux pans. Après l’avoir retirée, Brigitte m’intima de ne plus bouger et de ne rien tenter si je ne voulais pas la voir repartir. Je lui affirmai que ce n’était pas mon intention et que j’avais trop envie qu’elle poursuive.
Brigitte posa alors ses mains sur mes épaules et, avec ses ongles, me caressa, des poils de la poitrine aux pointes de mes seins qu’elle pinça doucement. Un frisson me parcourut et une plainte-plaisir sortit de ma bouche.
Elle continua et descendit sur mon ventre qui se crispa. Mon corps se tendit comme pour lui dire : « Encore plus bas ». Ses attentions arrivèrent sur mon jean. Lentement, elle défit la boucle de ma ceinture pour ensuite ouvrir un à un les boutons de mon pantalon, ce qui révéla la bosse qui s’était formée dans mon boxer. Elle empoigna ces deux vêtements au niveau de mes hanches, je soulevai mes fesses pour lui permettre d’ôter l’ensemble. Ce fut en un mouvement brusque qui me surprit qu’elle baissa le tout à mes chevilles. Brigitte émit un « hummm » de satisfaction en accueillant ma nudité. Elle écarta mes genoux et je sentis son souffle sur ma verge qui se dressa encore un peu plus.
Je m’attendais à une attention de sa bouche toute proche, mais la seule chose à laquelle j’eus droit fut un « Il va falloir que je te rase un jour ! ». Me voilà entièrement nu et aveugle devant elle, à sa merci avec un plaisir que je ne pouvais dissimuler.
Après un moment, alors que je n’entendais plus que sa respiration, elle posa de nouveau sa main sur moi, mais cette fois au niveau de mon sexe, qu’elle frôla du bout des doigts, de tout son long, il devint dur et s’allongea. Elle descendit ensuite flatter les testicules, et enfin mon périnée d’un ongle sur mon anus qui se contracta sous la caresse. Elle me demanda d’ouvrir la bouche et de sortir la langue… Hummm, j’allais pouvoir m’occuper de ses seins ! Mais non, ce fut un doigt parfumé et humide de son désir qui s’y échoua, je le léchai et le suçai avec délectation… Mon sexe durcit encore à l’annonce du plaisir auquel j’allais avoir droit.
Brigitte me demanda de me coucher sur le tapis devant le canapé, elle me laissa m’y glisser, puis reprit son ouvrage sur mon sexe. Tout à coup, sa langue entra en contact avec lui et ses lèvres se refermèrent sur mon gland. Il frémissait dans sa bouche alors que ses doigts caressaient mes testicules, j’avais du mal à me retenir. Elle le remarqua et m’abandonna brutalement. J’émis une protestation :
Mais rien n’y fit, je l’entendis bouger sans savoir ce qu’elle faisait. Elle me dit alors :
Et je la sentis qui descendait sur moi, les genoux autour de ma tête et ses lèvres qu’elle tenait écartées vinrent contre les miennes qui s’ouvrirent pour la boire. Ma langue s’insinua entre pour goûter à la source sa cyprine. Brigitte se pencha pour que j’atteigne son clitoris qui attendait sa part de douceurs.
Ma langue tourna autour et le fit bouger dans tous les sens. Les gémissements se firent de plus en plus forts, mais quand je le lui mordillais, c’était un cri de plaisir qui la faisait se cabrer sous l’onde qui la secouait. J’en profitai pour faire une feuille de rose (caresse que je sais qu’elle aime aussi) avant de revenir sur son sexe trempé.
Ma bouche s’ouvrit en grand pour sucer ses petites lèvres et ma langue stimula encore plus son clito. Un « ouiiiiiiiiiii » sortit de sa gorge pendant l’orgasme et je bus sa jouissance. J’étais trempé du nez au menton de son plaisir. Elle s’écroula sur moi, son souffle chaud et rapide sur mon sexe ne faisait qu’accentuer la raideur de celui-ci.
Après avoir repris chacun un peu notre souffle, elle empoigna mon sexe et me masturba doucement ; sa langue vint recueillir sur mon gland les gouttes de mon bonheur. La mienne, à son tour, se réactiva sur son petit bouton, mais elle me stoppa et me dit de ne pas bouger. Elle se leva, je la sentis se placer au-dessus de mon sexe qu’elle saisit à pleine main pour le mettre à la verticale et en contact avec ses lèvres humides. Elle fit glisser mon gland sur son clito, puis entre ses lèvres entrouvertes, mais sans que je pusse m’y enfoncer… une vraie torture pour moi… Sûrement pour elle aussi, car après quelques instants elle s’empala doucement.
Elle se pencha sur moi, nos bouches s’unirent et nos langues se cherchèrent, nos sexes toujours soudés l’un à l’autre. N’y tenant plus, j’empoignai ses fesses, Brigitte m’ôta le foulard et un grand sourire se trouva face à mes yeux qui virent de nouveau la lumière. Elle se redressa, à genoux sur moi. Elle prit mes mains, les posa sur ses seins et me dit :
Entre deux doigts, j’en tordis tendrement les pointes toutes dures.
Brigitte commença une lente chevauchée, elle se soulevait doucement puis, d’un mouvement brusque, enfonçait son sexe sur le mien. Sur son visage, je pus lire son plaisir, son bonheur, sa jouissance qui allait bientôt de nouveau l’emporter ; le bruit de nos bassins qui s’entrechoquaient était de plus en plus fort. Un instant, ma pensée alla à Sophie… « Comme j’aimerais l’avoir sur moi en train de me monter comme Brigitte le fait en ce moment ! » Cette idée ainsi que la caresse du sexe de Sophie sur le mien m’amenèrent à l’orgasme. Nous nous exclamâmes en chœur :
Une puis plusieurs giclées de spermes vinrent se mélanger au flot de cyprine issu de sa propre jouissance. Elle s’écroula sur moi hors d’haleine.
Après un long câlin où nous reprîmes doucement nos esprits, nous allâmes ensemble sous la douche. Là, l’un savonna l’autre et chercha à faire renaître le plaisir sur toutes les zones érogènes imaginables. Après m’être occupé de ses seins et de ses fesses, mes doigts s’attaquèrent à son minou ; pour parfaire l’opération, je me saisis du pommeau de la douche et dirigeai le jet directement entre ses lèvres, ainsi que sur son bouton. Un « hummmm, nonnnn » répondit à cette action et, comme j’étais à genou devant elle, Brigitte posa sa jambe sur mon épaule pour me signifier de ne surtout pas arrêter.
Ses murmures de plaisir se firent de plus en plus fort ; mes doigts écartant au maximum son sexe pour permettre à l’eau de caresser le fond de son ventre. Elle me saisit alors la tête et y approcha ses cuisses ouvertes. Je posai la douchette et ma bouche prit sa place sur son clito. Le contact de ma langue et la succion que j’y appliquai lui provoquèrent une nouvelle jouissance. Nous nous enlaçâmes et nos lèvres se cherchèrent sous l’eau qui ruisselait. Après quelques instants, elle s’empara de ma verge et la flatta d’un doux va-et-vient, elle ne tarda pas à retrouver toute sa vigueur. Alors, à son tour, sa bouche avala mon gland puis, lentement, le restant de mon membre.
Une de ses mains malaxait tendrement mes testicules pendant que l’autre s’occupait de mes fesses, elle y inséra ses doigts et titilla mon anus. Mon sexe en fit un bond dans sa bouche. Je dus me tenir aux parois et faire un effort surhumain pour ne pas jouir de suite, mais sa savante caresse buccale eut vite fait de me faire rendre les armes et ce fut avec une passion que je ne cherchai pas à dissimuler que je me répandis dans sa bouche. Sa langue recueillit toute ma blanche semence, puis Sophie remonta m’embrasser et partager avec moi le goût de mon plaisir.
Épuisés, nous nous couchâmes enlacés pour nous endormir presque aussitôt.