n° 20731 | Fiche technique | 23359 caractères | 23359Temps de lecture estimé : 14 mn | 24/01/22 |
Résumé: C’est son anniversaire. J’en profite et il ne va pas l’oublier de sitôt ! | ||||
Critères: f fh couple cadeau fépilée travail voiture fdomine fmast caresses rasage fellation cunnilingu anulingus hdanus hgode hsodo jouet humour -couple | ||||
Auteur : Cormobin Envoi mini-message |
Je m’appelle Naomi, je suis métisse, moitié auvergnate, moitié nigériane. Il paraît que le mélange est réussi… Je suis mariée avec Jérémie. Nous sommes heureux et imaginatifs.
Mon mari est né le 28 janvier, et voilà comment se passa son dernier anniversaire. Il sera difficile de faire mieux la prochaine fois !
*****
Au réveil, je lui donnai ses cadeaux, un très joli pull, plutôt sombre, pour aller avec son teint, et j’avais ajouté une petite revue coquine (nous en lisons ensemble parfois, il aime les acheter, mais il adore encore plus quand c’est moi qui en achète. Je ne sais pas… peut-être que de m’imaginer en train de choisir une revue porno et de passager par la suite à la caisse l’excite). J’ajoutai au petit déjeuner :
J’essayai de paraître la plus normale possible, il ne réagit pas. Il devait déjà avoir un peu la tête au travail (je passe le chercher de temps en temps, suivant mes rendez-vous professionnels, spécialement le vendredi soir, juste avant les week-ends).
Un petit bisou, et hop… nous partîmes tous deux travailler.
Matinée normale pour moi, un peu chargée, car j’avais pris mon après-midi pour me préparer. J’avais donc été obligée de changer le programme du matin.
Un petit repas rapide et je filai chez l’esthéticienne. J’avais pris rendez-vous pour une épilation sans préciser de quoi, elle ne m’avait pas posé de questions non plus.
En arrivant, Amandine, l’esthéticienne, me demanda ce que je voulais. J’étais un peu gênée. Je l’avais choisie volontairement assez loin de chez nous pour être sûre de ne pas la croiser en allant acheter le pain ou le journal. Mais après tout, c’était son travail, et donc, je m’étais explicitée.
J’hésitai un peu, et je lui demandai :
C’était une supportrice de foot, donc ce fut facile de lui expliquer :
Amandine ne broncha pas, elle devait en avoir l’habitude (il faut dire que les films pornos avaient mis l’épilation totale ou presque à la mode).
Je m’étais entièrement déshabillée et m’étais allongée. La salle était chaude, la table d’épilation très confortable, une petite musique, bref, le cadre était agréable.
Amandine commença par les aisselles en me parlant tranquillement. Elle n’était pas très bavarde, donc la conversation n’était pas trop difficile à faire. Elle avait été douce et avait utilisé une crème parfumée avec un parfum plus agréable que le mien (J’avoue que ce n’était pas cette phase qui m’inquiétait… Je stressais un peu plus pour le moment où elle s’attaquerait au bas). Elle s’y prit tout naturellement et je me détendis. Toutefois, sentir des mains inconnues sur mon sexe était quelque peu déstabilisant. C’était une bonne professionnelle qui semblait faire ça sans façon, et donc, au bout de quelques minutes, je n’y prêtai pas plus attention que quand je me faisais faire un brushing.
Comme la zone était sensible, l’épilation dura assez longtemps… Ma demande de « coiffure » à la Pirès dut aussi retarder le travail. Je commençai à avoir quelques sensations, la crème devait me réchauffer un peu la peau, mais pas trop, et puis les mains d’Amandine étaient très douces. Quelques instants plus tard, je dus me rendre à l’évidence, j’étais sérieusement excitée, et je voyais bien que nous n’en étions pas encore à la moitié de ma touffe. Bientôt, je ne pus plus maîtriser mes jambes et mes cuisses, qui tressautaient, soit pour empêcher Amandine de passer ses mains, soit pour profiter de ce qui ressemblait très fort à des caresses, très appuyées. Amandine, en bonne professionnelle, le nez dessus si je puis dire, ne put pas éviter de constater mon état, et s’arrêta tout gentiment. Elle me dit :
Elle me fit un grand sourire et sur le coup je ne compris pas, puis elle se releva.
À ma tête, elle se rendit compte que je ne comprenais pas, ou alors que j’avais un problème. Sans se départir de son sourire, elle ajouta alors :
Elle ouvrit le tiroir et je découvris alors tout un assortiment de vibromasseurs… (en fait, on appelle ça maintenant des « sex-toys », Jérémie se propose souvent de m’en offrir). Devant ma surprise, elle m’expliqua alors.
Sur un dernier sourire, elle sortit.
J’étais toujours excitée, et intéressée, alors, je me jetai à l’eau. J’attrapai un vibro au hasard, de forme pénienne. Ne sachant pas trop quoi en faire, je m’aperçus qu’il y avait une sorte de bouchon au bout, et en le tournant, l’appareil se mit à vibrer. J’avais réussi la première étape : allumer le vibro, le reste devait être facile. Je me dis qu’il fallait le poser sur l’endroit le plus sensible et que je verrais s’il me faisait de l’effet. En effet, l’effet fut brutal, mon clito était demandeur, l’orgasme vint vite, brutal et intense. J’étais à peine remise et venais juste de ranger le vibro quand Amandine revint. À croire qu’elle me surveillait.
Sans commentaire, elle se remit au travail, et un quart d’heure après elle avait fini. Je me relevai, elle m’avait passé une crème apaisante et le résultat était saisissant. Jérémie allait être surpris, et je pensais, content.
L’heure était passée, Amandine me laissa me rhabiller, je me contentai d’enfiler mes bottes et mon manteau en rangeant le reste de mes vêtements dans mon sac. Pour une fois, Jérémie allait être content de l’utilité de mon sac qu’il trouvait toujours trop grand… En passant à la caisse, Amandine me glissa doucement :
Je ne pouvais qu’acquiescer. Elle ajouta :
Je rétorquai :
Elle baissa un peu la voix, ce qui était inutile, car nous n’étions que toutes les deux dans le salon de beauté, et ajouta :
J’avais une demi-heure à tuer avant d’aller au bureau de Jérémie. Je me disais qu’aller nue sous un manteau dans un sex-shop était vraiment très osé, mais je n’allais pas revenir en arrière pour me couvrir davantage. Je lui donnai donc le feu vert, elle passa un coup de fil et, trois minutes après, une jeune femme, bien sous tous rapports, se présenta au salon de beauté.
Et nous voilà parties. J’étais bien au chaud sous mon manteau, mais sentais quelques courants d’air assez amusants sur ma peau vraiment toute nue. Mathilde me fit une conversation charmante, assez anodine, elle devait sentir que j’étais un peu crispée. Nous passâmes sous un porche, elle poussa une porte, et nous nous retrouvâmes à l’arrière du sex-shop. Elle me proposa de poser mon manteau dans son vestiaire, mais bien évidemment je refusai.
Il n’y avait pas d’autres clients, Mathilde put me faire visiter le magasin, pendant que son mari, après m’avoir brièvement saluée, restait discrètement à la caisse sans nous regarder. Je traversai très rapidement, passée au rayon vidéo, qui ne m’intéressait absolument pas. (Jérémie me propose de temps à autre de regarder un film porno. J’accepte le plus souvent. Il faut juste dépasser le scénario affligeant, les filles nues excitent toujours un peu Jérémie, et je me coule dans l’ambiance. Nous faisons en général l’amour devant la télé, il y a même des fois où le film m’excite, je ne sais pas trop pourquoi et je demande alors à Jérémie de me toucher, ce qu’il fait avec délectation.)
Arrivée au rayon des gadgets, je vis la gamme des vibros déjà vus chez l’esthéticienne, et devant mon hésitation, Mathilde me proposa d’en prendre un. Je cédai, après tout, j’avais bien joui, et Jérémie m’en parlait régulièrement… il en serait donc content. Nous continuâmes, et il fallut que Mathilde m’explique à quoi servaient certains jouets, car je ne comprenais pas au premier abord. La gêne étant partie avec le vibro sélectionné, je pris deux ou trois autres gadgets, toujours convaincue que Jérémie ne verrait que des avantages à ce que je m’enhardisse dans nos petits jeux sexuels.
Mathilde me fit une petite remise, je payai en liquide, car je ne voulais pas laisser une trace de mon passage, et je partis au bureau de Jérémie. Je repris ma voiture, après avoir caché mes achats dans le coffre, je roulai jusqu’au parking, et je montai. Je saluai Marjorie, la secrétaire de Jérémie, toujours contente de me voir. Elle était en train de ranger son bureau, juste avant de partir. Elle insista pour que je pose mon manteau, mais je réussis à l’écarter en lui disant que nous allions partir. Elle me dit au revoir, en ajoutant que Jérémie était au téléphone, mais que je pouvais entrer.
Je poussai la porte et la refermai derrière moi en tournant la clé discrètement… on ne sait jamais (le bureau de Jérémie est très grand et très agréable, certes, pas autant que le mien, mais il est très bien). Il sourit en me voyant, me fit un petit geste pour signifier qu’il en avait pour quelques minutes avec son interlocuteur téléphonique. Je lui souris en réponse, en murmurant que nous n’étions pas pressés. Je posai alors mon manteau sur un fauteuil visiteur et traversai tout le bureau pour aller me servir un verre d’eau au distributeur automatique que Jérémie avait fait installer à côté de la fenêtre.
J’entendis alors Jérémie tousser très fortement. Il ne m’avait vue que de dos, mais je savais qu’il adorait mes fesses. Je pris tout mon temps pour remplir mon verre, sentis son regard me chauffer les hanches et me retournai lentement. Son regard descendit jusqu’à ma chatte, mais justement, elle n’y était plus. Il ne restait plus que la barbichette de Robert Pirès, son footballeur préféré. Il rougit très fort (ce qui ne lui arrive pas souvent), essaya de se lever, et se rappelant son interlocuteur, me montra la porte. D’un signe, je lui fis comprendre que la porte était fermée. Il se renfonça dans son fauteuil et essaya de se reconcentrer sur son coup de téléphone. Il avait un peu de mal, car il demanda à son interlocuteur de répéter ce qu’il venait de dire.
Je finis mon verre, m’assis dans le fauteuil en face de lui et croisai négligemment les jambes. Je crus un instant que j’allais être veuve, car Jérémie n’arrivait plus à trouver l’oxygène… Il réussit à conclure avec son interlocuteur, à raccrocher, et se précipita vers moi, avec un regard particulièrement excité.
Je lui laissai passer la main sur mon sexe tout nu. Je me levai du fauteuil, j’attrapai son sexe à travers son pantalon, et bien que je sentisse qu’il bandait très fort, je le lâchai, je remis mon manteau et lui fis un petit bisou sur les lèvres en lui disant :
Il semblait désorienté, les bras ballants, et n’arrivait pas à articuler un mot distinctement. Je conclus par un « on y va » et ouvris la porte.
Il n’y avait plus personne dans les couloirs, nous remontâmes dans la voiture, je pris le volant et je démarrai, en forçant sur le chauffage. Une fois la température en hausse, sans lâcher le volant – prudence obligeait – j’ouvris mon manteau, dégageai mes seins, écartai légèrement les cuisses, y passai ma main et demandai à Jérémie :
Il sourit, et me dit :
Puis son regard se durcit et il me demanda :
Car il venait de se rendre compte que nous n’étions pas sur le chemin de la maison.
Et je m’engageai dans une allée du bois. Arrivée sur un petit parking, je me garai à l’écart et arrêtai le moteur. Je lui roulai alors une pelle monumentale, avec une main très baladeuse, pendant que lui-même me caressait les seins d’une main, le sexe de l’autre. Je le repoussai gentiment, et je lui demandai de reculer son siège.
J’en profitai pour me débarrasser de mon manteau et m’attaquai à sa braguette. Il leva légèrement les fesses pour que je pusse lui enlever son pantalon et son slip. Il bandait vraiment très fort, et je me penchai alors pour commencer à le sucer (Il me remplissait déjà largement la bouche, alors que le plus souvent, il n’est dans cet état qu’après que je l’ai déjà sucé un moment). Je le sentis au bord de la jouissance, ses couilles étaient tendues (je n’apprécie pas particulièrement le goût du sperme et j’évite le plus souvent d’avaler, mais c’était son anniversaire, j’étais moi-même bien excitée et j’avais déjà joui). Je le gardai dans la bouche pour le sucer doucement et le branler assez fort en même temps (il me dit que je suce et le branle très bien… Il faut croire que c’est vrai, car il explosa dans ma bouche). J’avalai en même temps, sans trop y penser pour ne pas être dégoûtée, ce n’était pas si désagréable après tout et ça lui faisait plaisir, du coup, j’avalai tout. Je déposai ensuite un tout petit baiser sur ses lèvres, en murmurant :
La soirée n’était même pas commencée, l’anniversaire devait être inoubliable, mais tout devait être une surprise.
Je remis le manteau sans le refermer, je redémarrai et nous rentrâmes à la maison. Jérémie était aux anges. Sur la route, je lui racontai la séance d’épilation, le vibro, je n’omis que la visite au sex-shop. Il ne posa pas de question, ce qui était un peu étonnant, car il sait être très pénible en posant quantité de questions sur le sexe.
J’avais préparé un petit repas sympa : saumon fumé, tournedos, dessert… Dîner aux chandelles. J’avais passé une petite robe pour me couvrir, assez transparente. Il passa derrière mon dos au milieu du repas, m’attrapa les seins à pleines mains, m’embrassa dans le cou, me caressa les cuisses, monta jusqu’en haut et essaya de me titiller le clito, mais je me dégageai.
Mais je ne laissai pas me toucher, je m’assurai qu’il bandait de nouveau et je lui dis :
Je repassai par la cuisine, pris un yaourt à la framboise et lui dis de se déshabiller entièrement.
Le chauffage dans la chambre était suffisamment haut, j’enlevai ma robe.
Jérémie s’assit sur le lit et me regarda. Je me promenai dans la chambre, le yaourt à la main, et m’arrangeai pour lui montrer toutes mes facettes. Quand je passais à proximité de ses mains, il me touchait les seins, les fesses, le sexe. Je lui fis manger une cuillérée de yaourt, j’en mangeai une et lui dis :
Il se tourna et s’allongea (il aime bien que je lui caresse le dos et les fesses… Il aime bien aussi que je lui touche le cul). Je renversai sans le prévenir la moitié du yaourt au creux des reins. Il tressaillit sous la fraîcheur du yaourt. Je léchai, c’était bon, et Jérémie se tortillait.
Je finis le demi-yaourt et me relevai. Je m’apprêtai à quitter la pièce, mais il voulut se tourner. Je lui dis alors :
Je revins dans la chambre avec mes achats de l’après-midi. Je lui montrai le vibro, et je lui dis :
Il était très surpris, mais visiblement très content.
Et je le lui renversai sur les fesses.
Je léchai abondamment. Je sentais Jérémie vibrer sous ma langue. J’avais passé mes doigts entre ses cuisses, et je lui caressais légèrement les couilles. Il gémissait. Je jouai à la mécontente :
Il était enchanté, et le fit immédiatement. Je léchai, je passai mes doigts, autour de l’anus, puis je le lui léchai, longuement, intensément. Maintenant qu’il était à quatre pattes, je pus lui caresser les couilles et aussi le sexe. J’arrivai à le branler, il était raide, juste assez, mais pas trop. J’ajoutai :
Je replongeai dans le sac de mes courses et attrapai le tube de lubrifiant. Je m’en passai une noix sur le majeur et lui massai délicatement l’anus avec mon doigt que j’enfonçai largement (étonnant comme le lubrifiant est efficace). Heureusement, mes ongles étaient courts et je ne craignis donc pas de l’écorcher. J’enlevai le doigt de son cul et attendis un peu. Il soupira :
Je murmurai :
Je pris alors le gode-ceinture que j’avais acheté sur le conseil de Mathilde et me le fixai à la taille. Le même jour, je m’étais fait épiler la chatte et m’affublais aussi d’un substitut de queue !
Je mis un peu de lubrifiant sur l’objet en plastique et m’approchai, comme un homme, de l’anus de mon mari. J’établis le contact, Jérémie tressauta légèrement, mais ne dit rien. J’appuyai un peu et fus très surprise de voir le gode s’enfoncer (sur les conseils de Mathilde, j’en avais pris un assez petit… quelques centimètres seulement). J’attrapai Jérémie par les hanches comme il le faisait quand il me prenait en levrette, je me penchai sur son dos et je lui murmurai à l’oreille :
Une fois la surprise passée, j’eus une idée de ce que voyait Jérémie quand il me prenait en levrette, et lors des quelques fois où il me sodomisait (pas assez souvent, à son goût). Et puis, avoir ce presque sexe masculin, ça change pas mal (parce que même quand nous, les femmes, prenons les affaires en main, que ce soit en suçant, en branlant ou même en limant dessus, ça ne fait pas pareil). J’avais un peu l’impression d’être un homme et de posséder mon homme. Assez excitant, je sentais que mon sexe n’était pas insensible, le fait qu’il soit en contact avec le gode augmentait l’impression.
Pour ne pas lui faire mal, je ne le limai pas trop longtemps, pour une première fois, en me promettant de recommencer. Je lâchai ses hanches et sortis. C’était une impression assez étonnante. J’ajoutai :
En même temps, je le branlais légèrement d’une main, et d’un doigt je lui caressais l’anus. Je le sentais excité, ses soupirs témoignaient du plaisir qu’il prenait, mais j’avais du coup moi aussi envie. J’ajoutai :
Je m’allongeai à côté de lui, enlevai le gode-ceinture et lui dis :
Jérémie se redressa, me regarda dans les yeux puis regarda mon sexe tout épilé, et il me dit :