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25/01/22
Résumé:  Quatre "matures" suivent une randonnée pédestre avec un jeune guide. Malgré la différence d’âge, elles se mettent au défi de coucher avec lui, les unes après les autres.
Critères:  fh fplusag jeunes extracon groscul vacances bain hotel douche voir nudisme intermast facial fellation cunnilingu anulingus préservati fsodo humour -diffage
Auteur : Jacquou            Envoi mini-message
Les randonneuses





Quand Kevin apprit, en cette fin d’été, qu’il devrait accompagner quatre femmes dans leur randonnée de quatre jours en moyenne montagne, sa première réaction fut de s’en réjouir. Célibataire, en pleine santé et à peine trentenaire, cheveux bouclés et barbe soyeuse, les occasions de bonnes fortunes n’étaient pas si nombreuses et ce serait bien le diable si l’une de ses accompagnatrices ne lui accordait pas ses faveurs lors d’une des quatre étapes prévues au programme.


Mais lorsqu’il vit débouler les quatre randonneuses, il déchanta. Une avait les cheveux blancs, deux autres les avaient teints en blond et la quatrième les masquait à peine sous ses frisettes. Quatre « matures », bon poids, entre la cinquantaine et la soixantaine.


Néanmoins, elles ne manquaient pas de dynamisme, et c’était toujours ça ! Marcheuses d’expérience, leur condition physique semblait bonne et elles portaient le sac à dos sans souffrir. Les présentations furent vite faites. Celle aux cheveux blancs s’appelait Véronique, grande asperge aux longues jambes qu’un short court mettait en valeur, il fallait l’admettre. Une autre, prénommée Arielle, s’annonça comme ancienne prof de gym, joueuse de tennis de bon niveau, et en avait conservé un corps visiblement musclé, mais un visage particulièrement ridé par l’exposition trop prolongée au soleil. La plus ronde, Françoise, semblait assumer ses formes sans complexe au point de montrer généreusement ses seins dans un débardeur au décolleté en U. La plus sexy, a priori, et la plus jeune, Corinne, la cinquantaine à peine entamée, fausse blonde, avait su conserver l’essentiel d’un corps qui avait dû éblouir les hommes dans sa jeunesse et semblait très attachée à préserver l’acquis. Toutes s’annoncèrent mariées ou en concubinage avec « visa de sortie », pour reprendre l’expression de Véronique, ce qui fit rire les autres femmes qui, précisons-le, ne se connaissaient pas avant cette randonnée.




*******




Comme bien on pense, dès les premiers kilomètres accomplis sur un plateau désertique, les conversations allaient bon train entre les quatre pipelettes. Kevin marchait en tête et écoutait distraitement les propos de ses accompagnatrices, tournant autour de leur vie quotidienne, leur travail, ancien ou actuel, leur conjoint, leurs enfants ou petits-enfants, etc. Il prévoyait déjà un ennui incommensurable et ce serait déjà bien beau si elles ne lui compliquaient pas la vie. Au moins, elles étaient gaies. Il était cependant loin de se douter des événements qui allaient survenir.


Ce jour-là, il faisait chaud. Après s’être arrêtés déjeuner pour un casse-croûte sommaire, ils avaient poursuivi sous le cagnard et l’allure ralentie. Le parcours longeait un lac artificiel et Françoise, la rondelette, s’exclama soudain :



Elle gagna la berge en trottinant avant de poser son sac et, ô surprise, se déshabilla entièrement. D’abord le débardeur et le soutif, puis le bermuda baissé en même temps que le slip, enfin les chaussures de marche et les chaussettes. La collectivité randonneuse médusée la vit, la croupe pulpeuse à l’air, entrer dans l’onde sans transition, plonger et ressortir, une tête hilare :



Elles se regardèrent, interdites, mais n’hésitèrent pas longtemps. Et Kevin, stupéfait, vit son aréopage se mettre à poil devant lui, sans la moindre gêne, faire valser soutif et culotte et se diriger la croupe alerte et nue vers l’eau du lac. Elles y prirent visiblement un plaisir intense, si bien qu’Arielle interpella l’accompagnateur :



Difficile de se dérober, d’autant qu’il avait lui aussi très chaud. Et c’est ainsi que les quatre « matures » virent s’avancer un homme parfaitement fait, au torse musclé et à la queue pendante, ce qui provoqua quelques commentaires grivois et quelques gloussements. Kevin comprit qu’à défaut d’être des gravures de mode, ses quatre accompagnatrices n’étaient pas des « coincées du cul ». Elles lui firent la fête et il perçut même une main qui s’attardait sur ses petites fesses pendant que tous batifolaient dans l’eau fraîche. Lorsqu’il en sortit, en même temps que le quatuor aux formes désormais très raffermies et aux pointes de seins durcies, il ne put dissimuler une demi-érection, ce qui lui valut une nouvelle série de quolibets. Et c’est tout guilleret que l’équipage reprît le chemin de sa randonnée qui devait le conduire à son premier hôtel.




*******




Kevin était le seul à disposer d’une chambre « single », les autres se répartissant dans deux chambres doubles. Après la douche, tandis que l’accompagnateur préparait le parcours du lendemain, les randonneuses se retrouvèrent à une terrasse de café pour se relaxer après une longue journée de marche. Françoise les rejoignit après être passée par une pharmacie… supposément pour des pansements, car les pieds étaient très sollicités, on s’en doute. En fait, elle déposa sur la table une boîte dont le contenu ne laissait aucun doute : c’étaient des préservatifs. Devant la surprise de ses commensales, elle éclata de rire et dit :



Un silence suivit la proposition de la pulpeuse Françoise. Arielle le rompit en disant :



Seule Corinne, la quinquagénaire, restait muette. Sollicitée, elle finit par lâcher :



Et le quatuor poursuivit la conversation sur les mérites comparés de leurs époux respectifs – lesquels n’en sortirent pas indemnes, on s’en doute – et tout le monde se retrouva pour le dîner au restaurant de l’hôtel.




*******




Le dîner fut joyeux, pour ne pas dire excité, au plaisir de Kevin qui ne se doutait pas de ce qui se tramait. Et quand il fut l’heure d’aller se coucher, il laissa la lumière de sa chambre allumée, à son habitude, et ne ferma pas sa porte parce qu’il n’en voyait pas la raison dans ce petit hôtel ancien et paisible. Aussi Françoise n’eut-elle aucune difficulté à entrer aux environs de 23 h, seulement vêtue d’une nuisette qui ne cachait strictement rien. Arielle, qui partageait sa chambre, était déjà endormie.


Quand Françoise entra, elle découvrit Kevin couché sur le côté, entièrement nu, fesses vers elle, ses belles couilles bien apparentes entre ses cuisses. Elle fit passer sa nuisette par-dessus sa tête et s’allongea avec précaution à côté du dormeur, au léger ronflement. Elle fit aller un doigt léger des fesses aux bourses et Kevin remua légèrement. Elle fit passer sa main de l’autre côté pour saisir la queue pour la branler avec délicatesse et, cette fois, le jeune homme s’éveilla en sursaut :



Françoise mit un doigt sur sa bouche et murmura :



Kevin considéra alors le corps voluptueux et nu de la randonneuse, qui continua à le branler. Il ne fallut pas longtemps avant qu’une tige imposante ne remplisse la main de Françoise. Le jeune homme s’allongea, sortant à peine de son premier sommeil, mais sans opposer la moindre résistance à sa branleuse. Sa bouche avide remplaça sa main et Kevin ne put que constater que la tête frisée s’agitait sur son pénis, enveloppé d’une langue de velours. Comment résister à un tel appétit, une telle gloutonnerie ? Jamais il n’avait connu une pipe pareille. Quand elle se releva, tout sourire, elle lui dit dans un gloussement :



Elle déchira avec les dents l’enveloppe du préservatif qu’elle avait emporté de la chambre, coiffa le gland survitaminé du jeune homme et vint se positionner sur lui avant de s’empaler lentement, les yeux dans les siens. Elle se mit alors à onduler et il se sentit très confortable. Les deux gros roberts le fixaient comme des phares. Il les empauma, en apprécia le volume et il lui rendit enfin la pareille par de vigoureux coups de reins verticaux. Françoise se pâma, enthousiasmée par sa chance et décidée à donner à son jeune amant le maximum de plaisir. Elle se retourna, lui montra son cul en mouvement, revint à nouveau de face sur la bite, l’attira entre ses cuisses dodues pour lui talonner les reins, se mit à quatre pattes, lui proposa de la sodomiser – ce qu’aucune fille n’avait jamais demandé à Kevin –, lui signifia crûment son plaisir d’être « enculée », changea son préservatif et l’informa qu’elle voulait jouir, « maintenant, tout de suite ».


Bras tendus, Kevin lui asséna une rafale de coups de bite qui fit trembler le lit, ses seins, et lui fit écarquiller ses yeux. Une série de « oh oui » et de « encore » accompagnée de pressions des mains sur ses fesses eurent raison de la résistance du jeune homme, qui éjacula un gros paquet de sperme, car il y avait longtemps qu’il n’avait pas fait l’amour… ou plutôt baisé.


Françoise fut assez longue à sortir de son extase. Kevin lui proposa de rester dans son lit, ce qu’elle accepta. Mais au cœur de la nuit, elle ramassa sa nuisette et retourna dans sa chambre pour se lover dans un des deux lits jumeaux, apaisée et comblée, mais se demandant comment elle allait récupérer le lendemain de ce coït fougueux qui la changeait de ses ébats conjugaux, de plus en plus rares, d’ailleurs ? Au moins, elle avait conservé la « main ».




*******




Le lendemain matin, Françoise se présenta au petit-déjeuner alors que tout le reste du groupe, Kevin y compris, était déjà à table. Il fallait bien récupérer… Aucun commentaire ne fut fait, mais les autres randonneuses comprirent à son œil pétillant, à ses yeux cernés et à sa petite moue satisfaite, qu’elle avait « conclu ». Quand la marche reprit, la confirmation fut donnée en voyant la plantureuse marcheuse en queue de groupe, visiblement en peine à suivre le rythme. Une par une, elles se relayèrent pour la soutenir et surtout pour lui demander :



Et Françoise confirma qu’elle était « passée à la casserole » et que c’était « génial ». Mais pour ajouter aussitôt :



Pas tant que ça en fait, car, on l’a vu, elle avait largement mené la danse et imposé ses désirs. Elle en subissait logiquement les effets, mais se dire éprouvée par sa nuit permettait aux autres de tenter leur chance à leur tour sans se poser de questions sur le lien entre Françoise et Kevin.


L’étape suivante s’établissait à un hôtel plus moderne où il n’était plus question de laisser la porte ouverte puisqu’automatiquement verrouillée. Volontaire pour prendre la suite, Arielle ne sortit pas dans le couloir en nuisette, mais en pyjama… Une tenue peu glamour, mais l’ex-prof de gym était avant tout pratique. Elle frappa à la porte de Kevin et, pour justifier sa présence, lui dit :



Le jeune homme allait justement prendre une douche et s’était recouvert la taille d’une serviette de bain. Il réclama donc quelques minutes et se réfugia dans la pièce ad hoc. Il était à peine entré sous le jet qu’il vit surgir Arielle complètement à poil. Sans rien demander, elle se coula à ses côtés, se laissa arroser avant de s’accroupir et de saisir le pénis déjà érigé par le contact charnel. S’ensuivit une pipe dans les règles de l’art, puis d’un cunni à l’instigation d’Arielle, elle, assise sur la tablette du lavabo, lui, à son tour accroupi pour la déguster. Comme elle avait déjà posé le préservatif sur la tablette, c’est lui-même qui l’ouvrit et s’en coiffa avant de la pénétrer debout, sans coup férir. Le pénis étant à la hauteur idéale, le visage ridé d’Arielle ne tarda pas à s’illuminer. Une série de mots crus sortit de la bouche de l’ex-tenniswoman, tout à l’honneur de la bite qui la régalait.


Puis il la prit par-derrière, face au miroir du lavabo, ce qui leur permit de se découvrir mutuellement dans le plaisir, de se stimuler, de s’interpeller. Il aimait son corps encore ferme de sportive, le balancement de ses seins larges, sa manière d’aller le chercher à grands coups de cul. Et quel verbe ! Jamais Kevin n’avait baisé une femme aussi bavarde dans l’accouplement – pour ne pas dire cochonne. En revanche, elle refusa de se laisser sodomiser, arguant des « petits problèmes » à ce niveau. Elle se racheta en l’entraînant sur le lit où elle lui offrit toute une gamme de positions qui attestaient d’une longue expérience. Il la baisa – les pieds au ras de ses oreilles – si profondément qu’elle sembla perdre complètement la raison dans un orgasme époustouflant. Une fois retiré, il l’arrosa de son sperme jusque dans les cheveux et elle s’en barbouilla les joues comme une crème de beauté. Apaisé, il finit par lâcher :



Et de raconter sur le lit comment son mariage avait été précédé d’une vie sexuelle « riche et intense », qu’elle poursuivait parfois avec son mari dans des clubs échangistes.



Puis elle revint sous la douche, remit son pyjama, et regagna sa chambre avec un petit signe de la main. Et Kevin comprit qu’il n’en avait pas fini avec ces randonneuses à la cuisse légère, c’était le moins qu’il pouvait dire.




*******




Que se passa-t-il entre elles ensuite ? Kevin n’avait su le détecter, étant arrivé trop tard au petit-déjeuner, suite à une panne de réveil qui n’avait guère affecté Arielle. Mais à des conciliabules en queue de peloton, il comprit qu’il en était le centre. Puis Véronique vint à sa hauteur, a priori pour papoter sur la beauté du paysage dans cette étape. En fait, elle le draguait avec la bénédiction des trois autres. Avec ses cheveux coupés court, à la blancheur renforcée par une teinte, sa démarche souple, ses longues jambes généreusement découvertes par un short réduit, elle était aux yeux de Kevin une « sexa sexy ». Il la laissa parfois marcher devant lui pour mater ses fesses dont il percevait la fermeté et elle accentuait vicieusement leur roulement. Véronique avait envie de baiser, c’était l’évidence même. Le rapport enthousiaste de Françoise et Arielle avait installé en elle un désir qui surpassait la fidélité conjugale, au demeurant élastique dans sa vie. Elle avait toujours été considérée comme une belle femme et n’avait pas toujours résisté aux multiples hommages verbaux que lui avait valus sa vie professionnelle dans le monde judiciaire. Mais sa dernière galipette extraconjugale remontait déjà à un certain temps. Elle se croyait même « rangée des wagons ». C’était sans compter sur cette randonnée très libertine.




*******




Kevin ne le savait pas, mais Véronique avait un préservatif dans la poche de son short. Elle avait mis au point avec ses copines de marche un petit stratagème. Plutôt que d’attendre la soirée, elle profiterait de la pause pique-nique pour satisfaire son appétit du guide. Lorsqu’ils furent installés, et après avoir mangé, au lieu de satisfaire à la petite sieste habituelle, Véronique vint murmurer quelques mots à l’oreille de Kevin, puis elle se leva en dandinant de la croupe et gagna un sous-bois voisin. Les trois autres randonneuses riaient sous cape. Kevin allait-il se lever ou pas ? Il se leva et s’en alla à son tour dans le sous-bois.



De fait, quand Kevin retrouva Véronique, elle l’attendait, allongée nue sur ses vêtements étalés par terre, à l’exception notable de ses chaussures de marche qu’elle avait conservées. Elle lui fit un geste de l’index qui voulait dire « viens par ici mon poulet. » Kevin bandait comme un cheval. Il ne voyait plus l’âge, les cheveux blancs et les imperfections du corps qui s’offrait à lui, mais la femelle qui le désirait et la promesse d’un don total, actif et verbeux comme les deux autres randonneuses matures.


Il lui offrit sa queue tout en plongeant son visage entre ses cuisses. Il ne pouvait donc pas voir que Françoise, Arielle et Corinne s’étaient approchées discrètement pour observer derrière les feuillages, en voyeuses, les ébats du couple. Véronique en revanche avait parfaitement vu et s’en amusa. Les coquines ! Aussi ne tarda-t-elle pas à coiffer elle-même de l’inévitable préservatif son jeune amant, lui aussi resté chaussé, mais débarrassé de ses autres vêtements. Et quand il la pénétra et la besogna en cadence, suscitant une série de « oh », de « ah » et de « ouh », puis de « al-leez » et de « vas-yyyy » appuyés sur la seconde syllabe, les trois voyeuses mirent en même temps la main dans leur short et se titillèrent le bouton, fascinées par les roulements du petit cul qui en avait amené deux au septième ciel. Ce fut au point que Françoise faillit se découvrir pour rejoindre le couple, mais Arielle la retint par le bras :



Celle-ci avait posé ses chaussures de marche au sol, en appui, et ruait sous son jeune amant en piaillant. Lui était enchanté d’avoir sous lui une partenaire aussi passionnée, aussi amoureuse de sa queue… Il n’avait pas souvent eu cette chance avec des filles de son âge. Il l’enfila ensuite par-derrière, trop absorbé pour découvrir les trois voyeuses au contraire de Véronique qui leur tira la langue, ce qui les fit pouffer de rire. Mais soudain, le visage de la sexagénaire se contracta, Kevin vit la chair de poule envahir le bas de son dos. Il la couvrit comme un chien couvrirait sa chienne, accéléra son rythme et se vida les burnes pendant qu’elle se cambrait, en proie à l’orgasme. Son cri de plaisir perça le feuillage. Françoise, Arielle et Corinne se retrouvèrent la main poisseuse de leur jus. Ce mec avait réussi à les faire jouir par procuration…


La marche se poursuivit ensuite à un rythme plus lent. Le guide lui-même avait senti dans les jambes une petite déflagration qui le rendait nettement moins allant. Véronique conversait à l’arrière avec Corinne. La quinquagénaire était la seule « à ne pas être passée encore à la casserole ». Et son amie lui dit :



Corinne ne répondit pas. Véronique la sentit en plein débat intime. Céder à ses pulsions ou obéir à sa fidélité conjugale ? Il fallait donc l’aider un peu. Pour elle-même certes, mais aussi pour s’attirer une complicité supplémentaire dans un dérapage collectif qui pourrait mal tourner sur le plan conjugal. Une fuite arrive si vite…




*******




Kevin avait toujours éprouvé le plus vif désir pour cette mature de classe dont il avait appris qu’elle avait gagné dans sa jeunesse un concours de beauté. Il aimait la suivre en marchant, les yeux sur le balancement de sa croupe moulée dans un short en jean, lequel découvrait totalement des jambes toujours fuselées. Mais elle lui semblait inaccessible, au contraire des trois autres qui lui avaient mis carrément la main dans le slip, ou presque. Rien de tel chez Corinne, hélas. Aussi, quand Véronique lui proposa un plan qui pouvait lui permettre d’arriver à ses fins, il crut d’abord à une farce concoctée par les facétieuses sexagénaires.



Et de lui proposer d’échanger sa chambre avec elle puisqu’elle cohabitait avec la grande blonde :



Kevin lui rétorqua qu’il risquait un magistral râteau et qu’il l’en tiendrait responsable, auquel cas elle subirait un outrage immédiat dans sa chambre. Véronique lui répondit qu’elle ne demandait que ça, mais que non, elle n’aurait pas l’occasion d’être outragée.


C’est néanmoins le cœur battant que Kevin glissa après le dîner la clé dans la serrure de la chambre double. Corinne était en train de lire un magazine, nue sous la couette, les seins à l’air et les lunettes sur le nez. Quand elle le vit, elle afficha un regard stupéfait, laissa tomber le magazine et tira la couette sur sa poitrine.



Et de s’asseoir au bord du lit en lui expliquant qu’il était venu « lui faire l’amour », car il en « mourait d’envie depuis le début ». Il joignit le geste à la parole en glissant une main sous la couette, atteignit une cuisse qui se déroba sous les protestations de sa propriétaire. Il insista et une courte mêlée s’engagea durant laquelle la main de Kevin atteignit le sexe de Corinne. Il était brûlant. Il accompagna le geste d’un baiser et Corinne rendit les armes avec une surprenante rapidité. Elle en perdit ses lunettes sur le drap. Le plus drôle est que cet abandon du corps s’accompagna de dénégations frénétiques de la bouche :



Mais plus elle parlait, plus elle s’humidifiait sous le doigt fureteur de Kevin, plus ses cuisses s’ouvraient, plus la couette glissait, découvrant que les années n’avaient en rien altéré son corps, si ce n’est un peu plus de chair sur les seins, le ventre ou les cuisses. Et quand il baissa son pantalon en même temps que son slip pour dégager un véritable manche de pioche, le premier réflexe de Corinne fut d’arrêter ses protestations pour le prendre en bouche et le sucer avec voracité. « Bon Dieu, se dit-il, on dirait qu’elle n’a pas mangé depuis un mois ».


Quand il fut nu et coiffé d’un préservatif, elle prit son pénis à deux mains et le porta entre ses cuisses grandes ouvertes si bien qu’il n’eut qu’à donner un léger coup de reins pour être enfoncé jusqu’à la garde. Alors, c’est une autre Corinne qui lui fut donnée de contempler : soupirante, haletante, rayonnante, mouvante. La douceur de son ventre n’avait d’égale que celle de son déduit et il s’en régalait. Mais elle se régalait aussi, a contrario, de la dureté de son ventre à lui, en concomitance avec celle de son pénis. Le doux et le dur. Elle le mangeait des yeux derrière ses lunettes qu’elle avait retrouvées dès qu’il l’avait pénétrée, pour mieux le voir. Ce regard vitré fut pour lui un ajout érotique, s’il en était besoin.


Il lui dit qu’il en avait envie depuis le début, qu’il la trouvait belle, qu’il avait de la chance. Elle lui répondit qu’elle avait « vraiment besoin de ça », qu’il ne fallait surtout pas qu’il s’arrête, que c’était « vraiment bon ».


Quand elle vint sur lui pour le chevaucher et mater son torse musclé, ses propos devinrent plus crus. Elle lui parla de sa bite, « grosse et dure », lui dit qu’elle adorait son corps et qu’il pouvait lui faire « tout ce qu’il voulait, pourvu qu’il continue à la baiser ». Ses mouvements de hanches étaient si amples qu’il cogna souvent sur le fond de sa matrice, ce qui la faisait couiner comiquement. Ses cheveux détachés, tombant sur ses épaules, suivaient sa cadence comme un pendule. Elle se mordait et se léchait les lèvres, rajustait ses lunettes d’un petit geste. Elle était l’image même du plaisir sexuel au féminin.


Quand il la retourna, au lieu de s’enfoncer immédiatement en elle, il écarta ses fesses et lui mit la langue dans l’anus. Ce fessier, il en avait rêvé en le suivant sur les chemins de randonnée. Ni trop gros, ni trop petit, ni trop plat, ni trop bombé. Un fessier parfait, fait pour la main et le reste. Au contact de la langue, les fesses de Corinne se couvrirent de chair de poule. Il l’entendit roucouler. Elle était donc sensible du cul. Quand il remplaça la langue par un doigt, puis deux, elle ne protesta pas. Elle avait compris son désir. Elle lui dit seulement :



Son mari ne la sodomisait jamais : trop sale. Mais ses collègues de bureau « femmes » le faisaient. Elle serait moins gourde quand elle les verrait.


Néanmoins, elle cria de douleur quand le gland força un peu rudement le passage. Kevin avait l’enculage totalitaire. Mais quand il fut entièrement engagé, une jouissance inédite envahit le corps de Corinne. Il eut la bonne idée d’accompagner le claquement des peaux par le toucher de son clitoris et l’association de la bite et du doigt la fit juter d’importance. Jamais Corinne ne s’était sentie autant baisée et elle l’exprima entre deux râles en se traitant de « salope, comme les autres », en lui disant qu’il était « un vrai salaud », mais en avouant aussi :



L’hommage alla droit à la queue de Kevin. Son sperme sortait de ses couilles pour se bousculer dans sa hampe. Il lui dit qu’il allait jouir et la percuta avec une telle ardeur qu’elle faillit se cogner dans le support du lit. Elle se cambra, cria, et connut un orgasme tellement violent qu’elle en eut les yeux révulsés derrière ses lunettes. Et le couple s’aplatit avant de se désunir lentement.


Ce qu’il ne savait pas, c’est que les trois randonneuses s’étaient relayées, l’oreille contre la porte de la chambre. Elles n’avaient pas eu l’image, mais le son de ces ébats torrides qui les avaient fait rire, mais leur avaient aussi donné une furieuse envie d’entrer, difficilement contenue. Un mâle serait alors passé dans le couloir qu’il aurait eu toutes les peines du monde à se débarrasser de ces matures en pyjama ou en nuisette. Toutes entrèrent dans leur chambre et gagnèrent la salle de bain pour prendre une douche afin de se calmer…




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Corinne ne retrouva pas le groupe le lendemain au petit-déjeuner. Elle se présenta plus tard avec son sac à dos pour la dernière étape, la mine chiffonnée, visiblement marquée par sa nuit. Les autres femmes riaient sous cape, mais seule Véronique l’aborda en cours de chemin.



La marche se poursuivit jusqu’à son terme, cette fois sans perspective érotique, mais une séparation du groupe sur fond de nostalgie. Kevin eut droit à de multiples bises, souvent appuyées, même par Corinne. Des numéros de portable furent échangés. Corinne enregistra même celui de Kevin sur son smartphone. Car, information non dénuée d’intérêt, elle était la seule du groupe à résider dans la même ville que le jeune guide, et celui-ci était bien décidé à la solliciter dans un avenir proche, car cette randonnée lui avait donné le goût des femmes mûres. Il lui fallait juste vérifier qu’elle avait donné à une belle mature l’appétit prolongé d’une jeune bite…