n° 20749 | Fiche technique | 38838 caractères | 38838 6655 Temps de lecture estimé : 27 mn |
02/02/22 |
Résumé: Les prémices de l’auteur : premiers émois et découvertes sensuelles dans une belle-famille accueillante. | ||||
Critères: fh jeunes grossexe fépilée amour odeurs fmast hmast massage caresses intermast facial fellation cunnilingu anulingus 69 nopéné init -initiat | ||||
Auteur : Saphirvert Envoi mini-message |
J’avais 25 ans, elle en avait 18. Nos regards s’étaient croisés lors d’un campus politique mais les festivités ne nous avaient pas laissé le temps de faire connaissance. Une fois de retour chez elle, elle m’avait retrouvé via Facebook. C’est ainsi que nous avions fait connaissance virtuellement, faisant fi des 700 km qui nous séparaient. Au fil des conversations, un attachement s’était vite créé, bien vite empreint de passion et de sensualité. Nous échangions des photos où chacun notre tour, nous nous dévoilions un peu plus en nous gardant bien d’afficher une nudité totale. Quel délice que de se découvrir aussi progressivement avec autant de lenteur… le désir en était attisé au plus haut point. Forcément, le moment vint ou l’envie de se rencontrer était devenue trop forte.
Ma première vraie rencontre avec Mona était donc l’aboutissement d’une longue attente, avec d’autant plus d’envie que c’était notre première relation à tous les deux. Après sept heures de route, j’arrivai enfin chez elle et elle vint aussitôt m’accueillir. Elle était ravissante, de longs cheveux châtains légèrement ondulés couraient sur ses épaules. Sa silhouette fine était habillée en jeune fille très sage, un peu intimidée après ce long début virtuel. Son gracieux visage aux traits fins et élégants entourait un regard brûlant d’envie et contrastant avec son apparence générale très candide.
Romantisme d’une première relation obligeait, nous nous étions entendus sur le fait de ne pas nous embrasser dans la rue pour réserver notre premier baiser à un lieu plus intime. Arrivé dans la maison, je saluai Cateline, sa mère, divorcée. Après une rapide présentation, elle nous laissa faire plus ample connaissance. Je suivis Mona dans l’escalier et nous arrivâmes dans sa chambre. Le moment tant attendu était arrivé, nos regards s’embrasèrent, nos doigts s’effleurèrent, nos mains s’unirent et nous nous embrassâmes tendrement, longuement, intensément. Nos lèvres se savouraient mutuellement tandis que nos langues se mêlaient dans un jeu de désir croissant. Ainsi enlacés, l’après-midi laissa place au soir alors que nous étions toujours bouches collées, l’étape des caresses timides débutant à peine. Nous fûmes alors interrompus dans notre idylle par la voix de Cateline qui nous appelait à table.
Au cours du repas, je fis connaissance avec Alice, sa sœur jumelle, et tout comme sa Maman, elle se montra charmante et très accueillante à mon égard. Mona me dévorait des yeux et il m’était difficile, une fois perdu dans son regard de braise, de poursuivre le cours de la conversation. Heureusement, sa mère et sa sœur travaillaient toutes les deux le lendemain et le repas ne se prolongea pas.
Après avoir souhaité une bonne nuit, je passai par la salle de bain revêtir un pyjama puis je la rejoignis dans la chambre. Une fois dans le lit, l’obscurité aidant à masquer notre timidité, le désir se fit plus fort. Nos mains s’égarèrent un peu plus loin, les caresses se firent plus sensuelles et les vêtements gênants furent rapidement expédiés. Mes doigts parcoururent sa peau délicate, se rapprochant peu à peu de ses seins. Lorsqu’ils effleurèrent ses tétons, un gémissement s’échappa de ses lèvres. Je fis alors rouler ses mamelons entre mes doigts tandis que son souffle s’accélérait. J’appréciai le velouté de sa peau et l’envie de la goûter se fit de plus en plus forte.
Pour ne pas brusquer les choses, je me contentai d’approcher ma respiration seule de ses seins. Mon souffle chaud sur sa poitrine cambra son corps et son téton entra en contact avec mes lèvres. J’en profitais pour le sucer doucement, ses gémissements m’encouragèrent et je pris le temps de goûter chaque centimètre carré de sa poitrine tandis que ma main glissa lentement vers sa culotte que je découvris mouillée. Elle écarta spontanément ses jambes, ce qui mit en contact sa cuisse avec la bosse de mon boxer. Ce contact provoqua chez elle un frisson d’envie et elle commença à me caresser de sa cuisse satinée.
Peu à peu, mes baisers descendirent le long de son ventre et rejoignirent sa culotte déjà humide et délicieusement odorante. Quel délicieux parfum ! C’était la première fois que je sentais cet effluve féminin mais il provoquait déjà en moi une excitation exacerbée. Je décalai peu à peu le tissu afin de pouvoir déguster son abricot que je devinai déjà au travers du fin tissu. Elle serra alors les jambes brusquement, ramenant ma tête près de la sienne. Inquiet d’avoir dépassé ses limites sans m’en être aperçu, je me confondis en excuses :
Je l’aidai à retirer sa culotte et plongeai sous les draps pour déguster son sexe dont le parfum enivrant me manquait déjà. Au premier coup de langue, elle poussa un gémissement de plaisir qui me conforta en tant que novice. Ses petites lèvres étaient en effet très saillantes et je commençai par les embrasser et les suçoter. Enhardi par les cris étouffés qu’elle laissait échapper entre deux respirations saccadées, je poursuivis l’exploration de son intimité de ma bouche curieuse. J’essayai plusieurs méthodes : saisir son sexe dans ma bouche grande ouverte, glisser ma langue dans son sillon trempé, la pénétrer de la pointe de ma langue ou aspirer ses lèvres avec les miennes. C’était un délice de les sucer, l’une après l’autre, et la mouille qui ruisselait en continu m’indiquait sans nul doute qu’elle y prenait aussi du plaisir.
Ce fut lorsque ma langue glissa par mégarde sur son clitoris que sa réaction se fit la plus intense. J’écartai alors de mes doigts ses lèvres pour mieux accéder à son bouton de plaisir et, sans vraiment de méthode, j’embrassai, suçai, léchai et taquinai du bout de ma langue son clitoris. J’eus beaucoup de mal à rester en position tant son corps se contracta de plaisir dans tous les sens. Ma chance de débutant ne tarda pas à lui procurer un orgasme accompagné d’un petit cri de plaisir. Alors que je remontais vers son visage pour l’embrasser passionnément, elle interrompit ce baiser langoureux :
J’eus à peine le temps de l’ôter qu’elle toucha délicatement mon sexe du bout des doigts, le caressa, descendit vers mes bourses et saisit finalement ma verge à pleine main.
Elle se rapprocha de mon sexe, l’embrassa d’abord par petites touches un peu partout puis goba mon gland goulûment. La douceur de ses lèvres en recouvrit les contours délicatement. Cette caresse nouvelle pour moi me désarma momentanément par sa chaleur et sa moiteur. Sa langue allait et venait autour de mon gland, titillant mon méat ou effleurant le frein de mon prépuce, point terriblement érogène. Je sentis soudain une succion qui accentua encore le plaisir ressenti. Mon corps de puceau n’étant pas habitué à autant de stimulations, l’orgasme arriva vite et je craignis avant toute chose de la dégoûter en jouissant dans sa bouche.
Elle n’eut que le temps de dégager sa bouche de mon sexe tandis que d’épaisses giclées allèrent couvrir ses seins de mon sperme chaud.
Elle se saisit de son pyjama, essuya ses seins nappés de mon plaisir avec, puis se blottit contre moi. La sensation de son corps nu contre le mien me maintint excité… Et que dire du parfum de son sexe qui recouvrait mon visage et m’enivrait à chaque inspiration ! Ma queue encore dégoulinante de sperme était de nouveau raide, mais elle semblait déjà endormie contre moi et, finalement, la fatigue de la journée eut raison de mon excitation.
Le jour se levait au travers de la fenêtre lorsque nous nous réveillâmes. Après m’avoir embrassé, elle se retourna et disparut sous les draps. Je sentis alors sa bouche englober de nouveau ma queue, aux prises d’une érection matinale, pour un réveil des plus érotiques. Mais je ne souhaitais pas rester à ne rien faire pendant qu’elle aspirait mon sexe de sa bouche coquine. Je la saisis alors par les cuisses pour amener son corps au-dessus du mien, et c’est ainsi qu’elle vint se mettre tête-bêche et que nous découvrîmes ce qui allait devenir notre position préférée : le 69.
Je contemplais alors pour la première fois son sexe. Il était entièrement lisse et épilé de son pubis à la raie de ses fesses. Ses petites lèvres très charnues et pendantes dépassaient largement de ses lèvres extérieures et s’entrouvraient sur des chairs écarlates et ruisselantes. Le parfum de son sexe trempé, le tableau de ses lèvres telles des sucettes prêtes à être savourées et la caresse douce et chaude de sa bouche autour de mon gland accroissaient mon plaisir trop rapidement… Il fallait que je lui fasse rattraper mon niveau d’excitation. Je plaquai alors ma bouche grande ouverte sur son sexe et l’aspirai fortement tout en pointant ma langue pour la fouiller le plus loin possible. Elle releva immédiatement sa tête de mon sexe et se mit à haleter, offrant un répit à ma queue. La couette qui nous recouvrait encore fut dégagée pour lui permettre de respirer plus à son aise.
Alors que je sentais qu’elle reprenait quelque peu ses esprits et qu’elle s’apprêtait à me reprendre en bouche, je saisis ses fesses fermement de mes mains pour rapprocher son bas-ventre de mon visage et pointai ma langue au maximum pour la pénétrer le plus loin possible… Je me retrouvai le nez entre ses fesses. Elle gémit de plus en plus distinctement et engloutit de nouveau mon sexe pour étouffer la complainte lubrique qui s’échappa de sa gorge. La sensation de ma queue engloutie par cette bouche chaude et le parfum plus épicé de son anus à quelques millimètres de mon nez exacerbèrent encore mes ardeurs et me firent jouir promptement. J’eus juste le temps de la prévenir et elle retira mon sexe de sa bouche aux premiers jets de sperme.
Je continuai à dévorer sa chatte et, au bout de quelques minutes, les spasmes de son corps m’indiquèrent qu’elle atteignait l’orgasme. Alors qu’elle me mordait la cuisse, elle s’affala sur moi quelques instants, essoufflée et palpitante, puis se releva et se retourna pour venir m’embrasser. Elle avait le visage couvert de sperme et s’essuya de nouveau avec son pyjama.
Elle enfila une robe de chambre et alors qu’elle ouvrait la porte de la chambre pour descendre petit-déjeuner, je lui confiai que je ne pouvais descendre ainsi en pyjama avec une demi-érection, mais elle me répondit que ça ne la gênait pas. Je la laissai quand même descendre avant moi, le temps d’enfiler un boxer sous mon pyjama afin de paraître plus chaste. Je l’entendis alors saluer sa mère :
Nous commençâmes notre petit déjeuner.
La journée se passa en tourisme et promenades. Nous nous étions fixé un emploi du temps un peu trop chargé étant donné que je repartais le lendemain et aucun moment d’intimité ne s’était offert à nous en dehors de quelques baisers.
Le repas du soir fut un peu plus long que la veille, Alice et Cateline étant assez curieuses, j’étais assailli de questions… Mona semblait s’impatienter. Nous fîmes quand même un jeu de société, mais après la première partie, Mona prit l’initiative de préciser que nous étions fatigués après notre journée de tourisme et que j’avais beaucoup de route à faire le lendemain. Nous souhaitâmes donc une bonne nuit, non sans avoir reçu un grand sourire en retour qui semblait prendre assez peu au sérieux notre prétexte.
Après un détour par la salle de bains, je rejoignis Mona dans la chambre où je la découvris revêtue d’une nuisette sensuelle qui contrastait avec le pyjama de petite fille qu’elle portait encore la veille. À peine la porte fermée, nous nous lançâmes dans un langoureux baiser. Je la saisis fermement par les fesses, mais ne pus en profiter longtemps car elle se mit à genoux, sortit mon sexe de mon pyjama et le goba complètement. Ma queue, alors à demi-molle, grossit très vite pour atteindre sa pleine érection dans cette bouche chaude et accueillante. Elle caressait doucement mes bourses de sa main, les faisait rouler entre ses doigts, s’emmêlait dans ma pilosité et, finalement, les malaxa avec une légère pression comme pour mieux les préparer à se vider. Elle fit un mouvement de va-et-vient avec ses lèvres le long de ma verge la faisant coulisser un peu plus loin à chaque aller-retour dans sa bouche. Mes mains caressaient son visage doucement.
En guise de réponse, elle me prit la main pour la placer sur ses cheveux derrière sa tête, puis lui appliqua une pression comme pour me demander de guider les mouvements autour de ma queue.
Je compris alors qu’elle avait envie d’être dominée. 24 heures seulement après notre première rencontre réelle, cette jeune fille en apparence sage me suçait en soumise dans sa chambre dont la décoration était encore enfantine. La situation avait quelque chose de transgressif assez excitant. Les deux mains dans ses cheveux, je commençai donc à accompagner les mouvements de sa tête le long de mon sexe… D’abord lentement tout en lui massant fermement le cuir chevelu.
Je profitais de ce contrôle de sa tête pour lui faire goûter chaque partie de ma verge. Tout d’abord, le gland en continuant de légers allers-retours jusqu’au sillon du prépuce, puis, petit à petit, je l’entraînai plus loin et plus vite. C’était vraiment troublant de me servir ainsi de sa tête pour me masturber ; c’était provocant de contempler son regard avide de sexe ; c’était suggestif de voir ses fines lèvres enserrer le contour de mon gland turgescent, glisser sur mon prépuce serré et suivre le tracé de ma veine gonflée ; c’était fascinant de voir sa petite bouche engloutir ma queue profondément ; c’était émoustillant d’écouter les gargouillis de sa bouche au gré de son envahissement par mon chibre. Elle avait positionné ses mains derrière mes cuisses et, en me serrant vers elle, me signifia son souhait d’aller plus loin. Je ralentis alors le mouvement afin de la pénétrer plus profondément.
À chaque introduction, je gagnais quelques millimètres et sentais ses mains relâcher la pression derrière mes cuisses. Je relâchais alors la pression sur sa tête et ressortais mon membre presque entièrement de sa bouche pour y retourner immédiatement dans un gargouillement excitant. À chaque relâchement de la contrainte, je pouvais percevoir un regard ensorceleur, mélange de soumission et de voracité qui me stupéfiait et me transformait en dominateur conquérant de sa bouche. En l’entraînant un peu plus loin, ses lèvres se rapprochaient de mes poils. Je sentais le rétrécissement de sa gorge, sa luette qui reculait devant mon gland impitoyable. Emporté par ces sensations nouvelles, je baisais sa bouche avec fougue quand l’intrusion de mon gland dans son pharynx provoqua chez elle un haut-le-cœur et un mouvement de recul réflexe.
Passé un instant d’hésitation, je repris la baise vigoureuse de sa bouche. Elle balançait sa tête au gré des mouvements de mon bassin pour amplifier la vigueur de la pénétration. Ses gargouillis affriolants et son regard lubrique m’amenèrent très vite à l’orgasme et j’eus juste le temps de me retirer pour éjaculer sur son visage. Alors que les jets suivants allaient se perdre sur sa poitrine et sa nuisette, elle se releva en s’essuyant le visage d’un doigt :
Je retirai sa nuisette prestement, la pris par les fesses pour la porter jusqu’au lit et la jetai dessus. Puis, je saisis ses jambes pour positionner ses fesses sur la couette encore enroulée de nos ébats du matin et me précipitai sur sa chatte comme un animal affamé.
Le premier contact de ma bouche avec son sexe lui arracha un petit cri de plaisir. Quel bonheur de goûter de nouveau à ce fruit défendu ! Quelle vue magnifique entre ses lèvres généreusement saillantes laissant apparaître son clitoris, son ventre à la peau fine et veloutée, ses petits seins pointus aux tétons dressés et son visage empourpré de plaisir, les paupières fermées pour mieux se ressentir ! Je pointai ma langue dans l’entrée de son vagin puis, me rappelant ses précédents orgasmes, me dirigeai vers son petit bouton de plaisir. Tout en le suçant avec gourmandise de mes lèvres enveloppantes, je le léchai délicatement du bout de la langue. Il fallait croire que ma technique s’améliorait avec l’expérience, car elle jouit très vite, serrant mon visage entre ses cuisses et appuyant sur ma tête de sa main.
Je remontais vers son visage en parcourant son ventre et ses seins de baisers effleurés du bout des lèvres. Une fois que je fus arrivé à son visage, et après un baiser passionné, elle me dit dans un souffle :
Il était vrai qu’entre le cunnilingus que je venais de lui faire et mon gland encore dégoulinant de sperme, nous ne manquions pas de lubrification. Je m’installai donc face à elle et présentai du mieux que je pus mon gland à l’entrée de son vagin. Elle le dirigea du bout de ses doigts et m’enjoignit de la pénétrer.
J’appliquai alors doucement une pression de mon gland qui se fraya un passage entre ses lèvres. Malheureusement, il glissait contre l’entrée de son vagin tantôt vers le haut tantôt vers le bas. Après plusieurs essais infructueux, elle parvint à maintenir ma verge à l’endroit adéquat.
Je pressai un peu plus fort mon gland et sentis ses chairs s’écarter sur mon passage mais instantanément elle me stoppa.
Et elle reprit mon sexe dans sa main.
Elle saisit ma verge fermement de sa main et commença un mouvement un peu désordonné.
Et, enjambant mes cuisses puis s’asseyant dessus, elle vint se placer face à moi. Elle saisit de nouveau mon sexe et recommença. Ses mouvements étaient lents et d’une telle amplitude qu’elle découvrait et recouvrait mon gland de son prépuce à chaque va-et-vient. Malgré tout, la sensation de sa main qui me masturbait et la vision de son corps nu face à moi étaient très excitantes.
Elle augmenta alors la vitesse de son poignet au détriment de sa régularité, faisant aller ma verge dans tous les sens.
Elle commença à masser mes testicules de l’autre main.
Elle malaxait mes bourses tout en continuant les mouvements de son poignet le long de ma hampe. Ses doigts pressaient mes testicules comme pour mieux extraire le sperme qu’ils contenaient. Ses seins ballottaient au gré du branlage de ma queue quand elle s’interrompit :
Alors qu’elle reprenait ma verge de la main gauche, elle poursuivait le malaxage de mes bourses de sa dextre avec une ardeur sans doute à la mesure de son excitation. Si le va-et-vient exercé sur ma queue me rapprochait de l’orgasme, le pétrissage presque douloureux de mes couilles me calmait en même temps.
Elle commença alors à se masturber vivement. La vélocité et la frénésie de ses doigts sur son sexe trahissaient sa surexcitation mais aussi une pratique fréquente du plaisir solitaire. Le spectacle de cette exaltation charnelle associée à l’accalmie de mes attributs et le branlage continu de ma queue me firent jouir rapidement. Alors que les jets de sperme venaient consteller mon torse, elle continuait de s’astiquer, les yeux fermés, la tête en arrière, haletante, serrant encore fermement ma verge. Son orgasme arriva comme l’apothéose d’un spectacle sensuel agrémenté de gémissements lubriques. Elle était somptueuse de plaisir et de volupté, revenant doucement des nues luxurieuses où elle s’était perdue, s’affalant sur moi dans un câlin langoureux. Son corps glissait contre le mien, étalant mon sperme au passage, pour trouver une position adéquate pour nous endormir. Et c’est ainsi que nous sombrâmes dans le sommeil, tous les deux souillés mais apaisés.
Le lendemain matin, je m’éveillai le premier en pleine érection. La lumière de l’aube révélait déjà un sein diaphane échappé de la couette. La veille, elle m’avait fait part du souhait de la réveiller dès que je l’étais afin de profiter des dernières heures ensemble avant mon départ. Je commençai donc par quelques baisers au creux de son cou qui glissèrent vite vers son sein imprudemment exposé. Un frémissement parcourut sa peau soyeuse lorsque je commençai à presser son mamelon entre mes lèvres. Alors qu’elle était couchée sur le côté, son corps s’allongea doucement sur le dos comme pour mieux s’offrir à mes caresses. Je repoussai alors la couette du nez afin d’atteindre son autre sein et lui offrir le même traitement agrémenté de légers coups de langue. Un léger gémissement me gratifia pour cet attouchement, elle s’étira de tout son corps sans toutefois ouvrir les yeux, mais écarta légèrement les jambes. Je glissai alors sous la couette pour rejoindre son sexe que je léchai directement sans détour.
Cette dégustation intime de ma belle la réveilla complètement, un « Oh oui ! » s’échappant de ses lèvres tandis que ses cuisses s’écartaient davantage, m’invitant à poursuivre. Ma langue allait et venait le long de son sexe, se glissant entre ses lèvres qui l’honoraient en faisant perler sa mouille. Les effluves enivrants et aphrodisiaques de sa vulve asservissaient mon esprit à un seul dessein possible : bouffer sa petite chatte trempée.
En appui sur mes bras et la tête toujours entre ses cuisses, je me décalai et enjambai son visage pour atteindre notre position préférée. Elle agrippait mes cuisses afin de les relever et me faire reculer pour pouvoir me sucer. Toutefois, dans cette position avec moi au-dessus, elle ne parvenait pas à prendre ma queue dans sa bouche sans que je perde le contact avec sa chatte. Je résistai physiquement pour poursuivre le cunnilingus entamé et elle dut se résigner, ne pouvant lutter de ses bras contre mes cuisses… Elle m’en mordillait l’intérieur de dépit tout en empoignant fermement mes fesses. Je la sentis alors lécher mes bourses tandis que le souffle de son nez caressait mon anus entre mes fesses écartelées de ses mains. Je me concentrai alors sur son clitoris pour la faire jouir rapidement. Je sentis ses doigts glisser sur mon cul puis le long de mon sillon tandis qu’elle gobait successivement mes couilles l’une après l’autre.
Son orgasme approchant, ses caresses se firent désordonnées, elle me griffa les fesses tandis qu’elle appliqua un suçon sur mes bourses. Ses doigts tournèrent autour de mon anus tout en s’en rapprochant petit à petit. Elle finit par le masser de son pouce tandis que son corps frémissait de plaisir, et c’est quand elle atteignit l’orgasme qu’elle me l’enfonça complètement tout en me griffant profondément la fesse de son autre main. Une fois la jouissance passée, elle le retira en s’excusant :
Et elle commença à me sucer langoureusement. Je l’interrompis très vite en retirant mon sexe de sa bouche :
Elle se mit en position et je me rapprochai d’elle en écartant ses jambes. Ses petites fesses fermes entouraient son délicat anus ourlé surmontant son sexe aux lèvres pendantes : magnifique ! Je la tenais par les hanches et vis alors glisser son majeur rapidement dans son vagin.
J’enduisis mes doigts de salive et lui glissai mon majeur qui rentra avec aisance. J’essayai alors plus doucement avec deux doigts que je parvins à faire rentrer entièrement, sans difficulté, en appuyant de mon pouce sur son petit anus rosé. Elle poussa un petit soupir de satisfaction et commença à remuer ses hanches. Ayant saisi son intention, je me mis à la fouiller de mes deux doigts comme pour élargir le passage.
Je m’exécutai, retirant mes doigts de sa chatte trempée pour venir placer ma verge à l’orée de sa vulve. Je m’arrêtai alors à cette étape, la laissant maîtriser elle-même la pénétration comme elle me l’avait demandé. Elle commença à reculer doucement vers moi, l’extrémité de mon membre écartant ses lèvres sans difficulté avant d’être immobilisé. Elle accentua la pression et d’un coup mon gland se retrouva happé par ses chairs intimes, lui arrachant un cri de douleur :
Elle se retourna vers moi, ses yeux étaient rouges et une larme coulait le long de sa joue.
Elle empoigna ma queue et commença à me masturber vigoureusement tout en aspirant mon gland de ses lèvres suaves. J’étais tellement excité que l’orgasme arriva très vite et je me déversai dans sa bouche voluptueuse. Elle l’ouvrit à fond et sortit sa langue couverte de sperme tandis qu’elle continuait à masturber lentement ma queue en la pressant pour faire sortir les dernières gouttes. Je la soupçonnais de reproduire une pratique qu’elle avait dû voir sur un film X, mais il fallait reconnaître que c’était excitant à contempler. Elle avala ma liqueur avec difficulté, la texture gluante n’étant sans doute pas très agréable. Quelques gorgées d’eau facilitèrent la déglutition et après un baiser passionné, nous nous habillâmes prestement pour descendre déjeuner.
Sa mère avait tout préparé et nous accueillit avec un grand sourire et une bise à chacun :
La discussion se poursuivit sur lever de soleil qui illuminait cette matinée d’hiver. Alice n’était pas encore levée et alors que nous étions en train de déjeuner, Mona dit à sa Mère :
Je rougis instantanément, embarrassé par le déballage de notre intimité, mais cela ne sembla pas offusquer Cateline qui lui répondit sans gêne :
J’étais abasourdi par cet échange médico-sexuel à caractère familial. Mona répondit à mon air décontenancé par un grand sourire et son regard pétillait d’envie. Toutefois, l’emploi du temps de cette dernière matinée ensemble avant mon départ ne nous laissa pas tellement le temps à rêvasser et nous terminâmes rapidement le petit déjeuner.
Après une longue balade dans une forêt enveloppée d’un romantique manteau neigeux pour atteindre un sommet à la vue majestueuse, nous nous retrouvâmes à table tous les quatre pour le repas de midi. J’étais le centre d’attention de ces trois femmes adorables et mon départ se retarda d’autant plus. Le dessert passé, je me levai pour débarrasser la table mais Cateline m’ordonna de laisser tout cela et d’aller faire mes bagages tranquillement. Je la remerciai pour le repas et montai préparer ma valise.
Mona m’accompagna dans la chambre et usa de tous les prétextes pour me frôler, me toucher ou me caresser tandis que je rangeais mes affaires. Entre postures aguichantes pour « chercher mes affaires sous le lit », attouchements « involontaires » de mon sexe, plusieurs claques fermes sur mes fesses et une jambe posée sur ma valise pour me dévoiler indécemment sa culotte… je bandais dur. À peine avais-je fermé ma valise qu’elle m’enlaça et me dit :
En un clin d’œil, nous nous retrouvâmes nus dans le lit, elle assise sur moi. Du liquide séminal dégoulinait de mon méat, lubrifiant mon gland tandis que j’enduisais ma hampe de salive. Elle faisait de même, crachant dans ses doigts pour lubrifier sa chatte.
Elle se positionna sur mon sexe et fit rentrer mon gland, comme accompli le matin même avec un gémissement plaintif. Son visage grimaçait de douleur alors qu’elle essayait de s’empaler davantage et finalement elle se retira d’un coup pour s’affaler sur moi, quelques larmes perlant de ses jolis yeux.
Je caressai amoureusement sa peau soyeuse et elle se calma rapidement.
Et elle se retourna sur moi pour me présenter sa croupe tandis qu’elle embrassait ma verge qui avait perdu en rigidité au cours de la déconvenue. Le parfum de son sexe se mêlait à une pointe de transpiration résultant de la longue marche de la matinée. Une fois ma bouche collée à ses lèvres, je découvris la fragrance à la fois délicatement poivrée et terriblement obscène de son cul qui avait lui aussi transpiré. Enivré par ces moiteurs lubriques, je subissais une fellation goulue tandis que ma langue se promenait instinctivement sur le contour de ses lèvres. Il était temps de me reprendre ou alors j’allais jouir sans même lui avoir donné de plaisir. Je décidai alors de la surprendre et d’embrasser son anus. Elle releva brusquement la tête :
Le goût n’était pas spécialement prononcé mais la douceur de son œillet en faisait un véritable bonbon sur la langue.
Je retournai alors m’occuper de son sexe et elle me reprit en bouche, suçant ardemment mon gland avant de faire des va-et-vient énergiques le long de mon membre. Je butinais son clitoris fougueusement et en quelques instants nos corps furent parcourus des convulsions de l’orgasme. Elle se releva et vint m’embrasser entre deux essoufflements, sa bouche encore dégoulinante de sperme. Nous étions tous les deux anéantis. Mes bourses étaient douloureuses de s’être de nouveau vidées et ma queue me faisait un peu mal d’avoir été tant sollicitée. Nous sombrâmes dans une sorte de torpeur pendant quelques minutes, blottis l’un contre l’autre. Je m’éveillais d’un coup en sursaut, la tirant de son sommeil en même temps. Nous nous levâmes, nous nous habillâmes, et après un tendre baiser je pris ma valise et descendis vers l’entrée de la maison. Je saluai Cateline et Alice qui me souhaitèrent une bonne route et rejoignis ma voiture.
Mona m’accompagna, le regard triste. Elle me fit un dernier baiser par la vitre baissée puis je pris la route du retour. Sept heures de conduite m’attendaient, mais sept heures parfumées par ses effluves encore présents sur mon visage…