n° 20765 | Fiche technique | 88464 caractères | 88464Temps de lecture estimé : 50 mn | 08/02/22 |
Résumé: Les joies d’une randonnée équestre : un couple amoureux, deux jeunes femmes cavalières, une très bonne ambiance ! | ||||
Critères: f fh fffh couple cadeau fépilée vacances sport campagne amour voir nudisme ffontaine fmast caresses fellation fsodo partouze portrait humour | ||||
Auteur : Cormobin Envoi mini-message |
Simon
Après deux ans de pratique de l’équitation, en ayant débuté à plus de 50 ans, je me suis senti suffisamment à l’aise pour envisager de grandes balades à cheval, sur plusieurs jours. J’ai oublié depuis longtemps mes peurs, plus de vertige, et je suis maintenant capable de m’occuper de mon cheval, de le préparer, d’en prendre soin, et bien entendu de le diriger, de lui faire comprendre que c’est moi qui le commande et non l’inverse. On dit que c’est en allant le chercher au pré qu’il faut lui montrer qu’on maîtrise toutes les techniques, et aussi, qu’il va être bien traité. Il faut que le cheval soit en confiance, et qu’il obéisse aux ordres. Donc quand Isa m’a proposé de faire une randonnée à cheval pendant quatre jours pendant le week-end du 14 juillet, je me suis dit que c’était une très bonne idée. J’ai toujours aimé les animaux, donc quatre jours dans ces conditions, c’est assez long pour pouvoir en profiter, et pas trop pour s’ennuyer. Isa s’est occupée de tout, et a constitué le petit groupe avec qui nous allons randonner.
J’espère qu’on aura un peu de temps pour s’occuper de nous. Le fait qu’on ne soit pas uniquement tous les deux va nous demander un peu d’organisation, mais je fais confiance à Isa pour m’aider à trouver l’ouverture. Pas de souci, nous allons conclure. Après, il faudra voir si le temps passé à cheval ne va pas nous occasionner quelques tracas anatomiques. Si Isa a besoin de massages, ce sera avec plaisir. Il faut juste qu’on ne soit pas trop contraint par les contraintes de bruit. Il ne faudrait pas que les petites jeunes soient trop émoustillées par nos ébats conjugaux.
Isa
Quel plaisir de partir pendant quelques jours, à cheval ! La formule proposée par notre centre équestre a de quoi séduire les amoureux du cheval. Des parcours d’une trentaine de kilomètres par jour. Pauses le midi dans des restaurants sympas, et nuitées dans des fermes équestres, tout confort. Les organisateurs prennent en charge le transport de nos bagages, le coût reste abordable, donc que des avantages. Nous allons pouvoir déconnecter complètement du travail, c’est super. Et j’ai réussi à convaincre les deux petites jeunes du centre, Léa et Manon, de nous accompagner. Cela nous fera un peu de conversation le soir, et surtout, ça nous changera des vieux collègues de boulot. Elles sont toutes mignonnes, meilleures que nous pour ce qui concerne les chevaux, donc leur présence nous évitera toute galère.
Les journées ne seront pas trop chargées, donc on aura tout notre temps. Pour les hébergements, j’ai choisi des fermes retapées, bien aménagées. J’ai pensé à Simon, il y a des piscines partout, donc il pourra mater les petites jeunes en maillot. Ou moins habillées peut-être. Il va falloir que je sois active pour qu’il ne s’éparpille pas dans ses pensées, mais les jeunes corps exposés ont plutôt tendance à accentuer son affection envers moi. Je devrais donc en profiter.
Léa
Quelle chance ! Déjà, ce centre équestre est très sympa, pas très loin de mon nouveau travail, et me permet de reprendre l’équitation que j’avais abandonnée pendant mes études secondaires et, a fortiori, supérieures. J’ai retrouvé tout de suite le plaisir de monter, de m’occuper des chevaux, et il y a une très bonne ambiance. Quand Isa nous a proposé de partir en randonnée, je n’ai pas hésité. Elle est sympa, avec son mari, même si je me demande s’ils sont mariés. Ils sont parfois un peu hésitants tous les deux, avec les chevaux, mais je trouve très courageux de leur part de s’être lancé à leur âge dans ce sport, car c’est un sport. Comme quoi, alors qu’ils ont l’âge de mes parents, très casaniers, on peut tout de même se lancer dans de nouvelles activités.
Ces quatre jours vont aussi me permettre de faire connaissance avec Manon, qui a l’air très sérieuse avec les chevaux, et d’oublier cet enfoiré qui m’a laissé tomber, et dont je ne veux même plus me souvenir du nom. Avec ce petit groupe, au moins, je suis sûre de ne pas tomber sur un lourdaud dont la seule envie serait de me culbuter le plus vite possible. Ce n’est pas que je n’aime pas la culbute, ce serait même plutôt le contraire, mais j’ai horreur des dragues pénibles où tu te crois obligée de tout accepter, tout de suite, pour ne pas passer pour une coincée. La météo s’annonce radieuse, j’ai pris uniquement des tenues légères, et mon maillot de bain préféré, Isa nous a dit qu’il y aurait des piscines tous les soirs.
Manon
Chouette, quatre jours à cheval. Depuis le temps que j’avais envie de partir plusieurs jours dans ces conditions ! Isa, que je connais tout de même assez peu, a très bien organisé le séjour. Et le faire avec Léa, ça va être sympa. J’ai l’impression qu’on a un peu les mêmes goûts. Déjà, le cheval, mais aussi le grand air. Même si je suis un peu plus réservée qu’elle, en apparence au moins, on s’est pris plusieurs fois des verres après le cheval, et j’ai senti qu’on pouvait se faire confiance. On a échangé nos malheurs, les petits cons qui nous ont plantés, et on a fini en rigolant alors que j’étais plutôt triste. La façon qu’elle a de parler des mecs, très crue, ça m’amuse un max. Moi aussi, j’ai eu quelques aventures, et au moins, pendant ces quatre jours, on ne risque pas d’avoir à éconduire un de ces pauvres mecs.
À l’occasion, je n’ai rien contre une partie de drague un peu maladroite, et même pour un « petit coup », à condition que ce soit bien fait ! Le problème, c’est que les meilleurs dragueurs ne sont pas les meilleurs baiseurs ! Et malgré mon air plutôt réservé, ou heureusement, j’ai tout de même une bonne expérience pour mon âge, ce qui surprend souvent les mecs, quand je dois les guider ou leur rappeler les principes de l’anatomie féminine. Ils pourraient s’entraîner, mais je n’ai pas envie de leur servir de monitrice. J’en ai surpris plus d’un, car une fois dans l’action, je n’ai pas de tabous, tant qu’il n’y a ni contrainte ni violence. Enfin, surtout la violence, car la contrainte, vu que je suis en général partante, c’est vraiment très rare ! Je me demande bien la dernière chose que j’ai pu refuser, ça ne me revient pas. Avec une bonne douche derrière, pas de raison de se refuser une petite innovation ! `
Et puis ça va être l’occasion de mieux connaître Léa. Elle doit avoir deux ans de plus que moi. Elle se montre très délurée, mais à mon avis, de nous deux, contrairement aux apparences, c’est moi la plus expérimentée !
Isa
J’ai choisi un trajet sympa. Départ depuis le piedmont pyrénéen, quatre étapes et trois nuitées, pour arriver à St Jean de Luz. La ferme équestre du départ est charmante. On nous présente nos chevaux. Ils sont propres, donc on n’aura qu’un léger bouchonnage à réaliser avant de les sceller. Il faudra leur nettoyer les sabots. C’est surtout pour la prise en main des chevaux, car avec le temps sec des derniers jours, les prés sont propres et pas de boue dans les chemins. Enfin, on leur passe leur filet, on leur met le mors, et ils sont prêts à être montés.
L’organisateur est prévenant, pédagogue, il nous expose les qualités et les défauts de nos chevaux. Ils ont déjà fait plusieurs fois le trajet, pas de difficulté particulière.
Nous avons tous chargé l’appli qui nous permet d’une part de nous géolocaliser, et d’autre part, nous aide à adopter les allures recommandées, mais non obligatoires. Le parcours comporte trois étapes de 60 km, la dernière est un peu plus courte, car il faudra nous ramener au point de départ. La seule obligation est d’arriver à peu près à l’heure du déjeuner dans les auberges partenaires du parcours. En gros, il faut qu’on fasse 30 km le matin, 30 km l’après-midi, et il nous est vivement recommandé de faire au moins une pause le matin, une l’après-midi, pour faire reposer les chevaux. En pratique, le parcours est tellement agréable, d’après l’organisateur, qu’avec cette météo très favorable, il est persuadé qu’on va faire plus de pauses.
Simon
Nous sommes passés prendre les deux jeunes femmes, et nous avons rejoint le point de départ. Isa s’occupe des formalités et discute des points d’arrêt. Je profite du paysage, je jette un œil aux chevaux et j’échange quelques mots, très banals, avec Léa et Manon. Elles ont l’air enchantées de la balade à venir.
On s’occupe des chevaux et on les prépare. Les filles ont l’air contentes, comme d’habitude, de nous dispenser les conseils. Je pense que ça va être très sympa, quatre jours en plein air.
Même si j’ai commencé l’équitation tardivement, j’ai toujours aimé les animaux, donc cette proximité avec le cheval est quelque chose que j’apprécie. Sentir l’animal réagir, le diriger, voir quand il essaie de prendre l’initiative, le forcer à suivre nos consignes, c’est vraiment très plaisant.
Léa
Ah enfin, cette randonnée. Quatre jours à cheval, quelle joie ! Le groupe est petit, sympa. Je pense que je vais bien m’entendre avec Manon. On fera mieux connaissance. Simon et Isa sont agréables. Ils ont l’air contents d’être avec nous, et le fait qu’on soit plus expérimenté qu’eux en équitation nous permet d’avoir une relation assez équilibrée. On se branche, on plaisante et tout va bien.
Manon
En voyant la ferme et les chevaux, je comprends que j’ai vraiment fait le bon choix pour ce week-end prolongé. J’aime bien les petits groupes. Léa est certainement plus expansive que moi, ça devrait nous permettre de trouver un équilibre entre nous. Simon et Isa sont visiblement contents de partir avec nous.
Isa
Une super journée. Les chevaux ont été très faciles à monter. Pas de souci pour les diriger. On est maintenant suffisamment formé pour arriver à les commander, les faire passer au trot. On a même pu galoper tranquillement. Les pauses ont été agréables. Nous voilà arrivés à notre étape du soir. Nous avons laissé les chevaux au pré, nettoyé tous les équipements. Ils ont eu leur nourriture et ils vont passer la nuit à la belle étoile, comme dans leur haras.
Les consignes ont été respectées, nous avons retrouvé tout notre barda. L’organisation de la randonnée est très bien faite. On a un petit bungalow pour nous quatre, deux chambres, comme c’était prévu, une pour nous, et une pour les filles. Celle des filles est d’ailleurs quasiment plus grande que la nôtre, car elle comporte deux grands lits. Par contre, une seule salle de bain à partager, et surtout, les deux chambres sont seulement séparées par une cloison toute simple. On entend tout. Si on veut se témoigner un peu d’affection, comme dit Simon, va falloir être hyper silencieux. L’avantage, c’est qu’avec une longue vie en commun, et toujours pleins de désir, on sait s’organiser et on n’a pas besoin de réfléchir trop longtemps pour trouver une bonne solution.
Les propriétaires de la ferme étape nous ont montré la piscine. On va s’y baigner avant de passer à table. Ils nous préparent le repas, et on se débrouille ensuite entre nous.
Cela va faire du bien de se tremper.
Simon
Une journée très agréable. Et intense. Plus de quatre heures sur le cheval. On a bien alterné les allures, mais je suis fourbu. Heureusement que je suis en forme, sinon, ça serait pénible. J’ai laissé les filles discuter ensemble. Léa et Manon ont l’air à l’aise avec Isa. J’ai bien aimé rester en queue du groupe. Comme ça, je n’ai pas à décider de l’allure. Je suis (et mon cheval aussi !) ce qui se passe devant et je copie. Maintenant, je maîtrise bien le trot enlevé, ce qui m’évite des douleurs très désagréables à ma masculinité. Les filles n’ont pas ce souci, c’est peut-être ce qui fait qu’il y a beaucoup plus de femmes licenciées à la fédé d’équitation que d’hommes. Je les ai entendus discuter brassières. Chacun ses soucis.
J’ai pu profiter du paysage. Les chemins empruntés permettent d’admirer les contreforts des Pyrénées. Il faut cependant regarder loin devant, pour bien guider le cheval. C’est sans doute pour cela que j’ai passé quasiment tout le parcours à admirer les postérieurs de ces dames. Les pantalons d’équitation sont moulants, j’en ai pris plein les mirettes ! J’ai pu noter au passage qu’Isa n’a rien à envier de ce côté-là à nos jeunes amies. Maintenant, à la piscine !
Léa
Très contente. J’ai bien pu galoper, parfois en lâchant les étriers et les rênes. On a l’impression de voler, de faire corps avec le cheval. Le parcours était très agréable, les pauses sympas, et on a bien mangé à midi. Comme je m’y attendais, notre petit groupe a juste la bonne taille. Isa et Simon ont vraiment l’air de bien se plaire avec nous, et malgré leur expérience encore mince en équitation, ils s’en sont très bien sortis.
Maintenant, on a pris nos chambres. Comme convenu, avec Manon, on a chacune un grand lit. J’entends à côté Isa et Simon discuter. Je pourrais presque retranscrire leur conversation. Tiens tiens…
Manon
Quel pied ! Sentir le cheval entre ses cuisses, le guider, voir comment il obéit aux commandes, c’était super. Et on a encore deux jours et demi comme ça, génial ! Un petit plouf dans la piscine. La chambre avec Léa est très bien. On prépare nos maillots de bain. Elle a un bikini comme moi. Poser la brassière, enfin ! Comment faire ? Ah, la voilà seins nus, pas gênée du tout par ma présence. Après tout, c’est normal, je fais pareil et j’enfile le haut, le bas aussi, je n’avais même pas remarqué qu’elle était toute nue.
Isa
J’ai vraiment bien choisi le voyage. Nos hôtes ont aménagé leur ferme pour que les touristes se sentent à l’aise. La piscine, pas très grande, mais qui doit faire huit mètres par quatre, fond plat d’environ un mètre quarante, parfaite pour se baigner et assez grande pour nous quatre. On a de la chance, avec cette météo, j’ai eu juste besoin de passer une robe. À même la peau, j’ai posé le maillot. Comme ça, avec une robe très longue, la peau peut respirer partout, après avoir été bien comprimée pendant la journée.
J’ai pu constater au passage que malgré mon grand âge, je n’étais pas si racornie en comparaison de Léa et Manon. Elles sont superbes, mais pas anorexiques ! Simon a dû se rincer l’œil. Mais elles ont gardé leur maillot pour passer à table. Il y a les marques d’humidité sur leur tenue. Pas épanouies, les louloutes ! Enfin, pas selon nos normes. Elles ne savent pas ce qu’elles ratent.
La journée de demain sera longue, tout le monde est d’accord pour aller se coucher tôt. Enfin, pas trop tard. Pour ce qui est de s’endormir, c’est une autre histoire.
Simon
Cette petite séance de piscine était fort agréable. Avec sa légitime, et deux jeunes femmes, c’était parfait. Bon, elles n’étaient pas toutes nues, faut pas rêver. Encore que si, il faut rêver ! Isa n’a rien à leur envier. Très bien conservée, mon Isa ! Léa et Manon étaient à l’aise. Visiblement, elles n’ont pas d’appréhension par rapport au fait de passer quelques jours avec des personnes qui ont l’âge de leurs parents. J’ai constaté qu’elles avaient gardé leur maillot. Pfff, elles ne savent pas ce qu’elles perdent, comme dit Isa, qui n’hésite pas à ne rien mettre dessous, quand elle est sûre de ne pas être vue. Allez, on va regagner nos chambres. Je me demande si Isa va avoir envie.
Léa
Une bonne soirée. Une bonne baignade. Un bon repas. Une bonne ambiance dans le groupe. Nous voilà maintenant revenues dans notre chambre. On va se mettre au lit, on bavarde avec Manon. C’est mal isolé phoniquement, on entend nos voisins, qui bavardent aussi. Tiens, non, on n’entend plus rien. Ils dorment déjà ? Du coup, je n’ose plus parler, de peur de les empêcher de dormir. J’attrape mon téléphone, je le montre à Manon, tout en mettant un doigt sur mes lèvres, pour qu’elle ne parle pas. Elle comprend, et je lui montre que je mets mon tél. en vibreur. Inutile de faire entendre des bip bip à tout le monde. Je me risque à envoyer un message à Manon :
Manon
J’ai passé une super journée. Cheval, piscine, repas. Comme j’étais avec Léa, j’ai fait comme elle, j’ai mis une robe par-dessus mon maillot. J’ai observé Isa, elle n’avait rien dessous. J’ai regretté. Léa me fait des signes, me montre son tél., OK, j’ai compris, et je réponds :
La conversation s’installe, et Léa me répond :
Elle est naïve, ou quoi ?
Elle n’a rien remarqué alors :
Visiblement, Léa n’est pas convaincue :
Isa
Nous voilà au lit. On entend les filles discuter juste à côté, donc il va falloir être très silencieux. J’ai une idée. Simon me rejoint. Déjà qu’on dort nu toute l’année, en plus, avec l’été, on a juste besoin d’un drap. J’attrape sa tête et lui fais chut, en lui mettant mon index sur ses lèvres.
Il faut être direct avec son homme, sinon, il ne comprend rien. Là, l’œil est vif, probablement intéressé, il a compris, c’est très bon signe. Je me penche vers lui et je lui roule une pelle dont moi seule sur la terre (au moins) aie le secret. Je sens son sexe se tendre contre mon flan, mais je résiste, je n’y touche pas. Pas tout de suite. J’attrape sa main droite, et je la pose sur mon sexe. Pas besoin de lui faire un dessin, son majeur vient de suite se poser sur mon clito, et commence à le titiller, comme j’aime.
Simon
Isa est en forme. C’est elle qui prend l’initiative. Elle est à ma gauche, j’ai commencé à la masturber. Son sexe est humide, comme souvent. C’est un plaisir sans cesse renouvelé de la branler, même si les gestes, au cours des années, des décennies, n’ont pas beaucoup changé. Sa main descend le long de mon corps, et elle m’attrape. Quoi de mieux que de bander dans la main de sa compagne ? Là, il faut garder le silence, pas évident, Isa est plutôt du genre démonstrative. Elle se mord les lèvres. Je l’embrasse, je lâche ensuite sa bouche, et aussitôt elle se remord les lèvres.
Tiens, bizarre, elle me lâche et elle se penche sur sa gauche. Du coup, j’enlève ma main, et je rends sa liberté à son clito. Il y a quelque chose que je n’ai pas dû comprendre, car elle me lance un regard mi-sourire, mi-remontrance, dont elle a le secret !
Isa
Bon, il va comprendre ? Je rattrape sa main, j’en ai trop envie, je la remets sur ma chatte, et si j’ai lâché sa queue, je ne lâche pas son regard. Avec l’excitation, mon vocabulaire se vulgarise.
Ah, je vois une lumière dans son regard, et je sens sa main gauche bouger. Elle vient se loger sous mes fesses. Il a compris. Je remets mes fesses à plat, sur sa main. Aussitôt, je sens son doigt, le majeur certainement, se glisser dans mon cul. Il le trouve toujours du premier coup, aucun tâtonnement, il met plus de temps à comprendre qu’à me doigter le fondement !
C’est bon. C’est un peu étrange, car au bout de quelques secondes, je ne le sens plus vraiment, son doigt dans mon cul. C’est plutôt une sensation d’être prise. Je me sens en confiance, en sécurité, et je peux me concentrer sur ce qu’il fait à mon clito.
Simon
Un doigt derrière un doigt devant. Son cul est un peu humide, comme d’habitude. Ma main gauche est un peu coincée, j’en fais mon affaire. Ma main droite, et surtout le majeur de ma main droite, est libre et peut lui faire du bien. Je sens bien son clito, je le frotte, j’appuie, et de tout mon corps, je m’efforce de ressentir ses sensations pour guider mon doigt en fonction de ce qui lui fait du bien. Elle se tend, elle vient vers mon doigt. Parfois, ce geste a tendance à expulser mon autre majeur, mais ce soir, ce n’est pas le cas.
Isa
Il me fait du bien, beaucoup de bien, je ne vais pas tarder à perdre ma lucidité, et si je ne suis plus lucide, je risque de crier. Il ne faudrait pas ternir ma réputation auprès des filles à côté. Comment faire ? Ah, une idée, avec ma main gauche, j’attrape le livre posé sur la table de nuit. Comme d’habitude, je l’ai habillé d’une couverture en cuir que j’aime bien. J’arrive à enlever le livre, j’attrape la couverture, et je mords dedans. Je vais me concentrer sur cet objet coincé dans ma bouche, et ça va m’empêcher de crier.
Simon
Tiens, elle s’est tournée sur la gauche, tout en continuant à se tendre. Je comprends, elle mord la couverture. Aucun bruit. Parfait. Elle me tient toujours. Elle me branle doucement. Son rythme devient plus irrégulier. Elle se tend encore, j’enfonce un peu plus mon doigt dans son cul, j’accélère un peu sur le clito, mais pas trop, et ça y est, je sens les premières crispations autour de mon majeur gauche. Elle jouit. La jouissance doit être forte, il y a beaucoup de spasmes dans son cul. Ce n’est pas mathématique, mais c’est un indicateur tout de même assez fiable. Elle se détend. En même temps, elle s’empale encore un peu plus sur mon doigt, il doit y avoir deux phalanges, c’est toujours moins que quand je la sodomise. C’est fini. Elle relâche la couverture. Elle me regarde, me sourit, m’embrasse.
Isa
C’était très bon. Il sait tout de mon corps, je crois. Quand il me branle, c’est toujours plus fort que quand je me masturbe. Sans doute l’effet de surprise, avec lui. Quand c’est moi, je sais ce que je fais, ce que je me fais, c’est plus mécanique que magique. Je l’embrasse. Je bascule mon bassin pour qu’il enlève son doigt. Il obtempère. Puis je lâche sa bouche, et je descends.
Je l’embouche, je le suce, goulûment. Il est raide, comme j’aime. Je ne vais pas le faire trop durer, mais je vais le sucer majestueusement.
Je le branle doucement en rythme, mais fermement, avec ma main droite, et avec ma main gauche, je lui câline les couilles. J’alterne avec la paume de ma main et la pulpe de mes doigts. Je sais qu’il apprécie cette douceur. Il faut aller droit au but, donc pas de gratouille ni de griffouillage ce soir.
Simon
Ouh, elle y va ce soir. La bouche, la langue, les deux mains. Elle veut être rapide et efficace, je le sens. Laissons-la faire. Elle aime gérer.
Isa
Il durcit encore, je sens ses couilles qui remontent. C’est que ce que je fais lui convient. On ne change pas une équipe qui gagne, donc je ne change rien. Je me prépare pour le final. J’oriente sa queue dans ma bouche, tout en continuant à aspirer et à lécher. Tout un art. Et hop, voilà, ma récompense, dans ma bouche. J’avale. Quelques saccades, quelques petites gorgées. Je continue à lui sucer le gland, toujours sensible après l’éjaculation. Juste assez, mais pas trop. Voilà, il va être tout propre. Enfin, le sperme, ce n’est pas sale, disons qu’il n’y en aura pas partout comme ça.
Je remonte, un petit bisou sur les lèvres et je lui mime avec mes lèvres « bonne nuit », avec un grand sourire. Les voisines n’auront rien entendu.
Isa
Une bonne nuit de sommeil. Après un bon orgasme. Rien de tel pour bien démarrer la journée. Le petit déjeuner a été très agréable. Simon avait le sourire également, et les filles avaient l’air contentes.
Le programme du jour est copieux, une pleine journée de cheval. Nous allons aller récupérer nos montures, les équiper et on va partir. Les chevaux connaissent le parcours, eux-mêmes semblent apprécier de ne pas avoir trop d’exercices à faire en manège ou en carrière, uniquement de la balade, avec des allures différentes. Une bonne promenade, en somme.
Nous refermons nos bagages, nous les laissons dans nos chambres et nous retrouverons tout ce soir dans la ferme étape. De ce dont je m’en souviens, elle est un peu plus confortable que celle que nous allons laisser. Meilleur confort, piscine également, et je crois que les hébergements sont des bungalows isolés. Je n’aurais peut-être pas besoin de mordre du cuir pour ne pas effrayer nos jeunes collègues.
Simon
J’essaie de me rendre utile en allant chercher tous les équipements à la sellerie. Si ça peut m’éviter de passer le mors à mon cheval, ce sera bien, car j’ai toujours un peu d’appréhension pour lui ouvrir le bec, à la bestiole. À côté de ça, nettoyer les sabots, ça ne me fait ni chaud ni froid, même si c’est un peu plus physique, surtout les postérieurs.
La journée s’annonce chargée. Je vais continuer à me mettre en queue de peloton. Je mate tranquillement les trois nanas devant moi, et je n’ai pas à choisir l’allure ni le parcours. Visiblement, avec l’expérience d’hier, c’est très bien balisé, donc pas d’hésitation inutile ni de sujet de dispute dans le groupe. Je ne me fais pas trop de souci, d’ailleurs, Léa et Manon ont l’air contentes de notre compagnie, et Isa fait la conversation, donc l’unité est assurée.
Léa
Je m’entends bien avec Manon. On a bien cohabité. On a quasi le même âge, et la passion du cheval nous lie presque automatiquement. La journée s’annonce chaude, on va transpirer sous le casque.
Manon
Nous voilà prêts à repartir. Elle est marrante Léa. Elle s’intéresse à la vie intime de notre couple mature, elle joue à la nana cool, mais je me demande si elle a autant d’expérience et de pratique qu’elle semble vouloir affirmer. À suivre.
Isa
Il est 16 h. Si j’en crois le parcours, nous devrions bientôt arriver à la traversée du gave, à gué. C’est là qu’est prévue la pause de l’après-midi. Il nous restera un peu moins de deux heures de monte quand nous repartirons.
Léa
Ah, le gave et le gué. C’est bien aménagé et nos chevaux semblent reconnaître le lieu, ainsi que l’endroit où on leur permet de faire une pause, car ils se dirigent naturellement vers une petite carrière ombragée. Je regarde sur ma gauche, il semble qu’il y ait une toute petite retenue d’eau, un peu profonde, juste en amont :
Qu’ai-je dit de particulier ? Personne ne répond de suite. Mais Isa finit par s’exprimer :
Je vois Manon descendre de cheval, l’attacher à un arbre à l’ombre et se diriger vers l’eau.
Manon
J’ai chaud. C’est vrai que l’eau a l’air bonne. Du sable au fond du gave. Je mets la main dans l’eau. Un peu fraîche, mais c’est gérable. Personne pour nous voir, le coin est vraiment isolé. Pas de lourdaud à l’horizon. On ne va pas tergiverser :
Et hop, en deux temps, trois mouvements, j’enlève le haut, j’enlève le bas, et je me dirige vers l’eau. C’est vrai que ça frissonne au niveau des mollets, mais pas question de se dégonfler. Je ne me retourne surtout pas, comme ça, ils ne voient que mes fesses, et je leur laisse prendre la décision :
Léa
Je ne m’attendais pas à ça. Je traîne un peu et j’observe. J’ai déjà vu Manon à poil hier soir, donc je ne suis pas surprise. Je vois Isa et Simon attacher à leur tour leurs chevaux. Isa marche d’un pas décidé vers l’eau, Simon semble prendre davantage son temps.
Isa se déshabille et s’avance dans l’eau. Simon enlève le haut, je préfère ne pas regarder la suite, j’aurai la surprise plus tard. Je vais attacher mon cheval à mon tour. Mince, je ne peux pas passer pour une nana coincée, et comme ils vont être dans l’eau avant moi, je vais arriver de face. Ils vont tout voir. Je sais que je suis bien foutue, mais là, j’avoue, j’ai une petite hésitation.
Isa
Allez hop, à l’eau. Simon va être content.
Simon
Ma parole, je rêve.
Léa
Ah, Simon, à poil de dos, il est pas mal. Le cul sportif. Rien à envier à mes différents petits copains, alors qu’il a plus de 20 ans de plus qu’eux. Je ne peux plus me défiler, j’enlève tout et j’y vais. Je regarde mes 3 comparses, seule Manon est encore de dos, et j’entre dans l’eau. Elle est un peu fraîche, c’est vrai. Pas très profonde. J’arrive à mettre mon bassin dans l’eau, ça pique un peu, mais pas la poitrine. Les autres non plus, d’ailleurs. Isa essaie de me mettre à l’aise :
C’est Manon qui a raison. Pas du tout coincée, Isa.
Manon
Ils sont tous dans l’eau, maintenant, je me retourne. Comme Léa, comme l’eau n’est pas très profonde, j’ai les épaules et la poitrine hors de l’eau :
Isa
Et je montre l’exemple, en nageant un peu, même si notre « bassin » est un peu petit. Je vais faire un petit bisou à Simon, à l’écart, et je lui glisse à l’oreille :
Il n’avait rien vu. Un vrai gentleman, mon homme !
Simon
Se baigner nu avec trois nanas autour, le pied ! En fait, même si j’aime bien regarder les filles, je m’aperçois, à ma propre surprise, que je les mate assez peu, finalement. Côté pilosité, si Isa n’en avait pas parlé, je n’aurais rien remarqué.
Léa
C’était sympa jusque-là, mais il va tout de même falloir en sortir, de ce coin d’eau. On va se retrouver tous les quatre ensemble, à poil. Je sens venir le malaise :
Et je sors. Ils me suivent tous. Et oui, on se retrouve tous les quatre, nus, au soleil, et on bavarde comme si de rien n’était, les chevaux, le trajet. Je me trompais, pas de malaise. On sèche, on se rhabille, on repart.
Isa
Cette pause était très réussie, les filles détendues, et mon Simon s’est sans doute copieusement rincé l’œil, surtout après que je lui ai dit qu’elles s’étaient rasé la chatte. Mais la pause était un peu longue. Si je me souviens bien, la ferme est isolée. Les propriétaires nous accueillent, nous montrent tout ce qu’on a à savoir et à faire avec les chevaux, et on doit ensuite aller à pied au restaurant, pas très loin. Comme nous sommes à la campagne, le repas est servi pas trop tard. Nous aurons le temps de profiter de la soirée en revenant à la ferme.
Effectivement, quelque temps plus tard, mais il est déjà 18 h 30, nous arrivons à la ferme. Les propriétaires nous font faire le tour des locaux. Nous laissons les chevaux au pré, nourris, abreuvoir, priorité numéro 1, tous les équipements à la sellerie, les tapis seront secs demain matin.
Notre hébergement se compose de deux bungalows, à quelques dizaines de mètres l’un de l’autre. Il y en a deux autres, mais ils ne seront pas occupés ce soir, donc le site est entièrement à nous. La piscine a l’air agréable. Je rameute tout le monde :
Simon
Un bungalow à l’écart. Ce soir, nous pourrons faire un peu de bruit, les filles seront un peu loin. J’ai passé ma journée à l’arrière du groupe, à mater des popotins, et à la pause, elles étaient nues. Il me tarde d’être tranquille ce soir avec Isa.
Léa
Le restaurant était correct. Nourriture du terroir, pas trop grasse. L’ambiance est encore meilleure entre nous. Je pensais qu’on allait peut-être évoquer la baignade, mais non, ça semble tellement naturel. On va voir la piscine.
Manon
Notre bungalow est très bien, deux grands lits comme la veille. Le concept de ces randonnées est bien fait. On va aller à la piscine, Isa nous a donné rendez-vous dans quinze minutes, le temps de se préparer, a-t-elle dit.
Simon
Ah, un petit moment à nous deux. Je m’approche d’Isa, je tente un petit bisou dans le cou, qu’elle accepte, mais elle se dégage rapidement :
Isa
Je dois reconnaître que je suis tout de même un peu émoustillée. La perspective de me retrouver enfin seule avec mon homme me donne encore plus la pêche. Je mets un maillot, une robe par-dessus, et nous rejoignons la piscine. Comme je m’y attendais, Léa et Manon sont déjà dans l’eau. En m’approchant, j’aperçois leurs épaules nues, pas de bretelle. C’est bon signe. De plus près, effectivement, elles n’ont rien sur elles. Je m’adresse à elles avec mon plus beau sourire :
Décidément, Manon a réponse à tout. Léa ajoute :
J’enlève la robe et le reste, Simon, son short et le reste aussi, et nous les rejoignons dans l’eau. La piscine est un peu plus profonde. On passe un peu de temps à discuter, et je me rapproche de Simon. Comme il commence à faire nuit, je laisse mes mains aller à la rencontre de son corps, et je le caresse comme il aime. Il doit être un peu gêné, car il cherche à s’éloigner, mais pas tant que ça, car j’arrive à le faire bander un peu. J’ai trop envie de lui, il est temps de penser à nous :
Je sors de l’eau. J’attrape mes vêtements, sans les mettre, ma serviette, et je m’écarte. J’observe Simon se contorsionner pour sortir de l’eau, me suivre en se cachant un peu, et en s’enveloppant dans sa serviette. Nous rejoignons notre bungalow.
Simon
Elle m’a excité, elle va en profiter. À peine entré derrière elle dans le bungalow, je la prends dans mes bras, une main sur chaque sein. Elle se laisse aller contre moi, sa tête en arrière sur mon épaule, elle m’embrasse, me tient la tête, et avec son autre main, cherche mon sexe :
Elle finit de jeter ses fringues par terre, et elle s’allonge sur le lit, les cuisses largement écartées. J’y vais, je butine, je léchouille de-ci de-là, ma langue se faufile, mais elle ne réagit pas. Je lève la tête :
Elle se met aussitôt à quatre pattes sur le lit. Elle adore la levrette. Davantage que moi, car j’y vois un petit côté impersonnel. Je ne vois que sa nuque, ses cheveux. Je sais bien que c’est elle, mais c’est comme ça. Je le lui ai dit, donc régulièrement, elle tourne la tête pour que je la voie. Contrairement à notre chambre conjugale, il n’y a pas de miroir sur le côté, pour nous permettre d’échanger des regards.
Je la trouve rapidement. Elle est humide. Je la pénètre, je l’enfile. Je commence doucement, le temps que ma queue trouve sa place. Une fois que c’est fait, j’attrape ses hanches, et je prends un bon rythme. Je lime, tranquillement, sereinement, fermement. Les coups de queue sont importants, mais elle doit ressentir aussi la force de mon désir, de mon envie, la manière avec laquelle je lui tiens les hanches. Fermement.
Elle reste d’abord à quatre pattes, puis elle incline son buste, se tient sur son coude gauche et envoie sa main droite entre ses cuisses. Cette main oscille entre son clito, et mes couilles, qu’elle vient caresser régulièrement. Quand elle les lâche, je sais que c’est pour se branler. Notre couple est bien rodé. Parfois, on improvise, ce soir, c’est du grand classique. On n’est pas dans notre maison, mais sexuellement, c’est comme si on jouait à domicile.
Je recule un peu mon buste, comme ça, je m’enfonce un peu plus, et je peux mater ce cul que j’ai aperçu toute la journée devant moi, dans sa tenue d’équitation. Je ne pense pas aux culs de Léa et de Manon ni à tout ce que j’ai vu lors des baignades. Je ne pense qu’à bien baiser Isa, à lui faire du bien, à me faire du bien. Ces pensées me font sans doute ralentir un peu le rythme.
Isa
Oui, il est où il faut, comme j’en ai envie. Il pourrait peut-être y aller un peu plus :
Il aime bien que je lui donne des indications, nous en avons parlé à de nombreuses reprises. Pour lui, c’est une manière de se rendre compte que je participe, active, consentante, pleine de désir. Vu la position, je ne peux pas trop le toucher, à part ses couilles, quand je lâche mon clito.
Il a trouvé le bon rythme, je vais partir, j’ai des fourmillements partout. Dans la chatte, mais aussi dans tout le corps, dans ma tête. Peut-être une sensation de vide dans mon cul, il aurait pu y mettre un doigt. J’ai l’impression d’avoir la chair de poule, pourtant il fait chaud. Et ça monte, ça monte :
Et ça monte, ça monte, je jouis, je jouis, je râle, je crie, je m’affale en avant, tout en m’efforçant de laisser ma croupe bien en l’air, pour que j’en profite, pour qu’il en profite :
Je le sens accélérer. Si je n’étais pas tant excitée, ça pourrait être presque gênant, presque douloureux. Je me cramponne aux draps, et je garde ma croupe ferme, je la recule un peu, je sens qu’il s’enfonce encore plus. Enfin, je le sens jouir. Quelques coups encore, il finit de se vider dans moi, c’est si bon. Je tourne la tête autant que possible, je le regarde, je lui souris :
Léa
Je suis encore dans la piscine. Isa et Simon viennent de partir. Manon est avec moi :
Je sors, et je vais essayer de trouver un endroit, juste à l’extérieur de leur bungalow, et tendre l’oreille.
Manon
Elle est marrante, Léa. Elle fait celle qui est délurée, qui a tout fait, mais elle ne remarque rien. La voilà partie vers le bungalow d’Isa et Simon. Elle a juste attrapé sa serviette au passage. Je me demande bien ce qu’elle va faire.
Elle est partie depuis au moins cinq minutes, peut-être dix. Elle ne revient pas. Je commence à avoir froid, dans l’eau, j’y vais à mon tour, avec ma serviette. J’arrive près du bungalow, et je vois Léa. Elle est en train d’écouter, assise sur une chaise de jardin, posée à côté d’une fenêtre du bungalow. Je ne sais pas ce qu’elle entend, mais j’ai l’impression qu’elle se masturbe.
Je m’approche encore un peu plus. Oui, c’est bien ça, elle se branle. Fort. Frénétiquement. J’entre dans son champ de vision. Elle me regarde. Je ne sais pas si elle me voit bien car j’ai l’impression que ses yeux, sa tête, sont ailleurs. Je lui souris. Elle me regarde vraiment maintenant. Elle se penche un peu en arrière, sans quitter mon regard. Sa bouche s’ouvre. Elle jouit. Puis elle se lève, elle met son index de la main gauche sur ses lèvres pour que je ne parle pas. Sa main droite est toujours posée sur sa chatte, qui ne doit pas être encore calmée. Nous nous éloignons vers la piscine, nous y replongeons :
Je suis un peu surprise, mais bon, après tout… J’ajoute à Léa :
Elle a l’air un peu étonnée, donc je me sens obligée d’ajouter :
Isa
Nous voilà repartis pour le troisième jour. La dernière journée « pleine », puisque la quatrième journée comprend le temps de retour. J’ai la banane, comme on dit. On maîtrise bien les chevaux, le parcours et notre groupe fonctionne bien. Et surtout, Simon m’a très bien baisée hier soir. J’adore quand il me tient bien par les hanches. Je me sens prise et sa queue me fait grimper au rideau. En plus, on a fini en évoquant une possible sodomie. J’adore aussi, de temps en temps. Faut pas en abuser, mais c’est une sensation inouïe, à condition d’être bien détendue. Quoi de mieux que les vacances pour cela ? On verra ce soir.
La journée est de la même veine que les précédentes. L’hébergement du soir est également de qualité, piscine, je crois qu’on doit dîner avec nos hôtes, mais la description n’était pas très claire. On verra bien à l’avancement. Profitons déjà de la journée qui débute, météo au rendez-vous, cadre superbe, les contreforts des Pyrénées, avant l’Océan demain.
Simon
Encore une belle journée au programme. Je m’en mets plein les yeux. Les paysages sont sublimes, on a beaucoup de chance avec la météo. C’est verdoyant, parfois ombragé. Je suis agréablement surpris par ma maîtrise du cheval. C’est vrai qu’il est tranquille, mais tout de même, j’arrive à le diriger sans souci, et à sentir quand il a envie de quelque chose, que ce soit acceptable ou non, surtout quand il veut se mettre à brouter les bas-côtés.
Au départ, je me mettais en arrière de groupe, pour bien mater les filles, mais je n’imaginais pas les mater dans la piscine, converties au nudisme. Jolies plastiques, et surtout, elles ont l’air totalement naturelles, sans complexe, rien à faire que je sois là. Enfin, rien à faire, façon de parler, parce que j’ai tout de même surpris certains regards, donc elles doivent plutôt apprécier de s’offrir à mon regard.
Et avec Isa, en organisatrice, leader du groupe, amoureuse et excitée comme une puce, ce sont des vacances particulièrement réussies.
Léa
Dernière journée entière. Je vais en profiter à fond ! Déjà, je suis super contente de l’harmonie avec mon cheval. Je sentais que j’avais progressé, c’est une confirmation, aucune appréhension, bonne direction, bonnes sensations. À peine quelques courbatures, ce sera vite oublié une fois rentrée.
Le petit groupe de quatre est la bonne dimension. Je me demandais comment aller se passer la cohabitation avec Isa et Simon. Je les trouvais sympas, mais sur le programme, je me demandais comment ça allait se passer. Je n’imaginais pas me retrouver nue dans la piscine avec eux, ou bien en train de les écouter baiser ; ça m’a excitée comme une folle.
Et avec Manon, je suis aussi surprise de la bonne entente. On est très différentes, mais il y a beaucoup de points qui nous permettent de nous rejoindre. Le cheval, bien entendu, et une certaine connivence par rapport à la vie. Elle est cool, ne juge pas, et est capable de me regarder me masturber en me rassurant, sans me juger, incroyable.
Manon
Vraiment marrant notre groupe. Le couple de quinquas amoureux, qui nous quitte le soir pour aller s’envoyer en l’air. Nous quatre à poil dans la piscine. Ma coloc qui se branle. À côté de tout ça, le cheval c’est très conventionnel.
J’ai l’habitude de fonctionner au feeling, sans me prendre la tête, en saisissant les opportunités. C’est comme ça que j’ai choisi de partir dans cette randonnée, j’avais un créneau de libre dans mon agenda, sans contrainte, et je ne regrette pas. J’aurai même amélioré un peu mon bronzage intégral ! Et regarder une nana qui se touche, ça faisait quelques années que ça ne m’était pas arrivé.
Je compte bien profiter de la fin de cette randonnée, prête à tout, sans jugement, sans appréhension.
Isa
La journée s’est bien passée, comme les deux autres. Nous avons progressé dans la conduite des chevaux, c’est un vrai plaisir. Ce sera la journée où nous aurons le plus galopé. Normal, c’était l’étape la plus longue et l’appli nous avait indiqué que c’était la meilleure allure. Nous avons très bien passé les transitions, les chevaux ont bien obéi à nos ordres, et ils connaissent parfaitement le trajet, mieux que nous, certainement. Les pauses ont été à la hauteur. Pas de rivière baignable traversée, dommage !
Nous arrivons en fin de journée à la ferme équestre du troisième soir, la dernière de notre périple. Il est un peu tard, près de 19 h. Nous sommes accueillis par le couple qui gère la ferme. Ils habitent à quelques centaines de mètres de là, et le programme du soir est un barbecue, une fois les chevaux conduits au pré et nourris.
Les propriétaires attendaient notre arrivée pour le préparer, allumer le feu, sortir du frigo les brochettes et autres grillades. Ils nous proposent de nous baigner le temps que tout soit prêt, et ils nous laisseront seuls ensuite pour la soirée. Le programme me convient bien, il laisse le champ des possibles très ouvert.
Léa
Nous prenons place, avec Manon, dans notre chambre. La ferme est très bien rénovée. Je n’ai pas eu le temps de bien regarder l’organisation interne, nous verrons plus tard. Comme les propriétaires sont là, il faut mettre les maillots. Dommage, j’avais pris goût au plus simple appareil, comme les vieux disent.
Manon
C’est cool. La randonnée est près de se terminer, et l’ambiance est toujours aussi bonne. Elle est même meilleure de jour en jour. Je me demande comment va se passer cette soirée. Calme ? Animée ? L’endomorphine secrétée par les efforts sur mon cheval me plonge dans une petite euphorie.
Simon
Un petit plouf dans la piscine avant le repas, toujours avec mes naïades, c’est très bien. L’eau est chaude, la nuit tombera dans trois heures, la soirée s’annonce agréable. Le cheval, c’est bien, mais plus de six heures sur la selle par jour, j’avoue que je commence à atteindre ma dose. Enfin, plus qu’une demi-étape !
Les grillades sont prêtes. Je sors de la piscine, et j’explique à nos hôtes que je sais faire cuire tout cela, et je les libère, si j’ose dire. Ils ne cherchent pas à s’incruster et ont l’air contents de regagner leur chez eux.
On entend la voiture démarrer. J’entends les filles papoter dans la piscine :
Je jette un œil vers la piscine. C’est Léa qui vient d’enlever le haut, puis le bas. Manon et Isa font de même. Je ne vais pas me plaindre, mais tout de même :
C’est Isa qui répond :
La conversation s’engage à table. Je suis le seul habillé. Les trois nanas ont préféré rester comme ça.
C’est Léa, la plus expansive, qui répond la première :
Je me lance :
Léa rit, peut-être pour masquer une petite gêne. C’est donc Manon qui se lance :
Isa vient à ma rescousse :
Léa et Manon éclatent de rire. Manon continue :
Je tiens à apporter mon point de vue :
Elles me regardent sans intervenir, donc je poursuis :
Manon a l’air surprise :
C’est le moment d’apporter un peu de culture à cette jeune génération :
Elles se tordent de rire. Manon me rétorque :
Je ne me laisse pas faire :
Je crois alors que Isa va venir à mon secours, mais en fait, non :
Isa a un grand sourire, et oui, les souvenirs de ces jeux sont plutôt très agréables. Léa se rend compte de notre connivence :
Je regarde Isa avec de grands yeux :
Nous finissons le repas, je me demande bien ce qu’Isa a en tête. Et encore, il est très possible que ce ne soit pas que la tête qui soit concernée.
Isa
Je ne sais pas ce qui me prend ni ce que j’ai en tête ; ça m’est venu comme ça. Et puis on verra bien, j’ai envie. Par contre, il faut que je précise :
Elles opinent.
Et je me lève, les filles me suivent, Simon ferme la marche. Décidément, il aura passé les vacances à leur mater les fesses. Nous arrivons dans la chambre.
Je m’allonge sur le lit, et je regarde Simon qui a l’air un peu perdu. Je vais le rassurer, ça va aller mieux :
Simon se déshabille et me rejoint. Un peu maladroitement. Et hop, c’est parti. Il s’est couché à côté de moi. Je commence par l’embrasser, doucement, et puis je me lâche, petit à petit. Gros patin sur la bouche, je me love contre lui, je lui caresse l’arrière de la tête, le cou, puis ma main descend sur les fesses, puis je passe devant. Je l’attrape. Ah, il commence à se détendre, enfin, à se tendre.
Simon
Je crois que j’ai compris. Après tout, pourquoi pas ?
Léa
Je ne saurais raconter comment ça a commencé, mais en fait, je n’ai rien vu venir. Je crois que je vais apprécier. C’est nettement plus intéressant de voir que d’écouter à travers les cloisons. Ils sont très beaux tous les deux. Pas trop naturel peut-être, on va voir comment ça évolue. Je commence à me sentir toute chose, ça me frétille un peu plus bas.
Manon
Tiens, ça faisait un petit moment que je n’avais pas partouzé. Oui, ils ne s’en doutent pas, mais j’ai une petite expérience en la matière, bien que je sois la plus jeune de la bande. Pas trop étendue, mon expérience, mais au moins cinq ou six fois. Comme pour le reste de mes activités, j’essaie d’être aussi naturelle que possible quand l’occasion arrive. Là, on va bien voir, pour l’instant je regarde.
Isa
Oui, c’est bon, il commence à bander, mon chou. Je lui mordille l’oreille, je lui bisouille le cou, et je descends, doucement. On n’a jamais fait ça en public, y compris public restreint, ou alors, je n’ai pas vu les voyeurs. Je ne sais pas si on recommencera, donc je vais en profiter. J’ai une furieuse envie de le sucer, donc je descends, je le lèche un peu, mais j’ai trop envie, donc je suce, je suce. J’adore le faire durcir dans ma bouche, et j’en profite. Je sais que mon chou a une belle queue, j’en profite. Je savoure. Après, je n’oublie pas qu’on est dans une sorte de représentation, donc je n’insiste pas. Je le lâche, je remonte, et je m’allonge sur le dos :
Simon
Je ne pense plus à rien. Ou alors, je fais ce qu’elle me reproche de temps en temps, je pense avec ma queue. Elle me suce, comme elle le fait bien, souvent, je lui laisse conduire le jeu. Ah, elle m’a lâché. Elle m’appelle. On ne refuse pas un ordre comme ça, faut pas la contrarier dans ces moments-là.
Isa
Il vient sur moi. Je l’attrape, je l’introduis, il s’enfonce, doucement. Comme j’aime. Je le regarde. Je lui souris. Il est concentré, je souris encore plus. J’écarte les cuisses, j’avance mon bassin, je veux qu’il aille loin, j’ai envie. Là, voilà, il ondule, je lui réponds, doucement, tendrement, je veux qu’il trouve sa place, là où il aime, là où j’aime. Oui, il y est, voilà, comme ça je peux me détendre, chercher les sensations, attendre que le plaisir vienne. Je tourne la tête.
À ma droite, Léa me regarde, nous regarde. Elle est attentive. Ses yeux sont surtout orientés vers notre bas-ventre, elle semble intriguée, puis intéressée. Elle avance ses fesses sur le devant de la chaise.
À gauche, Manon sourit. Elle a l’air tranquille, ses yeux balaient nos corps, sa main est déjà posée sur sa chatte, mais elle ne bouge pas.
Simon m’embrasse, puis il se redresse. J’accompagne son mouvement en relevant les cuisses, je me mets à son écoute. Je suis bien. Ma chatte est bien. Elle est en attente, sereinement.
Il attrape mes mollets, et il les place sur ses épaules. Depuis qu’on a trouvé cette position, c’est sans souci, l’orgasme est au rendez-vous. Simon maîtrise le rythme, la force, la puissance, la profondeur. On est là, tous les deux, il me lime doucement. Sa queue frotte contre l’intérieur de mon vagin, le haut, le point G. C’est fort. Il accélère. Un peu. C’est surtout plus fort. Il se penche vers moi, cherche ma bouche, m’embrasse, tout en allant fort dans mon sexe, dans ma chatte. Il est tendre en haut, puissant en bas. Il se redresse, il pousse, il pousse. Le plaisir arrive, ça monte, ça monte. Je jouis. Je jouis.
Simon
Les classiques, les classiques, rien ne vaut les classiques, dans un couple. Sa chatte est toujours aussi soyeuse. Malgré Léa et Manon qui nous regardent, j’essaie de les oublier, et je me concentre sur Isa. Elle jouit.
Léa
C’est fort de les voir comme ça, première fois que je vois un couple, en vrai, baiser. C’est nettement mieux que le porno en vidéo. Je suis excitée. Cette queue de Simon qui entre et qui sort. Le bassin de Léa qui s’avance. Je sens presque son plaisir monter. Je commence à me toucher.
Manon
Ils sont pas mal, tous les deux. Par rapport aux quinquas avec qui j’ai déjà partouzé, il y a une vraie sincérité, entre eux. On sent l’amour. Je suis touchée. Je me touche. Doucement.
Isa
Je redescends mes jambes, il faut que Simon s’enfonce de nouveau, retrouve sa place. Nous sommes bien réglés, notre jeu fait merveille, et puis Simon se retire de nouveau. Il me replace mes mollets sur ses épaules, et il fait jouer sa puissance. Il est fort. Le plaisir va remonter.
Je regarde Léa. Avant, elle se touchait. Maintenant, elle se branle carrément. Sa main et son doigt s’agitent furieusement sur sa chatte. Elle a les yeux rivés sur la queue de Simon, sur ma chatte.
De l’autre côté, Manon se doigte. Je vois très bien sa main. Elle ne se touche pas le clito, elle a mis deux doigts dans sa chatte. Elle nous regarde tous les deux. Le spectacle a l’air de lui plaire. Ses yeux trouvent les miens, elle me sourit.
Le plaisir monte, monte, remonte. Je jouis de nouveau. C’est un peu moins fort. À peine moins fort. Avec Simon, on peut recommencer plusieurs fois, de nombreuses fois. Selon notre envie. Là, j’en ai assez. J’ai assez joui. Je sens un peu la fatigue due au cheval. Les heures sur la selle. Les adducteurs un peu douloureux :
Son œil s’allume. Il a compris. Il m’interroge du regard. Je le rassure :
Il se retire, sort de ma chatte. Je m’allonge un peu plus confortablement. Je bascule mon bassin. Je ne quitte pas son regard. Ses yeux baissent. Il attrape sa queue, il regarde mon cul, et il se présente. Il s’avance un tout petit peu, et rejoint mon regard. Il sait que je vais le guider.
Il me regarde. Je sens sa queue buter légèrement contre mon anneau. Il s’ouvre. Je le sens.
Il s’enfonce. Il est profond. Sa queue est large. Elle connaît bien mon cul. Elle trouve sa place. Je suis ailleurs, je décolle, je lui souris. Je suis bien.
Je regarde Léa. Elle a les yeux encore plus ouverts. Elle regarde la queue de Simon, elle regarde mon cul. Sa bouche s’ouvre. Sa main s’agite encore un peu plus. Son doigt est désordonné, mais il est très actif. Sa bouche s’ouvre encore plus. Encore plus. Elle crie. Elle râle. Elle jouit.
Je regarde Manon. Elle se doigte toujours la chatte, de sa main droite. Mais sa main gauche a disparu. Elle est derrière elle. Elle regarde Léa jouir. Elle sourit. Elle me regarde. Elle me sourit. Elle regarde Simon, son visage, sa queue, mon cul. Elle revient chercher mon regard. Puis elle regarde de nouveau la queue de Simon.
Je suis bien. Apaisée. La queue de Simon, dans mon cul, me fait du bien. Le rythme. La puissance. La vigueur. Je ne veux pas être irritée. Je ne vais pas réussir à jouir du cul aujourd’hui, pas grave. Je cherche de nouveau le regard de Manon. Quand elle me regarde, je m’adresse à elle :
Visiblement, Manon hésite. Je vois ses doigts dans sa chatte qui s’agitent. Elle se doigte doucement la chatte. Elle se lâche enfin, en souriant :
Je pousse ma réflexion, rythmée par les coups de boutoir de Simon, qui continue ses allers et retours dans mon cul. Avec méthode.
J’ose avancer un peu dans la réflexion. Je sens qu’elle veut aller plus loin. Son corps respire le sexe. Ses tétons sont tendus. Elle continue à se doigter :
Elle n’hésite pas cette fois-ci. Elle se lève doucement, elle se tourne, se penche légèrement en avant. Oui, elle a deux doigts, l’index et le majeur, bien enfoncés dans son cul. Elle se retourne vers moi, cherche mon regard :
Et j’ajoute :
Avant qu’elle ne réponde, Simon intervient, tout en continuant son œuvre :
Je suis obligée d’intervenir :
Je repose ma question à Manon :
Simon se retire. Il file dans la salle de bain. Je jette un œil à sa queue. Je vois que Manon la regarde aussi, et je m’adresse à elle :
Je n’insiste pas. Je constate que même si elle est jeune, elle a pas mal d’heures de vol. C’est bien, elle sait ce qu’elle veut. Simon revient. Manon s’est assiste dans le lit, là où j’étais couchée, et je suis maintenant sur sa chaise :
Manon lève ses mains et s’apprête à toucher Simon qui s’est approché. Elle se tourne vers moi :
Simon intervient, en souriant :
Manon me sourit. Elle a compris et prend plaisir à jouer avec nous. Son vocabulaire évolue :
Je suis un peu surprise, je réagis vite :
Et elle attrape la queue de Simon. Une main sur la hampe, elle le branle doucement, et l’autre va jusqu’à ses couilles. Je la regarde faire. Avec la paume de sa main, elle lui caresse les couilles. Puis avec la pulpe de ses doigts. Elle alterne. Je vois la queue de Simon qui se redresse. Il se laisse faire. Elle l’embouche. Elle le suce doucement. Puis elle le lâche. Elle lui sourit, puis elle me sourit, et elle s’allonge :
Puis elle s’adresse à mon chou :
Je regarde mon homme. Dans notre chambre, je le regarde dans le miroir, judicieusement placé pour que je me voie me faire baiser, parfois enculer. Là, c’est en direct, il s’avance. Il pose son gland sur l’anus de Manon, et il s’avance encore. C’est vrai, il s’enfonce sans souci. Un peu. Il relève la tête, cherche le regard de Manon, qui lui dit :
Manon me regarde maintenant :
Tel que je suis placée, je constate en effet que Simon s’enfonce bien. Je regarde Manon :
Manon respire plus fort, elle ferme les yeux :
Elle respire encore plus fort. Elle ouvre ses yeux. Grands. Elle me regarde :
Manon ferme les yeux. Simon la regarde, il continue à baiser à son cul. Il me regarde :
Il sourit. Il a trouvé son rythme. Étonnamment, je ne ressens aucune jalousie. Je suis plutôt fière que mon chou donne du plaisir. En plus, c’est grâce à moi. Manon ouvre les yeux, me regarde, elle a un sourire un peu bizarre :
Elle se tait. Je jette un œil à Léa, que j’avais presque oubliée. Elle a l’air fascinée par la queue de Simon. Manon reparle :
Son visage est presque déformé. Elle me regarde, elle regarde Simon. Elle essaie de voir sa queue, puis elle ferme les yeux :
Et elle crie. Ou elle râle. Enfin, elle fait un bruit bizarre. Elle s’agite. J’entends un bruit, je regarde sa chatte. Elle gicle. Elle squirte. C’est impressionnant. Je sais que ça m’arrive de temps en temps, rarement, mais de temps en temps, sur une autre c’est très étonnant. Elle crie encore, fort, puis elle se calme, puis se tait. Puis parle :
Elle nous sourit. Puis elle bouge son bassin, comme si elle voulait se dégager de Simon :
Et mon chou se retire, il sourit. Il a l’air fier :
Et toutes les trois, en chœur, on éclate de rire. Manon a un sourire béat, jusqu’aux oreilles. Léa a l’air toute contente aussi. Et moi, je partage la fierté de mon homme, qui intervient de nouveau :
Je constate qu’il bande encore. C’est vrai qu’on ne peut pas le laisser comme ça. Léa se manifeste à ma grande surprise :
Elle a un sourire désarmant. Je rappelle mon homme à ses devoirs :
Simon s’en va de nouveau dans la salle de bain. Je reprends les rênes de la prestation, normal, on est en randonnée équestre :
Manon intervient :
Léa s’adresse à moi :
Simon revient. Comme un peu plus tôt dans la soirée, il a débandé un peu. Je me mets à côté de Léa sur le lit :
Manon ajoute :
Simon s’avance vers nous :
Et Léa embouche Simon. Au point où j’en suis, je l’ai vu enculer une jeunette, et maintenant, une autre, un peu plus vieille, deux ans d’écart, je crois, qui le suce. Je lui ai dit qu’il était un objet, ce soir, que je prêtais, je ne vais pas revenir dessus.
Léa a l’air active, elle suce, elle utilise ses deux mains, comme elle a vu Manon le faire. Elle branle bien, un peu vite peut-être, mais bien. Elle suce, elle suce. Elle a besoin de reprendre son souffle :
Et Léa recommence à le sucer, à le branler. Finalement, elle se débrouille très bien toute seule. Elle s’arrête peu après, reprend son souffle, tout en continuant à le branler :
Simon intervient, avec son sourire habituel :
Et je m’adresse à Léa :
Pendant qu’elle me parle, elle continue à le branler, bien en rythme. Il faut que je lui explique :
Léa recommence à sucer, et à branler. Elle s’interrompt un tout petit peu, me glisse deux mots, et recommence à sucer :
Je la vois qui accélère :
Elle reprend un rythme plus faible :
Attention, Léa, sa queue est très bonne, mais ce n’est pas non plus de l’acier. Il ne va pas durcir indéfiniment. Il me vient une autre idée :
Je regarde mon homme, il a l’air concentré. Je connais cette expression du visage. Il veut jouir.
Léa a remonté sa main gauche, elle lui tient bien les couilles. Sa main droite est ferme, elle branle régulièrement, et elle suce, à son rythme, sans trop varier. Elle a les yeux ouverts, elle est concentrée. Je vois Simon basculer le bassin légèrement en avant. Léa semble s’en rendre compte, car elle recule à peine, sans changer ses autres mouvements. Et c’est parti. Simon gémit, il jouit. Léa ne bronche pas, elle continue, ses deux mains, sa bouche. Et enfin, elle s’arrête. Je la vois déglutir, puis elle se tourne vers moi, avec un grand sourire :
Et je m’adresse à Simon :
Je me relève :
Simon
Léa et Manon quittent notre chambre, et partent vers la piscine. Je m’adresse à Isa :
Léa
Mais qu’est-ce qui s’est passé ? Quelle séance ! J’ai bien joui, j’ai beaucoup appris. J’arrive à la piscine avec Manon, et je lui dis :
C’est vrai, on n’en parle plus.
Manon
Très réussie cette randonnée. J’ai pris beaucoup de plaisir avec les chevaux.
Isa
Levés un peu plus tôt que d’habitude. La demi-étape était un peu plus longue, et nous voulions nous baigner avant de repartir.
Nous avons rendu les chevaux. Leur retour est prévu un peu avant le nôtre, nous avons un moment à nous, à profiter du coin. Puis nous sommes partis à la plage. Nous avons cherché un petit moment avant de trouver une plage nudiste. Léa et Manon en sont fans maintenant.