n° 20773 | Fiche technique | 8670 caractères | 8670Temps de lecture estimé : 5 mn | 12/02/22 |
Résumé: Courte fiction inspirée de nos fantasmes de couple décrivant l’initiation de Madame à de nouvelles pratiques avec un partenaire expérimenté et attentionné. | ||||
Critères: fh extracon extraoffre candaul copains préservati fsodo init | ||||
Auteur : Philandre Envoi mini-message |
Courte fiction inspirée de nos fantasmes de couple décrivant l’initiation de Madame à de nouvelles pratiques avec un partenaire expérimenté et attentionné.
Rien de très original dans la thématique me direz vous. Certes, mais c’est une première contribution et j’espère que vous saurez tout de même l’apprécier.
Élodie, mon épouse, fraîchement entrée dans la quarantaine, avait entamé une relation avec un amant, Antoine, qu’elle avait rencontré à son club de badminton.
Plutôt qu’un réel amant, je devrais dire qu’Antoine était en réalité ce que l’on appelle un « sexfriend ». Car mis à part leur activité sportive commune au club de badminton, leur relation se résumait principalement à se retrouver pour des « plans cul » comme elle l’aurait fait dans sa jeunesse étudiante.
Je ne vous dis pas qu’il n’y a jamais eu d’épisodes dans les vestiaires du gymnase, mais en général ils se retrouvaient discrètement chez lui, une ou deux fois par mois sur les coups de 20 h, après leur entraînement du mardi soir. Une petite douche après le sport, ils faisaient leur affaire et elle rentrait à la maison.
Leurs activités intimes restaient toutefois assez conventionnelles. Rien d’extravagant et rien que nous ne pratiquions déjà dans notre couple. Mais simplement, Antoine avait ses petites spécialités qui permettaient à Élodie de profiter pleinement du fait d’avoir ce partenaire supplémentaire. Et puis, le fait même de coucher avec un autre homme que son mari provoquait, sans que cela soit pourtant nécessaire au départ, un regain de libido chez elle.
Je dois bien reconnaître que je n’étais pas pour rien dans cette relation. C’est au contraire moi qui ai proposé à ma compagne de se laisser aller avec cet homme célibataire, sensiblement du même âge, qui lui tournait autour et qui manifestement ne la laissait pas indifférente.
Cette idée me trottait dans la tête depuis un moment et le fait qu’elle me parle un beau jour de cet Antoine m’a permis de lui révéler mon fantasme. J’adorais l’idée qu’elle puisse découvrir de nouvelles choses et élargir son univers sexuel.
D’abord réticente à l’idée de me faire des infidélités, elle a progressivement partagé ce fantasme. Nous en avons très longtemps parlé, nous l’avons simulé lors de nos ébats et nous en avons établi nos règles et nos limites.
Rassurée et confiante pour notre couple, elle a finalement passé le cap et cédé aux avances d’Antoine.
C’est ainsi que pour son plus grand plaisir – et le mien – elle couchait régulièrement avec lui depuis près d’un an.
Antoine était au courant dès le départ de notre démarche (c’était l’une de nos règles) et, en célibataire endurci, ce fonctionnement lui convenait parfaitement. Quoi de plus pratique, me direz-vous, qu’une femme charmante, consentante, et qui se déplace régulièrement chez soi pour assouvir ses envies sexuelles ?
Pour ma part, Élodie me prévenait systématiquement de leurs prochaines rencontres, et j’étais toujours très excité en l’attendant, impatient de lui faire l’amour à son retour d’une escapade extraconjugale.
En définitive, que ce soit Élodie, Antoine ou moi, tout le monde y trouvait son compte !
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Une fois où nous étions en plein préliminaires, habitués à nous chuchoter des pensées coquines en nous chauffant mutuellement, Élodie m’expliqua qu’Antoine lui avait proposé, lors de leur dernier rendez-vous, de s’essayer à la sodomie. Elle avait refusé sans pour autant lui dire qu’elle y était tout à fait fermée. Elle voulait d’abord en parler avec moi.
Bien qu’ouverts à l’idée, nous ne l’avions jamais fait ensemble, ni même de notre côté avant de nous connaître. Mais l’idée qu’elle découvre cette pratique avec son amant me plaisait beaucoup.
Elle m’a confié qu’elle était également partante pour le faire avec Antoine car il lui avait dit l’avoir déjà pratiqué avec d’autres partenaires et qu’il saurait s’y prendre pour l’initier.
C’est ainsi que nous nous sommes accordés pour que la prochaine fois que l’occasion se présentera, elle puisse essayer et voir si son amant disait vrai.
Seulement dix jours plus tard, ils avaient rendez-vous chez lui et toutes les conditions étaient réunies pour qu’ils s’essaient ensemble à cette nouvelle pratique.
C’est ainsi que vers 21 h 30, ce mardi-là, j’ai reçu un message d’Élodie sur mon téléphone peu avant son retour à la maison :
Je rentre… Check ! ;)
Un message laconique mais pour autant plutôt explicite ! Une fois Élodie rentrée et tous deux bien installés sous la couette, elle m’a raconté en détail sa petite aventure…
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Comme nous en avons pris l’habitude, lorsque nous sommes arrivés chez lui après l’entraînement, il a pris sa douche le premier. J’ai ensuite pris la mienne et je l’ai rejoint dans sa chambre où il m’attendait nu sur son lit. C’est une sorte de rituel là aussi, j’ai commencé par sucer sa queue encore humide de sa douche. Tu sais comme j’aime te le faire aussi.
Il m’a rapidement demandé de me tourner pour me positionner comme pour un soixante-neuf en face à face sur le côté afin qu’il puisse s’occuper de ma chatte pendant que je continuais ma fellation. Mais au lieu de me lécher, il a ouvert un tube de lubrifiant qu’il a ouvert et qu’il m’a étalé sur la vulve et sur l’anus. Ces intentions étaient claires. Il m’a d’abord pénétré le vagin avec deux doigts pour me détendre. Puis après m’avoir demandé si j’en étais d’accord, il en a présenté un troisième sur mon cul avant de l’enfoncer doucement. Lentement, il s’est mis à faire des va-et-vient à la fois dans ma chatte et dans mon cul. Je l’ai aspiré de plus belle.
Au bout de quelques minutes de ce traitement, son doigt pénétrait totalement mon anus. Il a alors remis du lubrifiant et a repris position dans mon cul mais cette fois avec deux doigts. J’étais très excitée.
Il s’est ensuite redressé sur ses genoux et m’a demandé de me mettre à quatre pattes. Il a enfilé un préservatif, s’est mis derrière moi, et a planté sa queue dans ma chatte d’un seul trait. Il est resté comme ça, enfoncé jusqu’à la garde, et m’a remis du lubrifiant sur l’anus avant d’y réintroduire ses deux doigts.
Une fois fait, il s’est mis à activer sa queue dans mon vagin. Et, sans que je ne sente la différence, Antoine a ensuite fait entrer un troisième doigt dans mon rectum.
Ce massage anal est rapidement devenu très agréable. Il a fini par retirer son sexe de ma chatte pour l’enduire de gel puis a présenté son gland sur mon petit trou à présent bien assoupli. Il m’a demandé de me cambrer et a commencé à pousser.
J’ai senti son gland entrer doucement puis il s’est mis à faire de petits mouvements de bassin très légers. Sa tige s’est enfoncée petit à petit jusqu’à ce qu’il soit totalement introduit.
J’ai alors machinalement tendu mon bras pour attraper ses couilles et les frotter contre ma chatte. J’avoue que c’était un fantasme de ressentir cette sensation…
Il m’a demandé si ça allait et je lui ai répondu de continuer.
Il a alors lancé le mouvement. D’abord très doucement puis de plus en plus vite jusqu’à me limer comme s’il était dans ma chatte.
Je me caressais le clitoris et je sentais ses bourses frapper à l’entrée de ma chatte.
Alors qu’il est généralement assez endurant, il s’est soudain planté profondément et a joui bruyamment, certainement très excité à l’idée d’être le premier à explorer cette partie de mon intimité.
Il s’est retiré doucement et s’est affalé sur le lit. Je suis restée à quatre pattes, le cul en l’air, la tête dans les bras. Essoufflée…
Je dois bien reconnaître qu’il avait raison et que pour ma première fois, ça a été très bien fait !