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n° 20789Fiche technique20816 caractères20816
Temps de lecture estimé : 13 mn
19/02/22
Résumé:  Un rêve érotique fait par Monsieur raconté à Madame.
Critères:  ff ffh fbi amour revede voir exhib miroir noculotte massage cunnilingu anulingus jeu -revebebe
Auteur : Airsex  (Ici pour voyager et faire voyager dans de doux rêves)            Envoi mini-message
I have a dream






Mon rêve :


Je t’ai parlé de ce rêve érotique que j’ai fait. Tu n’as pas posé plus de questions, pour en savoir davantage. C’est bien dommage ! Mais tu me connais, je vais quand même te le raconter, et dans les moindres détails. Il se peut même que j’en rajoute !


Nous étions à la maison, tous les deux, rien de spécial n’était prévu. En revanche, tu es habillée très sexy. On dirait cette petite robe noire que je t’ai achetée, zippée sur le devant, mais ce n’est pas elle, et je m’en aperçois quand tu me tournes le dos !

My God !! Un dos nu à la Mireille Darc, qui laisse voir clairement le début de tes fesses et que tu ne portes pas de culotte.


J’adore !!!!


Soudain, ça sonne ! Qui cela peut-il être ?

Je vais ouvrir, c’est une femme. Je ne vois pas qui c’est, mais nous la connaissons. On se fait la bise.

On boit un verre, on discute de tout et de rien. Je suis assis face à vous et je ne peux m’empêcher de regarder tes jambes à peine cachées par cette robe, qui me laisse apercevoir le haut de tes bas. Car ce sont des bas, c’est certain, ça ne peut pas être des collants avec ce dos nu. J’ai l’esprit très vif à certains moments !

Par contre, comme à mon habitude, je manque de discrétion, et tu te rends rapidement compte de mes œillades. Voulais-je être discret ? Voulais-je que tu me surprennes ? Quoi qu’il en soit, que tu m’aies surpris ne dérange pas, bien au contraire. La copine s’en est-elle rendu compte ? Tu cherches à le savoir, inquiète, et en même temps amusée, voire excitée !


On la connaît, cette copine, on sait qu’elle est coquine et assez libérée (délivrée).

Elle est en robe aussi d’ailleurs ! Par contre, elle n’arbore pas un dos nu comme le tien, mais je peux te dire que dès que l’occasion se présente elle y plonge les deux yeux pour en apprécier la profondeur. Je l’ai surprise. Elle a été un peu gênée, mais ne s’est pas empêchée de recommencer. Mon petit sourire approbateur y était sûrement pour quelque chose !


Nous continuons notre apéro avec un deuxième verre. On boit des mojitos ! Je nous prépare ce deuxième cocktail avec des idées plein la tête, ce qui a pour conséquence d’augmenter un tantinet la quantité de rhum. Je suis dans la cuisine à me battre avec les glaçons pour les piler au mieux. J’essaie d’être très efficace, en étant le moins bruyant possible.


Je vous entends parler, rire sans vraiment savoir pourquoi, mais je m’imagine tellement de choses…

Je reviens avec nos verres, quelques conneries à manger, et on trinque à nouveau à la vie, à l’amour.

Je me réinstalle sur mon coussin posé au sol, et ne peux interdire à mes yeux de plonger entre tes jambes qui se sont légèrement écartées lorsque tu as plongé ta main dans le bol d’amuse-bouche.

Bien sûr, tu l’as vu. Tu me souris. Bien sûr j’ai vu que tu m’as vu, j’ai surtout vu ce que tu voulais me montrer. Tu recommences plusieurs fois des changements de postures qui te permettent de te dévoiler de plus en plus impudiquement. J’aime ce jeu ! Mon regard tente d’être le plus discret possible. Il ne faudrait pas que la copine nous grille ! Mais je crois que c’est déjà trop tard. Elle nous a captés. Il me semble même qu’elle a vu la même chose que moi. J’en fais le test. J’appuie mon regard sur ton entre-jambes. Dieu que c’est beau, je devine ton sexe. Il me semble briller, ou bien ce sont mes yeux !

Je tourne la tête vers la copine, elle a encore ses yeux sous ta robe, et quand elle les relève, elle voit que je la fixe. Elle me sourit un peu rosie par le flagrant délit. Je lui rends ce sourire pour lui dire clairement qu’il n’y a aucun souci pour moi. Et qu’il ne semble pas y en avoir pour toi !


Ce deuxième mojito commence à faire son effet, on sort fumer une cigarette. Il fait bon ce soir, et nous n’avons pas besoin de prendre de veste.

En rentrant, la copine profite de ce mouvement pour s’installer différemment. Elle est clairement mieux orientée. Je m’aperçois également, sans le vouloir (bien entendu), que ses jambes ont tendance à s’ouvrir au cours de la discutions.

Je regarde à nouveau, et à plusieurs reprises, ces fois-là en le voulant, et je peux apercevoir sa culotte ! Du fait, mes yeux vont d’une vue à l’autre, je tente de rester correct et discret, mais cela m’est difficile. Je vois bien que mon petit manège n’a rien de secret pour toi. Tu me connais bien et tu sais bien que là, tout y est !!


La copine se lève et va aux toilettes. On en profite pour s’embrasser goulûment, comme on aime le faire, en mélangeant nos langues. Je ne peux empêcher ma main de glisser entre tes jambes, et de laisser un doigt se poser sur ton sexe. Je bande instantanément ! Vraiment une sensation d’avoir un ressort, un tsunami dans la queue.

Sentir ta chatte éclose et trempée me rend fou. Ai-je le temps de venir y poser la bouche ? Je ne sais pas, mais je me sers d’un deuxième doigt pour augmenter ma surface de caresse.


Elle ressort des toilettes, mais ne revient pas tout de suite. Elle passe par la salle de bain pour se laver les mains. J’en profite pour récolter autant de nectar que possible, avant de porter un doigt dans ta bouche et l’autre dans la mienne. Le goût du cunni, sans l’avoir fait !!

Elle vient se rasseoir, le sourire aux lèvres, en se laissant tomber dans son fauteuil dans un soupir de satisfaction. A-t-elle remarqué quelque chose ?


En tous cas, moi, je remarque une chose ! Elle n’a plus sa culotte, et ne fait rien pour le cacher ! J’ai l’impression qu’elle est un peu saoule !

Elle nous regarde, son regard va de toi à moi, d’abord dans les yeux, puis balaie un peu plus nos corps, avant de nous dire :



On se regarde. Dans nos yeux, on peut clairement lire une petite inquiétude. Que va-t-elle nous sortir ?



Tu me regardes, elle aussi, comme pour me demander mon avis, ni une ni deux, j’annonce que tout est prêt là-haut.



On sort fumer, en sachant qu’en rentrant l’ambiance va changer !

Nous sommes tous les trois un peu saouls avec ces deux mojitos. Assises sur les marches de la baie vitrée, vous n’avez plus la pudeur, normalement de circonstance pour une femme en robe et sans culotte de surcroît. Je m’en nourris les yeux. C’est la première fois qu’un tel tableau se dresse devant moi. Je vous propose un autre verre, léger, histoire de nous rafraîchir. Il est évident que la température est montée d’un cran ou deux.


Pendant qu’à la cuisine je nous prépare un cocktail avec peu d’alcool, mais qui finira de nous désinhiber, tu t’affaires à préparer ton salon de massage. La copine, elle, danse doucement, son verre à la main, devant le canapé, en nous informant qu’elle se sent super bien, qu’elle aime être là, tranquille, avec nous, qu’elle t’adore… Bref, elle est bourrée !!


Tu m’appelles pour me demander un coup de main à pousser le lit vers le fond, pour avoir le maximum d’espace autour de la table de massage. Ce que je fais pendant que tu étales une serviette sur la table. Quand je me retourne, tu es penchée pour bien la positionner, je ne peux résister à cette vision magique du bas de ta robe qui est remontée, laissant entièrement voir le haut de tes bas et la naissance de tes fesses. Mes mains s’y collent, attirées violemment, tu ne changes en rien ta position et tournes juste la tête afin que nous partagions un baiser des plus torrides, pendant que mes mains ont carrément découvert tes fesses que je palpe à pleines mains, alors que nos langues continuent leur danse.


Je n’en peux plus, il faut que je te mange, j’en ai trop envie, et ton souffle me signifie que tu en as très envie aussi.

Je m’agenouille derrière toi, pendant que tu couches ton buste sur la table. Et ô surprise, c’est tes mains qui viennent prendre tes fesses pour les écarter impudiquement et ainsi t’offrir en totalité à ma bouche, que tu sais des plus gourmandes. J’ai cru que j’allais jouir instantanément tellement ce que je vois là me semble être un rêve éveillé.


Bien entendu, nous ne pouvons faire durer ce moment que quelques minutes, mais quel bonheur !! Et c’est avec regrets que nous nous redressons, et dans un fougueux baiser que je redescends ta robe sans omettre de passer ma main dans toute ta raie, pour clore cet épisode.



Elle déboutonne sa robe, la fait glisser sur chacune de ses épaules, la laisse tomber au sol, et se retrouve totalement nue face à toi avant de se mettre en position sur la table, comme demandé.

Je choisis une musique des plus zen, et reviens avec mes petits cocktails bien frais que je viens déposer sur la table de nuit. Voir la copine comme ça sur le dos, totalement nue, hormis cette petite serviette que tu as repliée sur ses fesses, bientôt entre tes mains, me rend tout chose, excité, troublé, gêné, tout ça mélangé, mais heureux, amoureux.


Tu n’as pas pris la peine de te changer, et tu attaques ton massage. Je fais un peu de rangement dans la cuisine, pourtant l’envie d’être avec vous est plus forte que tout, mais j’essaie de vous laisser tranquille.


Dieu que c’est dur, tu le sais. Tu sais que je suis un coquin de voyeur !


Cela fait une bonne vingtaine de minutes que tu as entamé le massage,

quand tu m’appelles. J’arrive en tentant de prendre mon temps, alors que je n’ai qu’une envie : bondir d’un coup dans cette pièce !

Quand j’entre dans la chambre, je crois rêver. Par les mouvements du massage, ta robe est montée assez haut et l’image que le miroir derrière toi me renvoie est des plus sexy, quant à la serviette sur les fesses de la copine, elle est maintenant en boule, à ses pieds.


Quelle vision érotique ! Tes mains sur son dos, tes doigts glissant sur ses flancs, ses soupirs t’indiquant qu’elle apprécie, et ses fesses offertes à mes yeux. Tu me sors de ma torpeur.



Effectivement, tu as laissé la bouteille sur la commode, et tu as les mains grasses maintenant. Eh oui, il me plaît !!

Tu me demandes de déposer de l’huile sur le bas de son dos, pas trop, juste ce qu’il faut. Et tes mains viennent se servir pour en transporter dans son dos, sur le haut de ses fesses, et c’est en me regardant dans les yeux, avec ta bouche mimant un bisou, que tes mains étalent l’huile sur ses fesses. Je m’approche et t’embrasse tendrement. Sur mes lèvres, tu peux lire un « je t’aime ». La copine quant à elle est au top, la tête dans les bras. Peut-être s’est-elle assoupie ? Peut-être est-elle en train de profiter discrètement du spectacle que le miroir derrière toi lui offre ? En tout cas, elle ne se plaint pas. Bien au contraire. Ce serait culotté !!


Je m’approche à nouveau pour échanger un baiser… Cette fois beaucoup plus profond, beaucoup plus chaud, de ces baisers qui en disent long sur notre état d’excitation. Il dure de longues minutes, pendant lesquelles tes mains n’ont cessé d’aller et venir sur le corps de la copine, en insistant particulièrement sur ses fesses. Tu en as une dans chacune de tes mains, tu les glisses jusqu’en haut de ses cuisses en partant de ses hanches, pour les englober franchement par le bas en remontant en longeant sa raie. Dieu que cette scène est bandante ! Voir tes mains écarter légèrement ces fesses, dévoilant son intimité, et dans le même temps voir la tienne dans ce miroir, s’offrir à chaque passage un peu plus. Ah, si j’osais – mais je ne veux pas gâcher ce moment – je sortirais ma bite pour me branler sous tes yeux !


Trêve de plaisanteries, t’es une pro, tu passes de l’autre côté de la table pour t’occuper de ses jambes. On entend juste un soupir de satisfaction, et un « c’est super, j’adore ». Comme tu me le demandes, je fais couler un fin filet d’huile sur toute la longueur de ses jambes et repars. Le ballet de tes mains et les « hummm » de la copine qui écarte légèrement ses jambes pour ne pas obstruer le passage de tes mains sur l’intérieur de ses cuisses… Encore une bien jolie vue !


Je vais à la cuisine chercher deux pailles. J’en glisse une dans ton verre et le rapproche de ta bouche. Tu me remercies de cette attention par un joli sourire et un baiser appuyé. Je fais de même avec la copine qui s’exclame :



Ça fait sourire tout le monde, ça fait un peu baisser la tension érotique de la pièce. Tu t’occupes à présent de ses jambes séparément. D’abord le pied dans ses moindres recoins, orteil après orteil, et ensuite le mollet qui roule sous tes doigts, l’arrière du genou, la cuisse, dans laquelle tes doigts semblent se planter pour finir sur la fesse. Dans ma tête, comme dans mon froc, c’est le feu ! Je n’en peux plus ! Je n’ai qu’une envie ! Que ta main glisse enfin sur sa chatte, son anus, qui brillent sous l’effet de l’huile et qui te sont offerts. Mais non, tu les frôles sans jamais les toucher, en me jetant des regards avec un petit sourire. Ce petit sourire qui trahit ton désir.


Je ne peux plus tenir, il faut que je participe, la raison a quitté mon cerveau. Sans doute par le besoin urgent de sang sous ma ceinture !!


Tant pis si je gâche ce moment, je m’en voudrais c’est certain, mais j’aurais aussi beaucoup de remord d’être resté spectateur, devant une représentation qui pourrait peut-être ne jamais se répéter. Oh, sur le moment, je ne réfléchis pas comme ça ! Je suis beaucoup plus animal que cela !

Je me place derrière toi, place mes mains sur tes fesses, descends sur tes cuisses et fais glisser ces bas que tu as mis pour mon plaisir, mais qui ne te sont pas confortables. Pendant cette glissade, j’en profite pour déposer des baisers sur tes fesses, tes cuisses, sur la vilaine marque laissée par ces bas, enfin ôtés. Une fois débarrassée de cette barrière entre ta peau et la mienne, je remonte mes mains doucement de tes chevilles à tes fesses. Je fais plusieurs aller-retour en faisant le tour de tes jambes, qu’aucune partie ne soit oubliée ! C’est lorsque je suis localisé sur l’intérieur, que tes jambes s’écartent d’elles-mêmes, et que tu te penches un peu plus sur la table pour aller plus haut sur le corps de la copine, m’offrant par la même occasion cette superbe vue. Celle de ton cul que j’ai maintenant entre les mains, que j’écarte sans ménagement pour y glisser ma bouche affamée. Un sublime « Huuummm » s’échappe de la tienne quand ma langue s’écrase sur tes chairs intimes. J’en fais de même en appréciant la saveur de ta chatte, si délicieuse, de ton petit trou qui me plaît tant. C’est complètement dingue, je suis à genoux derrière toi, en train de te dévorer le cul, pendant que toi tu n’es qu’à quelques millimètres de l’intimité de la copine, qui a compris ce qui se tramait dans son dos.


Elle ondule, comme toi, des hanches, pour encourager les caresses. Je veux voir ça ! Je remonte doucement, dézippe ta robe pour attraper tes seins et la faire glisser au sol.


Vous êtes nues toutes les deux maintenant, c’est un rêve éveillé !


C’est le moment que tu choisis pour lui demander de se retourner. Elle se met sur le dos, vous échangez un sourire d’approbation et tu lui mets la serviette sur le visage. Un peu d’huile sur son corps et tu repars dans ton massage.

Tu t’es replacée derrière sa tête pour travailler ses épaules, ses bras, son cou, ses seins que tu masses timidement, ce qui ne semble pas être du goût de ta cliente ! Elle prend tes mains, les place sur ses seins et les invite à de plus franches caresses.


C’est le moment que je choisis pour ôter mon pantalon et me mettre nu à mon tour. Je te regarde la masser, la caresser, y prendre plaisir. Elle a maintenant ses mains sur tes flancs, tes fesses, tes seins, toujours aveuglée par la serviette. Moi je suis là à l’autre bout de la table à me branler doucement, tout doucement, sous peine de jouir dans la seconde.


Les soupirs se font entendre de plus en plus dans la pièce. Tu es penchée sur son corps pour aller poser tes mains le plus loin possible sur son corps. Ses jambes sont clairement ouvertes et elle guide tes mains sur l’intérieur de ses cuisses, son pubis, son ventre, avant de reprendre tes fesses en main, comme pour te faire pencher davantage. Je vois dans le miroir qu’elle passe maintenant une de ces mains entre tes cuisses, les tiennes aussi maintenant passent sur les bords de son sexe. Ses caresses se font plus précises, et pour aider ses manœuvres, tu montes un genou sur la table, ce qui fait tomber la serviette. Elle voit maintenant ! Elle a ton sexe à quelques centimètres de son visage, alors que ses doigts sont clairement en train de te pénétrer.


Tu l’imites, un, puis deux doigts ! Vos soupirs, vos chattes trempées, sont les bruits qui envahissent la chambre.


Tu es sur le point de jouir, je le vois sur ton visage. J’interromps vos ébats pour t’embrasser, te toucher aussi. Tes seins, ton sexe, sur lesquels je croise les doigts de la copine. Je fais durer ce baiser, calme les caresses de la copine dont les mains se dirigent vers son sexe où il ne reste plus qu’une de tes mains, l’autre ayant attrapé ma bite que tu serres assez fort en effectuant de lents allers-retours.


Je t’invite à poser l’autre genou sur la table. Magnifique vision de MA femme accroupie sur le visage d’une autre. Tu abaisses ton bassin, tu veux qu’elle te lèche maintenant. C’est toi qui imprimes le mouvement. Tu ondules, tu frottes littéralement ta chatte sur sa bouche, en prenant tes seins à pleine main.


Oh putain, je jouis ! De longues giclées tombent au sol et sur la table. Quelle délivrance, je n’en pouvais plus.


Je ne sais pas si c’est cette vision qui te fait cet effet, mais tu augmentes la pression de ta raie tout entière sur la bouche de la copine, quitte à l’étouffer. Ce n’est pas le cas, elle respire très bien, elle te bouffe à la perfection, elle se caresse en même temps, vous allez jouir ensemble. Je me languis de cet instant magique.

Tu me regardes, tu lâches tes seins pour son sexe que tu caresses avidement, ce qui n’est pas pour lui déplaire. Tu m’attrapes par les cheveux, plonges mon visage entre ses cuisses et dis, comme un ordre :



Ça y est, tu jouis, c’est magnifique ! J’envie la copine, je connais si bien le plaisir que c’est d’avoir en bouche ton sexe à ce moment.

Tu m’appuies sur la tête… Sensation des plus bizarres que d’avoir en bouche une chatte inconnue ! Mais tu veux qu’elle jouisse aussi, ce qui ne tarde pas à arriver, mais c’est sous tes doigts que cela se produit, que tu es venu glisser entre ma bouche et sa chatte, voyant la timidité de ma langue à explorer la totalité de ce sexe qui nous est offert.


On se rhabille, sans un mot, tous trois un peu gênés et encore secoués par ce massage.



C’est tout ce que je trouve à dire, et nous sortons fumer sur la terrasse, notre bière à la main, en remerciant la vie de ce moment inimaginable !


Voilà le rêve que j’ai fait mon Amour. C’est ouf, non ?

Sans savoir qui était cette copine !

J’espère en rêver une suite ! À moins que ce soit toi qui le fasse…