n° 20794 | Fiche technique | 17227 caractères | 17227Temps de lecture estimé : 11 mn | 22/02/22 |
Résumé: Une expérience unique, hors du cadre défini. | ||||
Critères: fh caresses -occasion Massage | ||||
Auteur : CarpediemAdlib Envoi mini-message |
La journée démarre toujours de la même façon, je consulte le planning du jour pour savoir combien de séances m’attendent, avec qui, et le contenu des séances.
Je file dans le salon qui m’est dédié, je retire mon jean et mon petit pull. Je décroche ma blouse vieux rose de rigueur et je la passe. Mes sous-vêtements blancs ne se voient pas au travers.
Madame Bertin entre alors que je termine mon boutonnage. La règle est stricte : les boutons doivent être fermés à minima de mi-cuisse jusqu’à la base des seins. « Suggérer, sans provoquer », telle est la devise de l’institut.
Une fois seule dans mon salon, je commence à le préparer : température à 24 degrés, je sors des serviettes, des strings jetables, je prépare mes huiles et enfin je sélectionne ma programmation musicale relaxante.
Tout est prêt.
***
10 h 30
Je reçois ma première cliente. Une habituée des lieux. La séance est complète : soin des mains d’abord, puis soin du visage et enfin massage relaxant.
Je termine à 11 h 57. J’ai treize minutes pour aérer et tout préparer pour la suite.
12 h 12
Le client suivant arrive. Je le laisse se dévêtir derrière le paravent quand son téléphone sonne. Il me fait signe de patienter. La conversation – professionnelle – s’éternise. Je vois le temps passer alors que mon timing est serré.
Je n’ose m’absenter pour aller aux toilettes.
12 h 29
Il raccroche enfin et m’enjoint à commencer. Je m’applique à faire du mieux possible, l’horloge ne ment pas, je n’aurai pas le temps de déjeuner ni de faire quoi que ce soit d’autre.
Je termine péniblement à 13 h 53. Je suis stressée car je dois être prête pour 14 h. Mon envie d’aller aux toilettes ne me lâche plus mais je n’ai pas le temps. Je dois vite tout remettre en place.
14 h 00
Madame B., l’assistante de Monsieur Pinel, arrive pile à l’heure. Discrète, cette jeune femme d’à peine trente ans attend les instructions. Je lui indique le paravent et lui remets un string jetable ainsi qu’une serviette.
Elle réapparaît peu de temps après et s’installe sur la table de massage. Je lui explique le déroulement et l’invite à se détendre. De mon côté, j’ai de plus en plus besoin d’une pause technique.
Le moment est agréable. Cette jeune femme a la peau douce et ferme et j’aime m’attarder sur ses jambes fuselées, travail épuisant mais qui lui procure le plus grand bien.
Je manque de faire tomber la bouteille d’huile de massage en me déplaçant et, dans un geste réflexe, je réussis à la rattraper. Malheureusement, ce geste précipité m’a fait me contracter et ce qui devait arriver est arrivé : j’ai commencé à me faire pipi dessus…
Je prétexte un problème avec l’huile de massage pour quitter la pièce et filer aux toilettes.
Je me dépêche, je laisse la porte ouverte et me précipite pour me soulager. Aaaaaah ! Que ça fait du bien ! Le constat est sans appel dans ma culotte, elle est trempée et donc, dégueulasse. Je la retire, je préfère passer l’après-midi cul nu que de me laisser macérer. Je me passe un coup de lingette et file vite retrouver ma cliente.
La séance se termine plus tranquillement, c’est fou comme l’absence d’un si petit vêtement peut changer le ressenti des choses. Je me suis sentie plus réceptive, plus sensible à ce que je faisais.
15 h 30
M. Pinel arrive, il connaît la musique comme on dit et attrape un string jetable pour aller se changer.
J’aime bien ce monsieur car il fait souvent semblant de s’assoupir pendant la séance mais je le sais très observateur en fait. Il est juste bien élevé en quelque sorte. Une fois, il s’est permis de me dire qu’il me trouvait rayonnante, solaire et quelque peu sensuelle.
Je commence mon massage, toujours de façon superficielle. Je prends contact avec mon client, je l’habitue à mes mains, à ma façon de masser. Ça me permet également de connaître l’état de tension de mon client, la façon dont la peau se comporte sous mes doigts.
M. Pinel n’est pas ce que l’on appelle un bel homme. Un ventre un peu rebondi, des jambes qui manquent d’activité sportive, des bras flasques… un visage quelconque. En revanche, son regard est beau, puissant et pénétrant, mais surtout sincère.
Cela fait une bonne demi-heure que je le masse quand je lui demande de passer sur le dos pour lui masser les cuisses. Se faisant, il fait tomber la serviette qui dissimule ses fesses ou son anatomie. C’est alors que je constate, pour la première fois, que son string n’est pas vraiment à sa taille. M. Pinel semble avoir joué son va-tout sur une partie du corps rarement visible.
Je ramasse la serviette, en prends une de propre et la repositionne comme il faut en matant comme une jeune première. Il faut dire que s’il était nu, je n’en verrais pas beaucoup plus. Ses testicules remplissent à eux seuls le mince filet de tissu.
« — Allez, Jade, ne te laisse pas distraire par cette chose si tentante. »
Je poursuis mon massage par les cuisses, de longs et profonds mouvements qui partent des genoux et qui remontent vers l’aine. Évidemment, en bout de course, il n’est pas rare que je bouscule délicatement ses bourses. C’est la partie physique pour moi, ça me demande un peu de force.
M.Pinel fait semblant de somnoler mais je vois bien aux réactions sous la serviette qu’il ne dort pas.
C’est bien la première fois qu’il réagit à mon massage. Bref, je suis une professionnelle aguerrie et cela fait partie de mon métier.
Je termine par une phase de relaxation et de détente. Assouplissement de toutes les articulations par de savants gestes (technique indienne). Lorsque je lui détends le bassin, la serviette bouge à nouveau… je le soupçonne de l’avoir fait glisser, c’est pas possible autrement.
Il reste moins de 10 minutes de massage, donc ce n’est pas très grave, il a raison. Mais ce que je n’avais pas prévu, c’est que d’avoir sous les yeux ce gros sexe allait me remuer le ventre, pour ne pas dire plus bas. Qui plus est, il n’est plus totalement au repos.
J’ai vu de très nombreux hommes dans cette tenue mais jamais un gabarit comme celui-là. Je l’avoue, si cet homme me laisse indifférent, ce qu’il a entre les jambes commence à me donner des idées qui n’ont rien à faire ici. Il faut que je me ressaisisse rapidement.
16 h 55
La délivrance est arrivée. Je libère M. Pinel d’une douce voix. Il quitte la table de massage et se dirige vers le petit paravent. J’en profite pour récupérer des bougies et de l’huile dans un petit placard invisible dont l’angle de vue me donne accès à son reflet par un jeu de miroirs.
Il retire le sous-vêtement jetable avant d’enfiler un slip. Durant les quelques secondes, je ne quitte pas des yeux son pénis. Je ne suis pas très portée sur le sexe pourtant, mes compagnons me l’ont parfois fait savoir. Mon seul péché mignon est peut-être celui de masturber un homme car il me donne un pouvoir sur l’autre, et puis c’est aussi une forme de massage…
17 h 10
J’ai profité des 10 minutes disponibles pour aérer et préparer le lieu. Je suis derrière le paravent, j’ai retiré mon soutien-gorge pour me passer une lingette sous les bras, entre les seins (mon odeur corporelle ne doit pas perturber les séances) lorsque j’entends la porte s’ouvrir.
Cela ne m’a pris que très peu de secondes, mais ce que je n’ai pas vu c’est que le dernier bouton en haut ne s’est pas fermé correctement.
Le protocole se reproduit à nouveau et j’invite Mme T., l’associée de M. Pinel, à se préparer derrière le paravent.
Elle ressort deux minutes plus tard, intégralement nue.
Madame T. est installée confortablement sur le ventre. Je pose délicatement la serviette sur ses fesses. Je m’assieds sur mon tabouret et commence la séance par un massage des mains. Madame T. est très vite détendue.
Je passe un certain temps à lui masser la nuque puis les épaules. Lorsque je m’attarde sur ses jambes jusqu’au fessier, j’ai une pleine vue sur son entrejambe. Pour quelqu’un comme moi, cela commence à faire beaucoup dans une seule journée.
Je me mets à repenser à mes jeunes années, lorsque nous étions parties entre amies faire du camping.
La promiscuité des tentes nous avait fait découvrir des jeux entre filles. Si j’aime les hommes, j’en garde malgré tout un excellent souvenir rempli de sensualité.
Ouh là là… je me distrais et voilà que mes gestes sont plus appuyés et mes mains remontent dangereusement vers l’intérieur des cuisses à chaque pression.
Mais ce qui m’a rappelé à la réalité ce sont les très faibles gémissements de Madame T. Pour sûr, elle est excessivement détendue !
J’achève la séance en reprenant mon sérieux pour éviter tout dérapage inapproprié.
18 h 45
Je reçois Adrien, le chercheur stagiaire. Ouf, c’est le dernier de cette longue journée. Je suis fatiguée mais je dois assurer jusqu’à 20 h 15.
Le jeune homme est visiblement très mal à l’aise, c’est la première fois qu’il va se faire masser. Je lui explique le déroulement :
Il revient quelques instants plus tard dans son joli costume d’institut. Les premiers contacts sont peu évidents pour moi. Je sens sous mes doigts sa timidité, il est nerveux et stressé. Je ralentis mes mouvements pour le mettre en confiance. J’ai collé le tabouret à la table pour qu’il sente ma présence et qu’il la personnifie. Petit à petit, je le sens se détendre. Contrairement à mes habitudes, j’opte pour rester assise pour la suite du massage. Je déplace ainsi le tabouret en restant assise dessus et me dirige vers sa tête. Je reprends avec la même douceur dans mes mouvements.
Ce dont je ne me rends pas compte, c’est que la tête d’Adrien est bien calée dans le trou de la table prévu à cet effet. Et qu’en conséquence il a une parfaite vue sur mes jambes qui se glissent sous la table. Et qu’en conséquence il a une parfaite vue sur mon entrejambe car je n’ai plus de culotte. Et par-dessus tout, en m’installant ainsi, l’un des boutons pression du bas de la blouse s’est ouvert !
Je poursuis, innocente comme je suis.
Adrien quant à lui savoure pleinement à la fois le massage mais aussi la vue. Il faut dire que Mlle Jade travaille dans un institut et que sa pilosité est donc parfaitement taillée et entretenue. Il se dit que ça doit toujours se passer ainsi et que ça fait partie de la prestation. Allez, il faut se détendre maintenant.
Le moment arrive où je demande à Adrien de basculer sur le dos. Il semble mal à l’aise mais obtempère malgré tout. Je me mets en place. Il a les yeux fermés… mais moi pas. Je vois dépasser de son string son sexe bandé. Le jeune homme n’est pas insensible à mon massage.
Cette vue me laisse pantoise… l’après-midi n’a fait que me faire monter en pression.
Sans réfléchir, je me saisis de son pied et reprends ma tâche. Eh oui, je ne lui ai pas remis la serviette sur le bas-ventre !
Je profite pleinement de la vue. Après tout, il est tard, l’institut doit s’être vidé et le jeune ne semble pas se plaindre.
Les yeux rivés sur son gland je m’applique à mon travail, les idées ailleurs. Le massage de ses orteils ressemble fortement à une lente masturbation. L’effet est encore plus visible sur sa personne. Il a ouvert les yeux et m’observe silencieusement.
C’est moi maintenant qui suis mal à l’aise. Je me remets debout et commence à remonter sur ses mollets. Mes doigts toujours aussi précis, mon regard de plus en plus vicieux. Je ne m’attarde pas sur cette zone et remonte m’occuper de ses cuisses.
Je surplombe son sexe. Ma bouche n’en est pas si loin. Mes doigts pressent sa cuisse et remontent doucement vers son aine. Mon poignet heurte sa tige raidie, la bouscule. À chaque remontée, je lui stimule les testicules du bout des ongles. Mon Dieu qu’ils ont l’air pleins. Je sens l’effet produit par ce jeune homme, mes cuisses sont légèrement humides. Il reste 15 minutes. Les couloirs sont éteints, l’institut s’est vidé.
Je me décide à lui offrir un souvenir mémorable.
Je repasse derrière sa tête alors qu’il est encore allongé sur le dos. Il me voit en contre-plongée. Je dégrafe tous les boutons de ma blouse. Il voit ainsi ma poitrine par en dessous. Je m’approche. Ses yeux ne me quittent plus. Je m’allonge sur son torse : mes seins reposent sur son visage, mes bras sur son torse et mes mains lui caressent le ventre jusqu’au pubis. Je sens sa langue pointer sur mes tétons, jouer avec eux. J’accentue mes caresses, toujours plus proches de cette jeune tige de chair. Elle pointe maintenant vers moi, gorgée de sang, le gland rouge gonflé. Je promène mes mamelons sur ses joues, je me joue de lui.
Sans signe annonciateur, il se met à éjaculer. Je reçois ses jets dans le cou, puis sur les mains. Son sexe est comme habité, il ne cesse de tressauter. Quelques gouttes viennent se perdre dans ses poils.
Quelle puissance ! Quelle jeunesse… !
Je m’écarte de lui pour me saisir de la serviette qui ne sert plus, et me porte à hauteur de son bassin pour le nettoyer. Un sourire se dessine sur ses lèvres.
Je suis trempée.
La séance est terminée, je le raccompagne jusqu’à la sortie de l’institut. Il me remercie simplement, ému, heureux et détendu. Je retourne dans le salon pour tout ranger. Avant de partir, je m’allonge à mon tour sur la table et m’autorise une vibrante caresse. Je jouis comme rarement, je crie même, sans peur d’être entendue. J’enfile mon petit pull et mon jean, sous-vêtements en poche, et je rentre chez moi.
Jamais plus je n’ai eu d’autre opportunité de ce genre. Celle-ci est restée gravée en moi et il m’arrive encore de jouir de ce doux souvenir.