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n° 20799Fiche technique25104 caractères25104
Temps de lecture estimé : 15 mn
24/02/22
Résumé:  Une escapade en amoureux sur une île se transforme en expérience entre couples.
Critères:  fh fhh ffh 2couples couplus vacances parking hmast facial fellation cunnilingu fgode double échange
Auteur : Volovent      Envoi mini-message
Une île






Nous sommes fin août. Une chaleur accablante s’est abattue depuis quelques jours sur Paris. Nous étouffons. Pas un souffle d’air, le bitume surchauffé, les gaz d’échappement qui stagnent à notre hauteur, un avant-goût de l’enfer. Je sors depuis quelque temps avec Nina, une infirmière des Hôpitaux de Paris. Fausse blonde au regard très doux dans ses moments de tendresse, mais noir quand elle se hérisse, ce qui arrive quand même assez souvent. Ne pas lui marcher sur les pieds, c’est tout. Je m’en garde bien, car elle a des qualités assez exceptionnelles dans un domaine qui m’intéresse au plus haut point : le sexe.


Physiquement déjà, on ne peut guère lui trouver de défaut : de taille moyenne, 1,65 m, les traits fins, la peau douce, un nez aquilin et surtout un corps de rêve. Des seins assez volumineux pour satisfaire n’importe quel amateur, la taille fine, des reins bien creusés s’ouvrant sur un petit cul rond, des jambes fines surmontées d’un pubis discrètement frisé, un ventre plat, elle aurait pu faire le bonheur de tout magazine de charme. Mais ce qui est assez remarquable, c’était l’ensemble, un ensemble d’une grande harmonie. Tout est de bon goût, de qualité. Elle dégage une sensualité naturelle renforcée par une souplesse étonnante. Elle a dû faire de la danse ; on a l’impression qu’elle glisse en marchant. J’avoue que j’éprouve beaucoup de plaisir à la promener à mon bras, car tout le monde se retourne sur son passage.


Sexuellement ensuite, j’y trouve largement mon compte. Elle aime ça, vraiment, et est très douée pour la bagatelle. Nos soirées, souvent très agitées, ne versent pas dans la mélancolie. Sa souplesse naturelle nous permet des variantes que je n’aurais pas osées avec d’autres. Nous n’habitons pas ensemble, mais nos rencontres n’en sont que plus chaleureuses.


Ce phénomène météo exceptionnel nous a coupés dans notre élan. Nous nous traînons de square en bar, à la recherche d’un souffle d’air, d’un verre de boisson gazeuse. Je l’ai provisoirement recueillie dans mon studio, sa chambre sous les toits étant devenue un vrai four. Nous ne couchons pas ensemble pour autant, cela aussi est impossible. Une torture pour moi comme pour elle. Nous nous contentons de quelques prouesses buccales rapides. Ma seule satisfaction est de la voir se promener nue dans la pièce, spectacle d’un niveau bien supérieur au Crazy Horse Saloon pour moi.


Alors, j’ai craqué. Nous sommes montés, un vendredi après-midi, dans ma vieille 4 L, direction la mer et une île tant qu’à faire. J’ai réservé une chambre dans une pension pas vraiment « de charme », mais dans nos moyens financiers de l’époque.


Il fait presque aussi chaud sur cette île qu’à Paris, mais un discret souffle d’air nous caresse et puis il y a l’océan dans lequel nous avons plongé avant même d’être passés par la case hôtel ! Une bonne douche froide par là-dessus, et nous avons repris goût aux galipettes. Ce fut un festival, entrecoupé de douches certes, mais je ris de nouveau à ses prouesses. À peine sortie de la douche, elle me saute au cou et me ravage la bouche.



Je me précipite sur elle, les yeux gourmands, en me pourléchant les babines. Elle crie, se jette sur le lit en écartant bien les cuisses, me permettant de la pénétrer sur le champ au plus profond.



La suite est féroce. Insatiable, elle se rue à l’assaut de ma queue sans qu’aucun frein ne puisse la retenir. Elle vient très vite sur moi pour prendre son plaisir comme elle l’entend et ne m’attend pas pour conclure brillamment son interprétation. J’ai dû jouer les prolongations pour exploser à mon tour.


Les cuisiniers doivent parfois faire preuve de patience. Celui-là nous a attendus longtemps. La soirée est donc calme. Nous sommes allés marcher sur le sentier des douaniers, puis dodo sage et grosse grasse mat’.


Le samedi matin est agréable, fraîcheur bienvenue (je me suis même recouvert d’un drap vers 5 h du matin), atmosphère détendue chez les passants et les commerçants. J’offre une petite robe sans prétention à Nina, mais bien adaptée à son corps. Légèrement transparente et lui laissant une grande liberté de mouvement, elle provoque une rapide poussée de tension chez la gent masculine du coin. Nina est heureuse et nous aurions volontiers étrenné cet achat si la canicule ne nous avait pas de nouveau assommés en fin de matinée. La sieste est donc sage et entrecoupée de douches, puis nous rejoignons la plage et passons notre après-midi dans l’eau.


Le soir, après le repas, nous sortons nous promener autour du port. Beaucoup de monde dans les rues, à la recherche, comme nous, d’une bouffée d’air frais. L’atmosphère est lourde, oppressante, un peu comme si un orage allait éclater, et nous avons cette sensation d’être écrasés par la pression ; le pas se fait lent et lourd. La curiosité nous conduit vers un endroit de vastes hangars plus ou moins utilisés. Une musique jaillit au loin de l’un d’eux. Nous nous laissons guider et arrivons sur une place nue, servant de parking. Un bâtiment éclairé attire des couples qui entrent et sortent dans une ronde continue. La musique, étouffée, vient de là.


Nous entrons, curieux mais circonspects. C’est une espèce de boîte de nuit assez typique avec ses boules lumineuses, sa musique assez forte, ses conversations forcément bruyantes, son public jeune et décontracté. Un semblant de climatisation nous permet de ne pas étouffer. Nous nous dirigeons vers le bar, réflexe normal dans un environnement inconnu. Je passe commande et laisse Nina pour m’approcher de la piste. La clientèle ne présente pas un grand intérêt, ni sur le plan physique ni sur le plan intellectuel a priori. Quelques jeunes excités braillent sur la piste pendant que d’autres, bien fatigués, sommeillent à moitié sur les banquettes qui l’entourent. Une femme attire cependant mon regard. Grande, brune, élégante, une classe naturelle, une sensualité sans commune mesure avec le troupeau qui garnit ce lieu. Je m’approche. Elle scrute les danseurs sur le parquet puis le public autour.



Elle se retourne, me sourit. Ses yeux flambent sans agressivité. Son regard est intense. Elle semble me déshabiller, au niveau cérébral ou psychique.



Décontenancé, je souris d’abord, un peu vert, puis ris franchement.



Nous sortons rapidement. Moi aussi, je trouvais la musique insupportable. La même chaleur lourde nous accompagne jusqu’au bar en question. Un port sans endroit où boire du rhum ? Impensable. Le punch antillais, très agréable, a délié les langues et, à la deuxième tournée, les rires se sont mis à fuser. Nous transpirons à grosses gouttes et ces dames paraissent se dévêtir au fur et à mesure des gorgées que nous avalons. La robe de Nina en particulier lui colle tellement au corps qu’on pourrait la croire nue. Sophie n’en est pas à ce point, mais le spectacle est cependant de qualité. Tout cela fait réagir Hubert et une grosse bosse déforme son pantalon. Sophie ne sait plus où regarder. Elle me sourit en détaillant visiblement ma carrure et mes abdominaux, mais revient rapidement sur Nina et rougit à sa poitrine insolente.



Nina a les yeux dans le vague. Écarlate, au bord de l’explosion, ses pointes de seins semblent transpercer le fragile tissu, ses cuisses qui se serrent et se desserrent en cadence traduisent plus qu’un trouble. Je me lève rapidement avant qu’un accident ne se produise. Hubert nous conduit vers sa voiture, dans le dédale des ruelles de cette mini zone industrielle, entre des hangars déserts qui dégagent un fort relent de marée.


Tout à coup, je sens une grosse goutte sur la figure, puis deux, puis dix. Enfin, un déluge s’abat sur nous, mais un déluge fort agréable : une pluie chaude ! Je hurle de joie ! Sensation unique que je n’avais connue qu’en Afrique jusque-là. Nina, interloquée, s’est arrêtée de marcher et regarde autour d’elle. Hubert, galant, essaie de protéger Sophie avec sa veste de costume sans arriver à grand-chose. D’un seul coup, je respire. Finie cette oppression, ce frein qui nous entravait. Je me précipite sur Nina, la soulève et jette sur le capot de la première voiture garée. Lui écartant les cuisses, sans aucun préliminaire, je l’enfile sans effort tellement elle est trempée. Elle hurle, me bourre la poitrine de ses petits poings et trépigne comme une folle.



Je ne peux pas prendre un rythme correct tellement elle se convulse. Et puis, ce qui devait arriver arriva trop tôt. Elle s’effondre sur le capot du véhicule, comme frappée par la foudre. Un spectacle Fellinien ! On aurait dit un siècle de frustration qui s’évanouit sous ce déluge. Pourtant, elle n’a rien d’une frustrée. La pluie redouble, nous inondant totalement. On n’y voit pas à plus de deux mètres. Hubert et Sophie ne perdent pas leur temps. Bloqués au départ par la violence de notre exhibition, ils ont vite réagi. Sophie pompe admirablement le membre d’Hubert qui ne tarde pas à lui prouver le bien-fondé de son action en lui décorant le visage d’un magnifique jet de foutre trop tôt lavé par le rideau d’eau qui nous tombe dessus.



Souriante, elle vient vers nous, m’écarte, puis se penche sur Nina, l’embrasse, la caresse, et, s’allongeant carrément sur elle, lui lèche les seins et me présente son cul.



Son cul me nargue, fier, un cul en amphore, admirablement proportionné avec des jambes parfaites. Bien ouvert, il offre une vulve frémissante. Je plonge sur lui (et sur elle !) sans l’ombre d’une hésitation. Ma queue, en extension maximale depuis la brillante intervention de Nina, n’a pas eu le temps de se ramollir. Ça lui fait un choc. Elle crie, redresse la tête en fermant les yeux. Ses poings se crispent sur la tôle. Puis, elle reprend lentement le contrôle de la situation, bien que sa respiration soit plus forte. Deux petites larmes coulent sur sa joue.



Elle reste grande dame, même, et surtout, dans cette position. Une reine qui dirige les ébats à sa guise et pour son plaisir. Impossible de résister à une telle femme. Ma queue semble prise de frénésie. Je dois la calmer. J’explore donc la grotte de Sophie dans tous les sens. Je la provoque en passant avec mon gland sur le point G. Son cul se met à frémir et elle pousse de petits cris.


Nina reprend progressivement ses esprits. Toujours allongée sur le capot, elle commence à répondre aux caresses de Sophie qui a entrepris de lui lécher le minou avec délectation. Hubert a récupéré plus vite que prévu. Il s’est donc approché de nous et a présenté une verge respectable à Nina qui s’est contorsionnée pour l’emboucher goulûment. La chienne n’avait pas son compte ! Elle est incroyable cette fille. J’adore faire l’amour avec elle. Sa disponibilité, son inventivité, et sa plastique, bien sûr, me font rêver. Là, en quelque sorte prise en sandwich entre Hubert et Sophie, elle arbore un énorme sourire en me regardant franchement dans les yeux. Heureuse !


Eh bien, moi aussi je suis heureux. La chatte de Sophie palpite sur ma queue. Je glisse facilement dans cet antre largement lubrifié, mais un peu serré. Hubert serait-il défaillant ? J’engage un rythme lent mais puissant et en peu de temps la belle se met à crier en tremblant de tous ses membres. Elle s’effondre sur Nina qui, frustrée par l’arrêt brutal du cunnilingus, ne trouve pas d’autre moyen que de se caresser le clitoris avec sa main libre.



La pluie s’est un peu calmée, mais surtout devient de plus en plus froide. Heureusement, personne dans la rue pour profiter du spectacle et nous interrompre dans nos ébats. La pluie a refroidi les ardeurs des plus courageux. Hubert nous pilote dans les ruelles et, magie, nous amène vers une magnifique Jaguar. Chance pour elle (la Jaguar), des plaids nous servent de couverture sur les fauteuils en cuir pour leur éviter un contact trop intense avec nos corps trempés. Je regarde Hubert différemment. Je le prenais pour le simple esclave de madame, mais un homme qui possède une belle voiture et une femme splendide est un homme au sommet de la réussite. Quelques minutes plus tard, nous pénétrons dans une propriété assez bien cachée de la route. La pluie persiste mais sur un rythme plus normal. Nous nous ruons pourtant dans la demeure, encore chaude de la canicule et, sans nous concerter, nous nous délestons de nos hardes informes et courrons vers la salle de bains. Les filles se précipitent… sous la douche et nous entendons des petits cris et autres bruits de succion assez louches, pour ne pas dire franchement glauques. Hubert est gai comme un pinson et plaisante pendant que nous nous séchons du mieux possible. Il sort deux peignoirs d’un placard et m’entraîne vers les cuisines. Il est temps de reprendre des forces ! Une bourriche d’huîtres nous attend au frais. Nous en ouvrons deux douzaines… sur lesquelles se ruent nos tribades avant même que nous puissions dire quoi que ce soit. Nous avons donc poursuivi notre effort, à l’aide d’un blanc sec de Bordeaux particulièrement fruité et agréable. Bien réhydratés et repus, nous avons gagné le salon, tous en peignoir et tongs, il faut bien sacrifier aux impératifs du moment.


Confortablement installées dans le grand canapé, les filles se donnent la main. Sophie nous regarde, un sourire aux lèvres, l’air mi-amusé, mi-curieux. Qu’a-t-elle derrière la tête ? Car c’est elle qui mène le bal depuis le début. Hubert suit sans discuter, semblant y trouver largement son compte et moi, je me fais balader comme un bleu que je suis d’ailleurs. Quant à Nina, elle s’en sert ouvertement pour son plaisir personnel.



Les jambes croisées très haut, découvrant une cuisse au galbe parfait, elle récupère un sac en cuir que lui tend son époux, et le présente à Nina.



Nina s’exécute et sort un magnifique gode-ventouse noir.



Nina laisse glisser son peignoir doucement sur son corps, puis approche l’objet de ses lèvres et le suce voluptueusement jusqu’à ce qu’il soit bien luisant. Elle le fixe sur le sol et l’enfourche lentement. Arrivée au bout, elle s’arrête, nous regarde.



Nous sommes bien emmêlés. Nina, le cul enfoncé jusqu’à la garde sur le gode lèche avidement les grandes lèvres de Sophie, en attendant mieux. Sophie me prodigue une splendide fellation, sensuelle mais très érotique et excitante. Hubert, seul dans son fauteuil, se masturbe tranquillement, les yeux révulsés comme si c’était son plan préféré. Sophie n’a pas tenu bien longtemps. Nina avait investi les petites lèvres et sa langue remontait régulièrement sur le clitoris, provoquant à chaque fois des râles chez notre furie. C’est lorsque deux doigts se sont insinués dans son anus qu’elle a explosé une nouvelle fois. Constatant que son traitement me redonne une certaine vigueur, elle me pousse sur le divan et chevauche immédiatement, sans perdre une seconde de sa classe naturelle. Ce n’est pas une chienne en chaleur, comme pourrait l’être Nina, c’est une grande dame qui prend son plaisir sans se départir de sa tenue. Son bassin puissant roule autour de ma queue, mais elle reste le buste droit et les yeux plissés fixés sur l’horizon.



Je m’accroche à son fessier. Elle guide mes mains à l’endroit idéal (pour elle). Puis une main vient caresser un sein, tirant doucement sur le téton pendant que l’autre glisse vers le pubis, deux doigts s’écartant pour se placer en tenaille autour de ma queue. Extatique, elle a fermé les yeux. Son bassin ralentit.



C’est impératif. Hubert se lève, puis, placé derrière elle, enfonce sa queue dans la rosette. Je ne bouge plus, sentant la queue d’Hubert contre la mienne au travers de la fine paroi. Il lui suffit d’un coup pour la faire hurler longuement. Hubert sort et décharge les quelques gouttes qui lui restaient sur ses reins. Elle a perdu son air dominateur. Effondrée sur moi, ses seins lourds flottent agréablement sur mon torse. Je n’ai pas encore mon compte, aussi, je la place en latéral pour démarrer mon « spécial ». Je suis tellement excité que deux coups ont suffi. Un long jet de foutre garnit sa chatte.


Nina, toujours chevauchant son gode, nous regarde comme des extra-terrestres. Épuisé par la chaleur, les efforts et l’ambiance, je récupère une couverture qui traîne, attrape Nina et nous nous couchons sur le vaste tapis du salon. Une minute plus tard, je dors profondément.


Réveil en sursaut. Il est 8 h et Nina se promène nue dans la pièce. Je m’habille vite, fais une toilette de chat, griffonne un petit mot de remerciement pour nos hôtes et nous sortons de la villa. Il fait assez frais avec la pluie d’hier soir. Nos tenues ne sont plus vraiment adaptées. Je frissonne. Nous avons quelques kilomètres à faire jusqu’au port. Je démarre donc d’un bon pas… puis ralentis, Nina ayant du mal à suivre. On va essayer le stop, quoique dans une île aussi huppée, le résultat risque d’être décevant.


Une heure après, nous sommes confortablement installés sur la terrasse de l’hôtel, un pull sur les épaules quand même. Un monstrueux petit déjeuner étalé devant nous, nous sourions au souvenir de la veille.




– FIN –