n° 20832 | Fiche technique | 7844 caractères | 7844Temps de lecture estimé : 5 mn | 17/03/22 |
Résumé: Une première soirée, la naissance d’une relation. | ||||
Critères: fh fplusag collègues médical amour caresses fellation cunnilingu pénétratio -couple | ||||
Auteur : Jojo33bdx Envoi mini-message |
En ce début du mois de juin, je m’apprête à passer la soirée avec un homme. Jusque-là, me direz-vous, rien de bien extraordinaire. Mais pour moi, cette soirée va changer énormément de choses dans ma vie, et tout particulièrement sur le plan sexuel.
Je me prénomme Cathy, j’ai trente-quatre ans, en instance de divorce, je suis séparée de mon mari depuis six mois maintenant et, vu qu’il ne me touchait plus depuis déjà quelque temps, cela fait bien une dizaine de mois que je n’ai pas fait l’amour.
Je suis une petite brune d’un mètre soixante pour environ 48 kg, j’ai les cheveux mi-longs, la peau mate, une jolie poitrine bien ronde et encore ferme, un ventre plat et de jolies jambes. Joël et moi travaillons dans le même service, lui aussi est séparé de sa femme. Il est plus jeune que moi de trois ans et possède un physique athlétique.
Il se décide un jour à m’inviter au restaurant, soirée qui se prolongera… très longtemps !
Après un début de soirée plutôt romantique, nous sommes allés chez lui. Sitôt arrivés, il m’attire contre lui et me prend dans ses bras. Nous nous embrassons tendrement au début, mais très vite le désir monte entre nous. Un désir réciproque qui rend nos baisers passionnés et fougueux. Nos mains courent sur le corps de l’autre, nos lèvres ne peuvent plus se désunir, nos langues se mélangent. Ses bras puissants me pressent contre lui. Je sens son désir grossir contre mon ventre. Je ne peux pas résister plus longtemps. Moi aussi, j’ai terriblement envie de lui. Depuis le temps que je n’ai pas fait l’amour !
Je défais sa chemise pour caresser et embrasser son torse. Son parfum m’enivre, je ferme les yeux, mes mains descendent sur son ventre, découvrent ses tablettes de chocolat (je ne l’imaginais pas aussi musclé). Je le caresse, embrasse ce torse viril, et me laisse glisser à genoux. Mon visage est maintenant à la hauteur de son ventre. Je ressens son sexe déjà tendu sous mes doigts. J’ouvre nerveusement son pantalon et abaisse l’élastique de son boxer, découvrant un pénis fièrement érigé d’une taille bien plus qu’enviable. Un sexe assez long, mais surtout d’un très joli calibre que je m’empresse de libérer totalement de sa prison de tissu.
Mes mains s’emparent de l’objet et le caressent alors que mes yeux sont fixés sur cette colonne de chair raide et veineuse. Je suis comme hypnotisée et finis par fermer les yeux afin de mieux profiter de cette tige avec laquelle je me caresse maintenant le visage. La douceur de la peau contraste avec l’évidente virilité de ce membre que je prends maintenant en bouche. Les yeux clos, je déguste cette friandise en faisant courir ma langue sur toute la longueur de cette hampe, prenant le gland entre mes lèvres ou embouchant ce pénis qui me remplit, jouant avec ma langue sur son frein.
Je sens que Joël est aux anges. Je perçois sa respiration plus rapide et bruyante. Sa tige a encore grossi dans ma bouche. Au moment où je le sens prêt à exploser, il se retire, me relève et fait sauter les boutons de ma robe qui se retrouve par terre. À son tour, il plonge son visage entre mes seins, d’une main experte, il détache l’agrafe de mon soutien-gorge qui rejoint ma robe et libère ma poitrine. Il empaume mes seins, les pétrit, pince les tétons avant d’en prendre un en bouche et de le sucer avidement.
Il me saisit par les mains et m’entraîne dans sa chambre tout en m’embrassant dans le cou. Je me retrouve allongée sur son lit, seulement vêtue de mon string. Il plonge son visage entre mes cuisses et commence à embrasser ma chatte en écartant seulement le petit triangle de tissu. Il commence par lécher délicatement ma vulve déjà ruisselante et très vite découvre mon clitoris, le suce, le mordille, joue avec lui avant de replonger sa langue entre mes lèvres intimes, d’enfoncer sa langue aussi loin qu’il peut dans mon vagin et de recommencer.
Le plaisir monte en moi depuis mon vagin et m’envahit totalement. Mes mains plongent sur sa tête, lui intimant l’ordre de continuer ce merveilleux cunni, mes doigts se crispent dans ses cheveux.
Je ne peux me retenir de crier. Joël est un virtuose. Avec sa langue, il me procure de merveilleuses sensations que je n’ai plus connues depuis longtemps, bien trop longtemps. Le plaisir monte en moi, mon ventre est en feu, mon cœur bat à cent à l’heure, ma tête va exploser. Enfin, l’orgasme m’envahit, violent et ravageur, mais tellement merveilleux. Tout mon corps se contracte de la pointe des orteils à la racine des cheveux. Je hurle mon bonheur sans retenue, moi qui suis d’un naturel discret et qui suis peu encline habituellement à des performances vocales sur l’oreiller, je ne peux me retenir. Mon corps parcouru par les spasmes de la jouissance se tortille en tous sens, se contracte et se relâche, tandis que mon amant prolonge ce cunni, imperturbable.
Je finis par m’effondrer sur le lit, ravagée par cet orgasme. Joël se redresse, se penche en appui sur un bras au-dessus de moi et, après avoir frotté son pénis sur ma vulve, me pénètre délicatement. Je sens sa colonne de chair s’enfoncer en moi doucement. Je la sens progresser centimètre par centimètre jusqu’à atteindre le fond de ma grotte et se retirer tout aussi délicatement. Un merveilleux va-et-vient débute ainsi en moi, doux et apaisant. Je ferme les yeux et remonte les bras au-dessus de la tête dans un total abandon, profitant de ce moment de bonheur intense.
Mon amant s’avère incroyablement endurant. Il ondule maintenant en moi depuis un long moment. Quelle agréable sensation oubliée depuis si longtemps avec un mari qui ne prenait plus vraiment soin de moi ! Que c’est bon de sentir cette force virile aller et venir dans mon ventre !
J’ouvre les yeux, il est au-dessus de moi. Son regard est doux, son sourire magnifique. Il m’observe, épiant mes réactions tout en me faisant l’amour, attentif à mon plaisir. Encore une fois, une sensation oubliée !
C’est à mon tour de l’observer. Son corps est musclé de partout. Je suis prise d’une irrésistible envie de le caresser. Mes mains courent sur son torse puissant, s’attardent dans sa toison avant de descendre sur son ventre puis de saisir ses fesses. Elles sont belles, rondes et bien fermes, à l’image du reste de son corps. Je replie mes jambes et viens enserrer sa taille, liant mes pieds au-dessus de ses reins. Je profite encore plus de son va-et-vient qui commence à s’accélérer. Son mandrin s’enfonce en moi plus rapidement, sa respiration s’accélère et ses gémissements se font plus présents. Sa jouissance est en train de monter. Je remonte mes bras au-dessus de la tête et je l’observe à mon tour prendre son plaisir en moi. Il a les yeux clos, ses gémissements ont fait place à des ahanements, le rythme et l’intensité de sa pénétration s’accentuent jusqu’à ce que l’orgasme l’emporte à son tour, que les spasmes de son plaisir me délivrent de grands coups de boutoir. Son sexe frappe sans ménagement le fond de ma chambre d’amour… c’est si bon de le sentir se répandre en moi !
Épuisé et haletant, il s’effondre sur moi. Mes jambes continuent de l’enserrer. Je veux le conserver en moi. Je caresse ses cheveux, sa nuque, son dos. Je suis tout simplement heureuse…