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Temps de lecture estimé : 8 mn
19/03/22
Résumé:  Ma belle-sœur a envie de s’amuser. Je l’emmène dans un club libertin où nous la faisons passer pour ma femme, prude, qui découvre les joies du libertinage.
Critères:  2couples extraoffre candaul grosseins poilu(e)s boitenuit fmast hmast cunnilingu confession -jeux -lieusexe
Auteur : Marcdumans            Envoi mini-message
Ma belle-sœur au club libertin






Nous sommes fin mai 2021. Presque six mois sans nouvelles de ma belle-sœur, et la voici qui m’appelle. Elle doit passer deux jours à Paris. L’hôtel est possible, mais elle aimerait profiter de la vie parisienne pour s’éclater.

Claire est coquine et l’idée de profiter à nouveau de son corps, de ses gros seins fermes, de son cul accueillant me fait bander. Qu’est-ce que je pourrais organiser pour qu’on s’éclate ? Un dîner au restaurant, un spectacle ? Non, j’ai une idée bien meilleure et je pense que ça devrait lui plaire.

Je lui envoie un texto.


À jeudi. Prends une robe sage, je t’emmène en soirée.


La réponse ne tarde pas :



  • — Une robe sage ? J’ai envie de m’éclater, pas de m’emmerder dans un cocktail à la con ou chez tes amis.
  • — Fais-moi confiance ! Une robe sous le genou sans décolleté !
  • — Bon, OK ! J’espère que ça en vaut la peine.
  • — Je pense que oui.
  • — Allez, dis-m’en plus !
  • — Pas question, tu verras ce que je te réserve jeudi.


Jeudi, 17 h, on sonne à la porte. Claire, tenue professionnelle, toujours en tailleur chic. J’ai à peine le temps de fermer la porte qu’elle me saute au cou et m’embrasse sur la bouche.

Elle me prend la main et la place sur sa culotte.



Claire éclate de rire. Son regard pétille et elle me saute à nouveau au cou.



Durant le trajet, Claire s’amuse comme une folle, relève sa robe, me montre sa petite culotte noire et me touche l’entrejambe, découvre mon excitation tandis que je conduis.

Nous arrivons bientôt dans ce charmant club parisien, tenu par un couple des plus sympathiques. Des couples se trémoussent sur la piste de danse et nous buvons un verre.


Un couple vient s’asseoir près de nous. Michel, la cinquantaine bien conservée, un corps svelte et musclé… un peu comme moi. Hélène est une grande femme, un peu forte, avec une très grosse poitrine et des hanches un peu trop larges. Sa mini-jupe laisse découvrir des jambes agréables à regarder.


Michel colle Claire qui joue son rôle à merveille… Jambes serrées, bras croisés, visage fermé. La discussion s’engage et comme c’est de coutume dans un tel lieu, on échange sur ce que l’on souhaite. Ils aimeraient que nous échangions de partenaire. Claire veut juste regarder (mon œil !) et moi je suis là pour essayer ! Michel la rassure.



Hélène a déjà posé sa main sur mon pantalon. Elle palpe mon entrejambe et constate mon érection, plus provoquée par le rôle que joue Claire que par les charmes d’Hélène. Je lui donne le change en caressant sa culotte déjà humide. Michel a retroussé la robe de Claire désormais au-dessus du genou. Elle garde les jambes serrées, laissant hors d’atteinte sa petite culotte, les bras croisés. Michel ne semble pas insister et caresse ses cuisses.

J’ai passé la main dans la culotte d’Hélène et lui titille le clitoris. Elle me branle au-dessus du pantalon. Michel propose de passer dans une petite salle au sous-sol plus adaptée pour approfondir la découverte des corps. Claire refuse absolument. Michel explique qu’au moins Hélène et moi pourrions être plus à l’aise. Après plusieurs refus, elle se laisse « convaincre » au motif qu’elle assistera au spectacle et qu’elle ne fera que regarder.


Nous nous retrouvons dans une petite salle dont nous fermons la porte, signe que d’autres participants ou des voyeurs ne sont pas bienvenus.

Je m’installe sur un sofa en compagnie d’Hélène qui ôte son haut et son soutien-gorge. Elle a de très gros seins, assez chouettes, même s’ils ont perdu un peu de fermeté. Je largue mon pantalon et elle empoigne ma queue tandis que je lui pétris les seins. Claire joue son rôle à la perfection, visage crispé, jambes toujours serrées et bras croisés. Michel est assis sur un pouf non loin d’elle. Pour la décrisper, il retire son pantalon et son slip puis commence à se branler en nous regardant.

Il est un peu moins bien monté que moi, avec une jolie queue courbée vers le haut. Claire fait mine de regarder sa queue. J’ai fait sauter la culotte d’Hélène qui a bien écarté les cuisses. J’explore sa chatte rasée, ouverte et trempée. Comme c’est la règle dans un club libertin, Michel propose à Claire de lui caresser les seins. Elle me regarde comme pour recueillir mon assentiment.



Je ris intérieurement, la connaissant. Quelle actrice !

Voilà notre Michel qui lui pelote les seins par-dessus la robe. Hélène me prend en bouche en regardant le manège, tandis que je lui lèche la chatte. Michel propose à ma pseudo-épouse de le branler, sans succès. Quand il fait une tentative pour déboutonner sa robe, elle le repousse catégoriquement.


Voilà Michel dépité. Il débande. Je joue le rôle à fond et quitte Hélène pour rejoindre mon « épouse ». Je m’installe derrière elle et lui pelote les seins, déboutonnant sa robe qui tombe sur ses genoux. Sans attendre, je dégrafe son soutien-gorge. Ses gros seins ronds et ses tétons pointus sont tout dressés.

Michel bande à nouveau en me regardant pétrir ses tétons. Je fais un signe d’assentiment à Michel qui pose sa main sur ses seins, malgré un mouvement de recul bien simulé de Claire qui fait mine d’accepter cette caresse. Il apprécie leur fermeté et leur taille plus importante que ceux d’Hélène.

Claire se redresse comme pour mieux profiter du pétrissage de ses mamelles. Je glisse ma main sous sa robe et sa culotte, toute trempée. Je lui caresse la chatte.



Michel renchérit :




Je la place à quatre pattes, retrousse le bas de sa robe sur son dos. Hélène s’est jointe à nous et descend doucement sa culotte sur les genoux.



Elle lui écarte ses grandes lèvres devant Michel qui s’astique sans en perdre une miette. Quant à moi, je me suis assis à cheval sur le banc et ai placé mon sexe dans sa bouche pour qu’elle me pompe. Un clin d’œil excitant me confirme qu’elle goûte pleinement (sans jeu de mots !) le fait de jouer le rôle de la Sainte-Nitouche qui accepte du bout des lèvres de se faire initier au candaulisme.

Hélène retire la culotte qui gêne encore l’offrande totale de son cul. En compagnie de son mari, ils palpent et fouillent sa chatte poilue et son cul. Claire écarte et tend sa croupe. Je me retire de sa bouche car sa position lascive et les caresses de nos partenaires me rendent incapable de résister longtemps. Michel est aussi très excité :



Aussitôt, elle ferme ses cuisses et s’assied sur le banc. (quelle comédienne !)



Je lui retire sa robe et la place toute nue en levrette. Qu’elle est excitante dans cette position ! Je la pénètre d’un coup de reins sous les yeux attentifs de Michel et d’Hélène.

C’est vigoureux. Je la besogne sans retenue et mes cuisses claquent violemment contre ses fesses. Je la consomme littéralement. Je ne fais aucun effort pour durer et très rapidement mon sperme inonde son vagin. Je me retire et ma semence dégouline le long de ses cuisses.



Michel a passé un préservatif et s’assied sur la banquette. Il prend Claire par la main et la positionne sur ses cuisses. Elle vient s’empaler sur son sexe dressé. Hélène vient l’embrasser et caresser ses seins, tandis qu’elle bouge son bassin pour profiter du membre de Michel.

Je n’ai pas encore rebandé et je doigte Hélène. Connaissant le caractère coquin de ma belle-sœur, je propose à nos partenaires d’ouvrir la porte de notre alcôve privée.

Claire gémit et fait mine de ne pas faire attention quand trois hommes observent à la porte le spectacle : une femme splendide aux gros seins qui ballottent, qui monte et descend sur la queue de Michel en gémissant de plaisir. Je leur fais signe d’entrer. Ils s’approchent de Claire qui ne réagit plus à rien, toute à son effort de glisser sur la queue de son amant d’un soir.


L’un des trois est très bien membré, plus que moi, avec mes 20 cm. Sans préambule, il plaque la main sur le mont de Vénus de Claire qui se contente maintenant d’aller d’avant en arrière, faisant glisser la queue de Michel en elle. Il entreprend de masturber son clitoris tandis que les deux autres lui empoignent les seins. Est-ce ce qui fait éjaculer Michel dans un râle sonore ? Difficile à savoir.

Claire se retire et se met debout. Elle observe avec gourmandise le membre imposant du nouvel arrivant, ce dont s’aperçoit l’intéressé.



Elle joue son rôle jusqu’au bout. Le mec bien monté nous cherche du regard Michel et moi. J’acquiesce de la tête. Il prend Claire par la main et la conduit vers le canapé.



Claire s’installe à genoux sur la banquette du canapé. Elle nous présente sa croupe, sa vulve trempée de mouille et toute dilatée déjà par nos pénétrations. Elle regarde avec intérêt ce jeune homme musclé et dont le membre imposant est dressé de désir. Ce dernier l’enfonce sans ménagement jusqu’à la garde. Claire ne peut retenir un petit cri provoqué par la soudaineté et la virilité de la pénétration. Il lui délivre des coups de reins tellement puissants qu’elle crie à chaque coup de boutoir, lesquels l’obligent à s’appuyer contre le mur tant ils sont énergiques. Il lui donne de grandes claques sur ses fesses rebondies en prononçant des propos très crus : « Tu la sens ma grosse queue, salope ! » ; « Elle est bonne ta chatte, ma petite pute ! ».

Devant une telle saillie, il ne faut pas longtemps à Claire pour jouir bruyamment en criant un « Oh ! Oui ! » très sincère, pour le coup. Il se retire d’elle, ôte son préservatif, place sa queue entre les globes de ses fesses et lâche des jets puissants qui la maculent jusqu’au milieu du dos.


Claire est anéantie par le plaisir. Elle a eu son compte. Après avoir bu un petit verre pour nous remettre, nous sortons du club libertin et regagnons la voiture pour rentrer dans mon appartement. Elle est ravie de son escapade, me le dit et m’en remercie.

Au lit, j’ai encore envie d’elle, mais elle est vraiment usée par sa soirée.



Nous jouissons tous les deux en soixante-neuf.


Le lendemain matin, elle repart après un petit-déjeuner, non sans dire qu’elle reviendra bientôt en me lançant un clin d’œil plein de promesses.