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Temps de lecture estimé : 26 mn
24/03/22
Résumé:  Je découvre le passé insoupçonné de ma femme.
Critères:  fh fhh fhhh cérébral confession -couple
Auteur : Ericcontact            Envoi mini-message

Série : La reine du bal

Chapitre 01
La reine du bal

Séverine passe la tondeuse dans le jardin et je ne peux m’empêcher de la regarder. Non : la reluquer. Je ne sais toujours pas pourquoi elle m’a choisi, moi, comme mari. Mais depuis quinze, ans elle fait mon bonheur, et ma fierté aussi. Et accessoirement, j’ai un gazon sublime. Celui du jardin, hein ? Petits pervers.


Je ne suis pas ce qu’on peut appeler un beau gosse. Juste le gars lambda que vous croisez probablement tous les jours, ni grand, ni petit, ni gros, ni mince. Mes traits sont également assez bateau et ma profession n’est pas la plus exotique qui soit.

Là normalement j’ai perdu toutes les lectrices fans des tatoués qui passent leur vie en short dans les Marseillais. Tant pis…


Alors quand je regarde ma femme, j’ai toujours en tête ce titre de film des années 80 : Trop belle pour toi. Juste pour le titre, notre histoire d’amour n’ayant rien à voir, et heureusement je suis quand même moins moche que Depardieu.

Par contre Séverine peut largement rivaliser avec Carole Bouquet. Aussi grande que moi (ma femme, pas Carole, suivez quand même), élégante, avec des formes sublimes même après toutes ces années. Que dis-je, surtout après toutes ses années ! Ses hanches sont larges sous une taille toujours marquée malgré un petit ventre délicieux. Des seins ronds qui pendent magnifiquement quand elle ne met pas de soutien-gorge, trop rarement à mon grand regret. Et quand nue elle arpente notre salle de bain sur ses longues jambes un peu potelées, ses aréoles larges et roses me donnent à chaque fois un début d’érection instantanément. À 37 ans, j’en suis plutôt content.


On s’est rencontrés à la fac, à la bibliothèque. Elle était lumineuse et moi un rat de livres. Mais un an plus tard, je lui passai la bague au doigt. Il est des mystères qu’on accepte sans réfléchir.


Séverine est d’une douceur exquise, tant dans notre vie sociale que dans l’intimité. Nous nous aimons avec une tendresse qui ne flanche pas depuis ces années, et bien que le temps ait un peu calmé la fréquence de nos rapports, nous faisons encore souvent l’amour, dans notre chambre ou parfois l’été dans le jardin. Sa sensualité et ma relative vigueur de futur quadra s’accordent à merveille et aucune ombre ne vient ternir ce tableau.



***



Je ne suis pas ce qu’on peut appeler un boute-en-train, si bien que l’idée de ce barbecue chez nous pour recevoir le repas annuel de l’association des anciens élèves de notre fac ne m’enchantait pas plus que ça. Mais Séverine adore recevoir, et depuis quelques années où elle y allait, la plupart du temps sans moi, elle me disait que nous devrions le faire une fois au moins.

Eh bien, ça sera une chose de fait demain… et tant mieux.


Pour le moment, les invités arrivent peu à peu et quand la trentaine d’ex-étudiants sera là et aura commencé à écluser le stock de vin rosé de Provence, le spectacle pourra commencer.

Et vas-y que j’ai une plus grosse voiture, et tu as vu mes nouveaux implants mammaires

Rien de tel que regarder des fins de trentenaires, mélanger nostalgie et satisfaction de l’accomplissement personnel, le tout arrosé copieusement. Mais à vue de nez, je dirai qu’il y a eu quelques confusions dans la désignation des capitaines de soirée pour savoir qui ne boirait pas.


Tant pis pour eux, ils se débrouilleront et je mettrai (gentiment) tout le monde dehors de toute façon à 19 h. Mais en attendant, j’aide à porter plateaux de verrines aussi colorées que délicieuses (j’ai joyeusement escamoté celles au Serrano et à la figue pour mon compte personnel), et flûtes de champagnes en quinconce avec des ballons de rosé. La braise se fait peu à peu tandis que je garde un œil dessus, surtout si j’arrive à éviter les experts de barbecues : ce genre d’hommes qui ne peut s’empêcher de penser que sa technique est la meilleure. Ces gars-là ont deux doctorats : un en psychologie, l’autre en saucisses.


La musique passe par-dessus tout ça, survolant le brouhaha élégant des conversations. Occupé à droite et à gauche, je me rends compte que je n’ai pas croisé Séverine depuis un bon moment. Je quitte le barbecue en le laissant aux mains desdits experts : deux abrutis notoires (notoires pour moi surtout) mais apparemment compétents, et je retourne à la cuisine où je fais chou blanc. La maison est grande, le jardin aussi. J’en profite pour passer à la cave chercher quelques bouteilles.


C’est en remontant dans l’escalier que j’entends sa voix, à travers la lucarne ouverte qui donne sur le côté de la maison. Je me penche d’une marche plus haute et la vois alors en train de discuter avec deux connaissances de notre promotion.



Les deux gars rigolent en se tapant dans la main. Et de mon couloir sombre, je vois Séverine rougir.



Et en s’interrompant, elle passe ses deux mains sur les deux braguettes des hommes face à elle délicatement.



Je suis sur le cul, autant physiquement, puisque je n’ai pas pu faire autrement que m’asseoir, que mentalement.

De quoi parlaient-ils ? Et qu’est-ce que Séverine voulait dire par « Je ne suis plus comme ça » ?

Et elle leur touche l’entrejambe ?!

Je reste bloqué même après avoir remonté les bouteilles. Et dans un état mi-comateux, mi-automatique, je résiste à l’envie d’en parler à Séverine et l’après-midi se passe à dix mille lieues au-dessus de ma tête.



***




J’entends à peine Séverine sortir de la salle de bain et me rejoindre dans le lit, pourtant vêtue d’une sublime nuisette bleue.



Autant tirer d’un coup sur le sparadrap. Y’a quelques poils en moins mais ça dure pas longtemps.



Au moins, elle ne fait pas mine de ne pas savoir de quoi je parle. On a toujours été francs l’un envers l’autre. Tant mieux si ça continue.



Je marque un temps. Ouf, déjà elle a précisé avant moi. Je ne dis rien et la regarde tandis qu’elle se tourne vers moi dans le lit en s’enfonçant un peu dans les coussins.



Elle sourit.



Je ne dis rien et la laisse continuer son récit.



Elle prend une grande respiration, et se lance. Apparemment, ça a l’air costaud à sortir…



Elle me regarde de cet air un peu coupable de l’ado qui a fait une connerie.



Elle m’embrasse soudainement, mais tout doucement.



Elle se redresse un peu dans les coussins.



Elle se mord la lèvre inférieure.



Elle me demande ça d’un air presque triste ou apeuré.



Je lui souris et me rapproche de son visage, passant ma main sur sa joue.



On s’étreint en s’embrassant, et son bras se pose sur mon entrejambe. Et à sa grande surprise, ainsi que la mienne, je bande.



Séverine me sourit de cette façon qui m’annonce qu’elle est d’humeur coquine.



Elle se mord encore la lèvre inférieure. Dieu qu’elle est belle. Je dois sourire comme un crétin et je résiste à l’envie qui m’envahit pourtant. Je veux tout savoir.



Elle sourit de nouveau.



Sa main bouge à peine et elle m’empoigne à nouveau.



Elle se penche plus près de mon oreille.



Elle s’active de plus en plus, et soudain elle repousse la couette et vient sur moi, collant son visage près de mon bas-ventre. Elle me regarde dans les yeux, avec une étincelle que je n’avais jamais vue.



Sans me quitter des yeux, elle avale alors mon sexe et le pompe littéralement, puis ressort et lèche lubriquement toute la hampe jusqu’au gland, pour recommencer encore. Et de toutes les fellations qu’elle m’a prodiguées au cours de ces années, celle-ci les surpasse toutes.

Elle s’arrête en continuant de lécher par petites touches le gland.



Je me redresse alors, l’attrape par la taille et la bascule sur le dos, me retrouvant sur elle entre ses cuisses.



Elle attrape ses genoux, remonte alors entièrement ses cuisses jusqu’à sa poitrine et sa nuisette se relève avec. Sa si jolie toison brune s’offre alors à moi, entourant ses lèvres délicates et si longues que j’adore lécher longuement. La position obscène à souhait et surtout son regard tout aussi lubrique me terrassent d’envie.




***



Il y a comme un crépitement dans son regard. Assise en face de moi sur l’îlot central, Séverine se cacherait presque derrière son mug, s’il n’y avait ses deux yeux au-dessus comme deux braises brûlantes.



Elle sourit, espiègle.



Elle pouffe toujours derrière sa tasse. Et je fonce au travail.



***




  • — T’as déjà envoyé des sextos, toi ?
  • — Non, le temps que ça soit inventé, on était déjà ensemble ;-)
  • — MDR. J’ai l’impression d’être une vieille conne !
  • — S’envoyer des sextos à presque quarante ans moi je trouve que ça fait plutôt jeune, non ?
  • — C’est pas faux, mon beau.


Je réfléchis une seconde mais là, c’est une image qui arrive.

La vue est prise de sous son bureau, ses jambes sont légèrement ouvertes, sa jupe relevée, et… aucun string à l’horizon pour me barrer la vue de sa splendide toison.



  • — C’est bon, je crois que j’ai compris comment ça marche.
  • — Waouh, ma belle, j’adore…


Une autre arrive, et cette fois elle a franchement écarté ses cuisses et sa main vient entrouvrir ses magnifiques lèvres.

La bosse qui se forme dans mon pantalon me donne vaguement une idée de la réponse à donner. Je me lève et vais fermer à clé ma porte, retourne à mon siège et essaye tant bien que mal de prendre mon sexe en photo, en évitant le cliché horrible du pantalon baissé sur les genoux, et en contractant aussi mes abdos, à y être. Je clique sur envoi.



  • — Miam… hâte de l’avoir dans la bouche celle-là ce soir…


Je suis stupéfait de sa réponse si explicite. J’ai l’impression d’avoir une nouvelle femme, la même, mais comme si on avait ajouté tous mes fantasmes en plus comme options.



  • — Apéro dînatoire au salon ce soir ? suggéré-je alors.
  • — Tu lis dans mes pensées. Que dois-je porter pour l’occasion ?


Je ne réfléchis qu’une demi-seconde, mais essaye de tenter aussi le mode explicite.



  • — Ta robe de laine grise, celle sans manche à col montant. Mais pieds nus, et aucun sous-vêtement. Je te veux « chatte à l’air », ma belle.
  • — Hi hi… Mmmhh ! fait-elle en ajoutant un petit cœur.
  • — Et moi ?
  • — Je te veux nu dans le grand peignoir qu’on a piqué à l’hôtel à nos dernières vacances.
  • — Intéressant… une envie réminiscence ?
  • — Non mon amour, je veux créer de nouveaux souvenirs en t’en racontant des vieux ;-)
  • — Alors hâte d’être à ce soir. Je t’aime.
  • — Moi aussi. Je t’aime mon étalon.


Mon étalon ! Deux mots, et ma journée a été ensoleillée, mais foutrement trop longue.



***



Je rentre en général une heure avant Séverine. Parfait pour passer prendre plein de petites bouchées, verrines et autres créations de notre petit traiteur préféré. Sans oublier celles au Serrano et figues de l’autre jour, qui étaient une vraie dinguerie.


Elle arrive alors que je finis d’installer notre petit apéro dînatoire au salon. J’ai à peine le temps d’entendre claquer la porte d’entrée qu’elle est déjà partie à la salle de bain, passant en courant d’air. Parfait pour aérer un Saint-Joseph qu’elle adore. Rouge, bien sûr. Les blancs sont très bons, que les vignerons des 26 communes me pardonnent, mais les rouges… Aaahnnn ! !



On n’a jamais eu de petits noms officiels, en fait. On les utilise tous, et ça crée une complicité marrante et même des effets de mode parfois selon le choix du moment. Ma croûte et Rocco par exemple n’ont pas duré longtemps. Mais on a bien rigolé.

J’entends l’eau couler. Irrésistible. Alors je ne résiste pas bien sûr et je vais jeter un œil à la porte qu’elle laisse toujours entrouverte.

Je n’avais jamais espionné Séverine, encore moins sous la douche. Évidemment, je l’avais vue nue (au bout de quinze ans, ça aurait été bizarre), se douchant pendant que je me brossais les dents ou s’habillant dans notre dressing. Mais espionner donne une tout autre impression à la même vision.


Et là, elle passe ses mains dans la mousse du gel douche sur tout son corps. Si j’étais un auteur, je pourrais écrire tout un récit juste sur ma femme en train de se doucher, détaillant la main lente qui passe sur sa peau, faisant un léger pli juste sur le bord d’attaque des doigts, puis s’arrondissant sous ses seins majestueux pour les remonter encore plus lentement, jusqu’à ce que les mamelons passés ils retombent lourdement et qu’elle recommence encore.

Tout compte fait, je pourrai écrire un récit entier sur ses seins. Soyons honnêtes à la fin.

Je m’éclipse et vais terminer ma mise en place.



***




Séverine ne parle pas de moi ou de mon pénis, malheureusement.



On éclate de rire de sa vanne.



Elle rit et moi aussi.



On en revient à ses confessions. Le dîner était délicieux, la bouteille pas encore terminée, et on se détend en amoureux dans le profond canapé. Ces découvertes sont à la fois… Hmm, comment dire : jalousantes et en même temps excitantes. Mais pas autant que sa robe : je l’avais déjà vue la porter, parfois l’hiver, sur des collants noirs et dans des bottines fourrées. Avec en général un gilet ou un cardigan par-dessus. Mais là… ses jambes magnifiquement blanches contrastent en sortant du tissage fin de laine grise à mi-cuisses, et le col légèrement montant souligne avec un érotisme certain ses épaules et ses bras nus.



Assis mon verre à la main dans cet énorme peignoir si épais qu’on avait flashé dessus lors de nos dernières vacances, je repense encore à ce stress quand on était parti, celui de se faire prendre avec. On aurait pu le payer, mais l’adrénaline de voler quelque chose nous avait trop tentés, et fait rire aussi.

C’est un peu cette même adrénaline qui m’envahit alors qu’elle s’apprête à me confier son passé… déluré.



Je souris du jeu de mots mais reste attentif à la suite.



Elle est élégamment et profondément adossée à l’accoudoir, légèrement penchée en arrière, son verre à la main sur lequel elle promène son index le long du bord. Délicatement, elle allonge une jambe et son pied nu vient se poser dans les replis du gros peignoir qu’elle a choisi de me faire porter, pile sur… la bosse qui s’y est formée.



Tout en continuant son délicieux mouvement du pied, elle relève son autre jambe et vient tout aussi délicatement la poser sur la table basse, ce qui a pour corollaire immédiat de retrousser sa robe sous ses fesses et Séverine se retrouve ainsi grande ouverte face à moi, exposant d’une manière absolument lubrique son intimité… totalement glabre.

Elle passe sa main dessus, me dévoilant sa surprise avec un sourire :



Je ne la laisse pas finir, prenant ses paroles au mot, et je me jette tout simplement entre ses cuisses. Ma bouche atteint ses lèvres et leur contact si doux se mélange à ce goût que j’aime tant.



Je la butine, la mange, puis me mets à la dévorer sans répit. Son sexe lisse m’excite et emporte ma langue et ma bouche entière au son de ses gémissements, jusqu’à ce qu’au bout d’un moment je relève la tête, venant glisser deux doigts en elle tandis que mon pouce tourne sur son clitoris très dur.



Elle se tend d’un coup, s’arc-boutant en arrière et reste comme ça, figée dans un long gémissement.

Je reste un moment immobile, la laissant savourer son orgasme.


Elle se détend un peu, et j’en fais autant en m’adossant sur l’autre accoudoir.



Séverine se redresse un peu et me regarde intensément, puis m’embrasse langoureusement.



Elle se lève tout en marchant vers les escaliers dans une contorsion fabuleuse, elle retire et jette au loin la robe qui la vêtait.

Je vois disparaître dans les dernières marches ses fesses ondulantes. Et un court instant après, j’entends sa voix avant de l’apercevoir redescendre.



Elle apparaît, féline, nue et sublime. Ses gros seins pendent avec gourmandise et sa démarche absolument érotique souligne ses formes ô combien phénoménales ! Et ses bras cachent quelque chose dans son dos.



Elle se rassoit à sa place, les mains toujours dans le dos.



Elle ramène ses bras et me montre… un gode. Très réaliste, tout y est : queue, couilles et… une ventouse. Mais ce qui me surprend le plus c’est sa taille. Il est bien plus gros que moi.



Elle se mord la lèvre inférieure, j’adore ce tic sublime et elle pose le gode sur la table basse. Elle vient alors s’asseoir à califourchon sur moi, le peignoir mi-ouvert depuis tout à l’heure laissant s’échapper mon sexe toujours franchement dressé. Assise ainsi, son pubis contre ma tige, elle ondule doucement et vient m’embrasser longuement. Elle me murmure ensuite à l’oreille :



Je ne mentionne pas la différence notable de taille, surtout qu’elle m’agrippe avec sa main.



Je m’arrête et la regarde. Elle sourit, et descend à genoux sur le parquet. Elle attrape un coussin, le glisse sur ses genoux. Et pendant toute cette manœuvre, elle ne lâche pas mon sexe de sa main. Elle se penche et lèche le gland suavement, recommençant encore en salivant lubriquement. Puis elle engloutit alors lentement et fait quelques allers-retours, et relève ensuite sa tête.



Elle se tourne, attrape le gode et le colle au sol, juste entre ses cuisses.



Elle m’embouche de nouveau et je la vois glisser sa main entre ses jambes, fermer les yeux et autour de mon sexe je sens littéralement son gémissement.



Elle commence à monter et descendre sur l’engin, en même temps que sa bouche va et vient sur moi.



Elle lèche avidement la tige, son autre main réapparaît et attrape mes bourses en même temps.



Elle me reprend un instant, gland et tige jusqu’à sa gorge et remonte, recommence, c’est délicieux et si puissant. Elle ondule de plus en plus fort sur le gode au sol, ses seins balançant au même rythme.



Séverine s’interrompt, le gland juste au bord de ses lèvres et sa main me branle bien plus vite. Elle lèche à nouveau tout le long et me regarde.



L’image est crue et si pornographique. Elle n’arrête pas d’osciller de plus en plus fort ses hanches.



Elle monte et descend maintenant, s’empalant en même temps qu’elle gobe à nouveau ma tige.



Et à l’unisson de son orgasme, je me répands dans sa bouche et Séverine retombe d’un coup, entièrement empalée sur le gode au sol, mon sexe finissant de se vider entre ses lèvres.



***



Je pose sa tasse de café sur la table de nuit, juste avant de partir travailler. Elle ouvre les yeux, allongée divinement sur le côté, et me regarde si doucement.



Elle s’approche de mon oreille et murmure :