n° 20851 | Fiche technique | 9817 caractères | 9817Temps de lecture estimé : 6 mn | 02/04/22 |
Résumé: Une femme accompagne son époux dans un échange, mais ne peut oublier son amant. | ||||
Critères: 2couples hplusag fplusag inconnu sauna cunnilingu préservati pénétratio fsodo échange -libercoup | ||||
Auteur : Celle Hymen |
Francine est une femme mince qui porte une belle quarantaine, grande, aux belles jambes galbées et aux seins naturellement encore fermes et bien formés. Après avoir connu une prime jeunesse tumultueuse, elle a, il y a quelques années, épousé Jo, un bel homme aimable, au corps sportif et qui a su se montrer un amant fort agréable, mais qui, surtout, avec une grande générosité, sait assurer à son épouse une très confortable aisance financière. Reconnaissante des efforts de son mari pour satisfaire ses moindres besoins, Francine, en retour, accepte de satisfaire ses fantasmes et de faire ce que Jo lui demande, tout ce qu’il lui demande, en tâchant, au passage (pourquoi se priver ?), d’y trouver son compte.
Un homme parfait, dit-elle…
En ce moment, par exemple, elle est couchée sur le dos, sur le matelas d’une cabine d’un sauna « mixte », les jambes en l’air et les talons sur les fesses de Cyrille, un homme jeune et charmant. Allongé sur elle, il est en train de bien remuer sa queue dans sa chatte, et elle remercie son solide enthousiasme par de nombreux gémissements, qu’elle remplacera, forcément, par des cris (figures obligatoires, sincères ou pas…) quand il grognera avant de cracher son plaisir dans son préservatif.
Pendant ce temps, à côté d’eux, son cher époux, agenouillé derrière Bénédicte, la délicieuse épouse du charmant baiseur, à quatre pattes, lui inflige une vigoureuse sodomie, en ponctuant les mouvements de sa bite entre ses fesses de mots qu’elle ne répétera sûrement pas à son confesseur (quoique… si le confesseur…) et que « rigoureusement ma mère m’a défendu d’nommer ici ».
Faut dire que, l’enculage, Jo adore, mais Francine, ce n’est pas trop son truc et elle se montre souvent quelque peu réticente à cette pas si originale pratique, surtout quand le sexe des candidats impétrants affiche de trop belles dimensions. Elle essaie, le plus souvent, de se l’épargner, quitte à orienter son seigneur et maître, ou son amant du moment, vers d’autres culs que le sien.
Quand, après être passés par le vestiaire pour revêtir leurs « peignoirs-tenues de combat », Francine et Jo sont entrés dans le sauna, Jo avait jeté un regard vers les clients déjà installés au bar et son œil averti avait immédiatement repéré, au comptoir, le jeune couple, et senti que la femme était manifestement mal à l’aise et peu au courant des mœurs et usages des tribus habituelles. Il a bien vu que le mari était, de toute évidence, à l’initiative de leur présence et a, sans tarder, envoyé Francine en ambassadrice pour s’assurer que ces néophytes n’allaient pas être « séduits » par d’autres plus « expérimentés »…
Francine s’est donc dirigée vers Cyrille et Bénédicte, les a salués, puis a, d’autorité, posé son verre sur leur table et s’est assise à côté du mari, en acceptant « innocemment » les regards qu’il jetait à ses seins, bien visibles dans l’échancrure de son peignoir (lui au moins était à sa botte). Elle amadoua Bénédicte en lui parlant gentiment, calmement, de l’endroit, qu’elle présenta comme un lieu de liberté et de libertés, puis ferra Cyrille en se penchant au-dessus de la table pour prendre son verre, exposant entièrement ses deux beaux seins à ses yeux gourmands, et en appuyant sa main sur sa cuisse, très haut, sans omettre de lui adresser le plus coquin sourire.
Sans se rendre compte des caresses de Francine sur la cuisse de son mari, Bénédicte commença à se détendre et à parler, de tout et de rien au début, puis de son époux, de leur entente, affective et sexuelle, et de leurs attentes… D’un geste discret, Francine signifia à Jo que les défenses de la place étaient affaiblies et qu’il pouvait venir conclure la « prise en main ».
Quand il arriva, Jo s’installa d’autorité à côté de la jeune dame, tout souriant, et demanda à Francine de lui présenter ses nouveaux amis. Le contact verbal établi, il se montra disert, rassurant, jouant de sa belle voix grave, et tenta d’établir un premier contact plus physique entre ses cuisses et celles de Bénédicte. Dans un premier temps, elle refusa le contact en retirant ses jolies jambes, mais Jo raconta quelques piquantes, mais aimables, anecdotes qui échauffèrent les sens de la belle et sa deuxième tentative de rapprochement fut récompensée quand elle ne refusa plus que sa cuisse entre en contact avec celle de Jo. À partir de ce moment, les choses allèrent en s’améliorant, une main de Jo se glissa, par inadvertance, autour de la taille de Bénédicte, puis remonta sur ses épaules, pour se glisser, non moins négligemment, dans l’échancrure de son peignoir pour effleurer légèrement ses seins, puis s’en emparer délicatement, et les peloter d’un air distrait, pendant que Bénédicte lui signifiait son accord par un (encore) timide sourire.
Pendant ce temps, Francine, de sa main insinuée sous le pagne de Cyrille, lui pétrissait la queue, de façon tout aussi distraite, puis elle attaqua frontalement, en attirant sa tête vers sa poitrine pour qu’il puisse fourrer sa bouche sur ses seins, qu’il se mit à mordiller, puis à sucer, avec avidité. Sur un clin d’œil de Jo, elle suggéra à Cyrille d’aller ailleurs. Il jeta un œil inquiet sur son épouse, mais sembla se rasséréner en l’entendant gémir, maintenant que Jo avait introduit sa main entre les cuisses de la belle, et les nouveaux complices se dirigèrent vers des lieux plus discrets, la main de messieurs autour des épaules des dames, avec un penchant vers leurs seins, et la main des dames autour de la taille des messieurs, avec une attirance certaine pour leur sexe bandé.
Parvenue au lieu désiré où se dérouleraient les corps-à-corps, Francine s’allongea sur le dos, en écartant bien les cuisses, pour inviter Cyrille à venir embrasser et lui lécher la chatte, pendant que ses mains lui pétrissaient les seins, tandis que Jo doigtait, puis suçotait délicatement le clitoris de Bénédicte (avec Francine, il avait été à bonne école !). Bénédicte était maintenant complètement décomplexée par les caresses de Jo et la vue de celles que son mari prodiguait généreusement à Francine. Quand Francine commença à remercier Cyrille par quelques gémissements, Bénédicte releva le défi et se mit à gémir elle aussi, un peu moins discrètement que la maîtresse de son mari, comme pour montrer qu’elle assumait une pleine et entière adhésion à ce qui était en train de se passer.
Quand il ne put plus résister, Cyrille s’allongea sur Francine et, tout naturellement, sa queue trouva très facilement l’entrée, trempée, de la chatte, et s’y engouffra, pour y rester d’abord quelques secondes immobile, puis commencer à s’y mouvoir avec beaucoup de délicatesse, bien loin de l’invasion à la hussarde à laquelle Francine s’attendait. Elle plaça ses bras derrière la nuque de son amant du jour et releva ses jambes dans son dos, afin de l’encourager à aller au plus profond de son ventre. Profitant de l’engagement de la partie de « bête à deux dos » de leurs conjoints, Jo retourna Bénédicte pour la mettre sur le ventre, lui fit relever les fesses pour se mettre à quatre pattes et commença à frotter sa queue contre son sexe, tout en lui doigtant doucement l’anus d’un doigt recouvert de lubrifiant.
Quand elle commença à feuler de plaisir, il détourna son dard de la destination qui s’ouvrait à lui et entreprit de sodomiser Bénédicte qui, surprise, l’eut-elle voulu, n’eut pas le loisir de protester. Sans doute la pénétration de son cul ne lui était-elle pas inconnue, mais surtout, Jo était expert en enculage et la douce Bénédicte n’eut d’autre réaction que de pousser des gémissements d’approbation. Quand Jo commença à émettre de grossières obscénités, elle ne rechigna pas longtemps avant de lui répondre sur le même ton. En entendant sa douce épouse proférer de tels mots, Cyrille marqua un temps d’arrêt dans sa cavalcade, mais Francine s’empressa de le ramener à la raison en lui éperonnant les fesses de ses talons, tout en l’encourageant de vive voix, avec des mots similaires à ceux que prononçaient leurs conjoints adultères.
Les choses suivirent leur cours, Bénédicte gémissant et criant, les deux hommes ahanant jusqu’au plaisir, signalé par un rugissement, curieusement simultané…
Mais, malgré la douceur des caresses de Cyrille et la délicatesse des mouvements de son sexe en elle, Francine restait, au fond d’elle-même, indifférente, parce qu’elle ne pouvait s’empêcher de penser à celui qui lui manquait, Léo, son amant, son amant de cœur et de corps. Dès qu’il la regarde, elle mouille, quand il la caresse, elle fond et quand il la baise, sa chatte déverse de la lave brûlante sur le siège de sa voiture. Quand il la baise, Francine ne crie pas, elle braille, elle hurle, elle le supplie, en même temps, d’arrêter et de continuer, d’accélérer, ses mouvements dans son ventre, encore plus fort. Quand il la baise, ses orgasmes sont énormes, multiples, alors qu’avec son mari ou un autre homme, ils sont moins nombreux et de moindre qualité.
Alors, pour ne pas « perdre sa journée », Francine se met à penser fortement à Léo et, s’aidant de ses doigts, elle jouit à mon tour en mêlant ses cris à ceux des trois autres protagonistes de cette « scène de ménages échangistes ».
Post coïtum, animal triste ?