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n° 20876Fiche technique19220 caractères19220
Temps de lecture estimé : 12 mn
16/04/22
Résumé:  Un mari imagine son épouse dans quatre situations différentes, mais toutes ont trait à son candaulisme.
Critères:  fh fhh extracon cocus candaul plage caférestau voiture fsoumise exhib fmast hmast caresses pénétratio tutu confession -candaul -bourge
Auteur : Général Hiver  (Quatre fantasmes écrits par un mari pour sa femme)      
Quatre fantasmes pour toi, mon amour !




Fantasme 1


Je ne sais pourquoi, mais j’ai le fantasme de te regarder faire l’amour avec un autre homme. Je te l’ai déjà dit : voir ton désir monter crescendo, sentir toutes les digues rompre en toi, te sentir m’oublier et ne plus prêter attention à moi, te voir devenir chienne, louve, renarde entreprenante et prendre le contrôle de sa longue bite de tes doigts délicats… j’ai envie de te voir la caresser, la lécher, te voir l’avaler et être mouillée de désir. J’ai envie de le voir poser ses mains sur ton corps, sur ton sexe, le saisir, le frotter, englober tes seins, t’arracher des soupirs de plaisir. J’ai envie de te voir lui demander de te pénétrer au moment où ton excitation sera telle que tu ne pourras plus rien lui refuser… Le voir rentrer sa longue queue en toi jusqu’à la garde et arriver, toison contre toison. La voir coulisser, ressortir luisante de ton nectar, et repartir à l’assaut de ton corps.


T’entendre souffler plus lourdement de plaisir chaque fois qu’il entre en toi. Te voir onduler ton bassin pour amplifier ses mouvements, aller à sa rencontre. Te voir jouir comme jamais sous les coups de bite d’un autre homme, d’un inconnu, comme je n’ai jamais su le faire. L’entendre rugir lorsqu’il jouit enfin et délivre au fond de tes chaires sa semence. La voir s’échapper de ton sexe… le moment serait alors venu pour moi de reprendre possession de mon bien. À mon tour t’investir et, de ma queue, chasser hors de toi ce sperme étranger, te purifier et, ma tâche accomplie, t’ensemencer une seconde fois. Te serrer dans mes bras tendrement, t’embrasser, te caresser, te sentir comblée physiquement… Je m’absenterai quelques instants pour me rafraîchir, et j’entendrai de la chambre monter à nouveau des gémissements, il serait en train de te prendre dans la douche, vous remettriez ça, tu ne serais plus qu’un corps en jouissance…


Je n’explique pas cette excitation à cela, si ce n’est que c’est un fantasme apparemment très courant chez beaucoup d’hommes…




Fantasme 2


Je fantasme aussi à l’idée de t’imaginer seule dans la nature. Tu te délasses au soleil, peut-être dans une clairière, au bord d’une rivière ou à la plage. Tu es seule, un regard circulaire pour t’en assurer et tu te dis que c’est peut-être le moment de te donner du plaisir. Alors ta main descend vers ton bas de maillot de bain, tes doigts passent sur ton pubis pour atteindre leur but : ton clitoris. Tu te sens incroyablement bien et relaxée, lentement mais sûrement, le plaisir monte. Déjà, tu sais que tu iras au terme de cette masturbation, le point de non-retour est atteint. Alors tu soulèves ton bassin pour descendre ton maillot à tes pieds. Mais peu de temps après, tu as la surprise de voir deux hommes t’observer à distance ! Contrairement à ce que tu aurais imaginé faire, tu ne t’interromps nullement, tu es sur ta lancée et ces types n’ont pas l’air agressifs, complètement inoffensifs même. Tu écartes alors le compas de tes jambes pour leur montrer que tu es maître de la situation, tes doigts continuent leur danse.


Ils se sont approchés de toi maintenant. Ils se tiennent devant toi, tu les détailles, leurs sexes sont sortis, ils se dressent effrontément et tu aimes ça. Tu aimes l’effet que tu leur fais ! Ils bandent de désir pour toi. Ils semblent avoir bien compris la règle implicite : ils ne te touchent pas, ils ne te parlent même pas, mais ils plongent leur regard en toi… c’est ainsi qu’ils pénètrent ton intimité. Tu te délectes de les voir astiquer leur membre imposant, tu n’en mouilles que plus. Le premier homme se rapproche et se tend, il va éjaculer, tu ne veux rien perdre du spectacle. Il râle, son sperme s’écoule lentement, mais abondamment de sa bite et tombe sur le sable chaud. Tu attends que le deuxième finisse pour te lâcher et leur offrir ton orgasme. Il se rapproche encore et se tient juste devant toi. Il va gicler et tu arrêtes alors de te caresser en mettant tes mains sur tes genoux comme pour mieux les écarter. Ta chatte lui est littéralement offerte. Il éjacule enfin, de puissants jets de sperme viennent s’écraser sur le bas de ton ventre, sur ton pubis, les derniers finissent sur tes lèvres écartées.


Son sperme chaud est brûlant sur ta peau. Cela te semble durer une éternité tant il y en a. Tu n’en peux plus, tu tortures ton clitoris et jouis enfin face à eux, tu exploses en un râle assez rauque… c’est fini. Ils t’admirent une dernière fois essoufflée, pantelante, puis ils s’éloignent. Tu restes un certain temps à reprendre ton souffle et tes esprits… et si tu t’étais offerte tout entière à eux, qui l’aurait su ? Tu es saisie de regrets… M’aurais-tu raconté cette séance ?




Fantasme 3


Te mettre au défi de branler un inconnu, je ne sais où : un bar, dans la rue, sur un parking que sais-je ? Mais t’observer partir à l’assaut, l’entreprendre, lui faire comprendre, l’attirer dans un recoin obscur, ouvrir son pantalon, en extraire sa bite et commencer à aller et venir dessus avec ta main. Le tout, le plus discrètement du monde, seul moi, à distance, je vous observerais. Il passerait alors une main sous ta robe pour agripper ta culotte et s’y introduire. Du dessus de sa main, il flatterait ton pubis, et de ses doigts, il trouverait ton clitoris, avant de les plonger dans ton vagin… À ce moment, je te verrais te raidir soudainement de plaisir. Vous vous masturberiez mutuellement au milieu des gens pendant de longues minutes… ta main sur sa bite chaude.


Tu ne connais même pas son nom. Tu sens que ça monte, mais tu veux le faire gicler en premier. Il vient… ou, cas imprévu, au bout de deux minutes il te prend par la main et t’emmène vers les toilettes. Merde, ce n’était pas prévu comme ça… tu as le ventre en feu, tu n’envisages même pas de décliner. Tant pis pour ton mari, il l’a bien cherché après tout avec ses fantasmes à la con ! Il te fait rentrer dans une cabine. Évidemment, tu sais tout ce qui va se passer : tu es appuyée face au mur, il relève ta robe sur ton dos et écarte ta culotte sur le côté, sans même l’enlever. Il présente sa queue, tu sens son gland chaud au contact de tes lèvres et il pousse… il les écarte et entre en toi d’un coup. Tu souffles un grand coup de plaisir. Tu aimes sentir ses mains chaudes et fortes te tenir par tes hanches. Tu es dans un état second. Son angle dans ta chatte est parfait, il commence à te cadencer, fermement, imperceptiblement, il accélère.


Je suis dans la cabine d’à côté, j’écoute. Vous ne parlez pas, je t’entends souffler, gémir de plus en plus fort. Tu sens que tu vas jouir, ça vient… Une vague te submerge, suivie d’un tremblement et de spasmes que tu n’avais jamais connus auparavant. Comme tu viens de jouir, il décide qu’il est temps pour lui et se décharge enfin longuement… et s’écroule dans un râle sur ton dos puis se retire et te quitte, non sans avoir déposé un baiser sur ton épaule. La tête entre tes jambes, tu vois son sperme qui s’échappe de toi, à peine portée par des jambes de coton. Tu me retrouves au bar, tu as bien mérité le Sex on the Beach que je t’ai commandé… quelle aventure ! Drôle de fantasme…




Fantasme 4


Ce soir-là, nous rentrons d’un dîner chez des amis qui habitent quasiment en face du Panthéon. L’appartement est magnifique, les convives nous sont bien connus, le dîner est chic et guindé. Tu as mis une belle robe noire particulièrement élégante, sur laquelle ton collier de turquoises ressort magnifiquement. Tu es belle, tout simplement. Contre toute attente, le dîner est finalement assez agréable et léger, nous en ressortons égayés par l’alcool, à la recherche d’un taxi. L’air de l’été est chaud, nous sommes bien et j’ai déjà envie de toi. Je te le dis… et j’ajoute que j’aimerais te voir comme dans Crash, tu comprends immédiatement ce que je veux dire. Pas besoin de m’étendre, mais tu désapprouves cette idée plus ou moins scandaleuse.


Nous arrêtons finalement un taxi, une vieille guimbarde, un break Peugeot noir. Nous montons et je t’embrasse directement à l’arrière de la voiture. Rapide coup d’œil du chauffeur.

Je te souffle à l’oreille qu’on y va, qu’on se lance !



Jamais tu n’aurais imaginé ce genre de choses, c’est moi qui te bassine avec cela, toi mon épouse si sage. Mais ton regard a fini par s’allumer, tes yeux brillent enfin et tu rentres dans mon jeu de titiller un pauvre chauffeur de taxi.

Tu me dis alors assez nettement :



Tu t’es enfin lancée !


Nous attendons la réaction du chauffeur, il regarde dans son rétroviseur, il n’est pas sûr de ce qu’il a entendu… tu répètes plus lascivement que quiconque se présenterait là pourrait te posséder sur l’instant tellement tu as envie, et tu ajoutes à la cantonade à l’intention du chauffeur :



Le mot est on ne peut plus explicite. Il ralentit et s’arrête… nos cœurs battent fort. Il ne parle pas, va-t-il nous demander de descendre tant il est évident que nous nous moquons de lui ?


Il est âgé, mal rasé, un peu bedonnant et pas beaucoup de cheveux non plus, pas le modèle du sex-symbol ! Mais il n’a pas l’air méchant… Il nous dit :



Tu hésites, ce qui n’était qu’un jeu risque de devenir une réalité dont il pourra être difficile de s’extirper… par défi, tu lui réponds :



Il opine de la tête, tu ne comprends simplement pas qu’un type comme lui n’a quasiment aucune chance de toucher une femme du monde comme toi, et qu’il ne va certainement pas laisser passer une telle opportunité. Je dis alors à la volée :



Michel se tait et continue de rouler, le silence se fait pesant. Je te serre la main, tu sembles soulagée que rien ne se passe.

Il finit par ralentir et gare sa voiture sur une place de livraisons dans le 6e arrondissement, désertée à cette heure-là. Quelques secondes de silence encore, il a les mains sur le volant, il finit par me dire :



Je sens ton cœur se serrer d’un coup. Tu paniques intérieurement, car tu ne sais absolument pas ce qui va se passer, si tu vas réussir à le limiter à quelques caresses échangées. Aller plus loin te paraît inconcevable, à toi, la femme sage et prude.


Dans un silence de mort, je descends et prends sa place. Tu es à l’arrière à droite, c’est donc la porte de gauche qu’il ouvre pour s’asseoir à côté de toi. Il sent le tabac et le café.


Je ne démarre pas encore et t’observe dans le rétroviseur. Tu es complètement en arrière comme pour te tenir à distance de lui… Quant à lui, il est mutique et te détaille de bas en haut. Il te dévisage. L’habitacle de la voiture est relativement sombre. Il se demande par où et comment commencer. Il finit par poser sa grosse main sur ta cuisse droite, il la presse assez fortement et la remonte vers le haut. Tu ne dis rien, tu es comme sidérée. Assez maladroitement, ce sont tes seins qu’il vient maintenant caresser, et c’est à ce moment que je redémarre, je roule au pas. Je regarde plus souvent dans le rétroviseur que devant moi…

Pendant de longues secondes, voire quelques minutes, il se contente de peloter tes jambes et tes seins, comme interdit d’aller plus loin.


Probablement que tu espérais que je conduirais directement chez nous pour abréger l’expérience, mais je commence à prendre quelques détours dans Paris pour ne pas arriver trop vite. Ce qui vient, je ne le vois pas, mais le devine immédiatement au souffle que tu as lâché : il a enfin plongé sa main dans ton entrejambe, à la rencontre de ta petite culotte. Nous y sommes. Je sais qu’à partir de là, tout peut se passer.


Tu ne dis rien, tu te tiens le plus en arrière possible de lui, mais il est là et commence à t’entreprendre de ses gros doigts. Il respire bruyamment, il grommelle presque. Il en est presque repoussant à vrai dire. Il s’est introduit derrière le tissu de ta culotte, rempart dérisoire. J’imagine qu’il doit passer ses doigts dans ton pubis puis trouver ta fente. Je l’imagine bien constater combien tu es humide et s’enhardir. À vrai dire, je ne vois quasiment rien… juste toi, repoussée en arrière, et ce vieil homme frustre, penché sur toi, l’air besogneux. Je guette les expressions de ton visage, où se mêlent le dégoût de la situation, le plaisir, et l’excitation qui commence à s’immiscer dans ton esprit.


Tu commences à gémir et je devine qu’il malaxe ta chatte sans le moindre ménagement. Je prends à droite sur pont Alexandre III lorsque j’entends le cliquetis de la ceinture qu’il défait, tu redresses alors la tête pour le voir ouvrir son pantalon et sortir sa queue. Une queue de vieil homme gros et moche, à quoi peut-elle ressembler ? Dans la pénombre, je ne distingue rien. Tu me diras plus tard qu’elle était courte, mais épaisse, un gros gland, que tu l’as à peine vue.


Je ne peux pas ne pas dire que je bande déjà fortement, je conduis une voiture à l’arrière de laquelle tu es sur le point de te faire sauter par un vieux dégueulasse. Je te regarde dans le rétroviseur, le cœur serré quand même : tu es plus mobile, plus expressive aussi… tu commences à te détendre et te relâcher. Les caresses du chauffeur te font toujours gémir davantage et je constate à un moment que ta main est allée se poser sur sa bite et commence à le branler.


Le vieux se redresse et te contemple. Sa bite pointe vers toi dans le noir, tu ne la distingues que par l’alternance de la lumière des lampadaires. Brutalement, il écarte tes jambes en grand, tu devines qu’il veut enlever ta culotte, tu t’apprêtes à te soulever pour la faire glisser, mais il arrive à la déchirer d’un coup sur le côté et l’enlève rapidement. Le compas de tes jambes est ouvert, ta chatte est mouillée par cette situation dégradante et très excitante à la fois. Elle est exposée à sa vue. Tu te demandes comment le contenir en te disant que tu pourrais l’orienter vers une fellation ou un cunnilingus, mais cet homme n’est pas assez sophistiqué pour cela et ne te laisse pas le temps de penser à une parade.


Soudain, tout s’accélère. D’un coup, il bloque fermement tes cuisses ouvertes et bascule sur toi. Tu pousses un cri de surprise tandis qu’il te recouvre. Ta jambe vient me frapper tant le mouvement est brusque et d’une main tu te rattrapes au dossier du siège passager. Il est sur toi, il cherche à t’embrasser, mais tu ne veux pas.


Sa bite cherche l’entrée de ta chatte, elle vient seulement buter sur le parvis de tes plaisirs…


Je dois conduire la voiture alors que tout s’affole derrière, tu souffles sous son poids, car lui aussi est complètement déséquilibré, je le sens moi-même peser sur le dossier de mon siège. Dans le rétroviseur, je te vois dégager une main à la rencontre de sa bite pour la guider en toi… cette situation complètement improbable en a fini de ta dignité. Il y a vingt minutes, tu dînais encore avec des diplomates, des galeristes en vue. Là, tu te fais trousser par un prolétaire à l’arrière d’une voiture miteuse !


Son gland, au contact de tes nectars, comprend qu’il a atteint l’objectif. Le chauffeur donne alors un grand coup et s’enfonce en toi. Il émet un grognement surréaliste accompagné d’un « han ! » venu du plus profond de toi.


Je ne vois quasiment rien, mais c’est dantesque. Je vous devine en déséquilibre permanent, vous raccrochant à ce que vous pouvez. Il te baise brutalement, il pousse des grognements de plus en plus obscènes et bestiaux, tu les accompagnes par de grands « han ! han ! han ! » que je ne t’ai jamais connus. Tu l’agrippes, tu le ramènes à toi lorsqu’il perd l’équilibre. Tu baises. Tu ne te soucies plus du tout de moi.


Je commence à nous diriger vers notre adresse en me disant que le bougre va bientôt lâcher prise. Inutile de te dire l’état d’excitation, et à la fois second, dans lequel je me trouve…


Il continue de se déchaîner littéralement sur toi, en rugissant à chaque coup de boutoir, et il obtient en retour un gémissement de plaisir de ta part. Il est sacrément endurant en dépit de l’inconfort de sa position !


J’arrive en bas de chez nous, je m’arrête devant notre immeuble et tu continues de te faire baiser par ce frustre, c’est hallucinant ! Je peux enfin me retourner et vous regarder. Tu es devenue sauvage. Pourvu qu’aucun voisin n’arrive à une heure aussi tardive et ne nous voie !


Soudain, il se répand enfin et lâche tout son foutre en toi en grognant son plaisir. Les sons qu’il émet sont tellement grotesques. Toi aussi tu grognes de soulagement. Il se retire de toi et je vois distinctement un flot de sperme s’échapper de ta chatte. Souillant ta robe et le skaï de sa voiture. Quelle quantité !


Vous vous redressez tous les deux et réajustez vos habits comme vous pouvez…


Je t’extrais au plus vite de la voiture et nous nous engouffrons dans le hall de notre immeuble. Tu me dis que tu dois avoir un demi-litre de son sperme en toi tellement il était impressionnant ! Je te réponds :



Tu me dis, encore dans l’ascenseur, que tu n’as pas joui, mais que c’était complètement dingue… complètement dingue !


Une fois rentré chez nous, je t’emmène directement sur notre lit, je te baise dans son sperme, mais tout en délicatesse, et tu finis par jouir enfin avant de t’endormir. La douche attendra demain pour enlever ces semences mêlées, séchées sur ton ventre et ton pubis.


Quand j’y repense, cette scène fut bien plus torride que celle du film de David Cronenberg !