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n° 20878Fiche technique22501 caractères22501
Temps de lecture estimé : 13 mn
17/04/22
Résumé:  Un de mes contacts de branle me donne les coordonnées d’une femme qu’il a connue.
Critères:  fh hh fplusag inconnu gros(ses) caférestau toilettes fdomine noculotte hmast fellation cunnilingu préservati pénétratio -occasion -lieuxpubl
Auteur : Arpenteur      Envoi mini-message
Radhia




Au départ, c’est un type sur Internet qui m’avait parlé de Radhia :


Tu verras, c’est un gros veau, elle est moche comme un pou, cette grosse bonne femme ! Mais qu’est-ce qu’elle aime le cul ! Elle ne pense qu’à ça, je te jure, une vraie salope ! Une fois qu’elle est excitée, elle en veut sans cesse plus, tu ne peux même plus l’arrêter…


Les mecs sont tellement vantards dans ce genre de tchat que j’avais secoué la tête virtuellement en me disant « Parle toujours beau merle ! ».

Mais à chaque fois que l’on se retrouvait tous les deux pour se branler de concert, il me reparlait de cette nana, apparemment, elle l’avait beaucoup marqué. Il y allait de tous ses fantasmes. Alors, un jour, je lui demandais :



Comme je cherchais à en savoir plus, il coupa net :



Je ne pus en apprendre davantage. Je le soupçonnais aussi d’être un tantinet raciste, car la Radhia en question avait des parents d’origine algérienne et certaines de ses allusions à son sujet me mettaient mal à l’aise. Comme manifestement il s’était grillé auprès d’elle et qu’il ne pouvait plus aller la baiser, il avait très envie que d’autres prennent le relais et qu’ils lui racontent la suite afin d’alimenter tous ses fantasmes.


Il me proposa un matin de me laisser les coordonnées de la belle (ou devrais-je dire, selon ses propos : de la moche) : son nom, son adresse, son mail, son numéro de téléphone et même trois photos qu’elle lui avait envoyées, malheureusement, aucune de ces dernières ne présentait de pose dénudée… On y voyait une grande femme brune, imposante, avec un ventre énorme qui rendait presque négligeables deux gros seins mollassons. On aurait presque pu croire qu’elle était enceinte ! Niveau visage, sa grosse bouille adipeuse n’était pas engageante. Néanmoins, j’avais déjà connu plus moche et de toute façon en ce monde, la beauté n’est que relative.


C’était surtout le fait qu’elle soit aussi souriante qu’une porte de prison qui ajoutait à sa disgrâce, un mélange de dédain et d’agressivité dans le regard, propre à ces banlieusardes qui sont parfois aigries et revanchardes.


À regarder ces quelques clichés, je ne l’imaginais pas vraiment dans mon lit. Je me disais que, vu son physique, les hommes ne devaient pas vraiment se bousculer à sa porte, ou alors ce n’était que certains types d’hommes machos et dominateurs dont je ne faisais pas partie… D’un autre côté, il est vrai que sur ces sites de rencontres, les mecs sont prêts à sauter sur n’importe qui et à fourrer leurs queues dans tous les trous qui passent.


Ma motivation pour rencontrer Radhia retomba très vite. De plus, je me voyais mal frapper à sa porte ou même téléphoner à la dame et lui dire : « J’ai rencontré Momo et il dit que vous êtes une grosse cochonne, une vraie salope, et que vous aimez baiser à fond ». Déjà parce qu’il valait sans doute mieux éviter de parler du dit Momo, pour conserver une petite chance avec elle, ensuite parce que les femmes sont généralement assez hostiles à ce genre de balourdise…


La fois suivante, lors d’une autre branlette sur Skype avec lui, Momo, moins con qu’il n’en avait l’air, comprit ma problématique à demi-mot. Il me conseilla de prendre contact avec elle via le site de rencontre sur lequel elle était inscrite, et il me distilla quelques bons conseils :



Armé de ces bonnes recommandations, et désespéré par ma solitude lancinante qui me tenaillait de temps en temps, je décidai de passer à l’action les jours suivants. Tout d’abord, je m’inscrivis sur le site en question et m’y confectionnai un solide personnage : « Homme calme, réservé et timide, aimerait passer moments torrides avec une femme aimant l’amour, les câlins, la douceur, la tendresse, les caresses… J’ai un faible pour les femmes opulentes aux formes généreuses et ne conçois les relations qu’avec beaucoup de gentillesse, de complicité et de compréhension… ». Évidemment, le quidam en question n’habitait sur le papier qu’à quelques kilomètres de sa proie, ce qui allait faciliter la communication et rapprocher nos deux tourtereaux. Et je complétai ledit profil par ma meilleure photo.


Ma fiche une fois complétée, j’envoyai un long message à ladite Radhia en lui disant que son profil m’avait beaucoup plu, que nous avions plein de points communs, qu’elle était tout à fait mon genre de femme et que j’aimerais beaucoup la rencontrer et discuter avec elle. Et je la cochai immédiatement sur ma liste de favoris.


Elle mit plus d’une semaine avant de me répondre. Manifestement, elle ne venait pas souvent sur le site. Mais ma longue lettre l’avait quelque peu touchée, car je n’étais apparemment pas comme tous ces hommes qui lui parlaient « sexe » dès le premier message quand ce n’était pas pour l’abreuver de grossièretés salaces. « En ce moment, je suis libre », m’avoua-t-elle sans ambages. « Si tu es libre toi aussi, pourquoi ne pas nous rencontrer dans un troquet et faire connaissance autour d’un verre… par exemple le week-end prochain si tu as de la dispo… ».


Elle ne pouvait pas être plus directe ni plus claire : « Je préfère une courte rencontre en face à face à de longs échanges sur Internet, compléta-t-elle… Au moins quand on voit la personne, on échappe à tous ces blabla et l’on éprouve un ressenti. On voit à qui on a affaire et cela évite les déceptions. »


Le week-end prochain, comme elle était pressée ! Je cherchai dans ma tête une bonne raison pour décaler ce rendez-vous qui me semblait trop précipité. Mais après quatre ou cinq échanges de messages, je compris que c’était à prendre ou à laisser et qu’il fallait que je me décide tout de suite. Déjà, le fait de lui avouer que j’habitais à presque cent kilomètres de chez elle lui avait fort déplu.



Je lui assurai que non.



Manifestement, elle était furax et peu encline à faire des compromis, très loin de la fille facile que m’avait décrite Momo. Je me sentais tout petit et tout penaud, sur le point d’abandonner aussi, et n’acceptai finalement ce rendez-vous qu’à contrecœur et pour ne pas perdre la face.


J’y allai presque à reculons le samedi suivant. Elle avait choisi comme lieu de rendez-vous une grande brasserie en plein centre-ville, juste en face la gare. J’arrivai avec un petit quart d’heure d’avance, le temps de me garer, ce qui avait été plus facile que prévu, car le grand parking sous-terrain était incontournable. L’endroit était bondé et je ne trouvai qu’une petite table disponible près de la porte.


Presque trois quarts d’heure plus tard, après avoir siroté ma première bière et recommandé une autre, elle n’était toujours pas là. M’avait-elle posé un lapin ? Les bus succédaient aux bus, mais aucun des passagers qui en descendaient ne ressemblait à mon rencart. Elle m’avait pourtant assuré qu’elle arriverait ainsi de sa banlieue pourrie.

Soudain, mon téléphone se mit à vibrer.



Une grande femme imposante aux cheveux très noirs se présenta devant moi. Obèse, sévère et mal aimable, c’était les trois caractéristiques qui s’imposaient.



Je dus la suivre comme un petit toutou. Revêche et autoritaire, Momo s’était bien foutu de moi ! Je n’éprouvais aucun désir vers cette femme plus âgée que moi et qui m’impressionnait de toute sa stature.



Sur ce, elle fit un grand geste de la main pour intercepter un serveur.



Comme j’acquiesçai de la tête :



Je tergiversais en lui affirmant que « loin de moi cette pensée », tandis que le serveur nous apportait nos verres.



Et là, je ne sais pas ce qui me prit, mais je lui racontai tout. Elle voulait de la vérité, elle allait en avoir, et perdu pour perdu, peu m’importait après tout. Tout y passa, ma rencontre avec Momo, nos longues séances de branle sur Skype et comment il m’avait finalement parlé d’elle.



Je ne sus que répondre.



Je protestai en lui assurant du contraire.



À cette évocation, je me mis à rougir et à baisser les yeux.



J’avouai que oui et profitant du mode « confidences », je racontai aussi les rares fois de ma vie où on m’avait enculé.



Son visage restait sévère, impassible et inexpressif, quelle que soit la conversation, cette femme-là ne souriait jamais, elle restait hermétique et sa sensibilité restait imperceptible. Pourtant, elle n’était pas dénuée d’un certain humour.



Le couple à la table d’à côté ne perdait rien de ce qu’elle était en train de dire, car elle était tout sauf discrète, et je me voyais mal glisser une main sous la table, soulever sa jupe et fouiller son intimité. D’abord, je n’avais pas le bras aussi long !



Mais tournant la tête vers le couple, j’essayai de lui faire comprendre que nous n’étions pas seuls.



Par chance pour moi, le couple en avait fini avec sa collation, la femme devait prendre son train et l’homme s’en alla payer. J’en profitai pour rejoindre la belle.



On se roula une longue pelle pendant un bon moment, langues enlacées… et elle n’était pas farouche avec sa langue baveuse. J’en profitai pour lui peloter un peu ses deux seins mous, puis ma main descendit inexorablement le long de son ventre obèse, troussa sa longue jupe informe jusqu’à mi-cuisses, et palpa ses cuisses grasses avant de trouver la chatte lisse entrouverte. Elle était manifestement plus qu’humide. Mes doigts commencèrent à s’agiter un peu dans son intimité juteuse.



Effectivement, deux jeunes s’étaient retournés vers nous et n’en perdaient pas une miette.



Mon sexe était maintenant raide et dressé, une bosse terrible déformait mon pantalon. Évidemment, elle s’en aperçut.



Les toilettes étaient vraiment minuscules, surtout vu son gabarit, nous avions bien du mal à y rentrer tous les deux, mais une fois la porte refermée, ça nous laissa un peu plus de place. Elle saisit immédiatement ma bite, la sortit de mon pantalon et commença à la branler avec la dextérité d’une professionnelle.



Elle s’assit ensuite sur les toilettes, me tira à elle pour me sucer et m’emboucha avec voracité. Sa bouche était humide et accueillante, sa langue particulièrement experte me fit encore plus durcir. J’étais dressé tel un mât. Elle me pompa goulûment, et à ce rythme-là j’allais venir très vite, mais elle s’en aperçut et modéra quelque peu ses ardeurs. Ensuite, nous échangeâmes nos positions, je me retrouvai assis sur la lunette, et elle debout face à moi, la jupe entièrement troussée, sa chatte glabre qui m’invitait à la lécher, ce que je fis sans plus attendre. Juteuse à souhait, ça coulait même un peu le long de ses cuisses, ma langue s’enfonça dans la moiteur de son intimité pour aspirer sa liqueur. Quelques coups de langue plus tard sur son bouton turgescent, et la voici qui se raidit en me tenant fermement la tête et qui laissa échapper un premier râle de jouissance, suivi bientôt d’autres râles toujours plus forts, son bas-ventre était secoué de spasmes, elle se mit à jouir à répétition. J’avais des « Bouffe-moi, bouffe-moi » plein la tête tellement elle m’en avait abreuvé dans ce réduit exsangue.



Elle haleta encore un peu puis retira carrément son haut, dégrafa son soutien-gorge qui tomba négligemment sur le sol sale et humide. Au passage, elle récupéra un préservatif dans une poche de sa jupe, jupe qui à son tour rejoignit le sol.



La voici qui me l’enfilait avec dextérité puis, s’approchant de moi, la grosse femme nue saisit ma bite, l’orienta dans son con et s’embrocha dessus sans plus attendre. Elle allait et venait le long de mon pieu de chair avec un plaisir non dissimulé.



J’essayais de lui lécher un peu les seins, mais elle n’en avait que faire, concentrée qu’elle était sur ses va-et-vient. Plus agile qu’il n’y paraissait, elle accéléra encore la cadence. Je n’en pouvais plus et j’arrivai bientôt au point de non-retour, je la prévins que j’allais cracher. Elle accéléra de plus belle pour m’achever et sentant mes spasmes venir en elle, elle explosa à son tour en criant sa jouissance avant de retomber lourdement sur moi pour m’écraser de tout son poids.


Nous étions tous les deux moites, trempés de sueur, mais restâmes ainsi collés l’un à l’autre encore un bon moment. D’autres personnes essayaient d’ouvrir, mais trouvaient porte close… certains étaient déjà venus pendant que nous faisions l’amour. Les gens devaient s’impatienter… heureusement qu’il y avait aussi des toilettes à l’étage !


Nous nous rhabillâmes tant bien que mal après que cette cochonne eut retiré mon préservatif et lavé mon dard poisseux à coups de langue gourmande. Quand nous ouvrîmes enfin la porte, trois personnes attendaient derrière et elles nous regardèrent, médusées, sortir de cet endroit exsangue. Ma compagne leur lança un regard glacial qui ne supportait aucun commentaire. D’ailleurs, aucun d’entre eux ne se risqua à broncher.


Nous étions maintenant dans la rue, je lui proposai de la raccompagner.



Je la vis courir vers un bus qui allait bientôt refermer ses portes.



Les portes se refermèrent, le bus se mit en branle. Deux, trois minutes plus tard, je reçus un SMS sur mon portable.


Après ce premier échange, en ce qui me concerne j’ai envie d’approfondir… Mais je te préviens, je ne suis pas trop fidèle… alors c’est toi qui vois !