n° 20881 | Fiche technique | 24620 caractères | 24620Temps de lecture estimé : 15 mn | 19/04/22 |
Résumé: Sur le chemin de Saint-Jacques, je perds mon (mes) pucelage(s) | ||||
Critères: fh hh fhh hbi extraoffre candaul inconnu vacances fellation cunnilingu fsodo hdanus hsodo init -occasion -bisex | ||||
Auteur : Oli Mart 1977 Envoi mini-message |
Je n’ai pas été particulièrement précoce dans ma sexualité.
Pour fêter mes 20 ans, et en période de transition dans mes études, je partis en voyage sur un des chemins de Compostelle pendant les deux mois d’été. J’étais bien décidé à marcher des très nombreux kilomètres en m’arrêtant chaque soir dans des gîtes d’accueil, chez l’habitant, parfois à la belle étoile et plus rarement dans des chambres d’hôtes (budget oblige).
J’étais encore puceau, bien que très attiré par les femmes et étant tombé plusieurs fois amoureux mais sans conclure.
Le but de mon voyage était de vivre une aventure seul avec moi-même, en faisant de l’exercice, loin des grandes villes, du stress et de la pollution.
L’histoire que je vais vous raconter se passe lors de ce voyage. Ce jour-là, il faisait un temps splendide et chaud, j’avais marché de l’aube jusqu’au milieu de l’après-midi et je m’étais arrêté boire une délicieuse bière dans un petit village en pierre. L’endroit était très beau et j’avais bien envie de m’y arrêter pour la nuit.
La bière était légère et bien fraîche, la terrasse ombragée et la serveuse jolie et court vêtue. Elle devait avoir dans les 25 ans, blonde et plutôt petite. Son mini-short et son t-shirt coupé permettaient de se rendre compte que ses jambes étaient longues et galbées, que ses fesses étaient rebondies, que son ventre était plat et musclé et que sa poitrine était menue… Très exactement mon type de fille idéal ! Elle avait un visage fin et très féminin, un teint plutôt bronzé pour une blonde, et des yeux verts romantiques. Elle voguait de table en table avec beaucoup de grâce et de vitesse.
J’étais donc occupé à siroter… et à saliver, du coup.
Je commandai une nouvelle bière et cette fois c’est un homme qui vint me la servir. Une grande armoire normande brune, aux épaules très larges, il était très musclé, plutôt sur les 40 ans, et avait un air très viril.
J’en profitai pour lui demander s’il connaissait des endroits qui accueillaient les « pèlerins » dans le village, vu que je voulais y passer la nuit pour profiter de l’endroit. Il me dévisagea longuement et me dit qu’il allait se renseigner pour moi… Sympa !
Quelques minutes plus tard, il revint me dire que oui, il y avait de la place chez un habitant. Il me donna une adresse avec instruction de m’y présenter à 20 h, pas avant.
J’étais ravi… Surtout que, du coup, pas besoin de chercher ! Décidément, les gens sont sympas sur ce chemin de Saint-Jacques.
Je visitais le village et à 20 h je me présentai à ladite adresse. Quelle belle surprise quand le portail s’ouvrit sur la magnifique serveuse du troquet ! Je me léchai intérieurement les babines à l’idée de passer la soirée en douce compagnie et entrai après elle.
Je suivis donc cette superbe paire de fesses qui se dandinaient en cadence et m’hypnotisait totalement. Du jardin, nous arrivâmes sur une grande terrasse avec une belle piscine et nous entrâmes dans le salon. Nous passâmes à la cuisine où nous attendait le gars du bar, qui surprit mon regard concentré sur le derrière si appétissant de la jeune fille et me sourit. Il m’expliqua que sa femme (oups) et lui ne recevaient normalement pas de pèlerins, mais que j’avais l’air particulièrement sympathique. Je rougis et le remerciai chaleureusement.
Il me dit qu’ils venaient juste d’arriver après avoir fermé le bar et proposa d’aller se délasser dans la piscine avant un petit apéro et un repas à la bonne franquette. J’étais trop heureux de l’aubaine. La fille m’accompagna pour me montrer ma chambre et repartit.
Je me changeai en deux minutes trente et filai à la piscine. Petite douche, et plouf !
Cinq minutes plus tard, le couple arriva. Lui avait un physique impressionnant de puissance brute, musclé de partout et sacrément poilu. Je n’étais pas petit et j’avais un corps musclé, bien que fin, et j’étais presque imberbe… alors le contraste était flagrant !
Quant à elle… Elle était d’une beauté spectaculaire en maillot. Son maillot était tout petit : en bas, un tanga très échancré ; en haut, des petits triangles laissant apparaître un peu le galbe des seins. J’étais abasourdi…
Une fois de plus, son mari remarqua ma fixation sans rien dire… A priori pas jaloux, le mari… !
Nous fîmes connaissance dans l’eau, lui s’appelait Éric et elle Estelle. Elle n’était pas très bavarde, lui plus. Après quelques minutes, Estelle sortit de l’eau et entreprit de se sécher juste devant nous, bien partout, en remontant doucement sur chaque jambe, bien penchée… J’étais évidemment scotché…
Elle nous annonça qu’elle allait chercher l’apéro.
Éric commença à me demander comment je trouvais sa femme. Je lui répondis que je la trouvais très sympa (évidemment). Il insista en demandant si je la trouvais jolie. Je lui répondis que oui, bien sûr. Il insista à nouveau en me demandant si elle me plaisait. J’étais un peu gêné, je me demandais si finalement il allait me casser la gueule pour l’avoir matée trop ouvertement, mais je répondis que oui, qu’elle était très jolie. Il me demanda alors si elle m’excitait. Je m’inquiétais un peu mais je lui dis qu’il était difficile de ne pas la trouver attirante. Il me demanda mon âge et si j’avais eu beaucoup d’expériences avec les filles. Je lui dis que non. Il me demanda si j’étais homo, je lui dis que non, pas du tout, et l’occasion ne s’était pas encore vraiment présentée… Il fut étonné (c’est vrai que je suis mignon) et insista :
Ses questions étaient quand même super intimes mais je n’arrivais pas à trouver une échappatoire pour ne pas y répondre…
Estelle arriva, elle avait enfilé un maillot sec, tout aussi rikiki que le premier, et je remerciai le ciel pour ça. Elle nous invita à sortir pour l’apéro. La discussion était légère : le chemin, pourquoi je le faisais, jusqu’à quand…
La température avait sensiblement baissé et Estelle avait les tétons qui pointaient avec insolence sous son maillot. C’était vraiment attirant pour le regard, et d’ailleurs, je regardais abondamment. Elle n’avait pas l’air de le remarquer, mais Éric oui.
Nous passâmes à table après nous être changés. Estelle avait passé une mini robe blanche (sur une blonde bronzée, c’est sublime) qui laissait transparaître légèrement ses seins, pas de soutif donc. De dos, je n’arrivais pas à me rendre compte si elle portait un string ou pas, et la boîte à fantasmes marchait à plein…
Rien à dire sur le dîner qui fut léger et arrosé. Éric et moi marchâmes à la bière légère et Estelle au rosé. Vu son gabarit, elle fut légèrement pompette avant la fin du repas et cela la rendit beaucoup plus sensuelle physiquement… plus provocante. Elle mit de la musique et se mit à danser devant nous. Elle se déhanchait avec une sensualité incroyable.
Éric m’invita à nous installer sur le canapé. Estelle dansa encore un peu puis vint s’installer entre nous deux, en posant ses mains sur nos cuisses pour s’asseoir. Le contact fut électrisant, cette petite main si douce et délicate sur ma peau. Éric l’embrassa à pleine bouche. Elle avait posé sa main sur son pectoral et le lui caressait doucement. C’était chaud et intimidant à la fois. Puis elle se releva et se remit à danser. Éric se rapprocha de moi et me demanda si j’avais envie de la baiser. Je lui dis qu’elle m’excitait énormément, et il me dit :
J’étais prêt à tout pour pouvoir toucher ce corps fantastique et baiser avec elle. Estelle dansait de manière très érotique maintenant, et vint se placer juste devant Éric en frottant son cul sur ses cuisses, et plus haut, sur son sexe. C’était torride et je rêvais qu’elle fasse pareil avec moi. Il lui caressa doucement les fesses, elle dit qu’elle allait se repoudrer… et disparut.
Éric se leva et m’invita à le suivre. Nous entrâmes dans une pièce très masculine : fauteuil en cuir marron, meubles en bois foncé. Il s’assit dans l’unique fauteuil et me dit :
J’étais choqué et je restai sans mot. Il insista :
Il plaida :
Puis il ajouta :
Je ne savais pas quoi dire ni quoi faire. J’étais planté debout juste devant lui sans bouger. Je prenais racine. Il me tira par le tee-shirt, m’attira à lui, se mit debout et appuya sur mes épaules pour que je me baisse. Je voulais m’enfuir mais il m’avait tellement fait chauffer par Estelle que je n’étais plus dans mon état normal. Je me laissai donc pousser vers le bas, à genoux devant lui. Il baissa son short, il ne portait rien en dessous, et je me retrouvai nez à nez avec un gros sexe noueux orné d’un gland bien large.
Il n’était pas encore en érection mais rapprocha son sexe jusqu’à toucher mon visage. Il le prit en main et me donna des petites baffes douces avec son sexe, sur les joues et sur la bouche.
Il me commanda :
Je m’exécutai. Je déposai un petit baiser sur son sexe, puis un deuxième, et j’ouvris la bouche. Je le décalottai et pris son gland en bouche. Ma langue était sur son frein et je sentais son sexe frémir. Son excitation montait et il grossissait dans ma bouche. Je ne bougeais que ma langue sur son frein, doucement, en salivant bien. Il appréciait et gémissait.
Il me prit la tête entre ses mains et commença à enfoncer son mandrin dans ma bouche. Il était gros et chaud, n’avait pas vraiment de goût, c’était plutôt insipide. La sensation de sucer cet homme était étonnante et perturbante car il m’avait forcé la main pour faire un acte que je n’avais pas désiré. Certes, il ne m’avait en aucun cas forcé, juste posé le marché sur la table, et j’avais accepté. Accepté de me mettre à genoux devant un homme et de lui administrer une fellation. Le vin était tiré, il fallait le boire, maintenant. Dans mon cas, le sucer en y mettant tout mon cœur afin de le satisfaire et de pouvoir toucher le jackpot ensuite.
Je commençais donc à faire des va-et-vient en suçant, en léchant, en embrassant. J’y mettais de la douceur. Je pris ses boules en main. Il était impeccablement épilé alors je décidai de lui lécher les bourses aussi, de sucer ses boules, de les mettre dans ma bouche en alternance. Il gémissait que c’était bon, que j’étais un petit homo fait pour pomper des queues.
Il s’assit dans le fauteuil et il n’eut pas besoin de me demander de reprendre position. J’en avais envie maintenant, je voulais continuer à sucer sa grosse queue, j’étais curieux de savoir si je serais capable de faire jouir un homme, alors je me donnais du cœur à l’ouvrage et après une série de douceurs baveuses sur sa bite et son gland, je commençais à faire coulisser son membre dans ma bouche. Je cherchais le bon rythme et je me rendis compte qu’en laissant ma langue frotter contre son frein et contre la peau en dessous, cela faisait augmenter ses gémissements.
Je caressai tout doucement et légèrement ses bourses et son périnée et même temps. Il grognait maintenant et je sentais qu’il s’approchait du point de non-retour. Il attrapa ma tête et se déversa violemment dans ma bouche. Son sperme était abondant et je n’eus pas d’autre choix que d’avaler le tout. Son éjaculation prit fin et il relaxa ses mains. Il caressait doucement mes cheveux. J’ôtai son sexe de la bouche et entrepris de le nettoyer avec beaucoup de douceur et de tendresse, avalant le reste de son sperme.
J’avais vraiment aimé cette expérience et le fait d’avoir un sexe dans la bouche. La peau en est très douce et la palpitation du membre est une sensation enivrante.
Éric finit par se lever et remettre son short. Il me releva doucement par le bras et me félicita de mes talents à la flûte. Debout juste devant lui, j’étais impressionné par sa puissance physique et par l’ascendant psychologique qu’il avait pris…
De retour au salon, Estelle sirotait un verre de rosé en feuilletant un magazine. Nous nous assîmes sur le canapé et Estelle vint s’installer à califourchon sur les genoux d’Éric. Sa robe était remontée et laissait entrevoir un pubis totalement rasé qui attira immédiatement mon attention. Elle embrassa Éric qui lui massait les fesses sous mon regard. Leur baiser profond dura quelques minutes, puis Éric dit à Estelle de venir s’occuper de moi car je l’avais bien mérité.
Elle se leva donc, descendit (inutilement) sa robe, et vint prendre sur moi la même position qu’elle avait prise sur Éric. Elle se mit à m’embrasser profondément. Au bout d’une minute, elle s’arrêta et me dit :
Elle m’embrassa à nouveau, sa langue était un démon qui visitait ma bouche, titillait, elle me mordillait les lèvres. Elle s’arrêta à nouveau :
Et elle se remit à l’ouvrage. Je bandais comme un âne et mes mains alternaient entre sa croupe aux fesses rondes et charnues et ses petits seins, dont les bouts, continuaient à pointer. Elle ôta sa robe sans se lever. Elle était complètement nue, moi habillé encore, même si légèrement. Je trouvais ça très érotique. Éric nous regardait en silence. Estelle était très excitée et lui jetait de temps en temps des coups d’œil, ce qui ajoutait encore à son excitation, voyant son approbation, voire son incitation.
Je pouvais désormais accéder à sa peau nue, je caressais sa raie, je mangeais ses seins. Je passais une main entre ses cuisses, elle était trempée. Je caressais doucement ses lèvres et son clitoris bien lubrifiés par sa mouille. Je léchai mes doigts pour la goûter. Elle gémit d’excitation en me voyant faire, et se jeta sur ma bouche à nouveau, pour se goûter aussi, puis elle se leva et entreprit de me déshabiller. Elle me poussa sur le canapé et prit la même position que j’avais adoptée devant son mari quelques minutes plus tôt. Elle planta son regard dans le mien et engloutit mon membre dans sa bouche brûlante. La sensation fut fantastique. Mon sexe était déjà prêt à exploser. Elle le sentit apparemment et n’insista pas. Elle se coucha sur le dos sur la table et me fit signe de venir. Je me levai, elle s’était assise. Elle fit les mêmes gestes qu’Éric, me pressa de descendre pour lui manger le sexe.
Je ne me fis pas prier. Elle se recoucha sur le dos, je pris ses jambes sur mes épaules et je commençai à lui lécher les lèvres. Puis je pris son clito entre les lèvres et le suçai un peu. Elle gémissait fort maintenant. Puis je me mis à lui lécher le clitoris tout en la pénétrant avec un doigt. Elle couinait maintenant. Son excitation montait inexorablement. Tout en la pénétrant avec un doigt, je posai un autre doigt sur son anus, sans pénétrer. Il était gluant de sa mouille et j’appuyais dessus sans en forcer l’entrée. Ce fut la goutte d’eau qui la fit partir. Elle se mit à jouir en tremblant fortement et en criant son plaisir. Éric s’était levé et approché, il regardait sa moitié avec tendresse.
Je me levai, je bandais toujours dur comme fer. Éric prit Estelle dans ses bars et la porta sur la Vénitienne du canapé (la partie sans dossier). Il m’invita à venir et à la prendre. Elle écarta les cuisses et m’attrapa littéralement avec, m’attirant à elle et en elle. Je pénétrai son sexe qui était parfaitement lubrifié. Je glissai bien en elle, c’était une sensation que je n’avais jamais ressentie. Elle gémissait beaucoup.
Cela dura quelques minutes, puis nous changeâmes de position. Elle se mit à 4 pattes, et je la pris en levrette. Cela m’excitait beaucoup. Éric se plaça devant Estelle, il était à nouveau en forme. Il présenta son sexe à sa bouche et elle l’emboucha sans façon. Elle suçait bien et enlevait de temps en temps la queue de sa bouche pour gémir.
Après quelques minutes, Éric me dit :
Je sursautai un peu, électrisé par l’ordre. Il se retira de sa bouche. Je sortis du sexe d’Estelle et elle resta à genoux mais cette fois elle mit la tête sur le canapé, le cul bien en l’air. La vue que j’avais était imprenable et merveilleuse. Elle était offerte et attendait la suite. Je frottai mon sexe sur son anus, j’essayais de le chauffer, je poussais un peu pour écarter les sphincters, mais sans forcer. Elle gémissait et poussait pour écarter ses sphincters. Elle avait envie de se faire enculer, elle attendait que je pénètre impatiemment.
Cela m’incita à avancer et, en effet, je gagnais du terrain. Enfin, le gland passa les sphincters et pénétra au plus profond d’Estelle, lui arrachant un râle de satisfaction. Elle était serrée et c’était merveilleux.
Je restai un peu au fond d’elle pour profiter de ce moment que je ne revivrais plus jamais, première sodomie au plus profond d’une femme, puis j’entamai des va-et-vient, doucement, modérément, puis accélérant le rythme. Elle aimait ça, elle se démenait, elle serrait ses sphincters, comme si elle me pompait avec son cul. C’était fantastique, je me régalais.
Puis elle s’allongea, toujours sur le ventre, jambes écartées, moi au-dessus d’elle. Je ne voyais plus Éric, mais il revint, derrière moi. Il se mit à me caresser les fesses doucement. Il passa un doigt et me massa le périnée, suivant mon rythme avec Estelle. C’était excitant et ça faisait encore grossir mon sexe. Puis il remonta et se mit à caresser mon anus. Une sensation de froid m’apprit qu’il avait déversé une bonne quantité de lubrifiant entre mes fesses.
Il se mit à me masser l’anus, à pousser dessus, à tourner autour avec de plus en plus d’insistance. Puis il fit pénétrer un doigt, fit quelques va-et-vient et commença à masser ma prostate. La sensation était nouvelle et incroyable.
Je continuais à limer le cul d’Estelle, qui se cambrait pour que j’aille au plus profond. J’avais maintenant passé une main sous elle et je lui branlais le clitoris en l’enculant. Elle faisait beaucoup de bruit en râlant, avec sa jolie voix.
Enfin, Éric vint se coucher sur moi, il devait faire un bon quintal. Et il présenta son sexe à mon anus, et poussa, doucement. J’avais arrêté de bouger. Je poussai, comme Estelle l’avait fait avec moi. Je ne m’étais même pas demandé si j’avais envie de me faire enculer, pénétrer, sodomiser. Éric avait décidé, entrepris, et je n’avais pas opposé de résistance. Je me laissais faire, passif. J’allais passer à la casserole. J’aurai eu la totale ce soir.
Hop, ça y est, son gland passe les sphincters et il glisse au fond de mon cul. Je suis rempli de son gros sexe. Je ne sais pas si c’est bon. Mais c’est étrange. Quelqu’un d’autre, un homme, est en moi, au fin fond de mon intimité, excité au possible. C’était fascinant.
Il se mit à bouger. Moi aussi. Nous essayâmes de trouver un rythme. Il informa Estelle qu’il était au fond de mon cul. Elle couinait d’excitation. Je repris mon manège sur son clito, elle était super excitée. J’accélérai dans son cul. Lorsque j’entrais, la bite d’Éric sortait, dès que je sortais un peu, la queue d’Éric retournait au fond de moi. La sensation me rendait fou, ce va-et-vient était à la fois un plaisir et une frustration combinés.
Estelle partit dans un second orgasme, grâce à mes doigts sur son pirouli. L’effet était incroyable, elle tremblait et ses sphincters se serraient. Impossible de tenir plus, je jouis dans son cul des litres de sperme. Jamais je n’avais éjaculé ainsi. Derrière moi, Éric continua de me limer en donnant des à-coups. Il poussa mon sperme hors de moi ! Je sortis d’Estelle.
Éric décula. Sensation de frustration, de vide. Oh. C’était bien quand il était dedans !
Nous nous levâmes, Estelle partit à la salle de bains.
Éric me saisit doucement, me posa dos sur la banquette, il prit mes jambes sur ses épaules, descendit et me prit à nouveau le cul, mais de face cette fois. Il me regarda, il était beau et viril. J’étais pris en missionnaire, les jambes en l’air, bien plié. Il me combla, littéralement. J’étais totalement offert à ses coups de boutoir. La pénétration était tellement profonde. Je râlais à chaque fois qu’il entrait. Comment pouvait-il y avoir de la place pour sa grosse queue dans mon cul ?
Estelle revint et nous regarda. Elle était excitée. Elle me demanda comment ça allait, question rhétorique qui n’appelait pas de réponse, bien sûr. Elle me demanda si c’était bon d’être enculé puis me dit que son mec allait juter en moi. Elle me traitait de salope, me disait que j’aimais la bite. Elle n’était pas méchante, elle était juste excitée. Mais elle avait raison, aussi. Lui il limait, ça l’excitait d’enculer un mec devant sa femme, ça l’excitait que sa femme trouve ça excitant. Il grognait. Il transpirait. Ses poils frottaient contre moi. Il était tellement viril. Je me sentais tellement plus féminin que lui… Il me baisait et il me baisait bien. Maintenant, j’aimais ça. La sensation de son gland sur ma prostate, c’est une stimulation incroyable, il provoquait cette chaleur en moi. Je me sentais femme, femelle. Il me prenait avec vigueur, je lui appartenais, il faisait de moi ce qu’il voulait. J’étais prêt à toutes les soumissions.
Estelle vint s’installer en 69 sur moi. Elle voulait en finir. Elle me suçait bien, je la léchais mais elle était encore sensible de son orgasme précédent, donc je n’insistai pas.
Elle pompait comme une reine, elle réussit à me faire regrossir. Je bandais bien maintenant et cela resserra mes sphincters. Éric poussa à fond sur la prostate. Estelle me termina, je rendis les armes et jouis dans sa bouche. Cela provoqua la jouissance d’Éric aussi, dans mon cul cette fois. Ce liquide chaud qui m’envahit, c’était inédit et spécial comme sensation. Je recevais la semence d’un homme dans mon fondement et je trouvais ça bon.
Estelle remonta et m’embrassa sur la bouche, me transférant mon propre sperme. Pas génial comme goût, mais sensation excitante.
Éric décula, et il partit se laver. Je me levai, Estelle m’embrassa encore un peu. Puis je partis me laver aussi.
Ensuite, nous prîmes un dernier verre et partîmes nous coucher.
Je repartis le lendemain pour mon périple. J’avais le cul en chou-fleur et la bite en feu, mais j’avais des étoiles plein la tête… Ma vie sexuelle venait de débuter et c’était un bon début !