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Temps de lecture estimé : 37 mn
24/04/22
Résumé:  Lorsqu’elle tombe enceinte, Claire s’aperçoit du désintérêt de son compagnon.
Critères:  f fh ff extracon vacances fmast entreseins fellation préservati pénétratio fsodo -regrets -lieuloisi
Auteur : Foretdorient      Envoi mini-message
Grossesse révélatrice






Claire et Jean-Luc s’étaient rencontrés après le bac pendant leurs études supérieures et ils ne s’étaient plus quittés depuis. On disait d’eux qu’ils formaient un couple harmonieux et fusionnel. Sept ans déjà, sept années de bonheur intense bercées par la joie de vivre, jamais aucune dispute, et une entente parfaite au niveau sexuel. Sur ce plan-là, ni trop ni trop peu, leurs étreintes arrivaient toujours au bon moment et le plaisir était intense.


Claire prenait la pilule d’un commun accord avec son conjoint, ils pensaient que ce n’était pas encore le moment d’avoir un enfant. Leurs carrières à construire, ils travaillaient beaucoup chacun de leur côté, et dans des domaines totalement différents : Claire, plutôt dans le médico-social, alors que son mari était un sous-traitant pour l’aviation. C’est d’ailleurs pour cela qu’ils avaient déménagé près de Toulouse et qu’ils s’étaient éloignés de leurs familles respectives, mais en décembre dernier, le verdict du test avait été limpide, Claire était enceinte. Nouvelle confirmée bientôt par l’examen d’une gynécologue que la jeune femme avait eu un peu de mal à trouver. Être enceinte depuis au moins trois mois, c’est vrai qu’elle avait été très prise par le démarrage du nouveau labo, avait rendu encore plus difficile en cette période de Covid. Elle n’avait pas trop fait attention à ses règles, elle n’était jamais très vigilante, et avait probablement omis de prendre plusieurs fois la pilule, elle n’était pas fan des médicaments et suivre un traitement ne faisait pas partie de ses automatismes.

Elle confia ses regrets à son conjoint, mais celui-ci, loin de lui en vouloir, semblait vraiment trop content par la perspective d’être père. Jean-Luc exultait, tous les soirs, il appelait quelqu’un de nouveau au téléphone pour annoncer la bonne nouvelle, sa famille, ses amis, et à son boulot tout le monde était déjà au courant. De son côté, Claire était plus circonspecte, un peu dépitée de ne pas avoir vraiment choisi le moment idéal pour cette procréation. Mais qu’importe, elle allait être mère, elle en était heureuse.


Les semaines passèrent, ses seins grossirent et son ventre s’arrondit. « Je vais finir Bibendum », se dit-elle en se regardant dans la glace, elle qui était déjà d’ordinaire plutôt potelée avec des formes généreuses.



Imperceptiblement, Jean-Luc s’était mis à changer. D’habitude, c’était toujours lui le chaud lapin dans la famille et, souvent, des idées plein la tête en rentrant du boulot, il la sollicitait et « crac crac » même si elle était déjà occupée, mais depuis près de deux mois, plus rien… il se contentait de caresser religieusement son ventre rond mais restait très chaste, infiniment moins passionné qu’en temps ordinaire, son désir avait fait place à un respect quasi monacal envers le petit être en devenir.

Claire se sentait de plus en plus délaissée. Elle avait beau solliciter son homme, elle avait l’impression qu’il n’avait plus envie d’elle, comme si le fait qu’elle soit fécondée le dégoûtait ; alors qu’elle, de son côté, avait de plus en plus envie. Elle ne s’était jamais sentie aussi chaude que depuis qu’elle était enceinte, elle n’arrêtait pas de se masturber. Depuis qu’ils étaient deux en elle, elle avait deux fois plus de désirs.


Un soir, elle implora son conjoint de la sodomiser, chose dont ils n’avaient pas vraiment l’habitude, même s’ils le faisaient de temps en temps.



Mais il la trouva déplacée et vulgaire. Attisée par le manque, elle l’était sans doute.



« Le charretier t’emmerde ! » eut-elle envie de lui répondre pour rajouter à sa vulgarité « Le charretier, il a envie de se faire baiser ! ».

Et il fut minable ce soir-là, elle ne ménagea pourtant pas ses efforts pour essayer de le sucer, il durcissait un chouia, mais il débandait aussi vite.


Le lendemain matin, affalée sur le canapé, elle se surprit en train de pleurer à chaudes larmes : « Il ne m’aime plus, je le dégoûte, il ne pense plus qu’à son futur fils ». Elle se laissa aller à la tristesse trois jours durant, elle qui avait d’habitude un caractère enjoué. Elle finit par appeler Talia, son amie d’enfance, une petite Portugaise avec qui elle avait fait les 400 coups avant de rencontrer Jean-Luc, et lui confia tout son malaise.



La gynécologue trouva l’idée inattendue, surprenante mais plutôt géniale, et elle l’encouragea à faire ce voyage. Elle avait remarqué ces derniers temps que le moral de sa patiente déclinait et elle s’en inquiétait. Rien de tel que d’être heureuse pour enfanter.



De retour au labo, confortée par la réaction du médecin, Claire évoqua le sujet avec ses principaux collaborateurs. Eux aussi la surprirent car ils furent unanimes pour l’encourager à faire un break, tous paraissaient enthousiastes et heureux pour elle :



Ils avaient remarqué que ces derniers temps elle devenait stressée, aigrie et irritable, elle qui était d’habitude pourtant si joyeuse et volontaire.



En revanche, le soir venu, elle eut droit à une soupe à la grimace quand elle exposa son projet à son mari :



Les parents de son conjoint eurent la bien mauvaise idée de téléphoner à ce moment précis, ce qui eut pour effet d’envenimer les choses. Leur fiston leur exposa avec effroi le projet débile que venait de lui soumettre cette « folle » de Claire. Sa belle-mère était bien évidemment entièrement de l’avis de son fils. C’est la goutte d’eau qui fit déborder le vase :



Cette nuit-là, ils firent chambre à part, elle refusa tout net de le rejoindre dans le lit conjugal pour continuer d’entendre ses jérémiades. Elle préféra s’affaler sur le vieux matelas défraîchi qui trônait dans ce qui avait pu être à une époque une chambre d’amis, mais qui servait désormais de débarras.

Entre deux sanglots, elle réveilla Talia, lui exposa les faits et lui dit que sa décision était prise, qu’elle viendrait avec elle et « que l’autre connard aille se faire foutre ». Son amie essaya néanmoins de la calmer, ce n’était pas bien non plus d’être esclave de sa colère et de rester en conflit avec le père de son enfant. Elle lui promit d’appeler Jean-Luc le lendemain pour essayer de le raisonner.



Le lendemain matin, elle ne croisa pas Jean-Luc, il était parti très tôt au travail, preuve qu’il faisait vraiment la gueule. Le soir, quand il revint, pas un bisou ni un bonjour, il attaqua direct :



Sa voix chevrotait, il avait bu. « Bon, tu veux la jouer comme ça, très bien, alors on va jouer », se dit-elle en le regardant avec tristesse.



Rien de tout ça l’inquiétait, au pire elle serait juste partie avec son sac à main si cela avait été nécessaire.

Jean-Luc avait aussi prévenu ses parents à elle pour alarmer toute la famille. Sa mère l’appela le lendemain dans la matinée et elle eut droit à une grande leçon de morale. Vers 14 heures, ce fut au tour de sa grande sœur d’essayer de lui faire entendre raison. Et dans l’après-midi, elle eut même droit à sa cousine. Ils étaient tous très inquiets pour elle, et elle les comprenait mais, têtue comme elle était, ils n’avaient aucune chance de lui faire changer d’avis.



Le lendemain matin, Jean-Luc s’était radouci et fit amende honorable.



Ils se quittèrent sur un baiser, sans trop de reproches cette fois-ci. Pas vraiment un baiser d’amour… beaucoup plus un baiser pour faire la paix et enterrer la hache de guerre.



Cela la fit sourire.



Elles ne partaient qu’une petite semaine avec Talia, du samedi au samedi. La semaine suivante, coïncidant avec des vacances scolaires, les tarifs n’étaient plus très avantageux. Et les finances de la Portugaise étant ce qu’elles étaient, elle avait dû se résoudre à écourter le voyage.

La mère de Claire appela alors qu’elles étaient déjà installées dans l’avion. Bien sûr qu’elle avait raison ; bien sûr que sa fille était irresponsable, mais c’est aussi pour ça qu’elle l’aimait, non ? Plus de cinq heures de vol pour se retrouver en Afrique, avec la chaleur et les dangers… l’horreur à l’état pur.



Rien que des bonnes nouvelles, maman était en forme ! Heureusement qu’un message du commandant de bord leur intima l’ordre de passer en mode « avion », cela lui servit de prétexte pour couper court à cette conversation sans aucun sens avec sa génitrice. Talia lui serra très fort la main lorsque l’appareil prit son envol sur le tarmac, la brunette avait un peu peur au décollage. Claire la réconforta et lui posa un chaste baiser sur la joue quand ils furent arrivés au-dessus des nuages.



Elles éclatèrent d’un rire franc et jovial. Un peu plus tard, après avoir pris une collation :



Ces quelques heures de voyages furent un peu pénibles pour Claire, plusieurs fois, elle dut se relever, s’étirer, se déplacer. Les hôtesses furent toutes très sympas et très compréhensives.



Une vague tristesse s’empara alors d’elle quand elle repensa aux changements qu’il y avait eu dans leur couple depuis le début de l’année, comme si toutes ces cavalcades appartenaient désormais au passé et que cela ne redeviendrait jamais comme avant.

Talia perçut sa tristesse sur le visage de son amie et, sans en connaître la cause, essaya de la réconforter.



Le village de vacances où ils se retrouvèrent était sympa, quoiqu’un peu rocailleux, à flanc de colline, à deux pas de la plage mais sans être tout à fait au bord de l’eau. Piscines, hammam, sauna, massages, cocktails, soirées dansantes et animations diverses, les prestations habituelles offertes dans ce genre d’endroit étaient au rendez-vous. Claire savait qu’elle ne pourrait pas vraiment profiter de tout ça, mais au moins elle aurait tout le loisir pour se détendre et pour se reposer.


Lorsqu’elle ralluma son téléphone, elle eut la surprise de trouver sa boîte inondée de SMS, cela lui mit du baume au cœur. Outre Jean-Luc qui l’avait abreuvée de gentils messages, toute sa famille réclamait des nouvelles de son périple. Et ses collègues du labo n’étaient pas en reste.


Les deux filles déposèrent leurs valises dans la case qu’elles allaient partager toutes les deux pendant leur séjour, elles se rafraîchirent un peu et se changèrent rapidement, Talia mettant un mini maillot de bain tandis que Claire, plus sage vu son état, enfilait une petite robe qui ne cachait rien de sa rondeur.



Dans le bus, il n’y avait pratiquement que des couples.



Les deux amies avaient effectivement eu une relation dans leur jeunesse, mais cette époque était loin, très loin.



Cela dit, c’est vrai que l’idée de faire des câlins avec une femme enceinte lui avait vaguement traversé l’esprit. Mais ce n’était pas une obligation…


Elles se retrouvèrent avec d’autres vacanciers au bord d’une des piscines, près d’un minibar tenu par un Africain au corps sculptural qui prépara deux grands cocktails pour les deux jolies demoiselles. Fasciné qu’il était par le ventre rebondi de la blonde, il se trompa en leur tendant leurs verres, celui contenant de l’alcool se retrouvant entre les mains de Claire. Et les deux filles, conscientes de leur effet, gloussèrent en échangeant leurs collations devant le regard contrit du barman.


Autour de la piscine, il n’y avait pratiquement que des couples et une seule famille avec des bambins espiègles. Talia se sentit rougir en repensant « on doit nous prendre pour des goudous ». Mais cela n’avait pas l’air de gêner son amie qui, affalée sur un transat, se laissait aller au bienfait du soleil qui commençait à décliner. Claire, fatiguée par le voyage, finit même par s’endormir dans cette position et Talia dut la réveiller pour le repas du soir tandis que la nuit tombait. Après le dîner, fourbues par cette première journée, les deux femmes regagnèrent sagement leur case.



Claire, qui s’était déshabillée sans gêne devant son amie, se tenait maintenant debout entièrement nue au pied du grand lit. Talia, plus chaste, avait enfilé une petite nuisette dans la salle de bain et était malgré elle quelque peu troublée par la nudité resplendissante de sa copine. « Lesbienne, goudou… oui, c’est vrai, j’aime les femmes », repensa alors la petite brunette.



Et tandis que Claire tapotait sur son portable pour répondre à tous les SMS reçus dans la journée, la petite Portugaise préféra se tourner de son côté pour ne plus voir ce corps nu qui ne la laissait pas indifférente. « Enfin, j’aime surtout certaines femmes, et celle-ci en particulier ». Était-ce un acte manqué, avait-elle invité son amie avec de sombres desseins en tête ? Elle préféra s’endormir pour ne plus y penser.


Le lendemain matin, lorsqu’elle se réveilla, Claire était déjà levée. Elle la trouva dans la salle de bain, toujours entièrement nue mais cette fois-ci sous la douche, une main qui s’affairait entre ses cuisses. Manifestement, elle se masturbait. Quand elle vit ça, Talia préféra tourner les talons pour lui laisser son intimité. Quelques minutes plus tard, elle entendit son amie glousser.



La blonde prenait ça à la rigolade mais pour la petite Portugaise ce n’était pas si simple… « Je dois être complètement coincée, une sale lesbienne coincée qui n’assume pas ses désirs profonds », rumina-t-elle. Elle n’aurait jamais pensé en venant ici avec sa copine que ce serait si compliqué de partager une case avec elle.


Après le petit déjeuner, Claire alla se renseigner pour les massages car, comme souvent, ceux-ci étaient bien entendu payants. Puis elle retourna au bord de la piscine profiter du soleil tropical et bronzer un peu. Mais l’astre commençait à être chaud malgré un ciel légèrement voilé. Talia qui avait voulu l’accompagner délaissa bientôt Claire pour s’inscrire à la gym tonique.


Accablée par la chaleur, la femme enceinte préféra aller s’attabler dans le patio pour consommer un cocktail fruité en feuilletant une revue qu’elle avait achetée à l’aéroport. Jean-Luc l’appela et elle le rassura sur son voyage et sur le fait qu’elle se portait comme un charme :



Et ça se termina par des « Je t’aime », « Moi aussi je t’aime », « Ça va être long huit jours sans toi. », « Il n’en reste plus que six ». Ensuite, elle eut sa mère et il fallut à nouveau tout réexpliquer. Maryse l’appela aussi pour le boulot, ils avaient un problème avec un lot qui venait d’être livré et qui était périmé, et une infirmière de plus avait contracté le Covid.


Enfin je voulais juste te mettre au courant pour le lot périmé, mais on va gérer, ne t’inquiète pas.


Elle se remémora le regard effaré de Talia quand elle l’avait surprise ce matin-là, les doigts dans la chatte. Le fait de repenser à cette situation qui résonnait en elle comme une bonne farce la mettait en joie : « Elle n’est pas très claire ma copine, elle est même plus Claire que claire ! ». Et, heureuse de sa bonne blague, elle partit d’un fou rire franc et massif incompréhensible pour le monsieur seul qui était assis quelques tables plus loin, il se demanda si c’était du lard ou du cochon.



Et Claire explosa à nouveau de rire devant l’incongruité de cette remarque.



Mais c’est à ce moment précis que Madame revint, coupant court à cette drague diffuse, le style « bourgeoise coincée vieillissante », entourée de bijoux désuets et de préjugés encore plus tristes. Les deux femmes se toisèrent sans vraiment se parler, puis la hautaine décida qu’il était temps pour elle et son mari de rentrer.


« Alors, comme ça, petite salope, tu dragues aussi les quinquagénaires. Si ton mec apprenait ça ! ».


Le soir venu, elle décida de retourner à la case après le repas. Plus aucune nouvelle de son amie depuis qu’elle était partie en début d’après-midi sur la plage. Mais elle avait passé une fin de journée sympa en compagnie d’un jeune couple qui, la voyant seule pour le repas, l’avait invitée à dîner avec eux.


Arrivée devant la porte, Claire entendit très distinctement des gémissements à l’intérieur de la cabane. Talia devait être rentrée et manifestement elle n’était pas seule, trahie par les bruits caractéristiques d’un accouplement. Poussée par la curiosité, la grande blonde poussa très légèrement la porte et jeta un coup d’œil discret à l’intérieur du logement. Elle eut la surprise d’y trouver la petite brunette entièrement nue et à quatre pattes sur le lit, et, derrière elle, un jeune noir, également nu comme un ver, était occupé à la pistonner en ahanant. Le jeune black semblait infatigable et nos deux tourtereaux laissaient s’exprimer librement leur plaisir, grognements, gloussements, parsemés de quelques mots crus en portugais, langue que la blonde comprenait à peine.


Pour ne rien perdre du spectacle, Claire ouvrit un peu plus la porte pour mieux mater et, la main désormais dans la culotte, commença à se masturber en regardant les deux amants. Elle put mieux apprécier le mât de chair quand le garçon le ressortit entièrement du sexe de sa copine pour le pointer sur son petit trou. Il était de taille fort appréciable.


La petite brune, quand elle comprit ce que son amant voulait lui faire, protesta, probablement pour dire quelque chose comme : « Non, pas par-là, tu es beaucoup trop gros ». S’en suivit alors une sorte de négociation et, à force de palabres, le jeune homme obtint apparemment ce qu’il désirait.


Il saliva abondamment et cracha en direction du petit trou avant d’enfoncer deux doigts dans l’anus de la petite brunette qui gémit sous la pénétration. Le jeune mâle semblait vraiment très excité à l’idée de cet enculage. Un nouvel échange en portugais auquel la blonde ne comprit rien et encore moins les nuances sexuelles. Puis il cracha à nouveau dans sa main, humidifia son gland et enfonça lentement sa grosse tige dans le sphincter de la Lusitanienne qui émit un long gémissement.



Il l’enfila de tout son long mais resta un bon moment ainsi sans bouger pour qu’elle reprenne ses esprits. C’est elle qui entama les mouvements de va-et-vient quand elle fut bien prête.


Claire n’en perdait pas une miette et se caressa de plus belle. Cette sodomie l’excitait un max, elle ne se souvenait pas avoir pris un tel pied de cette façon avec Jean-Luc. Elle jouit à nouveau plusieurs fois en regardant les deux sodomites, les dernières fois en doigtant même un peu son propre cul.

Elle referma hâtivement la porte lorsqu’ils jouirent de concert et s’affalèrent l’un sur l’autre.


Claire resta planquée un bon moment un peu plus loin, derrière une autre chaumière, à reprendre ses esprits. Elle dut attendre encore près d’une demi-heure avant de voir le jeune homme quitter la case. Elle patienta encore quelques minutes avant de rejoindre sa copine qui était déjà en train de prendre sa douche. Ça la dégoûta un peu de s’allonger à l’endroit où les deux amants venaient de s’ébattre parmi les odeurs de sexe et de foutre. Les draps semblaient quelque peu collants. Mais elle fit contre mauvaise fortune bon cœur et, vu qu’elle était crevée, s’endormit avant même que Talia ne revienne de la salle de bain.


Le lendemain au réveil, elle s’aperçut que des traces de sperme ornaient les draps à différents endroits et qu’il y en avait même sur son oreiller. Quelle horreur ! Sa copine était quand même gonflée d’avoir invité un homme dans leur lit commun, mais cela lui fit repenser au beau spectacle dont elle avait pu profiter. Ça l’avait bougrement excitée, même plus qu’elle ne voulait se l’avouer. Elle glissa machinalement une main le long de sa chatte et commença lentement à se caresser, le fait que son amie soit endormie à ses côtés et puisse à tout moment la surprendre l’excitait également. Elle se masturba de plus en plus vite et se tourna vers le corps de la brune pour regarder les petits seins fermes et galbés qui pointaient sous la fine nuisette. Elle s’en souvenait très bien de ces petits seins-là… qu’est-ce que ça avait été bon de les téter et de passer ensuite entre les cuisses de son amie pour dévorer sa chatte !


Depuis qu’elle avait connu Jean-Luc, elle n’avait plus eu de rapport avec d’autres femmes, ça aussi ça lui manquait. Depuis qu’elle avait connu Jean-Luc, beaucoup de choses avaient changé, elle se masturbait autant qu’avant mais si possible en dehors de sa présence et, quand par hasard il la surprenait en flagrant délit, elle trouvait toujours un bon prétexte pour expliquer son geste, soit elle avait hâte qu’il rentre et qu’il la prenne, soit elle repensait à l’amour qu’il venait de lui faire, mais rien dans tout ça ne correspondait vraiment à ses pensées profondes.


Elle préférait garder ces moments intimes pour elle, et quand elle se faisait jouir c’était généralement parce qu’elle était toute seule et qu’elle pouvait donner libre cours à ses fantasmes les plus secrets. C’était son petit monde à elle… rien qu’à elle. Un petit monde qui prenait beaucoup de place car elle se masturbait souvent, très souvent, dans la voiture, en faisant le linge, dans les cabines d’essayage et même parfois au boulot, dans les endroits les plus inattendus, elle avait toujours envie, c’était une vraie malade obsédée par la jouissance. La plupart du temps, elle ne se finissait pas, ce qui lui permettait de recommencer un peu plus tard, mais quand le désir était trop fort, oui, elle jouissait, et même plusieurs fois de suite. Elle aurait probablement dû consulter pour ça, elle n’était pas dans la norme, mais elle n’en avait jamais parlé à personne, et encore moins à Jean-Luc.


Elle ferma les yeux et se laissa aller au plaisir de ses doigts. Elle en était certaine, cela faisait aussi du bien au bébé de prendre un peu de jouissance. Elle se mit à gémir doucement, un doigt allant et venant sur son clito tandis que son autre main maltraitait un téton gonflé qui devenait dur comme la pierre. Soudain, des doigts étrangers se posèrent sur ses cuisses et elle sentit un souffle chaud sur les lèvres de sa chatte, une langue humide glissa le long de sa vulve. Elle rouvrit les yeux pour regarder Talia s’activer entre ses cuisses. Que c’était bon de se faire bouffer, et qu’elle faisait ça bien cette petite garce ! Elle ouvrit largement ses lèvres pour lui faciliter le passage et exhiber son clito qui ne demandait qu’à être doucement léché.



La brunette s’acharnait sur la moule adorée, dégustant avec gourmandise tout le jus qui en sortait.



Dans leur couple, c’était toujours Claire la dominante. Talia était sa soumise qui avait besoin d’être guidée, mais la blonde n’en abusait pas. Elle retrouva avec plaisir l’odeur poivrée de la chatte poilue de son amie. Désormais, la Portugaise s’épilait un peu trop et ne gardait qu’un ticket de métro, une petite déception pour Claire car, à l’époque, la Portugaise était nature et luxuriante et personnellement, elle adorait ça !


Cela faisait si longtemps qu’elles n’avaient pas fait ça toutes les deux qu’elles ne parvinrent pas à jouir ensemble. La grande jouit la première en créditant son amie d’un jet de cyprine et la petite vint un peu après, la chatte écrasée sur la bouche de son amante. Ensuite, Talia se retourna, enleva le peu de vêtements qui lui restaient et vint se blottir dans les bras accueillants. « Je t’aime, je t’aime tellement », pensa-t-elle dans sa tête. Elle n’avait rien perdu de son amour pour Claire, elle n’avait jamais cessé de l’aimer, elle s’en rendait compte à présent.


Elles finirent par se lever et ne firent aucun commentaire sur ce qui venait de se passer… ça allait de soi, inutile de commenter.



La brunette, qui venait de ramasser par terre une culotte sale, la balança à la figure de Claire.



Malheureusement, les choses ne se passent pas toujours comme prévu. Vers deux heures, alors qu’elles attendaient le car, Talia fut soudain prise d’un horrible mal au ventre. Pliée en deux, elle grimaçait. Claire s’en inquiéta.



Mais cela ne passa pas, elles durent rejoindre en quatrième vitesse leur chambre et Talia ne put même pas atteindre la cuvette des toilettes. Elle se vida dans son maillot de bain, ses selles liquides coulant abondamment le long de ses cuisses.



Mais, faisant fi d’un vague dégoût, Claire décida de rester avec elle et de l’aider à tout nettoyer. Elle lui fit prendre une bonne douche bien chaude puis la fit allonger sur le lit avant de ressortir à la recherche de médicaments.


Il y avait une petite infirmerie mais elle était fermée et elle eut bien du mal à trouver quelqu’un qui puisse lui porter assistance. Plusieurs vacanciers s’étaient plaints de douleurs similaires : la Tourista ou quelque chose comme ça. Finalement, elle revint à la case avec un médicament qui ressemblait à de l’Imodium, ainsi qu’avec une boîte de Paracétamol et deux grandes bouteilles d’eau plate. Talia n’était pas bien du tout, elle était retournée aux toilettes et avait vomi partout. Claire refit un peu le lit et, malgré la chaleur, elles se glissèrent sous les draps car son amie semblait frigorifiée. Elles s’endormirent ainsi collées l’une à l’autre.


Le soir venu, ce fut à Claire d’éprouver les premiers symptômes, sans doute moins forts que ceux de la brunette, mais quand même de quoi inquiéter sa mère qui venait d’appeler.



Devant l’incompréhension de sa fille, sa mère crut sans doute bon d’alerter Jean-Luc qui ne tarda pas à lui téléphoner à son tour. Celui-ci l’incendia :



Autrement dit, que des conneries, elle préféra ne rien répondre. De toute façon, il fallait qu’elle retourne aux toilettes.


Le lendemain, elles restèrent toute la journée dans la chambre, blotties l’une contre l’autre. Claire fit juste une expédition en cuisine pour récupérer des bouteilles d’eau. De son côté, elle s’était bien vidée et n’éprouvait plus aucune douleur. Elle but abondamment pour ne pas se déshydrater. Talia mit beaucoup plus de temps à s’en remettre, la fièvre ne la quittait pas et elle dut encore attendre 24 h avant de récupérer.


Le soir venu, les deux femmes décidèrent de sortir un peu pour se changer les idées. Claire mangea copieusement car elle sentait que le bébé avait faim, Talia grignota avec parcimonie car elle en était encore au stade où tous les aliments la dégoûtaient. Ensuite, elles allèrent traîner du côté du dancing et sympathisèrent avec deux garçons aux visages d’ébène qui étaient animateurs pendant la journée et que la brunette avait connus à la gym. Ils leur proposèrent de danser avec eux. Claire, tout d’abord réticente, se laissa finalement entraîner par le plus grand d’entre eux dans une danse lascive collée serrée. Il ne se gêna pas pour peloter ses formes et elle le laissa faire, il aurait pu entièrement la déshabiller sur la scène, elle avait trop envie, surtout quand elle sentit cette virilité raide qu’il frottait contre sa cuisse pour lui suggérer de torrides ébats. Lorsque la musique s’arrêta et qu’ils retrouvèrent Talia et son compagnon, Claire était toute chose, elle s’aperçut qu’il l’avait à moitié dépoitraillée, un sein était même sorti de son soutien-gorge. Elle se rajusta prestement tandis que la petite brune lui lançait un clin d’œil complice.


Un peu plus tard, Talia, qui revenait avec son chaperon d’un rock endiablé, lui glissa à l’oreille :



Claire resta donc encore un peu à siroter un drink en compagnie des deux hommes. Son cavalier se faisait très pressant mais elle refusa une nouvelle danse. Il s’exprimait dans un mauvais français et les mots qu’il utilisait pour draguer étaient grotesques. Lorsqu’elle se leva pour prendre congé, il lui emboîta le pas. Mon Dieu qu’il était collant ! Il n’arrêtait pas avec ses mains baladeuses, son cul en faisait les frais. Finalement, elle eut pitié de lui, elle se retourna et l’entraîna dans un endroit tranquille derrière la piscine. Elle s’assit sur un muret et l’attira à elle, baissa son bermuda pour dévoiler une virilité déjà raide. Puis elle entreprit de le pomper tout en le branlant avec vigueur, ne s’arrêtant que pour palper ses couilles. À ce rythme, le jeune animateur se sentit rapidement venir et elle n’eut que le temps de détourner sa queue pour qu’il éjacule un premier jet par-dessus son épaule. Mais il ne l’entendait pas ainsi, il reprit sa queue en main et l’orienta de façon qu’elle asperge les deux gros seins qu’il avait dénudés pendant que la jeune fille le suçait. Et pour parachever le tout, il s’essuya le gland en le frottant copieusement sur les appendices mammaires.


Sa petite affaire terminée, Claire se releva sans attendre et prit fermement la direction de sa case. Mais elle l’entendit qui la suivait en maugréant, il en voulait certainement plus, passer la nuit avec elle, mais elle non, elle en avait sa claque de ce type. Elle traversa fièrement le club se retourner sans une seule fois, les nichons à l’air couverts de sperme. Heureusement qu’il n’y avait pas grand monde à cette heure-là ! Puis, une fois arrivée à la case, elle s’arrangea pour se glisser à l’intérieur et fermer tout de suite le loquet pour qu’il ne puisse pas entrer, car il était toujours derrière elle. Talia dormait, elle fila sous la douche. Mais elle ne se lava pas tout de suite, elle commença par se masturber en repensant non pas à l’autre sangsue qui la dégoûtait un peu, mais au fait qu’elle s’était baladée, les nichons à l’air couverts de foutre, dans le parc comme la reine des traînées… souvent, des idées comme ça l’excitaient. Ensuite, elle se lava consciencieusement.


Elle rejoignit son amie dans le lit et se colla contre elle, son pubis contre ses fesses, son ventre contre son dos. Elle ne savait trop pourquoi mais elle avait envie d’elle. D’une main experte, elle commença à caresser les petits seins sensibles, à exciter les pointes. Talia, pourtant profondément endormie, émergea peu à peu pour se retrouver dans un océan de sensations agréables. Elle se retourna soudainement pour faire face à son agresseuse, et s’arrangea pour que ses tétons désormais durs comme du marbre frottent contre ceux, gonflés d’envie, de son amie. Et les deux filles firent ainsi une partie de frotte-tétons durant quelques minutes, jusqu’à ce que la brunette se relève et vienne s’accroupir sur la bouche de son amante.



Elles éclatèrent de rire avant de se faire un gros câlin et de s’endormir dans les bras l’une de l’autre.


Elles se levèrent de bon matin en pleine forme et décidèrent d’un commun accord de profiter d’une excursion organisée par le club. Elles n’allaient pas repartir sans avoir vu un peu du pays quand même ! Cette journée fut éprouvante, en particulier pour Claire. Son bébé bougeait beaucoup, content de la balade ou chagriné par les épreuves que sa mère lui faisait subir. Mais sa compagne fut un ange d’attention, elle l’aida chaque fois à monter et à descendre du car, et la porta presque lorsqu’elles revinrent d’une balade à pied exténuante au bout de nulle part. Talia s’en voulait d’avoir infligé cette excursion peu adaptée aux femmes enceintes à son amie. Elles revinrent tard le soir et la blonde, complètement épuisée, s’affala sur le lit. La petite brunette l’aida même à se déshabiller.


Cette semaine était passée beaucoup trop vite et touchait presque à sa fin. Certes, elles étaient tombées malades et cela avait gâché quelque peu le séjour, mais il y avait eu aussi de très bons moments.



Talia se blottit un peu plus contre elle.



Elle repensa à Jean-Luc. Elle se dit qu’elle ne l’avait jamais vraiment aimé. C’était un bon baiseur et ils s’entendaient bien sur plein de choses de la vie courante, mais elle n’avait jamais été vraiment amoureuse de lui, amoureuse comme elle l’avait été durant son adolescence, amoureuse comme elle l’était maintenant. C’était ça l’origine de la crise… beaucoup plus que le fait qu’il ne la touchait plus, Car retirées les parties de jambes en l’air il ne restait rien, aucune passion, aucun sentiment, rien que le quotidien à gérer : c’était juste un bon copain avec qui elle s’entendait bien. Ce sentiment si fort qu’elle éprouvait pour la petite Portugaise mettait tout ça en évidence, c’est ça qui lui manquait avec son conjoint : un véritable amour.


Quel désastre d’avoir fait un enfant avec un homme avec lequel elle n’avait plus envie d’être ! Parce que, telle qu’elle se connaissait, maintenant qu’elle savait, elle ne pourrait plus continuer comme ça, faire comme si elle ne se rendait compte de rien et reprendre la vie avec son homme. Et le pauvre Jean-Luc ne pourrait rien y faire, l’amour, ça ne se commande pas.



Talia la secoua presque pour la sortir de sa torpeur. Le mot « chérie » raisonna comme une mélodie à son oreille.



Claire ne répondit rien et se contenta d’un long baiser sensuel pour lui faire comprendre que les sentiments étaient partagés. Ce voyage lui avait fait le plus grand bien, il lui avait mis les idées au clair et elle savait désormais ce qu’elle voulait.



Elle annonça ça avec toute la froideur dont elle était capable, elle ne voulait pas que Talia s’imagine que c’était pour elle qu’elle quittait le père de son enfant. Car ce n’était pas pour elle, mais bien pour sa propre santé mentale. Talia voulut répondre quelque chose, mais elle la coupa sèchement :



Claire avait dit ça de façon très détachée et Talia en fut passablement désarçonnée, sa copine soufflait le chaud et le froid et elle avait du mal à suivre. Elles étaient pourtant tellement bien l’instant d’avant. Elle imagina qu’elle avait besoin d’être seule, Claire avait toujours été ainsi, un brin solitaire, avec une part de mystère et de détachement, elle était déjà comme ça durant ses années lycée.


La brunette décida de se changer les idées en participant aux animations du club. Elle croisa chacun leur tour les deux dragueurs de l’autre soir qui ne se génèrent pas pour lui faire du rentre-dedans. Mais elle mit fin à leur empressement.

La journée passa très vite, elle retourna faire un tour au bout de la plage mais eut la déception de n’y trouver personne. Elle revint dépitée au club et s’offrit une demi-heure de jet ski pour se changer les idées.


Le soir venu, elle retrouva Claire dans le patio, la blonde était en train de siroter un jus de fruits exotiques. Elle était entourée de deux hommes charmants mais qui avaient la cinquantaine bien tassée. Et ces salopards la dévoraient des yeux et la draguaient éhontément. La brunette se mêla à la conversation et apprit que leurs femmes respectives étaient en train de se pomponner avant d’aller au restaurant. Les deux corniauds attendaient patiemment.



C’était le fantasme de beaucoup d’hommes mais en général pas celui de leurs épouses.



Et les deux hommes s’éclipsèrent rapidement lorsqu’ils virent leurs compagnes progresser un peu plus loin dans l’allée.



Après le dîner, Claire s’isola pour passer un coup de fil.



Les deux jeunes femmes filèrent au dancing, bien décidées à profiter de leur dernière soirée. Et elles s’amusèrent comme deux petites folles, dansant entre elles ou avec les hommes qui voulaient bien les inviter. Puis sur le coup de onze heures, elles rejoignirent leur case où elles se refirent une beauté et se changèrent en attendant leurs baiseurs. Et il leur fallut encore patienter plus d’une demi-heure avant que ceux-ci se pointent enfin…


Claire rouvrit les yeux au petit matin, elle estima qu’il devait être cinq heures. Elle n’avait que très peu dormi. Elle était entourée par deux jeunes noirs qui dormaient à ses côtés, elle reconnut celui de gauche comme étant le barman. Elle enjamba avec difficulté l’autre qui était au bord du lit et se dépêcha d’aller pisser. Sa chatte et son cul étaient passablement endoloris, preuve qu’ils avaient bien servi. Elle se remémora un peu cette nuit de folie en admirant le spectacle : Talia au milieu du lit, entourée des trois jeunes Capverdiens, tous profondément endormis. Vu qu’il n’y avait plus trop de place pour elle, elle décida de s’asseoir sagement dans le seul fauteuil de la pièce pour se remémorer la soirée.


Lorsque les trois jeunes mâles s’étaient présentés devant la case, Claire désormais entièrement nue sous une robe légère leur avait ouvert la porte avec un large sourire de bienvenue. Un peu plus loin, Talia en nuisette transparente ne laissait aucun doute quant à son désir de se faire baiser. Les présentations furent très rapides. Outre le barman déjà connu des deux femmes, les deux autres travaillaient en cuisine et ne parlaient que très peu français. Naturellement, la blonde entraîna son prétendant vers le fauteuil et, assise face à lui, le déshabilla avant d’emboucher une virilité prometteuse qui était déjà dure et dressée. Puis elle retira sa robe pour qu’il voie bien ses deux gros seins et entreprit de lui branler la bite entre ses globes. Il était tellement excité qu’il ne put s’empêcher de jouir, elle reçut un long jet de sperme sur son visage et deux autres dans son cou. Ensuite, elle reprit sa bite en bouche pour avaler le reste. L’homme était dépité d’avoir joui aussi vite.



Elle le reprit en bouche et recommença à le sucer tout en palpant ses couilles. Talia n’était pas en reste, elle était désormais complètement à poil et les deux hommes l’étaient tout autant. L’un allait et venait dans sa bouche tandis que l’autre s’affairait entre ses cuisses. Le spectacle de sa chérie prise par deux beaux mâles excita la femme enceinte qui redoubla d’ardeur sur la queue du barman. Celle-ci était à nouveau raide et elle avait hâte qu’il la fourre en elle. Tout en continuant de le branler, elle lui enfila prestement une capote puis elle se releva et alla se mettre à quatre pattes sur la partie du lit qui était encore libre, position qu’elle jugea plus confortable vu son état.


Avec une douceur infinie, son amant passa derrière elle et posa ses mains sur son ventre rebondi. Ses mains allaient et venaient, glissant de ses tétons à son pubis, caressant toutes ses formes, rendant tout son hommage à son physique de femme enceinte. De l’autre côté, le membre dur frottait inexorablement contre ses fesses. Elle n’en pouvait plus, l’envie était trop forte. Elle supplia son amant de la pénétrer. Elle saisit elle-même la pine tant désirée et le guida vers son vagin. L’homme ne se fit pas prier et s’enfonça doucement en elle. Claire se mit à gémir sous la poussée de la queue, dégustant enfin la joie d’être désirée et pénétrée. L’homme la ramonait avec douceur en susurrant des mots doux au creux de son oreille, lui arrachant de nouveaux gémissements de plaisir. Puis, sous l’excitation, il se mit à la pistonner plus fort en ahanant.



L’homme la ramona encore un moment puis elle sentit ses spasmes en elle avant de jouir à son tour en imaginant que c’était lui qui l’avait engrossée.

Ensuite, il se retira mais elle avait encore envie. Elle fit comprendre au jeune, qui était assis dans le lit avec la bite encore gonflée, qu’il pouvait lui aussi profiter d’elle. La brune l’avait délaissé, vu qu’elle était en train de se faire sérieusement limer par le troisième larron. Claire tendit au petit jeune une capote trouvée sur la table de nuit et celui-ci l’enfila après s’être un peu branlé, avant de venir à son tour derrière la blonde et de la prendre sans plus attendre. Que c’était bon de sentir cette queue en elle et qu’elle était heureuse de cocufier Jean-Luc avec des inconnus ! Elle jouit encore et encore en frottant son clito tandis que la queue la pilonnait. Elle imagina que tout le club allait passer sur elle, même les vieux, les cinquantenaires, qu’elle allait tout filmer et envoyer la vidéo à Jean-Luc. Elle jouit comme une malade à cette évocation.


Les pénétrations avaient succédé aux caresses. Claire se les était pris tous les trois dans la chatte et un aussi dans le derrière, sans compter toutes les bites qu’elle avait sucées et celles qui avaient giclé sur ses seins gonflés d’envie. Quant à sa chérie, elle n’était pas en reste, quand elle tournait la tête vers elle, il y en avait toujours au moins un ou deux mâles qui s’occupaient d’elle.


Toute la petite bande finit par se réveiller quand le téléphone d’un des gaillards se mit à sonner. Les deux jeunes qui travaillaient en cuisine embauchaient avant sept heures, ils eurent juste le temps de se rhabiller et de filer sans demander leur reste. Ricardo, le barman, un peu moins pressé, s’éternisa avec la grande blonde pour laquelle il avait visiblement le béguin. Pourtant il y avait peu de chance qu’ils se revoient.



Ainsi la fin des vacances fut beaucoup plus calme, entre farniente autour de la piscine et cocktails savamment dosés, mais cette fois-ci sans alcool, même pour Talia.



Le lendemain, alors que l’avion prenait l’envol sur le tarmac :



Talia serra très fort la main de sa chérie, contrairement à l’aller, il y avait en plus des turbulences et l’avion fut ballotté de part et d’autre d’une façon qui lui sembla très inquiétante. Claire sourit, attendrie par sa réaction. « J’ai bien fait de partir en vacances avec elle, ça va changer beaucoup de choses pour moi… Pour nous », corrigea-t-elle intérieurement en direction du bébé en caressant son ventre, que le petit être déformait d’excitation avec ses petits pieds.