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Temps de lecture estimé : 8 mn
06/05/22
Résumé:  La douceur du printemps et les envies d’une femme mûre à satisfaire sur le parking
Critères:  fhh fplusag parking voiture -totalsexe -occasion
Auteur : mauricebernard      Envoi mini-message
Retour du printemps






Enfin, le retour du printemps, avec ses impatiences, ses envies, ses aventures ! C’est du moins l’état d’esprit dans lequel se trouve Patricia, la soixantaine à peine passée, qui juge devant son miroir que, cette année encore, son allure devrait lui attirer l’attention de coquins de rencontre. Il est vrai qu’elle aime jouer sur les deux tableaux : celui de l’élégante bourgeoise, à l’aise dans sa ville et la société, et l’autre réservé aux privilégiés, celui de la libertine que certains de ses amants de passage n’hésitent pas à qualifier de « salope », ce qui la satisfait quand les circonstances s’y prêtent. Justement, aujourd’hui, la lumière printanière et la douceur de l’air l’incitent à pencher plutôt de ce côté-là.


D’abord, se parer pour être disponible à toute éventualité. Quelques mèches de sa chevelure blanche mi-longue, artistement ondulées, un peu de maquillage très léger, un string et un fin soutien-gorge élégants et coquins, mais quand même encore des dim-up pour se protéger d’éventuels courants d’air plus frais…en fait, surtout pour pouvoir tenter quelques effets avec sa jupe légère et montrer furtivement ses jolies cuisses si l’occasion se présente. Le temps de glisser ses petits pieds dans ses escarpins préférés et Patricia quitte le domicile conjugal et part à l’aventure, comme elle aime s’y adonner de temps en temps. Plutôt que de chasser le coquin au gré des magasins ou des terrasses des cafés, voire des jardins publics, elle préfère monter dans sa voiture et se diriger vers l’aire de stationnement le long de la quatre voies, là où elle a déjà connu de savoureuses aventures avec son amant de cœur. Comme toujours dans ces moments-là, l’émotion, l’impatience, le besoin de sexe l’oppressent légèrement et se traduisent par des effets certains au niveau de son sexe à peine couvert par le tissu du string. Une rapide vérification, une fois assise dans le véhicule, lui confirme que ses lèvres sont non seulement déjà bien gonflées, mais aussi humides, voire un peu gluantes… et elle se délecte du bout de la langue de cette liqueur qu’elle apprécie tant. Reste à rencontrer l’homme qui saura profiter d’une telle occasion !


Quelques minutes de route, et Patricia dirige sa voiture vers l’ensemble des parkings et des équipements qui s’égaillent dans l’aire près de la quatre voies. Elle se gare et observe les alentours, en ce milieu d’après-midi ensoleillé. Quelques véhicules stationnés çà et là, une famille, un couple, des gens qui vont et viennent. Rien à l’horizon qui retienne son attention pour l’instant. À bien y regarder pourtant, elle discerne là-bas, sous les arbres, assis à une table de pique-nique, un homme seul et à l’allure plutôt avenante. Chemise de bonne coupe entrouverte, pantalon bien taillé, un visage d’homme mûr, l’individu profite aussi du beau temps pour se reposer un instant. « Pas mal ! » se dit la coquine, qui emploie fréquemment cette expression quand un mâle qui lui convient se présente à sa portée ! Elle décide donc de tenter sa chance en descendant de sa voiture en s’engageant dans une petite promenade innocente, à quelques mètres de la table et du monsieur. Le léger bruit de ses talons sur le revêtement attire l’attention de celui-ci, lequel, en connaisseur, évalue d’un regard la silhouette qui passe devant lui. Le charme de la dame retient son attention et les courbes des hanches, des fesses et des mollets tendus sur les escarpins suffisent à le convaincre de poursuivre son observation. Justement, la femme s’arrête un instant, lui tournant le dos, ce qui lui laisse tout loisir pour mieux en apprécier encore les formes fines et souples dont il imagine les détails cachés.


Évidemment, Patricia, forte de sa longue et riche expérience de libertine, sait bien quel effet elle est en train de produire sur sa proie et elle s’amuse à le vérifier en se retournant vers l’homme en souriant. Immédiatement et sans aucune gêne hypocrite, il lui rend son sourire et la gratifie d’un petit geste qui signifie qu’il apprécie le spectacle. Le pacte est déjà conclu entre eux, sans qu’aucun mot ne soit nécessaire et la femme s’approche lentement de la table alors que l’homme se lève pour la saluer très poliment. Ils échangent quelques phrases banales mais inutiles puisque dès que leurs regards se sont croisés, ils se sont mis d’accord pour la suite. D’ailleurs, il lui prend doucement la main et la guide, sans résistance, vers l’endroit où est garée sa propre voiture, au fond du parking dans l’ombre complice à souhait. Patricia se laisse emmener là où elle souhaitait aller de toute façon et, dès qu’ils atteignent le véhicule, elle se place tout près de lui, colle son corps au sien et lui prend la bouche avec ses petites lèvres et sa langue agile. Elle n’aime rien de plus que de mener ainsi la danse et elle lui fait sentir en roulant son ventre contre le sien, de manière à bien le faire bander dès ce premier contact. Une rapide vérification du creux de la main permet à Patricia de s’assurer que son futur amant réagit rapidement et suffisamment à sa manœuvre ; satisfaite de l’examen, elle suce la langue de l’homme pour lui montrer ce qui l’attend dans quelques instants.


Déjà excité, le coquin ouvre une porte à l’arrière de sa confortable berline et propose à la femme de s’y asseoir, les jambes dehors ; alors, il s’agenouille et, ses yeux dans le regard bleu de sa complice, il remonte très très lentement le tissu de la jupe jusqu’à découvrir totalement les bas autofixants. Appuyée sur ses coudes, Patricia écarte doucement ses douces cuisses pour l’inciter à poursuivre son exploration, ce qu’il fait en posant les deux mains à plat puis en les faisant glisser jusqu’à la lisière du string déjà trempé de mouille chaude. Le regard, toujours dans celui de son amante, l’homme caresse les lèvres ouvertes, du bout des doigts, qu'il y glisse puis les pénètre dans l’antre offert et commence à la masturber très lentement. Les petits mouvements de bassin qu’il provoque lui indiquent que la dame est très réceptive, ce que les gémissements qui accompagnent la branlette confirment à l’évidence. Deux doigts introduits dans la chatte viennent masser le point G si sensible et font dresser le ventre, ce qui offre en même temps l’accès à la raie entre les douces fesses. Alors, de son autre main, il accompagne le mouvement en ouvrant adroitement l’anus qui se révèle aussi réceptif que la chatte et le clitoris qu’il a déjà entrepris. En quelques instants, et sans résistance de la part de Patricia qui ne demandait que ça, la jouissance l’envahit et elle feule son plaisir en cachant sa bouche avec une main. Alors, l’homme libère les orifices et se redresse pour déposer la mouille qui couvre sa bouche, sur celle de sa complice du moment ; celle-ci déguste sa propre liqueur à coups de langue autour des lèvres offertes, puis s’écarte vers le fond de la banquette pour permettre à son nouvel amant de s’installer à côté d’elle.


Une fois assis confortablement, l’homme laisse toute l’initiative à Patricia qui apprécie toujours qu’on la laisse faire quand elle a tellement envie de prodiguer l’une de ses spécialités appréciées, à savoir une fellation discrète dans un lieu public. Du bout des fins doigts élégants, elle déboutonne le pantalon et part à l’exploration pour recueillir au creux de ses mains le sexe bandé et les couilles durcies par l’excitation. Décidément, la chance est avec elle car ce qu’elle découvre correspond parfaitement à ce qu’elle espérait : un membre solide, pas trop gros mais robuste et déjà dressé verticalement vers sa proche bouche. C’est toujours pour elle un moment de prédilection quand elle aborde une nouvelle aventure sexuelle et qu’elle s’approprie un sexe inconnu, et, en l’occurrence, celui-ci lui convient à merveille.


Aussi, elle gratifie le gland tendu et rond de quelques léchouilles adroites du bout de sa langue, puis elle la promène tout au long du membre jusqu’aux couilles qu’elle tient doucement dans la main. Au passage, elle grignote la chair chaude et souple et glisse un doigt inquisiteur entre les cuisses de l’homme, jusqu’à son anus qu’elle titille en même temps. Elle entend ainsi lui rendre la monnaie de sa pièce en le gratifiant d’une pipe dont il se souviendra longtemps, se dit-elle. Le gland absorbé par sa petite bouche s’agite sur sa langue et elle l’aspire à petits coups tout en branlant le cul de son amant. Pas question toutefois qu’il lui lâche son foutre trop vite car elle a trop envie de se planter dessus avant ! Aussi, elle demande à l’homme de lui confier un préservatif qu’elle déroule elle-même, après l’avoir disposé avec sa bouche. Quand elle estime que la manœuvre a bien réussi et que le braquemart est disposé comme il se doit, elle enjambe prestement son amant de passage et, tenant la bite d’une main ferme, elle s’empale dessus en gémissant d’impatience. « Veux-tu te mettre à l’aise, lui souffle l’homme ? Non, je veux rester tout habillée au contraire, j’adore baiser comme ça ! » répond-elle en tenant bien écarté son string pour que le sexe qui la pénètre trouve bien sa place. Déjà, par de lents, puis plus rapides mouvements du bassin et du ventre, Patricia pompe la queue qui la perfore et sent le gland rentré jusqu’au fond de son ventre. C’est elle qui baise et elle apprécie d’autant plus la situation.


Dehors, l’ombre s’est accentuée et il y a peu de risques (ou de chances ? !) qu’on les voie à l’œuvre. « Dommage… ! » se dit alors la coquine qui est toujours disponible pour des expériences encore plus animées. Et, justement, un chauffeur routier, intrigué par les mouvements pourtant discrets des deux baiseurs, s’approche lentement. Patricia et son amant le découvrent et échangent leurs impressions :



Le penchant exhibitionniste de la coquine, qu’elle aime tant satisfaire, notamment lors de ses sorties en club, va trouver à s’exprimer à nouveau. Tout en poursuivant sa baise, elle ouvre la vitre de la porte et fait signe au routier qu’il peut s’approcher plus près. Il n’en faut pas plus pour que ce dernier s’installe contre la porte et sorte son sexe déjà bandé. Pour ne pas être en reste, Patricia dégage ses petits seins et les expose de manière qu’ils puissent être caressés, pelotés, pincés… Son amant excité par la situation inattendue cogne de plus en plus fort au fond de son vagin tout en tenant fermement les deux jolies fesses si douces entre ses mains. Il regarde sa complice approcher sa bouche de la bite offerte par le chauffeur et ne peut plus se retenir quand elle en avale goulûment le gland. Son foutre gicle alors en plusieurs fois dans le préservatif et sa chaleur irradie le sexe de Patricia qui se consacre encore plus à la pipe dont elle gratifie l’autre homme. Elle tient à ce que celui-ci gicle le plus vite possible et elle y parvient en finissant, à la main, l’ouvrage entamé par sa bouche. Elle se connaît par expérience des talents de branleuse, tout autant que de suceuse, et, une fois encore, elle a raison de la résistance de l’homme qui s’éclate en plusieurs jets lourds et brûlants et qui s’étalent sur la poitrine offerte. Cette jouissance accompagne les derniers soubresauts de son autre complice au fond de son ventre et, plantée à fond sur lui, elle hurle enfin sa propre jouissance avant de s’effondrer contre l’homme, épuisée par le plaisir.


Déjà, le chauffeur s’est réajusté et s’éloigne en lui faisant un signe de remerciement. Dans la voiture aussi, les deux baiseurs se remettent d’aplomb en échangeant quelques mots et des baisers de sympathie sincère ! Ensuite, Patricia quitte son amant occasionnel sans lui laisser la certitude qu’elle le rappellera…ou pas ! En tout cas, en retournant vers sa propre voiture, les jambes un peu flageolantes et la chatte trempée, elle se prépare déjà à tout raconter au téléphone à son amant de cœur, comme ils en ont convenu…