n° 20915 | Fiche technique | 8351 caractères | 8351Temps de lecture estimé : 6 mn | 17/05/22 |
Résumé: Une séance mémorable chez ma dentiste. | ||||
Critères: ffh médical noculotte photofilm hsodo humour -humour | ||||
Auteur : Samuel Envoi mini-message |
J’étais sur le fauteuil du dentiste, enfin de la dentiste.
Elle plongeait dans ma gorge pendant que je découvrais la sienne. Une vision qui enleva toute appréhension, toute douleur. Grande, svelte, souple, rieuse, elle était comme une grande mouette à la recherche de sa pitance. Sur un tel fauteuil de souffrance, comment ne pas se concentrer sur ce soutien-gorge à balconnet qui dépassait de la blouse en même temps que les seins débordaient du soutien-gorge ? Et puis, ce parfum léger, impossible à identifier, mais si envoûtant. Ajoutez à cela une musique qui semblait venir de derrière les murs, une mélodie, une mélopée…
Alors il ne resta plus qu’à se laisser bercer et prendre en main. N’en pouvant plus de contempler cette poitrine si expressive, je fermai les yeux. Et la séance commença…
Claire, car elle avait tout pour porter un tel prénom, monta sur moi à califourchon pour mieux voir de quoi il s’agissait certainement, mais je ne pouvais plus expliquer à mon sexe qu’il s’agissait d’une séance de soin, ou alors oui, mais de soins intensifs. Je ne savais pas trop comment me comporter dans un cas comme celui-là, et il m’était impossible de jeter un œil sur le magazine « Psychologie pour tous » qui trônait dans la salle d’attente. Je choisis la tactique du gagne-petit à petit. Centimètre par centimètre, mes mains descendirent jusqu’à me rendre compte qu’elle ne portait pas de culotte ! Vous me direz que c’est assez courant dans le milieu médical. On se fout à poil dans la bonne humeur et on met une blouse par-dessus. Tout de même, heureusement que je ne suis pas impressionnable ; je prends des cachets pour ça. En bonne professionnelle, elle continuait à s’occuper de mes dents sans se préoccuper de mes doigts qui jouaient un peu avec son anatomie cavalière. Comme j’entendis : « Ne vous crispez pas. Mettez-vous à l’aise », je déboutonnai discrètement mon pantalon de tergal bleu roi. Ma verge pouvait enfin respirer. Seulement, il était un peu difficile de procéder ainsi à la pénétration, vous imaginez bien, sans y être invité formellement. Et ce fut Antoinette, l’assistante qui ne méritait pas ce prénom, mais tant pis, ce fut Antoinette que j’avais oubliée dans un coin du cabinet, ce fut Antoinette qui, sans faire de chichi, vint mettre l’un dans l’autre. À ce moment-là, Claire se saisit de la roulette. Je ne sais pas si vous avez déjà fait l’amour avec la roulette trépidante dans la mâchoire, mais c’est un truc qui rend dingue de plaisir. Je lui susurrai :
Elle comprit vite le message et arrêta son engin de torture qui me procurait une telle jouissance.
Elle descendit de mon corps ruisselant de désir en me disant :
Effectivement, jamais je n’avais ressenti un tel bien-être dans une relation fellatrice. Elle se releva en demandant gentiment à Antoinette de continuer. Et là, de même, une douceur de soie naturelle enroba mon sexe de plus en plus turgescent, comme aurait Claudine Béc-carie, actrice française de films érotiques et pornographiques ayant exercé de 1972 à 1978. La dentiste en chef reprit alors une tasse de café et la parole :
Je repris ma position décontractée, mais elle ajouta, l’air sévère :
Elle me fit relever du fauteuil où s’installa douillettement Antoinette, cuisses écartées et poils pubiens coiffés à la Michael Jackson. Je devais alors m’allonger sur l’accommodante assistante qui m’accueillit dans son antre avec entrain. De l’autre côté du fauteuil, Claire m’intima l’ordre d’ouvrir la bouche et elle se saisit du détartreur. Le détartreur est un instrument dentaire fonctionnant à ultrason. Il permet d’enlever le tartre. Mais le plus étonnant encore, c’était les positions que l’on pouvait obtenir dans le fauteuil rien qu’en actionnant un petit bouton, et on sentait qu’elle avait acquis une telle maestria dans son maniement qu’elle était capable de vous faire arriver à l’orgasme sans coup férir. Et puis, ce projecteur qui éclaire comme un soleil, mais qui peut aussi se concentrer sur un point précis, dardait ses rayons sur mon pénis entrant et sortant dans un clapotis attendrissant. Enfin, on voit bien ce qu’on fait avec ce genre de lumière. Et ce n’était pas tout, la dentiste possédait un miroir d’examen dentaire qu’elle avait disposé de telle façon qu’elle voyait ce qui se passait à l’intérieur du vagin de son assistante. Claire me dit alors :
Elle me pénétra donc de son explorateur velouté au caoutchouc qui me fait frissonner encore aujourd’hui rien que d’y penser. Mon anus fut si charmé par cette intrusion qu’il semblait vouloir aspirer l’engin au plus profond de ses corolles qui rougissaient de bonheur. J’éjaculai dans un grand cri qui fit tressaillir les patients dans la salle d’attente.
On me nettoya la verge dans la petite fontaine où l’on cracha jadis. Le fauteuil reprit sa position bucco-dentaire. La dentiste referma avec regret sa blouse sur une toison qui en toiserait plus d’un. L’assistante qui n’avait quitté son masque que lors de la démonstration de fellation s’essuyait avec un apaisement qui confinait à la quiétude.